Intro: Prediction du Prophète sur Fatima (Source chiite): Agression Fatima
Agression Fatima
«Il est impossible pour une personne sensée de douter de la mécréance d'Umar (qu'il est musulman), alors la'nah (la damnation) d'Allah (swt) et Son messager (s) sur lui et sur quiconque le considère comme un musulman et toute personne qui retient de faire la'nah sur lui. " Al Majlisi écrit dans Jila 'al Uyoon (page 45)
Intro: Prediction du Prophète sur Fatima (Source chiite):
Le Messager d’Allah (saww) a dit avant de mourir :
« Et quand je l'ai vue (Fatima), je me suis souvenu ce qui lui sera fait après moi. Comme si je voyais la dégradation entrer dans sa maison, et son caractère sacré violé, et ses droits usurpés, et son héritage tenu à l'écart d'elle, et sa côte cassée, et son fœtus tué, alors elle s'écrie: "ô mon Muhammad!"
Mais on ne lui répondra pas. Et elle demandera de l'aide, mais elle ne sera pas aidée...
Ainsi, elle viendra à moi triste, angoissée, accablée de douleur, usurpée, et tuée.
O Allah! Tiens à l'écart de Ta miséricorde celui qui commet l'injustice envers elle, et punis celui qui l'usurpe, et humilie celui qui l'humilie, et garde pour toujours dans Ton Feu celui qui frappe son côté provoquant l'avortement du fœtus qu'elle porte. » A cela, les anges répondirent : "Amîn.""
Sources:
1. Sheikh Al-Saduq, Al-Amaali, page 112
2. Allamah Al-Majlisi, Bihar Al-Anwar, volume 28: page 38 & volume 43: page172
3. Sheikh Al-Tabari, Besharat Al-Mustafa, page 197
4. Al-Daylami, Irshad Al-Qulub, volume 2: page 295
5. Ibn Shadhan, Al-Fada'el, page 8
6. Al-Hamo'i, Fara'ed Al-Semtayn, volume 2: page 35
7. Allamah Al-Majlisi, Jala' Al-'Oyun, volume 1: page 186
L'agression (source sunnite / chiite )
Source sunnite :
1)A-Dhahabi, livre : Syar Alâm Al-Nubala, volume 15, p. 578 : « Omar frappa Fatima jusqu’à ce qu’elle avorte de Muhsin. »
2)Ibn Hajar Al-Asqalani, livre : Lisân Al-Mizân, volume 1, p. 824 : « Un homme lui lu que Omar frappa Fatima jusqu’à ce qu’elle avorte de Muhsin. »
3)Mohammad A-Shafi’i, livre Kifayat A-Talib, p. 413 : « Fatima avorta après la mort du Prophète d’un mâle que le Prophète avait nommé Muhsin, ceci n’est pas mentionné par les transmetteurs sauf ibn Qutayba. »
4)Dans Ithbat l-wasiyya, :
" Alors Omar ordonna qu'on les sorte de force. Hz Fatima (as), enceinte, fût pressée entre le mur et la porte. Elle fit une fausse couche et perdit l'enfant dont le nom devait être Mohsin. " (page 124 لوصية ثبات إ). Elle mourra quelque temps plus tard.
«Ithbaat l-Wasiyya » décrit les événements dans détails.
et rapporte: «Ils ont encerclé ‘Alî {as} et ont brûlé la porte de sa maison et l'ont sorti contre son gré et pressé la Maîtresse des Dames des mondes (Hadhrat Fatîma {as}) entre la porte et le mur tuant Mohsin (Le nourrisson qu'elle portait en son sein pendant six mois). "
Salahuddin Khalil al-Safadi autre érudit sunnite dans son livre «Waafi al- Wafiyyaat " sous la lettre« A » relatant la vue d'Ibrahim Ibn Sayyar Ibn Hani al-Basri, bien connu en tant que Nidhaam, le cite pour avoir dit:
"Le jour de 'Bay'aat' (allégeance), ‘Omar a frappé Fatîma sur son ventre, si bien que l’enfant mourût dans son ventre. "
http://upload.the-savior.com/files/picture//Ethbat-Alwasiya_book.jpg
5)Muhammad al-Shahrastaani rapporte dans Al-Milal wa al-Nehal vol. 1 p. 57 (édition Beirut) - « ‘Omar a frappé Fatîma violemment dans l'abdomen (le jour de l'allégeance) de telle sorte qu'elle tomba sur son abdomen (ayant pour résultat la mort du nourrisson). »
6)Abu Abdillah Shams al-Deen al-Zahabi rapporte dans Mizaan al-Etedaal vol. 1 p. 139 – « Assurément ‘Omar donna un tel coup à Fatîma qu’il mena à la perte de Mohsin. »
7)Ibn Shahr Aashob al-Sarvi al-Mazandarani dans vol. 3 p. 132 du Al-Maarif rapporte d’ Ibne Qutaybah al-Dainoori (Historien Sunnite réputé): « Les enfants de Fatîma sont les suivants - Hasan, Husain, Zainab, Umme Kulsum et Mohsin Ibn Ali qui a été tué par Qunfuz Adawi(de Bani Adi, la même tribu qu'Omar Ibn lKhattab). »
8)‘Alî et ‘Abbas étaient assis à l'intérieur de la maison de Fatîma, Abu Bakr dit à ‘Omar :
"allez et amenez-les; s'ils refusent, tuez-les."
‘Omar apporta du feu pour brûler la maison. Fatîma s'est approché de la porte et a dit :
"O fils de Khattab, êtes-vous venus pour brûler notre maison sur moi et mes enfants ? "
Il répondit : "Oui je le ferai, par l'Allah, jusqu'à ce qu'ils sortent et portent allégeance au Khalife du Prophète. "
Référence sunnite :
- Iqd Al-Fareed, par Ibn Abd Rabb, Partie 3, Page 63
- Al-Ghurar, par Ibn Khazaben, rapporté par Zayd Ibn Aslam
9)Chacun est sorti de la maison sauf l'Imam ‘Alî {as} qui a dit :
"J'ai juré de rester à la maison jusqu'à ce que je rassemble (prenne) le Qu’ran. "
‘Omar a refusé mais la protestation de la Dame Fatîma lui fit faire demi-tour. Il a incité Abu Bakr à continuer et envoya Qunfuz (son esclave) plusieurs fois, mais reçu une réponse négative chaque fois. En fin de compte, ‘Omar est allé avec un groupe de gens à la maison de Fatîma. Quand elle a entendu leur voix, elle a pleuré fort; «ô père, ô Messager d'Allah, comment ‘Omar Ibn al-Khattab et Abou Bakr Ibn Abi Quhafah nous traitent après vous (que vous soyez parti, que vous nous avez quitté) et comment ils nous rencontrent. "
Sources: Les savants sunnites, Ahmad Ibn Abdul Aziz al-Jawhari dans son livre Saqifah, Abu Walid Muhibbuddin Mohammad al-Shahnah al-Hanafi dans son livre Rawdhat Al-Manadhir dans Akhbaar al-Awayil wal-Aawaakhir',
10)Al-`Allâmah Mullah Mu`în Kâchifî écrit qu'à cause du choc qu'elle reçut lorsqu'on força la porte de sa maison, Fâtimah tomba malade et ne tarda pas à succomber à cette maladie ('Ma`ârij al-Nubuwwah', Rukn 4, Chap. 3, p. 42).
11)« Omar s’était présenté à la porte de la maison de Fatima dans laquelle s’était regroupés Ali, Talat, Zobeir et d’autres hommes parmi les mouhajirines et dit : « Par Dieu si vous ne sortez pas pour faire allégeance je mets le feu à cette demeure ». Alors certains sortirent l’épée à la main, il y eut un accrochage». Tabari tome 2 page 233.
« Abou Bakr envoya Omar à la demeure de Fatima afin de contraindre Ali de faire acte d’allégeance. Omar arriva devant la demeure de Fatima et il avait dans sa main une mèche de feu, il rencontra Fatima sur le pas de la porte ; cette dernière lui dit « O fils de Kattab, es- tu venu mettre le feu à ma maison » ce dernier lui répondit « oui ». Balazuri page 586.
« Les Ansars s’écrièrent : « Nous voulons nommer Ali qui est le cousin du prophète et son gendre et son plus proche parent, il est le premier d’entre les Qorayshites et les descendants de Hischam ». Omar craignant que la lutte ne se prolongeât et ne devint sanglante dit à Abou Bakr : « étends ta main et reçoit notre allégeance». Tabari, tome 3 page 220.
12) Rapporté à nous de Ibn Hamid. Il a dit raconté à nous Jurair, à partir Mugayrah, de Ziyad bin kaleeb. Il dit: «A partir de la Saqifa(la ou abu bakr e tOmar on prti le pouvoir dans le dos d’Ali(as)) Umar entra dans la maison d'Ali, elle(Fatima) était présente avec Talha, Zoubayr et quelques autres membres. Omar a dit: «Venez et prêtez allégeance, sinonje met le feu à cette maison et je vous brûme tous". Zubayr est sorti avec son épée et fonça vers Umar. Mais son pied se prit dans le sol et il tomba et son épée avec. Immédiatement les gens se sont jetés sur lui .( Tarikh e Tabari volume 3 page 202)
13) ‘Quand ils ont fait acte d'allégeance à Abu Bakr, Ali et Zubair étaient avec Fatemah , la fille du Messager d'Allah (saww), et réfléchissaient que faire. A ce moment Umar entendu parler de cela, immédiatement, il partit pour la maison de Fatemah et dit:
"O fille d'Allah (swt) le Messager (saww)! Par Allah (s.w.t)! Aucun m'est plus cher que ton père et aucun après lui, c'est plus important pour moi que vous. Mais par Allah (s.w.t)! Cet amour et l'affection ne m'empêchera pas à mettre le feu à votre maison "
Fatemah est venu à Ali (et Zubair dit:
"Savez-vous ce qu’Umar m’a dit? Il a juré par Allah (swt) que si vous ne sortez pas de la maison, il mettra ma maison en feu et par Allah (swt), il est capable de le faire.'
Al Musannaf d’Ibn abi Shaybah VOL 20 PG 579
14)Omar a dit : O fille du messager d'Allah (swt) ! Par Allah (s.w.t)! Vous êtes le plus cher parmi nous. Mais par Allah (s.w.t)! Mais cela ne m’enpechera pas de mettre le feu à la maison’ Source: Al farooq, biographie d'Omar farooq par Allamah Shibli Nomani page66'
15) Par la suite, Abu Bakr ordonna Umar de faire ressortir Ali et ceux qui étaient avec lui dans la maison de Fatemah . Abou Bakr dit à Omar, 'Si ils refusent de sortir de la maison, menez une guerre contre eux. "
A` ce stade, Omar se dirigea vers la maison de Fatemah avec un peu de feu pour le brûler, quand il a rencontré Fatemah, qui a demandé, «Où vas-tu, ô fils de Khattab? avez-vous l’intention de brûler notre maison ?
Umar répondit: «Oui
Source: Kitab al Mukhtasar fi akhbaaril bashar
16) Omar le jour de l’allégeance frappa Fatima Zahra si fort sur son ventre qu'elle a subit une fausse couche de Mohesin (nom du futur enfant) Source : Kitab al-Wafi bi-al-Wafayat (al-Nasharat al-Islamiyah) by Khalil ibn Aybak Safadi
17) En vérité UMAR frappa si fort à Fatima Zahr dans son estomac le jour de l’allégeance qu'elle a subi l'avortement MOHSIN. Et Umar criait de brûler la maison de Fatimah avec les gens dedans - Source: Melal wa al-Nehal -Abu al-Fath Muhammad Ibn Abd al-Karim Ibn Abi Bakr Ahmed Shahrastaani
18) Abou Bakr avait demandé ceux qui avaient refusé de lui preter allégeance et était partit voir Ali ,Abbas,Zubair et Saad Ibn Ubaadah, qui étaient assis dans la maison de Fatemah , refusant de prêter allégeance. Abou Bakr envoyé Umar Ibn Khattab pour eux.
Omar est allé à la maison de Fatemah et a crié (en les invitant de sortir de la maison et de prêter allégeance). Ils ont refusé de sortir de la maison. A` ce stade, Umar rassembla du boid et dit: «Je jure par Celui dont la main est la vie d'Omar! venir hors de la maison, ou bien je vais brûler la maison!
Une personne a dit à Omar: «ô Aba Hafs (se référant à Umar )! Fatemah est dans cette maison. '
Umar a rétorqué: «Même si Fatemah est dans cette maison, je vais la brûler" Source: Al 'A’laam al-Nisaa Fi Alam Al Arab Wal Islam " By Umar Reza Kahhaaleh
19)Abou Bakr ordonna à Omard’allez chez Fatemah . Abou Bakr dit à Umar, 'Si ils refusent de sortir de la maison, menez une guerre contre eux. " A` ce stade, Omar se dirigea vers la maison de Fatemah (SA) avec un peu de feu pour la brûler, quand il a rencontré Fatemah qui est venu à la porte de la maison elle lui dit: «Où vas-tu, ô fils de Khattab? Es-tu venu pour brûler notre maison ?
Umar répondit: «Oui"
source : "eqdul fareed de Ahmad bin mohammed bin abd Rabbih al-Andalousi «
20) En vérité, Abu Bakr a demandé à ceux qui ont refusé de lui prêter allégeance et s'étaient rassemblés autour d'Ali. Il envoya Omar à les poursuivre alors qu'ils s'étaient rassemblés dans la maison d'Ali. Quand ils ont refusé de sortir de la maison, Omar dit : "amène le bois» et criéait :Sortez, sinon je vais tous vous brûler dans la maison . Quelqu'un a demandé: «ô Aba Hafs! E^tes-vous conscient que Fatemah est présent dans cette maison? 'Omar dit: même si Fatemah est présent dans la maison!
Source: ‘Al-Imaamah wa alSiyaasah’ by Abu Muhammad Abdullah Ibn Muslim Ibn QutaybahDainoori (famous as Ibn Qutaybah)
21)-Le Savant al Muhaddith Shah Abdul Haqq Dehlavi in Murujj al Nubuwwa “Chapitre 4, les évènements de 2 Hijri 'Tajweez Fatima'”:
"Allah (SWT) a donné à Fatima et Ali les cinq enfants suivants : Hasan, Husayn, Zaynab, Umm Kulthum et Muhsin, qui fut martyrisé suite à l'oppression de la Umma, cette maladie et souffrance mena Fatima à la mort."
22)-L'historien Abul Hasan, Ali Ibn al-Husain al- Masudi dans son livre 'Isbaat al-Wasiyyah' décrit les évènements en détails :
"Ils entourèrent Ali et brûlèrent la porte de sa maison, et le tirèrent hors de la maison contre sa volont et pressèrent la maîtresse des femmes (Fatima) entre la porte et le mur, tuant Mohsin (l'enfant qu'elle portant en elle depuis six mois.)
23)-Salahuddin Khalil al-Safadi un autre savant sunnite écrit dans son livre 'Waafi al- Wafiyyaat' sous la lettre 'A' citant le rapport de Ibrahim Ibn Sayyar Ibn Hani al-Basri, bien connu sous le nom de Nidhaam rapporte qu'il a dit :” Le jour de 'Bayaat' (prestation d' allegiance), Umar frappa Fatima dans le ventre de telle sorte que l'enfant en son sein mourut.”
24)-Le Messager d'Allah (saws) a dit :
"En vérité, lorsque je l’ai vue venir, tous les sévices qu’elle subira après moi me sont ressurgit à l’esprit. C’est comme si je vois devant moi la déchéance et l’humiliation qui persécuteront sa demeure, comment on transgressera sa vertu (dignité), on violera tous ses droits, on la privera de son héritage, on lui fracturera la côte et on causera son avortement »
Al-Juwayni, dans son livre Faraïd Simtain
Source chiite:
1)Al-Hussein ibn Hamdan cite Muhammed ibn Isma `al et Ali ibn ‘Abd Allâh al-Husseini citant Aba Shu `ayb et Muhammed (AS) ibn Nasar citant : « Omar ibn al-Furat citant Muhammed ibn al-Mufaddal Ibn `Omar disant:
Le récit se réfère à la façon dont Salman al-Farisi a été battu, comment le feu a été mis à la porte de la maison du Guide des Croyants et de Fatima (AS), al-Hassan (AS) et al-Hussain (as) afin de les brûler. La main de la Dame Véridique, Fatima (AS), a été fouettée, son estomac a été frappé du pied, et comment elle fait une fausse couche de al -Muhssin ..., l'histoire d'Abou Bakr et comment il envoya Khalid ibn al-Walid, Qunfath (son esclave) et `Omer ibn al-Khattab, comment il a rassemblé les gens pour faire sortir le Guide des Croyants (AS) de sa maison, afin de lui faire jurer fidélité à la saqifa de Bana Sa `Qaida ...
`Omar a dit : « Sors, ô Ali, et rejoins ce que les musulmans ont tous fait, sinon nous te tuerons. »
Fidda, servante de Fatima (AS), leur dit : « Le Guide des Croyants (AS) est occupé, et ce sera une bonne action si vous êtes sincères envers vous-mêmes et que vous soyez juste envers lui »
(et ‘Omer se railla de sa réponse).
Ils ont réunis beaucoup de bois à la porte afin de brûler la maison du Guide des Croyants (AS), ainsi que Fatima (AS), al-Hassan (AS), al-Hussain (as), Zainab, Oum Kalsoum et de Fidda.
Ils mirent le feu à la. Fatima (AS) sortit pour leur répondre de derrière la porte. Elle leur dit: « Malheur à vous, O ‘Omar ! Comment oses-tu donc offenser Allah et le Messager d'Allah (saws)! Veux-tu mettre en terme à sa progéniture (du Prophète) dans ce monde et l'exiler, et éteindre la Lumière d'Allah (swt) ? Pourtant Allah achèvera sa Lumière.
‘Omar réprimanda Fatima (as). Il lui dit, Fatima : « O ! Assez ! Ni Muhammed n’est présent, ni les anges apportant des ordres d'Allah de faire ou de ne pas faire quoi que ce soit ! Ali est comme n'importe quel autre musulman. Tu as la possibilité soit de le faire sortir pour jurer fidélité à Abou Bakr, soit je vais vous brûler tous. »
En pleurs, Fatima (AS) a supplié ainsi : « Seigneur! Je me plains à Toi de la façon dont Ton Prophète (AS), Messager et Elu me manque, je me plains de la façon dont Ta communauté nous a tourné le dos, et comment ils ont confisqué ce qui nous appartient et que Tu as indiqué dans le Livre que Ta as révélé au Prophète que Tu as envoyé ! »
‘Omar lui dit: « Abandonne, ô Fatima (AS), la folie de la femme, car Allah ne laisserait pas à la fois la Prophétie et le Califat être à vous. » Comme il disait ces mots, le feu avait déjà consommé la porte de bois. Qunfath le maudit étendit sa main maudite pour ouvrir la porte (de l'intérieur). `Omar a frappé la main de Fatima avec le fouet. Le fouet a laissé une marque sur son poignet comme un bracelet noir. Il défonça la porte avec son pied, et la porte frappa l'estomac de Fatima. Elle était enceinte de six mois de al-Muhssin dont elle fit une fausse couche.
`Omer attaqua, ainsi que Qunfath et Khalid ibn al-Walid. `Omer gifla Fatima (AS) sur sa joue, brisant son anneau d’oreille sous son voile, et elle pleurait bruyamment, disant : « ô mon père! ô Messager d'Allah! Ta fille Fatima est traitée comme une menteuse, est frappée, et son foetus est tué à l'intérieur de son ventre! »
Le Commandeur des Croyants (AS) est sorti de la maison avec les yeux rouges, ne portant rien sur sa tête, et il mit son manteau sur Fatima (AS), la serra contre lui et dit: « O fille du Messager d'Allah ! Tu sais déjà que ton père a été envoyé comme une miséricorde pour le monde entier ... » Puis il se tourna vers ‘Omar et dit: « ô fils d'al-Khattâb! Malheur à toi à partir de ce jour et à partir de ceux qui suivent !
Sors (de ma maison) avant que je dégainer mon épée et anéantisse l’ancien de la Communauté ! »
Omar sortit ainsi que Khalid ibn al-Walid, Qunfath, et Abd al-Rahman ibn Abu Bakr. Ils étaient à l'extérieur quand le Commandeur des Croyants (AS) appela Fidda pour s'occuper de sa maîtresse qui subissait la douleur d'une fausse couche ...
Fatima (AS) fit une fausse couche d’al-Muhssin, alors Ali (AS) dit: « Il va rejoindre son grand-père, le Messager d'Allah (AS), à qui il va déposer une plainte.
Et al-Muhassan sortira (le Jour du Jugement) porté par (sa grand-mère maternelle) fille de Khadija et de Khuwaylid (sa grand-mère paternelle) fille Fatima d'Asad, la mère du Commandeur des Croyants (AS), et ils seront en pleurs et sa mère dira : « C'est le jour sur lequel tu as été prévenu. » Al-Mufaddal demandé à l'Imam (as), «Maître! Que dis-tu sur le verset qui dit : « Quand on demandera au nourrisson enterré vivant pour quel péché elle a été tuée » (Coran, 81:8-9)? »
L'Imam (as) dit : « ô Mufaddal! Le bébé enterré vivant, par Allah, est Muhassan parce qu'il est l’un des nôtres. Quiconque dit le contraire est un menteur. »
Al-Mufaddal dit : « Maître ! Alors quoi ? »
L'Imam al-Sadiq (AS) dit : « Fatima (AS) fille du Messager d'Allah (AS) se levera et dira : « Seigneur ! Réalise ton engagement envers moi concernant ceux qui m’ont opprimée, m’ont confisqué ce qui m’appartenait, m'ont frappée et ont tué tous mes fils ! » Al-Majlisi, Bihar al-Anwar, Vol. 53, pp. 14, 18, 19, 23. Al-`Awalim, Vol. 11, pp. 441-43. Al-Khasabi, Al-Hidaya al-Kubra, pp. 392, 407-08, 417. Hilyat al-Abrar, Vol. 2, p. 652. Se référer aussi à Fatima al-Zahra’ Bahjat Qalb al-Mustafa, Vol. 2, p. 532 from Nawa’ib al-Duhar by Sayyid al-Meerjahani, p. 192.
2) Aba Muhammed, citant `Abd Allâh Ibn Sinan d'Aba` Abd Allâh (AS) disant :
« Quand le Messager d'Allah (AS) est décédé, Abou Bakr a pris son siège sur sa chaire. Il a envoyé chercher l'agent de Fatima (AS) ...
Abou Bakr lui écrivit alors un titre de propriété, remettant Fadak en sa possession. Mais ‘Omar l’a rencontra et lui demanda : « O fille de Muhammed ! Quelle est cette feuille dans ta main ? »
Elle dit:« Un titre de propriété que Abou Bakr m'a écrit, retournant Fadak en ma possession. » Il dit : « Donne-le moi. »
Elle a refusé, alors il l’a frappa avec son pied dans l'estomac, et elle était enceinte d'un fils nommé al-Muhsin dont elle fit instantanément une fausse couche.
Puis, Omar la gifla, brisant sa boucle d'oreille en mille morceaux. Puis il prit le titre de propriété et le mit en pièces.
Pendant 75 jours, depuis qu’Omar l’avait rouée de coups, elle est restée malade, puis elle décéda.
Sur son lit de mort, elle appelé Ali (AS) près d’elle et lui dit: « Soit tu peux me donner la garantie de réaliser ce que je dirai, soit je demanderai al-Zubayr »
Ali (AS) a dit: « Je te garantis d’accomplir ta volonté, ô fille de Muhammed ! »
Elle lui dit: « Je te demande, par le droit du Messager d'Allah, que si je meurs, les deux hommes (`Omer et Abou Bakr ) ne soient pas être présents près de moi, ils doivent pas assister à la prière de mes funérailles. »
Il (as) dit : « Tu auras ce que tu désires. »
Quand elle décéda, il l’enterra la nuit. Dans la matinée, les gens de Médine, dont Abou Bakr et Omar, voulurent assister à ses funérailles.
Ali (A.S.) est sorti et il rencontra deux hommes. Ils lui demandèrent : « Qu'as-tu fait à la fille de Muhammed (AS) au sujet de la préparation de son enterrement, ô père d'al-Hassan (AS)? »
Ali (AS) dit: « Par Allah, je l'ai déjà enterrée. »
Ils dirent:« Qu’est-ce qui t’a poussé à l'enterrer sans nous informer qu'elle était morte? »
Il (AS) dit : « Elle m'avait ordonné de le faire aisni. »
Omar a dit: « Par Allah! Je vais creuser sa tombe et effectuer les prières funéraires pour elle »
Ali (as) a dit : « Par Allah! Aussi longtemps que mon cœur repose encore à l'intérieur de ma cage thoracique, et tant que je peux tenir (mon épée)
Thul-Fiqar dans ma main, tu ne seras jamais capable de déterrer son corps, et tu sais mieux que quiconque ce que je suis capable de faires. » Abou Bakr a dit (à ‘Omar), « Pars, car il est plus digne d'elle que nous. » Les gens se sont ensuite dispersés.
Al-Mufid, Al-Ikhtisas, pp. 184-85. Al-Majlisi, Bihar al-Anwar, Vol. 29, p. 192. Abd al-Razzaq al-Muqarram, Wafat al-Siddaqa al-Zahra’, p. 78.
3)"Umar refusa de s’en aller. Il demanda qu’on lui apporte du feu et il a mis le feu à la porte, puis il la poussa et entra.
Dame Fatimah (as) avança et cria haut et fort: « O Père, ô Prophète d'Allah ! »
Umar leva son épée avec le bouclier et l'a frappa sur le côté. Elle cria: « ô mon père! »
Il leva ensuite le fouet et l'a frappa à la main et elle s'écria: « ô Prophète d'Allah! Abou Bakr et Omar se sont très mal comporté après toi ! »
Hadhrat Ali (as) se précipita, le tint par le cou et le repoussa et Omar tomba et fut blessé au cou et au nez. Hadhrat Ali (as) voulait le tuer. Il se souvint de ce que le Saint Prophète (saws) avait dit, et il dit: « Par Celui qui a donné à Muhammad le statut de la prophétie, ô fils de Sahak, si le Livre d'Allah n'avait pas été révélé et que le Saint Prophète (saws) n’avait pas pris un engagement avec moi avant, tu aurais su que tu ne pouvais jamais entrer dans ma maison.»
Umar, se plaignant, envoya quelqu'un, et des gens sont venus et entrèrent dans la maison. Hadhrat Ali (as) avança pour lever son épée, alors Qunfuz retourna auprès d'Abu Bakr et Abou Bakr eut peur que Hadhrat Ali (as), avec son épée, vienne à lui, car il connaissait la bravoure de Hadhrat Ali et sa détermination.
Abou Bakr dit à Qunfuz: « Retourne à la maison d'Ali, et s'il sort alors tout va bien, sinon entre dans la maison. S'il (Ali (as)) refuse, alors mets le feu à la maison. » "
Kitab Salim bnu Qays : http://yazeinab.org/arabic/aqaed/books/02/solaim_a/
Bagarre Ali(as) VS Omar
Source Chiite:
http://yazeinab.org/arabic/aqaed/books/02/solaim_a/indexs.html
Ouvrage: Kitab-e-Sulaym Qays Al-Hilali
1)Hadhrat Ali (as) se précipita, le tint par le cou et le repoussa et Omar tomba et se blessé au cou et au nez. Hadhrat Ali (as) voulait le tuer. Il se souvint de ce que le Saint Prophète (saws) avait dit, et il dit: « Par Celui qui a donné à Muhammad le statut de la prophétie, ô fils de Sahak, si le Livre d'Allah n'avait pas été révélé et que le Saint Prophète (saws) n’avait pas pris un engagement avec moi avant, tu aurais su que tu ne pouvais jamais entrer dans ma maison. »
2)Umar refusa de s’en aller. Il demanda qu’on lui apporte du feu et il a mis le feu à la porte, puis il la poussa et entra. Dame Fatimah (as) avança et cria haut et fort: « O Père, ô Prophète d'Allah ! »
Umar leva son épée avec le bouclier et l'a frappa sur le côté. Elle cria: « ô mon père! »
Il leva ensuite le fouet et l'a frappa à la main et elle s'écria: « ô Prophète d'Allah! Abou Bakr et Omar se sont très mal comporté après toi ! »
Hadhrat Ali (as) se précipita, le tint par le cou et le repoussa et Omar tomba et se blessé au cou et au nez. Hadhrat Ali (as) voulait le tuer. Il se souvint de ce que le Saint Prophète (saws) avait dit, et il dit: « Par Celui qui a donné à Muhammad le statut de la prophétie, ô fils de Sahak, si le Livre d'Allah n'avait pas été révélé et que le Saint Prophète (saws) n’avait pas pris un engagement avec moi avant, tu aurais su que tu ne pouvais jamais entrer dans ma maison. »
Umar, se plaignant, envoya quelqu'un, et des gens sont venus et entrèrent dans la maison. Hadhrat Ali (as) avança pour lever son épée, alors Qunfuz retourna auprès d'Abu Bakr et Abou Bakr eut peur que Hadhrat Ali (as), avec son épée, vienne à lui, car il connaissait la bravoure de Hadhrat Ali et sa détermination.
Abou Bakr dit à Qunfuz: « Retourne à la maison d'Ali, et s'il sort alors tout va bien, sinon entre dans la maison. S'il (Ali (as)) refuse, alors mets le feu à la maison. »
Qunfuz, le maudit, retourna et entra dans la maison, sans autorisation, avec ses compagnons. Hadhrat Ali (as) avança pour ramasser son épée - ces gens, qui étaient si nombreux contre lui, s'emparèrent de lui, saisirent son épée, l'arrêtèrent et attachèrent une corde à son cou.
Ouvrage: Bihar Al-Anwar et Al-Wasai'l Shia :
3)Il est rapporté que l'Imam Ali (alayhi salâm) sortit son épée, et mis sur son armure pour les combattre (Abu Bakr et Omar), il alla à la mosquée pour les affronter, l'Imam a dit: " Ya Ibn Abi Quhafa, j'ai pris l’engagement de ne pas me rebeller quand mes droits se trouveront usurpés, mais je n'ai jamais fait une promesse de garder le silence sur ce que vous vous apprêtez à faire." (Ils voulaient creuser chaque tombe individuelle où ils soupçonnaient que son épouse (as) était enterrée ).
L'Imam (as) leva son épée, et se tourna vers Umar: «Wallah, j'ai gardé le silence quand vous avez attaqué ma maison, mais aujourd'hui, si vous faites ce que vous avez décidé, je remplirai la terre de votre sang, et arracherai vos têtes hors de votre corps, jusqu'à ce que les Qurayshites se soumettent à ce que je vous ai fait. »
Abu Bakr a crié et dit: « Par Dieu, nous ne ne retournerons pas, Oh Ali, retournez à ta maison, et nous ne ferons jamais ce que nous nous apprêtions à faire. »
Quand l'Imam (as) s’en alla, Omar se tourna vers Abu Bakr et lui dit: « Pourquoi as-tu juré ? », Abu Bakr a répondu: « Tu as vu le regard de ses yeux ? Qui dans ta tribu vengera ta mort ? »
Bihar Al-Anwar,tome 23, page 254,
Wasa'il AlShia, tome 2, page 120
Source sunnite:
« Omar s’était présenté à la porte de la maison de Fatima dans laquelle s’était regroupés Ali, Talat, Zobeir et d’autres hommes parmi les mouhajirines et dit : « Par Dieu si vous ne sortez pas pour faire allégeance je mets le feu à cette demeure ». Alors certains sortirent l’épée à la main, il y eut un accrochage». Tabari tome 2 page 233.
« Abou Bakr envoya Omar à la demeure de Fatima afin de contraindre Ali de faire acte d’allégeance. Omar arriva devant la demeure de Fatima et il avait dans sa main une mèche de feu, il rencontra Fatima sur le pas de la porte ; cette dernière lui dit « O fils de Kattab, es- tu venu mettre le feu à ma maison » ce dernier lui répondit « oui ». Balazuri page 586.
« Les Ansars s’écrièrent : « Nous voulons nommer Ali qui est le cousin du prophète et son gendre et son plus proche parent, il est le premier d’entre les Qorayshites et les descendants de Hischam ». Omar craignant que la lutte ne se prolongeât et ne devint sanglante dit à Abou Bakr : « étends ta main et reçoit notre allégeance». Tabari, tome 3 page 220.
L’ordre était ainsi conçu : « Il faut qu’Ali fasse acte d’allégeance et cela de force ou de gré».
«Omar fils de Khattab vient frapper à la porte de chez Fatima, (où s’étaient retranchés les contestataires à la désignation d’Abou Bakr comme Calife) «Sortez…sortez ou je mets le feu à la maison,» «ô fils de Khattab» l’apostropha en ces termes Fatima sur le seuil de la porte «Es-tu venu mettre le feu à la maison ! » «Oui» répondit-il, tenant une mèche prête à cet effet. Alors «sortit Zobeir (Zobeir, Talaht, Ali Abbas et d’autres personnes s’étaient regroupées dans la maison de Fatima immédiatement après l’élection d’Abou Bakr) armé d’une épée, il trébucha et lâcha l’épée puis ils se jetèrent sur lui et prirent l’épée».Récit rapporté par Tabari, Balazuri & Yarkoubi.
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Ali(as) Prete Allegeance: Agression Fatima Ali(as) Prete Allegeance:
Source sunnite :
1938. Il y eut des difficultés avec 'Ali et les Banu Hachim, famille du Prophète. Après avoir obtenu le serment de la généralité des Médinois, le calife Abou Bakr fit venir Ali. Celui ci déclara son mécontentement de n'avoir pas été consulté, et de se trouver devant le fait accompli. Il dit notament: "Vous Muhadjirun, vous l'avez emporté sur les Ansar pour cet amr (gouvernement) en leur disant que le Prophète était des vôtres, et qu'Abou Bakr lui était proche; mais je vous répète les même arguments quant à nous, membres de la famille du Prophète, plus près de lui que quiconque.
1939. Alors Abu Ubaidah (des Muhadjirun), et Bachir ibn Sa'd (des Ansar), assurèrent Ali qu'ils ne savaient pas qu'il prétendait pour lui-même à la dignité de successeur du Prophète.
Ils cherchèrent à le persuader d'accepter ce que tout le monde avait déjà accepté. Abou Bakr de son coté dit: "O Ali, si j'avais su seulement que tu me contesterais cet amr (fonction de gouverneur)! Je ne l'ai ni cherché ni voulu. Maintenant tout le monde à prété serment.Si tu le fais également, c'est ce que j'attend de toi. Si par contre, tu ne veux pas prêter serment tout de suite, et veux réfléchir, je ne te contrains pas: je te donne raison; rentre chez toi en en bonne voie.' Ali rentra chez lui. (Le Prophète de l'Islam de Muhammad Hamidullah, Tôme II, page 1000 §1938 et §1939.)
Source chiite:
Voici une partie du déroulement des évènements qui ont eu lieu qui ont forcé l'Imam 'Ali (as) a prêté allégeance :
Aban Ibn Abi Ayyash narre à partir de Sulaym Ibn Qays(source Chiite).
Sulaym a dit: « J'étais dans la maison d'Abdullah ibn Abbas et il y avait aussi un groupe de chiites d'Ali ibn Abi Talib (as) avec nous. Il nous a dit ce qu'il nous a dit, notamment:
« O mes frères, le Saint Prophète (saws) est décédé le jour où il est décédé. Il n'était même pas enterré quand les gens rompirent le serment et sont devenus apostats.
Tous se sont unis dans l'opposition et Ali (as) était occupé avec les soins (de la dépouille) du Saint Prophète (saws) jusqu’à ce qu’il termine en lui donnant le bain rituel, le linceul, et le hunut, et l'ensevelit. Puis il se tourna vers la compilation du Coran et, en conformité avec la Volonté du Saint Prophète (saws), il (as) les a ignorés. Il n'avait aucun désir de gouverner parce que le Saint Prophète (saws) lui avaient déjà parlé de ce que ferait la communauté.
Quand les gens se sont impliqués dans la discorde, une discorde qui eu lieu à cause de ces deux hommes en particulier, personne n’est resté fidèle sauf Ali et les Bani Hashim, Abou Dhar, Salman, Miqdad et très peu de gens qui étaient avec eux.
Omar dit à Abou Bakr: « O homme, tout le monde t’a payé allégeance, sauf cet homme, et ses Ahl ul Bayt, et ce peu de gens. Alors envoye quelqu'un auprès lui. "
Il envoya donc le cousin paternel d’Umar, dont le nom était Qunfuz, et dit: « O Qunfuz, va vers Ali et dis-lui que le calife du Messager d'Allah t’appelle."
Il est allé passer le message. Ali (as) a répondu: « A quelle vitesse avez-vous, ô les gens, attribué un mensonge au Messager d'Allah. Tu as brisé le serment et est devenu apostat. Par Allah, le Prophète (saws) n'a pas nommé personne, sauf moi, comme calife.
O Qunfuz, retourne parce que tu es seulement un messager. Dis-lui que Ali t’a dit : « Par Dieu, le Messager d'Allah ne t'a pas nommé calife et sûrement tu sais qui est le calife du Prophète."
Qunfuz retourna et transmit le message. Abou Bakr dit: « Ali a dit la vérité. Le Messager d'Allah ne m'a pas nommer comme calife. "
Omar se mit en colère et se leva. Abou Bakr dit: "Asseyez-vous ! »
Puis, il dit à Qunfuz: « Va et dis-lui : “Amiru l'Muminin Abou Bakr t’appelle” ! "
Qunfuz arriva chez Ali (as) et transmit le message, alors il (psl) dit : " Par Dieu ! Il a dit un mensonge. Va vers lui et dit: « Par Dieu, tu t’es donné un tel nom qui n'est pas pour toi. Vous savez que le Guide des Croyants Amiru l-Mouminine est quelqu'un d'autre. "
Qunfuz retourna et raconta cela à tous les deux. Umar se leva en colère et dit : « Par Dieu! Je connais son manque d'intelligence et la faiblesse de son opinion. Cet Amr (le califat) ne peut pas être bon pour nous jusqu'à ce que nous ne le tuons pas. Toi, va-t-en, je ramènerai sa tête. "
Abou Bakr dit: « Assieds-toi."
Il refusa, alors Abou Bakr le tint sous serment, il s'assit et dit : « O Qunfuz, va lui dire “Abû Bakr t’appelle” ! "
Qunfuz alla et dit: ". ô Ali, Abou Bakr vous appelle"
Ali (as) dit: «Je n'ai pas besoin de lui et je ne suis pas de ceux qui quittent la volonté de leur frère et ami. Toi, va vers Abou Bakr et vers le despotisme sur lequel vous êtes unis. "
Qunfuz retourna et informa Abou Bakr. Umar se leva, agacé, et a appelé Khalid ibn Walid et Qunfuz, et leur ordonna de recueillir des bâtons, du feu et commença à marcher. Puis, il se tourna jusqu'à ce qu'il atteigne la porte d'Ali (as).
Fatimah (as) était assise derrière la porte et elle avait une bande attachée sur sa tête, et son corps était devenu faible à cause de la disparition du Saint Prophète (saws).
Omar vint puis frappa à la porte et appela: « O Ibn Abi Talib, ouvre la porte ! "
Fatimah (as) dit: « ô Omar, qu'est-ce que nous avons à faire avec toi ? Pourquoi ne nous laisses-tu pas comme sommes? "
Il répondit: « Ouvrez la porte sinon on va la brûler sur vous."
Elle dit: « ô Omar, ne crains-tu pas Allah 'Azza wa Jall? Tu entres dans ma maison et entourent ma demeure ! "
Il refusa de s'en aller. Puis il fit metrre le feu, incendier la porte, puis Omar le poussa.
Alors, Fatimah (as) vint en face de lui et cria: « O Père, ô Messager d'Allah !”
Donc il (Omar) leva son épée qui était dans la couverture et la blessa dans son flanc. Elle cria, et il a levé le fouet et frappa sa main. Elle cria : “ O Père! ”
Ali ibn Abi Talib (as) courut et tint Umar par le cou. Puis il l’éjecta et le fit tomber, lui tordit le nez et le cou et voulut le tuer.
A cet instant, il se souvint de ce que le Saint Prophète (saws) lui avait dit, et avait mentionné dans le testament : la patience et l'obéissance, et dit: « Par Celui Qui a élevé le rang de Muhammad par la Prophétie, ô ibn Sahhak, si cette chose écrite n’était pas là, alors tu aurais su que tu ne pouvais pas entrer dans ma maison. "
Umar envoya quelqu'un pour l’aider. Les gens sont venus et sont entrés dans la maison. Khalid ibn Walid leva l'épée pour frapper Fatimah (as), alors Ali (as) l’attaqua. Il prêta serment à Ali (as), alors il s’arrêta.
Miqdad, Salman, Abû Dharr, 'Ammar et Buraydah Aslami arrivèrent et entrèrent dans la maison pour aider Ali (as). Il s’en est fallu de peu que le combat ne commence. Alors Ali (as) sortit et les gens marchaient derrière lui.
Salman, Miqdad, Abu Dharr, 'Ammar et Buraydah tous le suivirent, qu'Allah ait pitié d'eux, et ils disaient tous: « Comment avez-vous pu trahir le Messager d'Allah, et fait connaître la rouille qui était dans votre poitrine. "
Buraydah Ibn Khasibe Aslami dit: « ô Omar, attaques-tu le frère et l'Exécuteur du Messager d'Allah, et sa (le Messager) fille? Tu es la personne que Quraysh connaît comme elle te connaît. "
Alors Khalid ibn Walid souleva l'épée qui était dans sa housse pour frapper Buraydah. Umar le tint et l'empêcha de le faire.
Alors ils ont tous attaché une corde à Ali (as) le cou et l'ont emmené à Abou Bakr. Lorsque Abou Bakr le vit, il cria, et dit: « Libérez-le ! "
Ali (as) dit : « A quelle vitesse avez-vous attaqué les Ahl ul Bayt de votre Prophète, ô Abou Bakr! Sur quel droit, ou héritage, ou qualifications appeles-tu les gens vers ton allégeance? Ne m'as-tu pas prêté allégeance l'autre jour sur l’Ordre du Saint Prophète (saws)? "
Omar dit : "ô Ali, laisse tous tes discours!”
Ali répondit : “ Par Dieu, ce jour-là, je serai un serviteur d'Allah, et le frère du Prophète qui aura été tué. "
Omar dit: « L’esclave d'Allah qui a été tué, ceci est accepté, mais le frère du Prophète, non.”
Ali (as) a dit: « Méfie-toi, par Dieu, si ce n'était pas la décision d'Allah dès le début et s’il n'y avait pas eu la promesse que mon ami a pris de moi, que je ne peux pas rompre, alors tu sauras qui de nous est inférieur. "
A cette époque, Abou Bakr était calme, il ne parlait pas.
Buraydah se leva et dit: « ô Omar, n’êtes-vous pas les deux à qui le Saint Prophète (saws) a dit: "Allez à Ali et saluez-le en disant: "Amiru l'Mouminin »? Alors vous avez tous les deux demandé: «Par le l’Ordre d'Allah et Son Prophète? ", et il a répondu: "Oui." "
Abou Bakr dit : « ô Buraydah, il en était ainsi, mais tu as disparu et nous avons été présents et une affaire survient après l'autre."
Omar dit: « O Buraydah, qu’as-tu à faire avec ces questions, et qui t’a impliqué dans cela?"
Buraydah répondit: "Par Dieu! Je ne resterai pas dans cette ville dans laquelle tu es Amir (Guide). "
Alors Umar ordonna, et il fut battu et expulsé.
Puis, Salman se leva et dit: « O Abou Bakr, crains Allah, et sors de cet endroit, et laisse-le à celui qui le mérite. Laisse-lui l’avoir avec facilité jusqu'au Jour du Jugement. Cette Oumma ne peut pas avoir deux épées sur eux en ce moment. "
Abou Bakr ne répondit pas à cela. Alors Salman l'a répété.
Omar lui coupa la parole et dit : « Qu'est-ce que tu as à faire avec cela ? Qui t’a impliqué dans cette affaire? "
Il (Salman) a dit: « ô Omar, laisse-le, et O Abou Bakr, descends de cet endroit et laisse-le à ceux qui le méritent afin qu'ils puissent l'avoir jusqu'au Jour du Jugement. Si vous refusez, vous arrivera au sang au lieu du lait en retour et les personnes à qui le Saint Prophète (saws) avait pardonné et qu’il avait renvoyées, et les hypocrites le voudront.
Par Dieu, si je savais que j’étais capable d'enlever la tyrannie ou donner du prestige à la religion d'Allah, alors je garderais mon épée sur mon épaule et l'utiliserai à chaque étape. Allez-vous attaquer le Dépositaire du Saint Prophète (saws)? Je vous annonce les bonnes nouvelles que vous aurez des ennuis, et ne n’ayez pas l’espoir du bonheur. "
Puis Abou Dharr, Miqdad et Ammar se levèrent et dirent à Ali (as): « Quel est ton ordre ? Par Dieu, si tu l’ordonnes, nous allons nous battre avec des épées jusqu'à ce que nous soyons tués. "
Ali (as) répondit : « Que Allah aie pitié de vous, arrêtez-vous et rappelez-vous la promesse que le Saint Prophète (saws) a pris de vous et ce qu'est son testament."
Alors ils se sont arrêtés.
Omar dit à Abou Bakr, qui était assis sur la chaire: « Qu’est-ce qui t’a fait asseoir sur la chaire, et ils se battent et ne se tiennent pas parmi nous pour te prêter allegiance ? Ne peux-tu pas donner l'ordre de couper leur cou ? "
Hassan et Hussein (as) étaient debout près de Ali (as). Quand ils entendirent tous deux ce que Omar avait dit, ils commencèrent à pleurer bruyamment: « ô père, ô Messager d'Allah!"
Ali (as) les prit tous les deux dans ses bras et dit : « Tous les deux, ne pleurez pas. Par Dieu! Ces deux n'ont pas le pouvoir de tuer votre père.Ces deux sont faibles et inutiles et n’en sont pas capables. "
Oumme Ayman Nawbiya, qui était celle qui avait allaité le Saint Prophète (saws), et Oumme Salmah arrivèrent et dirent toutes les deux : « O Atiq (Abu Bakr), à quelle vitesse as-tu montré ta jalousie envers les enfants de Mohammed. »
Umar ordonna que toutes deux quittent la mosquée et dit: « Qu’avons-nous à faire avec les femmes ! "
Puis il dit: "ô Ali, lève-toi et prête allégeance."
Ali (as) demanda : « Que se passera-t-il si je refuse ? "
Il répondit: «Nous allons trancher ton cou, par Dieu."
Alors Ali (as) a dit: « ô ibn Sahhak, par Dieu, tu es un menteur, tu n’en as pas la force. Tu es très pervers et trop faible pour faire cela. "
Khalid ibn Walid s'avança et prit son épée et dit: « Par Dieu, si tu ne le fais pas, je vais te tuer ! "
Ali (as) alla vers lui et le tint par ses vêtements et le poussa. Il tomba sur son cou et l'épée tomba de sa main.
Omar a dit: "ô Ali, lève-toi et va prêter allégeance."
Ali (as) a demandé : « Si je ne le fais pas ? "
Il répondit: "Par Dieu, cette fois nous allons te tuer."
Ali (as) présenta ses arguments à trois reprises, puis sans ouvrir la paume de sa main, il étendit la main. Abou Bakr mit sa main sur elle et il était satisfait avec cela. Puis, il se dirigea vers sa maison et les gens marchaient derrière lui.
Fatimah (as) apprit que Abou Bakr avait confisqué Fadak. Elle vint entourée des femmes de Bani Hashim jusqu'à ce qu’elle entre là où était Abou Bakr, et lui dit: « O Abou Bakr, tu veux m’enlever cette terre que le Saint Prophète (saws) m'a donnée, qu’il m’a donnée de parmi les terres pour lesquelles les musulmans n'ont pas eu à se battre. Le Saint Prophète (saws) n’a-t-il pas dit que les enfants d'un être humain, après sa mort, doivent être protégés? Et tu sais qu’il n'a laissé rien d'autre que cette terre pour ses enfants. "
Lorsque Abou Bakr l’a entendue, et les femmes étaient avec elle, il ordonna qu’on lui amène de l'encre afin qu'il puisse écrire pour elle. Umar entra. Il a dit: « ô Calife du Messager d'Allah, ne lui donne pas par écrit, jusqu'à ce qu'elle apporte deux témoins de son choix."
Fatimah (as) dit: « Oui, je ferai venir des témoins."
Il demanda: " Qui? "
Elle répondit: "Ali et Oumme Ayman».
Omar dit: « Une non-arabes qui ne sait pas parler correctement ne sera pas acceptée en tant que témoin, il reste donc Ali. Il dira conformément à ce que tu dis. "
Fatimah (as) retourna et fut en colère au-delà de toute description et tomba malade.
Ali (as) avait l’habitude de réciter les cinq prières dans la mosquée. Quand il allait reciter la prière, Abou Bakr et 'Umar avaient l'habitude de lui demander: « Comment se porte la fille du Messager d'Allah? ", jusqu'à ce que sa maladie ait augmenté.
Ils l’ont tous deux l'a interrogé à son sujet et dirent: « Tu sais ce qui s'est passé entre elle et nous, donc si tu sens que c’est approprié, permets-nous d'aller vers elle et de lui présenter des excuses pour nos péchés."
Ali (as) a dit: « C'est entre vos mains."
Les deux se levèrent, s'approchèrent et s'assirent à la porte. Ali (as) alla à Fatima (as) et lui dit: «O Hurra, tels et tels sont sur le seuil. Ils souhaitent te saluer. Qu’en penses-tu ? "
Fatima (as) répondit : " C’est ta maison, et je suis ta femme. Fais ce que tu veux. "
Il a dit: "Attachez ton voile."
Elle attacha son voile et tourna son visage vers le mur.
Les deux entrèrent, la saluèrent et lui dit: « Sois satisfaite de nous, qu'Allah soit satisfait de toi."
Elle demanda: «Pourquoi dites-vous tous les deux cela ? "
Les deux ont répondu: «Nous acceptons notre faute et nous espérons que tu nous pardonneras, et te débarrasse de ta colère."
Elle a dit: « Si vous êtes tous les deux honnêtes, alors répondez-moi à ce que je vous demanderai, parce que je ne vous demanderai rien que je sais que vous aussi vous le savez. Donc, si vous dites la vérité, je saurai que vous êtes à la fois honnête dans votre venue. "
Les deux ont dit: « Demande ce que tu veux."
Elle demanda: « Je vous demande, prenant Allah comme Témoin, avez-vous entendu le Saint Prophète dire : " Fatimah est une partie de moi, celui qui la blesse m'a fait mal " ?”
Les deux ont répondu: "Oui."
Elle leva les mains vers le ciel et dit: « ô Allah, ces deux m'ont blessée. Je me plains ces deux auprès de Toi et de Ton Messager. Par Dieu, je ne pourrai jamais être satisfaite avec vous deux jusqu'à ce que je rencontre mon père, le Messager d'Allah, et ne lui dise ce que vous deux avez fait. Ils décideront vous concernant tous les deux. "
On dit qu'à cette époque, Abou Bakr cria à haute voix: « Je suis détruit ! ", et eut vraiment peur, alors Umar dit: « ô calife du Messager, as-tu peur de ce qu’une femme dit ?! "
Il a dit: « Fatima est resté vivant pendant 40 nuits après le décès de son père et quand elle est devenue très malade, elle appel Ali (as) et dit : " ô cousin paternel, je peux voir ma l’était de ma santé et je te fais mon testament pour toi, que tu épouses Zainab fille de ma sœur, parce qu'elle sera comme moi pour mes enfants, et fais un cercueil pour moi parce que j'ai vu les anges me montrer à quoi mon cercueil ressemble, et aucun des ennemis d'Allah ne doit participer à mon d'inhumation, ans les prières pour moi et à mes funérailles. "
Ibn Abbas poursuivit: « En ce jour, Fatimah (as) décèda et Médine fut émue par les pleurs des hommes et des femmes, et les gens étaient secoués de la même manière qu'elles l’étaient le jour où le Saint Prophète (saws) est décédé.
Abou Bakr et 'Umar est venu et commencèrent à transmettre leurs condoléances et ont dit à Ali (as): "O Abou l-Hassan, ne recite pas la prière pour la fille du Prophète avant nous !"
Alors, quand il faisait nuit, Ali (as) appela Abbas, Fazl, Miqdad, Salman, Abou Dharr et 'Ammar et Abbas dirigea la prière et elle fut enterrée.
Dans la matinée, Abou Bakr et Omar et les gens sont venus désireux de réciter la prière pour Fatimah (as). Miqdad a dit: "Nous avons enterré Fatimah (que) la nuit dernière."
Umar tourné vers Abou Bakr et lui dit: « Ne t'avais-je pas dit que ces gens feront cela ? "
Alors 'Abbâs a dit: «Elle avait fait un testament qui stipulait que vous ne deviez pas réciter de prières pour elle."
Omar dit: « Par Dieu! O Bani Hashim, vous ne laisserez jamais la vieille jalousie contre nous. Il s'agit de la rouille qui est sur votre poitrine qui ne s’en ira jamais. Par Dieu! Je fais la promesse que je vais creuser sa tombe et réciter la prière moi-même. "
Ali (as) a dit: "Par Dieu! O ibn Sahak! Si tu fais cela, alors je briserai ta main. Par Dieu! Si je sors mon épée, alors je ne la rangerai pas dans sa couverture sans te tuer. Alors fais cela et tu verras. "
Umar garda le silence sur cette question et savait que si Ali (as) avait prêté serment, il l’accomplirait.
Puis Ali (as) dit : «ô Omar ! N'es-tu pas celui pour lequel le Saint Prophète (saws) avait l'intention, alors il m'envoya, et je suis venu avec une épée vers toi pour te tuer, alors Allah 'Azza wa Jall a révélé ce verset: «C'est pourquoi ne pas être à la hâte à leur encontre. Nous ne leur nombre à un nombre (de jours) ". (Sourate Maryam: 84)
Ibn 'Abbas dit: « Alors tous ces gens se sont réunis et ont discuté de l'affaire. Puis, ils ont dit: « Notre gouvernement ne peut pas être droit tant que cette personne est vivante».
Abou Bakr dit: « Qui peut le tuer pour nous? "
Omar a dit: "Khalid ibn Walid."
Ils lui ont tous deux envoyé un homme pour le chercher et lui dirent: « ô Khalid, quel est votre ppinion sur une tâche que nous souhaitons te donner."
Il répondit: "Dis-moi ce que vous voulez. Par Dieu, si vous me dites tous deux de tuer Ibn Abî Tâlib, alors je vais le tuer. "
Tous deux dirent: "Par Dieu, nous ne voulons pas autre chose que cela."
Il a dit: " Je le ferai."
Abou Bakr dit: «Quand on se lève pour la prière du matin, tu te tiendras à côté de lui avec une épée. Quand je réciterai les salutations, tue-le ! "
Il a dit: "Oui."
Ensuite, s’en allèrent.
Puis Abou Bakr pensait à son ordre de tuer Ali (as) et réalisa que s'il faisait cela, alors il y aurait une guerre, et des calamités graves se produiraient, de sorte qu'il devint honteux de son ordre et ne dormit pas cette nuit-là. Dans la matinée, il vint à la mosquée, la prière a été établie et il dirigea la prière, et je songeais à ce qu'il faut dire.
Khalid ibn Walid est venu avec son épée et se tint à côté de Ali (as). Ali (as) a pris conscience de cette situation, alors quand Abou Bakr compléta la récitation du Tashahhud, avant de réciter la salutation, il dit haut et fort: "Khalid, n’exécute pas l'ordre que je t’ai donné. Si tu le faites, je vais te tuer. "
Puis il récita les salutations droite et à gauche.
Ali (as) attaqua Khalid et attrapa son cou, enleva l'épée de sa main, le fit tomber par terre, et s'assit sur sa poitrine et voulait le tuer avec son épée.
Les gens dans la mosquée se réunirent autour de Ali (as) pour libérer Khalid, mais ils ne pouvaient pas le faire libérer. Alors 'Abbâs dit: « Tiens-le, par le serment de cette tombe, pour l'arrêter."
Tout le monde prêta le serment de la tombe, alors il le lâcha, se leva et rentra chez lui.
Zubayr, 'Abbas, Abou Dharr, Miqdad et Bani Hachim vinrent et tinrent leurs épées et dirent: « Par Dieu! Vous les gens ne voulez pas entendre, jusqu'à ce qu'il ne dise pas et ne le fasse pas." Et il y eu un différend entre les personnes et des bouleversements et tout le monde était confus.
Les femmes de Bani Hashim sortirent, et crièrent: « O ennemis d'Allah! Comme vous avez vite fait de faire connaître l'inimitié que vous aviez envers le Saint Prophète (saws) et ses Ahl ul Bayt. Vous vouliez toujours cela avec le Saint Prophète (saws), mais vous n'avez pas été capable de le vaincre, alors vous avez tué sa fille hier, et aujourd'hui vous voulez tuer son frère et le fils de son oncle, son Dépositaire et le père de son fils. Par le Seigneur de la Kaaba ! Vous êtes tous des menteurs. Vous ne pouvez pas l’assassiner. "
Les gens ont eu peur qu'il n'y ait un conflit massif. "
Débat sunnite/ chiite sur l'agression
Voici un extrait du très fameux livre relatant un débat entre un grand savant chiite et de grands savants sunnites qui attestent de l'Incencie de la Maison de Fatima Zahra (as) et de sa fausse couche (en fin de l'extrait)
(Sixième session : http://www.al-islam.org/peshawar/toc.html)
L’allégeance forcée d’Imam Ali (AS) et des Bani Hachim six mois plus tard
Vous dites qu'Ali, les Bani Hashim et les compagnons du Prophète léguèrent le serment de l'allégeance à Abu Bakr. Avez-vous lu les mots "allégeance payée" mais vous ne comprenez pas à qui et comment ils l'ont remis. Tous vos traditionalistes et grands historiens ont écrit qu'Ali et les Bani Hashim ont refusé l'allégeance (extérieurement), cela fut accomplit six mois après et sous des contraintes.
Hafiz(sunnite): Il n'est pas approprié qu'un homme de votre noblesse emploie des diffamations qu'Ali fut traîné hors de sa maison, fut menacé de mort s'il ne jurait pas l'allégeance. Il a volontairement, accepté le califat d'Abu Bakr.
Shirazi(chiite): Ali et les bani Hashim n'ont pas offert le serment de fidélité immédiatement. Vos historiens enregistrent qu'Ali fournit son allégeance après la mort de Hazrat Fatima. Bukhari dans son Sahih, volume III, chapitre de Ghazawa Khaibar, page 37 et Muslim, dans son Sahih, le volume V, la page 154 signalent qu'Ali a céda son allégeance après la mort de Fatima. Une partie de vos ulémas croient que Fatima est morte 75 jours après la mort du saint Prophète. Ibn Qutayba estime également la même chose, mais la plupart de vos historiens réclament qu'elle est morte six mois après le Prophète. Done l'allégeance d'Ali fut proclamé 3 ou 6 mois après la mort du saint Prophète. Mas'udi dans son Muruju's-sahab, le volume I, la page 414, indique "qu'aucun Bani Hashim n'ont délivré leur allégeance à Abu Bakr jusqu'à la mort de Fatima. »
Ibrahim ibn Sa'd Saqafi relate de Zuhri qu'Ali a offert son allégeance six mois après la mort du saint Prophète, le peuple n'a pas eu le courage de le persuader, excepté après la mort de Fatima.
Ibn Abi'l-Hadid dans Sharhe Nahju'l-Balagha relate le même fait. De toute façon, vos propre ulémas insistent sur le fait que l'allégeance d'Ali n'était pas immédiate mais est venue seulement après qu'une certaine période et seulement lorsque les circonstances l'ont forcé à faire ainsi.
Ibn Abi'l-Hadid dans son Sharhe Nahju'l¬Balagha, le volume II, la page 18 relate de Zuhri par A'yesha, qu'elle mentionna: ''Ali n'a pas offert l'allégeance à Abu Bakr pendant six mois, personne du Bani Hashim n'ont cédé l'allégeance jusqu'à ce qu'Ali l'ai fait."
Ahmad A'sam-e-Kufi Shafi'i dans Futuh et Abu Nasr Hamidi dans le rapport de Jam'a Bainu's-Sahihain de Nafiy citent de Zuhri, qu'il a indiqué: "Ali n’a juré son allégeance que six mois après la mort du Prophète."
Hafiz: Lesquels de nos ulémas ont rapporté qu'Ali fut traîné de sa maison et qu'ils voulurent y mettre le feu comme l'ont généralement cru les chiites? Ils le composent avec une grande émotion dans leurs rassemblements religieux. Ils excitent, également des personnes disant que Fatima fut torturée et a fait une fausse couche.
Ali, traîné hors de sa maison et sa demeure mise à feu par Umar
Shirazi: Assistances respectées: vous accusez les chiites, essayant de couvrir la culpabilité de vos prédécesseurs. Vous dites que ces hadith ont été inventés par les chiites. La vérité est que sur l'ordre d'Abu Bakr et d'Umar, d'autres sont allés à la maison d'Ali, le menaçant par l'épée, le traînant à la mosquée et le forçant à lui jurer l'allégeance. Ces faits ont été enregistrés par vos propres ulémas. Si vous souhaitez, je les rapporterai. Nous ne disons rien sur notre propre autorité. Nous disons seulement ce que vous dites.
Hafiz: Oui, veuillez. Nous sommes disposés à écouter.
Shirazi: Vos ulémas ainsi que leurs œuvres sont:
Izzu'd-din Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali et Muhammad ibn Jarir Tabari, relatent qu'Umar est allé à la porte de la maison d'Ali avec Usayd ibn Khuza'i et un groupe d'hommes, Umar a alors exigé, "Sortez! Ou bien je mettrai le feu à votre maison!"
Ibn Khaziba rapporte dans son Kitab-e-Gharrar de Zaid ibn Aslam, qui a vu: "J'étais un de ceux qui sont allés avec Umar avec des torches à la porte de Fatima. Quand Ali et ses hommes ont refusé d'offrir l'allégeance, Umar hurla à Fatima, "Laissez sortir celui qui est à l'intérieur ! Autrement, je mettrai le feu à votre maison avec ceux qui sont à l'intérieur." Ali, Hasan, Husayn, Fatima, et une partie des compagnons du Prophète et les Bani Hashim étaient à l'intérieur. Fatima indiqua: "vous mettriez le feu à ma maison avec moi et mes fils?" Il a dit: "Oui, par Allah, si vous ne sortez pas et n'offrez pas l'allégeance au calife du Prophète."
Ibn Abd Rabbih, un de vos ulema célèbre écrit dans son Iqdu'l-Farid, la partie III, la page 63, qu'Ali et Abbas s'asseyaient dans la maison de Fatima, Abu Bakr dit à Umar: "Ramenez-moi ces personnes. Si elles refusent de venir, combattez-les." Ainsi Umar est venu à la maison de Fatima avec des torches. Fatima est venue à la porte de sa maison: "E^tes-vous venus pour brûler notre maison?" Il a dit: "oui ... " et ainsi de suite.
Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali dans son Shahre Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 134, citant de Kitab-e-Saqifa de Jauhari, inscrit en détaill'affaire du Saqifa-e-Bani Sa'ad. "Les Bani Hashim et Ali furent rassemblés dans la maison d'Ali. Zubair était également avec eux. Ali avait l'habitude de dire, 'Zubair était toujours avec nous jusqu'à ce que ses fils aient été grands. Ils lui ont tourné le dos contre nous', Umar est allé à la maison de Fatima avec un groupe d'hommes, Usayd et Salma étaient également avec lui, Umar leurs demanda de sortir et de jurer l'allégeance.
Ils ont refusé. Zubair a dessiné son épée et est sorti, Umar dit: 'Mettez la main sur ce chien. ' Ils saisirent son épée et l'a jeta contre le mur. Puis, ily traînèrent Ali vers Abu Bakr. Les autre Bani Hashim l'ont également suivi et attendait pour voir ce qu'Ali ferait. Ali disait qu'il était le serviteur d'Allah et le frère du saint Prophète. Personne ne l'a écouté. Ils l'ont porté à Abu Bakr, qui lui a demandé de lui donner le serment de fidélité.
Ali répondit: "Je suis la personne qui mérite cette position et je ne te prêterai pas allégeance. C'est vous qui devez me prêter allégeance. Vous avez pris ce droit basé sur votre rapprochement avec le saint Prophète. Je suis plus proche du Prophète que vous, je proteste contre vous. Soyez ainsi juste. Si vous craignez Allah, acceptez mon droit. Autrement, vous devriez reconnaître que vous m'avez intentionnellement opprimé.'
Umar dit: 'Nous ne vous laisserons pas jusqu'à ce que vous juriez l'allégeance.' Ali dit: 'Vous avez conspiré ensemble. Aujourd'hui vous le soutenez; de sorte que demain, il puisse vous renvoyer le califat. Je jure par Allah que je ne me conformerai pas à votre demande, que je ne vous offrirai pas le serment d'allégeance (à Abu Bakr). Il devrait me jurer allégeance à moi.'
Alors il a tourné son visage vers le peuple et a dit: '0 Muhajirs! Craignez Allah. N'emportez pas le droit de l'autorité de la famille de Muhammad. Mon droit a été ordonné par Allah. N'enlevez pas la personne légitime de sa place. Par Allah, Nous, les Ahle-bait avons une plus grande autorité dans cette affaire que vous. Il y a-t-il un homme parmi vous qui a la connaissance du livre d'Allah (le Coran), de la Sunna du Prophète et des lois de notre religion. Je jure par Allah que nous possédons toutes ces choses. Ainsi ne vous égarez pas de peur que vous devriez vaguer la vérité." Ali est retourné à la maison sans allégeance et y est resté jusqu'à ce que Fatima soit morte. Ensuite, il a été forcé d'offrir l'allégeance. »
Abu Muhammad Abdullah ibn Qutayba, qui fut un de vos ulémas et un Qazi officiel de la ville de Dinawar, écrit dans son célèbre Daulate Bani Umayya de Ta'rikhu'l¬Khulafate Raghibin, connu sous le nom de AI-Imama wa's-Siyasa, le volume I, la page 13: "Quand Abu Bakr appris qu'un groupe hostile était réuni dans la maison d'Ali, il leurs envoya Umar qui en arrivant a sa demeure lui cria dessus pour sortir jurer l'allégeance à Abu Bakr, ils ont tout refusé de sortir, Umar ordonna de rassembler du bois et dit: 'je jure par Allah, qui a ma vie dans sa Main, soit vous sortez ou je mettrai le feu à la maison avec tous ceux qui sont dedans.'
Les gens ont dit: 'O Abu hafsa! Fatima est également présente dans la maison. '
Il a dit: 'Laissez-là dedans, j'y mettrai le feu à sa maison. '
Tous sont sorti et ont offert l'allégeance, excepté Ali, qui a dit: 'J'ai pris un vœu que jusqu'à ce que j'ai compilé le Coran, je ne sortirai de ma maison, Umar n'accepta pas ceci, mais la lamentation plaintive de Fatima et d'autres l'ont forcé à revenir de nouveau à Abu Bakr, Umar l'invita à forcer Ali à jurer l'allégeance, Abu Bakr a envoyé Qanfuz plusieurs fois chez Ali, mais il a été toujours déçu. Enfin Umar, avec un groupe de personnes est allé à la maison de Fatima.
Elle entendit leurs voix et pleura "0 mon père, Prophète d'Allah! A quelles tortures nous sommes soumis par le fils de Khattab et le fils d'Abi Quhafa!'
Lorsque le peuple entendit les lamentations de Fatima, certains sont repartis avec les cœurs brisés, mais Umar resta là avec quelques autres, ils traînèrent Ali hors de sa maison. Ils l'ont porté à Abu Bakr et lui dit de céder l'allégeance.
Ali a dit: 'Si je ne jure pas l'allégeance que feriez-vous de moi?'
Ils ont dit: 'Nous jurons par Allah que nous casserons ton cou.'
Ali a dit: 'Vous tuerez le serviteur d'Allah et le frère de son Prophète?'
Umar a dit : 'Tu n’es pas le frère du Prophète d'Allah.'
Tandis que tout ceci continuait, Abu Bakr est resté silencieux, Umar indiqua à Abu Bakr s'il n'avait pas d'ordres suivant cette affaire, Abu Bakr répondit que tant que Fatima est vivante, je ne forcerai pas Ali à jurer l'allégeance.
Ali est alors parvenu à atteindre la tombe du Prophète où pleurant il disait au saint Prophète ce qu'Aaron avait indiqué son frère, Moise, comme enregistré dans le saint Coran: 'fils de ma mère! Sûrement le peuple m'a tenu pour faible et a voulu me tuer.' (7:150)
Fatima (AS) dit à Abou Bakr et à Oumar qu’elle les maudissait tous les deux dans chacune de ses prières jusqu’à sa mort
Après avoir relaté cette affaire en détail, Abu Muhammad Abdullah ibn Qutayba enregistre qu'Ali ne jura pas l'allégeance et retourna à sa maison, Abu Bakr et Umar est allé à la maison de Fatima pour chercher son pardon. Elle a dit: "Allah soit mon témoin que vous deux m'avez offensée. Dans chaque prière je vous maudis et continuerai de vous maudire jusqu'à ce que je voie mon père et je me plaindrais de vous."
Ahmed ibn Abdu'l-Aziz l'un de vos ulémas. Ibn Abi'l-Hadid écrit au sujet de lui dans ses injonctions suivantes: "Il était un homme d'étude, un traditionaliste, une grande figure littéraire." Il écrit dans son Kitab-e-Saqifa et Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali cite également de lui dans son Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 9, sous l'autorité d'Abi'l-Aswad, qui relata: "un groupe des compagnons et de Muhajirin en avant ont exprimé leur indignation sur le califat d'Abu Bakr, ils demandèrent pourquoi ils n'ont pas été consultés. En outre Ali et Zubair exprimèrent leur colère, refusèrent de jurer l'allégeance et se retirèrent chez Fatima. Fatima pleura à haute voix, mais avec aucun effet. Ils ont emporté les épées d'Ali et de Zubair et les ont lancées contre le mur, les cassant. Alors ils les ont traînés à la mosquée pour les forcer à jurer l'allégeance. "
Jauhari rapporte de Salma ibn Abdu'r-Rahman qu' Abu Bakr a entendu qu'Ali, Zubair et une partie des Bani Hashim ont été assemblé dans la maison de Fatima, il a envoyé Umar, il est allé à la porte de la maison de Fatima et a crié, "Sortez ! autrement, je jure que je placerai votre maison sur le feu!"
Douze arguments soutenant le fait qu’Imam Ali (AS) fut conduit à la mosquée à la pointe d’une épée
Ibn Abi'l-Hadid dans son Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume II, la page 19, relate sous l'autorité de Sha'bi: "Quand Abu Bakr a entendu parler du rassemblement des Bani Hashim dans la maison d'Ali, il a dit à Umar: 'vous et Khalid allez m'apporter Ali et Zubair de sorte qu'ils puissent prendre le serment de l'allégeance.' Ainsi Umar est entré dans la maison de Fatima et Khalid est resté dehors. Umar indiqua à Zubair « qu'est-ce que cette épée?'
Il a répondu, 'je l'ai acquis pour l'allégeance à Ali. ' Uumar I'a saisi et l'a lancée à l'intérieur de la maison et l'a cassée. Il y avait beaucoup de gens, y compris Miqdad et tout les Bani Hashim. S'adressant à Ali, il a dit: 'levez-vousl Je vous porte à Abu Bakr. Vous devez offrir l'allégeance.'
Ali refusa, Umar le traîna à Khalid. Lui et umar l'ont traîné, sur le long de la route, attaché au cou, les hommes étaient témoin de cette scène.
Lorsque Fatima a vu le comportement d'Umar, elle, avec beaucoup de femmes des Bani Hashim (qui était venu pour la consoler), sont sorties.
Elles étaient chagrinées et pleuraient des cris aigus. Fatima est allé à la mosquée où elle a dit à Abu Bakr: 'Pourquoi avez-vous humilié les descendants du Prophète d'Allah. Je jure par Allah, je ne parlerai pas avec Umar jusqu'à ce que je vois Allah.' Fatima a montré son désapprobation extrême à Abu Bakr et ne lui a pas parlé pour le reste de sa vie." (voir le Sahih Bukhari, la partie V et VII).
Abu Walid ibn Muhammad Muhibu'd-din al Hanafi (mort 815 A.h.), énumère dans son de Rauzatu'l-Manazir fi Khabaru'l-Awa'il wa'l-Awakhir, en liaison avec l'affaire de Saqifa: "Umar est venu à la maison d'Ali pour la placer sur le feu avec tous ses détenus. Umar a hurlé: 'Entre dans ce que la communauté est entrée. »
Tabari, en son volume II, page 443, rapporte de son Ta'rikh de Ziyad ibn Kalbi que "Talha, Zubair et certains des Muhajirins étaient à la maison d'Ali, Umar ibn Khattab y est allé et exigea qu'ils sortent. S'ils ne sortent pas, dit-il, je mettrai le feu à la maison."
Ibn Shahna, dans Hashiyya-e-Kamil d'Ibn Athir, le volume XI, la page 112, écrit en liaison avec le Saqifa : "certains des compagnons du saint Prophète et les Bani Hashim, Zubair, ibn Aswad, Salman Farsi, Abu Dharr Ghifari, Ammar etc ... ont refusé de porter l'allégeance à Abu Bakr. Ils se sont réunis dans la maison d'Ali. Umar y est allé pour brûler sa maison. Fatima protesta, Umar répondit: 'Entrez là où tous les autres sont entrés." Ceux-ci sont un échantillon des nombreux faits historiques enregistrés par vos propres historiens. On a généralement connu cette affaire part des poètes.
Un de vos poètes, Hafiz Ibrahim de l'Egypte indique dans une poésie dans l'éloge d'Umar: "Aucune autre personne sauf Abu Hafsa ne pourrait avoir le courage de s'adresser au chef du clan des Adnan (Ali) et ses camarades en lui disant: 'si vous ne prêtez pas l'allégeance, je placerai votre maison sur le feu et ne laisserai personne dans cette maison vivantes, même Fatima."'
Récits de la la fausse couche de Fatima (AS)
Hafiz: Ces récits prouvent seulement qu'ils ont apporté des torches pour effrayer et disperser les adversaires du califat. C'est une version inventée des chiites pour dire que la maison d'Ali a été incendiée et de la fausse couche de Fatima.
Shirazi: Vous devriez lire Kitab-e-Isbatu'l-Wasiyya compilé par Husayn Mas'udi. L'auteur Abi'l-Hasan Ali de Muruju'dh-Dhahab. Ils ont transmis en détails les événements de ce jour: "Ils ont encerclé Ali puis ont brûlé la porte de sa maison. Ils l'ont traîné hors de la maison, ils ont coincé le meilleur des femmes, Fatima enceinte, entre la porte et le mur tellement fort, qu'elle fit une fausse couche."
Les chiites n'ont pas inventé ces choses. Ce qui s'est produit a été préservé dans les pages de l'histoire. La perte est un fait.
Vous pouvez également vous référer à Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume III, la page 351. Ibn Abi'l-Hadid a écrit qu’a dit son professeur, Abu Ja'far Naqib : « Hubbar ibn Aswad attaqua Zainab avec une lance, en raison de cela, Zainab perdit sa fille par une fausse couche. Le prophète permis de mettre à mort cet homme.
Abu Ja'far continue: 'si le Prophète d'Allah avait été vivant, il aurait également ordonné la même punition pour celui qui avait été la cause de la fausse couche de sa Fille. »
Hafiz: Je ne comprends pas le but à mentionner de telles histoires! Ce genre de chose mène à la discorde mutuelle.
Shirazi: Vous vous opposez à ces faits. Mais je fais ainsi pour rejeter les attaques des auteurs malveillants qui trompent nos frères. Ces auteurs traitent les chiites d'infidèles et disent que ces faits sont les fabrications du Chiisme. Nous ne prononçons rien d'Ali au-delà de ce que le saint Prophète confirmait à son sujet. Nous vous avons dit, les nuits précédentes, que nous considérons Ali comme un serviteur dévoué d'Allah, un successeur désigné par Allah et de son saint Prophète. Vous réclamez maintenant qu'il est inutile de rappeler ces faits alors que c'est vous qui avez évoqué ces points. Si vous n'aviez pas prononcé, ce soir, que ces faits sont des croyances chiites, je n'aurais pas été obligé d'énoncer à l'assistance que ce sont la croyance des ulémas sunnites.
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