LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE

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LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE Auteur:
Catégorie: Sciences coraniques
pages: 6

LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE

Auteur: HARUN YAHYA
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LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE
  • INTRODUCTION

  • LIVRE 1

  • LA RELIGION ENCOURAGE LA SCIENCE

  • La foi en Dieu motive les savants et incite à la recherche

  • Croire au désir de servir des savants

  • LA RELIGION DIRIGE LA SCIENCE DANS LA BONNE DIRECTION

  • Les pertes causées à la science par l'obsession des matérialistes avec un univers infini

  • Les pertes occasionnées à la science par l'affirmation qu'il n'y a pas de dessein dans la nature

  • Les pertes causées à la science par les efforts désespérés pour prouver la théorie de l'évolution

  • Les pertes causées à la science par l'affirmation que "la matière inanimée peut former la vie"

  • Comment sont donc apparues ces créatures ?

  • L'impasse des mutations

  • L'impasse des fossiles

  • Les pertes causées à la science par ceux qui nient la conception parfaite dans la nature

  • Les effets négatifs produits sur les savants évolutionnistes et athées en sachant que leurs efforts sont vains

  • Les pertes causées à la science par les fraudes évolutionnistes

  • Les découvertes scientifiques prouvent toujours le fait de la création

  • LA RELIGION ET LA SCIENCE SONT TOUJOURS EN ACCORD

  • La réaction de l'Eglise médiévale contre les savants

  • Les critiques basées sur la Bible et la Torah

  • L'affirmation que la science doit être matérialiste

  • L'approche fanatique et dogmatique des matérialistes

  • LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DU CORAN

  • La création de l'univers

  • L'expansion de l'univers

  • Les orbites

  • La trajectoire du Soleil

  • La voûte protégée

  • Le ciel doté de retour

  • Les couches de l'atmosphère

  • Le rôle des montagnes

  • L'identité dans les empreintes digitales

  • Le mouvement des montagnes

  • Le miracle du fer

  • Les vents fécondants

  • De la pluie en quantité déterminée

  • Les mers ne se mélangeant pas entre elles

  • Le sexe du bébé

  • L'adhérence à l'utérus

  • Les muscles qui enveloppent les os

  • Les trois étapes dans l'utérus maternel

  • - L'étape pré-embryonnaire

  • - L'étape embryonnaire

  • - L'étape fœtale

  • Le lait maternel

  • LIVRE 2

  • LES SAVANTS DE FOI

  • LES SAVANTS DE FOI DANS LE PASSE

  • Roger Bacon (1220-1292)

  • Francis Bacon (1561-1626)

  • Galilée Galilei (1564-1642)

  • Johannes Kepler (1571-1630)

  • Johannes Baptista von Helmont (1579-1644)

  • Blaise Pascal (1623-1662)

  • John Ray (1627-1705)

  • Robert Boyle (1627-1691)

  • Antonie von Leeuwenhoek (1632-1723)

  • Isaac Newton (1642-1727)

  • John Flamsteed (1646-1719)

  • John Woodward (1665-1728)

  • Carolus Linnaeus (1707-1778)

  • Jean Deluc (1727-1817)

  • Sir William Herschel (1738-1822)

  • William Paley (1743-1805)

  • George Cuvier (1769-1832)

  • Humphrey Davy (1778-1829)

  • Adam Sedgwick (1785-1873)

  • Michael Faraday (1791-1867)

  • Samuel Morse (1791-1872)

  • Joseph Henry (1797-1878)

  • Louis Agassiz (1807-1873)

  • James Prescott Joule (1818-1889)

  • George Gabriel Stokes (1819-1903)

  • Rudolph Virchow (1821-1902)

  • Gregory Mendel (1822-1884)

  • Louis Pasteur (1822-1895)

  • William Thompson (Lord Kelvin) (1824-1907)

  • Sir William Huggins (1824-1910)

  • J. J. Thomson (1856-1940)

  • Joseph Clerk Maxwell (1831-1879)

  • John Strutt (1842-1919)

  • Albert Einstein (1879-1955)

  • Georges Lemaitre 1894-1966)

  • George Washington Carver (1865-1943)

  • Wernher von Braun (1912-1977)

  • Max Planck (1858-1947)

  • Sir Alister Hardy (1896-1985)

  • D'AUTRES SAVANTS DE FOI DU PASSE

  • Charles Coulson (1910-1974)

  • Sir James Jeans (1877-1946)

  • LES SAVANTS DE FOI CONTEMPORAINS

  • Dr. Henry Fritz Schaefer

  • Isaac Bashevis Singer

  • Malcolm Duncan Winter, Jr.

  • William Phillips

  • Prof. Dale Swartzendruber

  • William Dembski

  • Prof. Stephen Meyer

  • Earl Chester Rex

  • Dr. Allan Sandage

  • Prof. Cecil Boyce Hamann

  • Lester John Zimmerman

  • Enrico Medi

  • Wayne U. Ault

  • Prof. Michael P. Girouard

  • Prof. Edward Boudreaux

  • Prof. Kenneth Cumming

  • Prof. Carl Fliermans

  • Prof. David Menton

  • Prof. John Morris

  • Paul Ernest Adolph

  • Arthur Peacocke

  • Albert McCombs Winchester

  • Mehdi Golshani

  • Prof. Edwin Fast

  • Charles H. Townes

  • John Polkinghorne

  • Prof. Dr. Duane Gish

  • Hugh Ross

  • Dr. Pierre Gunnar Jerlstrom

  • Dr. Stephen Grocott

  • Dmitry Kouznetsov

  • Dr. Emil Silvestru

  • Dr. Andre Eggens

  • Dr. Ian Macreadie

  • Prof. Andrew Conway Ivy

  • Dr. Raymond Jones

  • Jules H. Poirier

  • Michael J. Behe

  • Philip Johnson

  • Charles Birch

  • S. Jocelyn Bell Burnell

  • Prof. Owen Gingerich

  • Prof. Carl Friedrich von Weizsacker

  • Prof. David Berlinski

  • Dr. Don Batten

  • J.P. Moreland

  • Paul A. Nelson

  • Prof. Jonathan Wells

  • Prof. William Lane Craig

  • Dr. Kurt Wise

  • Sigrid Hartwig Scherer

  • Dr. John Baumgardner

  • Prof. Dr. Donald Chittick

  • Dr. Werner Gitt

  • Dr. Gary E. Parker

  • Dr. Margaret Helder

  • Prof. Dr. Jonathan D. Sarfati

  • Prof. Robert Matthews

  • Dr. Claude Tresmontant

  • Dr. Don Page

  • Dr. Andrew Snelling

  • Dr. Carl Wieland

  • D'AUTRES SAVANTS DE FOI CONTEMPORTAINS

  • CONCLUSION

  • Notes

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LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE

LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE

Auteur:
Français
INTRODUCTION LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE

LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE
HARUN YAHYA
Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux,
le Très Miséricordieux
Janvier 2007
www.harunyahya.com/fr
e-mail : contact@harunyahya.org
A PROPOS DE L'AUTEUR
L'auteur, qui écrit sous le pseudonyme HARUN YAHYA, est né à Ankara en 1956. Il a effectué des études artistiques à l'Université Mimar Sinan d'Istanbul, et a étudié la philosophie à l'Université d'Istanbul . Depuis les années 80, il a publié de nombreux ouvrages sur des sujets politiques et scientifiques. Harun Yahya est devenu célèbre pour avoir remis en cause la théorie de l'évolution et dénoncé l'imposture des évolutionnistes. Il a également mis en évidence les liens occultes qui existent entre le darwinisme et les idéologies sanglantes du 20ème siècle.

Les ouvrages de Harun Yahya, traduits en 41 langues, constituent une collection de plus de 45.000 pages et 30.000 illustrations.

Son pseudonyme est constitué des noms "Harun" (Aaron) et "Yahya" (Jean), en mémoire à ces deux prophètes estimés qui ont tous deux lutté contre le manque de foi de leurs peuples. Le sceau du Prophète (paix et bénédiction sur lui) qui figure sur la couverture des livres de l'auteur, revêt un caractère symbolique lié à leur contenu. Ce sceau signifie que le Coran est le dernier Livre de Dieu, Son ultime parole, et que notre Prophète (paix et bénédiction sur lui)) est le dernier maillon, et donc le seau, de la chaîne prophétique. En se référant au Coran et à la Sounna, l'auteur s'est fixé comme objectif d'anéantir les arguments des tenants des idéologies athées en vue de réduire au silence les objections soulevées contre la religion. Le Prophète (paix et bénédiction sur lui) a atteint les plus hauts niveaux de la sagesse et de la perfection morale ; c'est pourquoi son sceau est utilisé avec l'intention de rapporter le dernier mot.

Tous les travaux de l'auteur sont centrés sur un seul objectif : transmettre aux gens le message du Coran, en les incitant à réfléchir aux questions liées à la foi, telles que l'existence de Dieu, Son unicité, l'au-delà, et en exposant les fondements précaires et les idéologies perverses des systèmes athées.

L'œuvre de Harun Yahya est connue à travers de nombreux pays, de l'Inde aux ?tats-Unis, du Royaume-Uni à l'Indonésie, de la Pologne à la Bosnie, de l'Espagne au Brésil.

Certains de ses livres sont disponibles dans les langues suivantes : l'anglais, le français, l'allemand, l'espagnol, l'italien, le portugais, l'urdu, l'arabe, l'albanais, le chinois, le swahili, le hausa, le divehi (parlé à l'île Maurice), le russe, le serbo-croate (bosniaque), le polonais, le malais, l'ouïgour, l'indonésien, le bengali, le danois et le suédois. C'est dire que de nombreux lecteurs du monde entier les apprécient.

Ces ouvrages ont permis à de nombreuses personnes d'attester de leur croyance en Dieu, et à d'autres d'approfondir leur foi. La sagesse et le style sincère et fluide de ces livres leur confèrent une caractéristique bien particulière qui ne manque pas de frapper ceux qui les lisent ou qui sont amenés à les consulter. Ceux qui méditent sérieusement ces livres ne peuvent plus soutenir l'athéisme ou toute autre idéologie et philosophie matérialistes, tant il est vrai que ces ouvrages sont caractérisés par une efficacité à toutes épreuves, des résultats certains et l'irréfutabilité.

Même s'il y a toujours des personnes qui continuent à le faire, il ne s'agit que d'un attachement sentimentale puisque ces livres réfutent les fondements mêmes de telles idéologies. Tous les mouvements négativistes contemporains sont maintenant vaincus du point de vue idéologique, grâce aux livres de Harun Yahya. L'auteur ne tire pas de fierté personnelle de son travail ; il espère seulement apporter un son soutien à ceux qui cherchent la voie de Dieu. Aucun bénéfice matériel n'est recherché à travers la publication de ces livres.

Ceux qui encouragent les autres à lire ces livres, à ouvrir les yeux du cœur et à devenir de meilleurs serviteurs de Dieu rendent un service inestimable en seront récompensés par Dieu.

Par ailleurs, encourager des livres qui créent la confusion dans l'esprit des gens, qui mènent au chaos idéologique et qui, manifestement, ne servent pas à dissiper le doute qui habite le cœur des gens, n'est que perte de temps et d'énergie. Il est impossible pour des ouvrages écrits dans le seul but de mettre en valeur l'aptitude littéraire de leur auteur, plutôt que de servir le noble objectif de ramener les gens dans le droit chemin , d'avoir un impact si important. Ceux qui en doutent se rendront aisément compte que Harun Yahya ne cherche à travers ses livres qu'à vaincre l'incrédulité et à diffuser les valeurs morales du Coran. Le succès et l'impact cet engagement sont évidents dans la conviction des lecteurs.

Il convient de garder à l'esprit un point essentiel : la raison des cruautés incessantes, des conflits et des souffrances dont la majorité des gens sont les perpétuelles victimes, est la prédominance idéologique de l'incroyance sur cette terre. On ne pourra mettre fin à cette triste réalité que par la défaite de l'incrédulité et en sensibilisant le plus grand nombre aux merveilles de la création ainsi qu'à la morale coranique, pour que chacun puisse vivre en accord avec elle. En observant l'état actuel du monde qui ne cesse d'aspirer les gens dans la spirale de la violence, de la corruption et des conflits, il apparaît vital que ce service rendu à l'humanité le soit encore plus rapidement et efficacement. Sinon, il se pourrait bien que les dégâts causés soient irréversibles.

Les livres de Harun Yahya, qui assument le rôle principal dans cet effort, constitueront par la volonté de Dieu un moyen par lequel les gens parviendront à la paix en ce 21ème siècle, à la justice et au bonheur promis dans le Coran.

A L'ATTENTION DU LECTUR
Dans tous les livres de l'auteur, les questions liées à la foi sont expliquées à la lumière des versets coraniques et les gens sont invités à connaître la parole de Dieu et à vivre selon Ses préceptes. Tous les sujets qui concernent les versets de Dieu sont expliqués de telle façon à ne laisser planer ni doute, ni questionnement dans l'esprit du lecteur. Par ailleurs, le style sincère, simple et fluide employé permet à chacun, quel que soit son âge ou son appartenance sociale, d'en comprendre facilement la lecture. Ces écrits efficaces et lucides permettent également leur lecture d'une seule traite. Même ceux qui rejettent vigoureusement la spiritualité resteront sensibles aux faits rapportés dans ces livres et ne peuvent réfuter la véracité de leur contenu.

Ce livre et tous les autres travaux de l'auteur peuvent être lus individuellement ou être abordés lors de conversations en groupes. Les lecteurs qui désirent tirer le plus grand profit des livres trouveront le débat très utile dans le sens où ils seront en mesure de comparer leurs propres réflexions et expériences à celles des autres.

Par ailleurs, ce sera un grand service rendu à la religion que de contribuer à faire connaître et faire lire ces livres, qui ne sont écrits que dans le seul but de plaire à Dieu. Tous les livres de l'auteur sont extrêmement convaincants. De ce fait, pour ceux qui souhaitent faire connaître la religion à d'autres personnes, une des méthodes les plus efficaces est de les encourager à les lire.

Dans ces livres, vous ne trouverez pas, comme dans d'autres livres, les idées personnelles de l'auteur ou des explications fondées sur des sources douteuses. Vous ne trouverez pas non plus des propos qui sont irrespectueux ou irrévérencieux du fait des sujets sacrés qui sont abordés. Enfin, vous n'aurez pas à trouver également de comptes-rendus désespérés, pessimistes ou suscitant le doute qui peut affecter et troubler le cœur.

INTRODUCTION
Dieu appelle l'humanité à étudier et à réfléchir sur les cieux, la terre, les montagnes, les étoiles, les plantes, les animaux, la succession de la nuit et du jour, la création de l'homme, la pluie ainsi que sur beaucoup d'autres créations. En examinant cela, l'homme arrive à voir l'art de Dieu dans le monde qui l'entoure et finalement arrive à connaître le Créateur Suprême, créateur de l'univers entier et de tout son contenu à partir du néant.

La science offre une méthode qui permet d'examiner toutes les composantes de l'univers afin de découvrir la beauté dans la création divine, la communiquant ainsi à l'humanité. La religion encourage donc la science, en l'adoptant comme un instrument qui permet d'étudier la création.

L'Islam est une religion qui non seulement encourage la recherche scientifique mais lui permet aussi, sur la base des faits révélés, d'être concluante et efficace. Cela est dû au fait que la religion fournit des réponses précises et définitives à des sujets comme la création de la vie et de l'univers. Ainsi, lorsqu'elle est fondée sur de bonnes bases, la recherche révèle-t-elle des vérités concernant l'origine de l'univers et l'organisation de la vie, et ce dans les plus courts délais et avec un minimum d'effort et d'énergie. Comme l'a dit Albert Einstein, l'un des plus grands savants du 20ème siècle, la science sans la religion est boiteuse, autrement dit, si la science n'est pas guidée par la religion, elle ne peut avancer correctement, perd ainsi du temps à obtenir certains résultats et, ce qui est pire encore, dans ce cas elle est souvent peu concluante.

Les études scientifiques menées par les savants matérialistes ne permettent pas de voir la réalité ; cela a été le cas en particulier au cours des deux derniers siècles. Cela a causé un gaspillage énorme de temps, beaucoup de recherches ont été poursuivies en vain et les millions de dollars investis n'ont produit guère de résultats significatifs.

Il existe une vérité d'évidence que l'on peut reconnaître sans ambages : la science ne permet d'obtenir des résultats fiables que si elle adopte comme seul objectif la recherche des signes de la création dans l'univers et qu'elle n'adopte que cela comme unique fin.

La science ne peut atteindre son ultime objectif dans les délais les plus courts que si son objet de recherche est bien choisi, ce qui implique qu'elle soit correctement dirigée.

LIVRE 1
LA RELIGION ENCOURAGE LA SCIENCE
L'Islam est la religion de la raison et de la conscience. L'être humain reconnaît la vérité proclamée par Dieu en utilisant sa sagesse, cependant, il tire des conclusions de la vérité observée en suivant sa conscience. Une personne qui suit sa raison ainsi que sa conscience, lorsqu'elle examine les caractéristiques de n'importe quel objet de l'univers, même si elle n'est pas experte dans ce domaine, est en mesure de comprendre que cela a été créé par le Détenteur de la sagesse, de la connaissance et du pouvoir infinis. Et même si cette personne ne découvre que quelques-uns des milliers de facteurs qui ont rendu possible la vie sur terre, il lui sera facile de comprendre que le monde a été créé de sorte que la vie puisse exister en son sein. Par conséquent, toute personne utilisant sa raison ainsi que sa conscience comprend rapidement l'absurdité de l'affirmation que le monde a été créé par hasard. En bref, une telle personne ne peut que reconnaître les signes de Dieu de façon très claire. Un verset fait référence à ce type de personne de la manière suivante :

… qui, debout, assis, couchés sur leurs côtés, invoquent Dieu et méditent sur la création des cieux et de la terre (disant) : "Notre Seigneur ! Tu n'as pas créé cela en vain. Gloire à Toi ! Garde-nous du châtiment du feu." (Coran, 3 : 191)

Dans le Coran, Dieu appelle les gens à réfléchir et à examiner les signes de la création. Le Prophète Mohammed (pbsl), a également incité les gens à acquérir le savoir. Il a également souligné notre obligation à chercher ce savoir, dans son fameux hadith authentique :

La recherche de la connaissance incombe à tout musulman.1

Acquiers la connaissance et transmets-la aux autres.2

Toute personne qui enquête sur les mécanismes internes de l'univers, que ce soit pour les êtres vivants ou inertes, et qui fait des recherches sur ce qu'il observe autour de lui, arrivera à reconnaître la supériorité de la sagesse de Dieu, de Sa connaissance et de Son éternelle puissance.

Les versets suivants du Coran désignent les sujets sur lesquels Dieu invite l'homme à réfléchir :

N'ont-ils donc pas observé le ciel au-dessus d'eux, comment Nous l'avons bâti et embelli ; et comment il est sans fissures ? Et la terre, Nous l'avons étendue et Nous y avons enfoncé fermement des montagnes et y avons fait pousser toutes sortes de magnifiques couples de [végétaux], à titre d'appel à la clairvoyance et un rappel pour tout serviteur repentant. Et Nous avons fait descendre du ciel une eau bénie, avec laquelle Nous avons fait pousser des jardins et le grain qu'on moissonne, ainsi que les hauts palmiers aux régimes superposés. (Coran, 50 : 6-10)

Celui qui a créé sept cieux superposés sans que tu voies de disproportion en la création du Tout Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y vois-tu une brèche quelconque ? (Coran, 67: 3)

Que l'homme considère donc de quoi il a été créé. (Coran, 86 : 5)

Ne considèrent-ils donc pas les chameaux, comment ils ont été créés, et le ciel comment il est élevé, et les montagnes comment elles sont dressées, et la terre comment elle est nivelée ? (Coran, 88 : 17-20)

Comme le démontrent clairement les versets ci-dessus, Dieu incite l'humanité à étudier et examiner différents aspects du monde comme le ciel, la pluie, les animaux, la naissance ainsi que les repères géographiques. Une des façons d'explorer ces sujets est, comme précisé précédemment, à travers la science. L'observation scientifique permet à l'homme de s'initier aux mystères de la création et partant, à la connaissance éternelle de Dieu, à Sa sagesse et à Sa puissance. La science est une façon de faire une juste évaluation de Dieu. Pour cette raison, à travers l'histoire, un grand nombre de savants qui ont rendu de grands services à l'humanité étaient des croyants dévoués.

La foi en Dieu motive les savants et incite à la recherche
Comme précisé plus haut, la religion encourage la science. Ceux qui suivent leur raison et leur conscience dans la poursuite de la recherche scientifique acquièrent une foi réelle parce qu'ils appréhendent les signes de Dieu. Ils sont confrontés à un système sans défauts et à des détails parfaits créés par Dieu dans chaque découverte qu'ils font quel que soit le domaine de la recherche. Comme le Prophète Mohammed, le Messager de Dieu, (pbsl) l'a dit, ils agissent en sachant que "Celui qui part à la recherche du savoir est (dévoué) à la cause de Dieu jusqu'à son retour."3 Un scientifique conduisant des recherches sur l'œil, par exemple, découvre, en reconnaissant son système complexe, qu'il n'aurait jamais pu apparaître via un processus graduel de coïncidences. Des études plus approfondies le mèneront à réaliser que chaque détail de la structure de l'œil est une création miraculeuse. Il s'apercevra que l'œil est constitué de dizaines de composants travaillant les uns avec les autres en harmonie, ce qui augmentera son émerveillement sur les choses que Dieu a créées.

De la même manière, un scientifique étudiant le cosmos sera immédiatement confronté à des milliers d'équilibres remarquables. Sa soif de connaissances augmentera lorsqu'il découvrira que des milliards de galaxies, et des milliards d'étoiles au sein de ces galaxies, continuent d'exister en grande harmonie, dans un espace immense qui n'a pas de limites.

Ainsi, un homme de foi devient captivé et inspiré de conduire des études scientifiques pour révéler les mystères de l'univers. Dans un de ses articles, Albert Einstein, considéré comme le plus grand génie du siècle dernier, fait référence à l'inspiration que les savants tirent de la religion :

… Je maintiens que le sentiment religieux cosmique est le motif le plus puissant et le plus noble pour les recherches scientifiques. Seuls ceux qui réalisent les immenses efforts et, par-dessus tout, la dévotion sans lesquels les travaux pionniers de la science théorique ne pourraient se faire, comprennent la force de l'émotion qui se dégage de tels travaux, bien qu'éloignés des réalités immédiates de la vie. Quelle profonde conviction de la rationalité de l'univers et quelle envie de comprendre, pour que Kepler et Newton aient pu passer des années de travail solitaire à démêler les principes de la mécanique céleste !

Ceux dont les connaissances des recherches scientifiques proviennent surtout de leurs résultats pratiques développent facilement une notion complètement fausse de la mentalité des hommes qui, entourés par un monde sceptique, ont montré la voie à des esprits apparentés à travers le monde et les siècles. Seuls ceux qui ont dévoué leur vie à des buts similaires peuvent comprendre ce qui a inspiré ces hommes et ce qui leur a donné la force de suivre leur but en dépit d'échecs innombrables. C'est le sentiment religieux cosmique qui donne à l'homme une telle force. Un contemporain a dit, assez justement, qu'à notre époque matérialiste les seuls véritables travailleurs sont les gens profondément religieux.4

Johannes Kepler raconta qu'il s'engagea dans la science afin d'examiner les œuvres du Créateur, tandis qu'Isaac Newton, un autre grand scientifique, énonça que la meilleure motivation derrière son intérêt pour la science était son désir d'avoir une meilleure sensation et une meilleure connaissance de Dieu.

Ce ne sont les remarques que de quelques-uns des plus éminents savants de l'histoire. Ceux-là, ainsi que des centaines d'autres savants que nous allons prendre en considération dans les pages à venir, en sont venus à croire en l'existence de Dieu en explorant l'univers, et, impressionnés par les lois et les phénomènes que Dieu a magnifiquement créés, ont voulu en connaître plus.

Comme nous le verrons, le désir d'apprendre la manière avec laquelle Dieu a créé l'univers a servi de facteur de motivation pour de nombreux savants. C'est essentiellement dû au fait que celui qui perçoit que l'univers et tous les êtres vivants sont créés perçoit également que la création a un but. Ce but mène ensuite à la signification. C'est l'aspiration à comprendre cette signification, à découvrir ses signes et ses détails, qui peut grandement accélérer les études scientifiques.

Mais si l'on dénie le fait que l'univers et les êtres vivants aient été créés, cette signification s'échappe. Un scientifique croyant en la philosophie matérialiste et au darwinisme supposera que l'univers est sans but, et que toutes les choses sont l'œuvre du hasard aveugle. Par conséquent, les recherches sur l'univers et les êtres vivants se feront alors sans quête de sens. En parlant de ce fait, Einstein énonça : "Je n'ai pas trouvé de meilleure expression que 'religieuse' pour la confiance dans la nature rationnelle de la réalité, dans la mesure où elle est accessible à la raison humaine. Quand ce sentiment est absent, la science dégénère en un empirisme non inspiré."5

Dans un tel cas, le seul but d'un scientifique sera de devenir célèbre grâce à une découverte révolutionnaire, ou d'être inscrit dans l'histoire, ou de devenir riche. De tels buts peuvent facilement le détourner de son intégrité scientifique et de sa sincérité. Par exemple, dans le cas où une conclusion à laquelle il a abouti via des recherches scientifiques est en contradiction avec le point de vue conventionnel de la communauté scientifique, il peut être forcé de la passer sous silence, afin de ne pas perdre sa renommée, ou d'être dénigré ou dégradé.

L'acceptation de la théorie de l'évolution dans le monde scientifique est un exemple de ce type de manque de sincérité. Au fond, de nombreux savants, face au fait scientifique, ont conscience que la théorie évolutionniste est bien loin d'expliquer l'origine de la vie, mais ils ne peuvent pas l'énoncer ouvertement, car ils ont peur d'affronter une réaction négative. Dans cette ligne de pensée, le physicien britannique H.S. Lipson fait la confession suivante :

Nous connaissons aujourd'hui beaucoup plus de choses sur la matière vivante que Darwin à son époque. Nous savons comment les nerfs fonctionnent et je considère chaque nerf comme un chef-d'œuvre d'ingénierie électrique. Et nous possédons des milliers de millions de ces nerfs dans notre corps… "Conception" est le mot qui vient à l'esprit, sur ce sujet. Mes collègues biologistes ne l'aiment pas.6

Le mot "conception" est mis à l'écart dans la littérature scientifique simplement parce qu'on ne l'aime pas, de nombreux savants succombant à un tel dogmatisme. En parlant de ce problème, Lipson dit :

En fait, l'évolution est devenue en un sens une religion scientifique ; pratiquement tous les savants l'ont acceptée et beaucoup d'entre eux sont préparés à "tordre" leurs observations pour s'accorder avec elle.7

Cette situation indésirable est le résultat de la tromperie de la "science sans Dieu" qui domine la communauté scientifique depuis le milieu du 19ème siècle. Pourtant, comme disait Einstein, "la science sans religion est boiteuse"8. L'illusion n'a pas seulement dirigé la communauté scientifique vers des buts erronés, mais a également créé des savants qui, bien que reconnaissant l'erreur, lui restent indifférents.

Nous allons traiter du premier sujet en détail dans les pages suivantes.

Croire au "désir de servir" des savants
Puisque les savants qui croient en l'unicité et en l'omnipotence de Dieu n'ont aucun désir pour les profits de ce monde, comme le statut, le rang, la réputation ou l'argent, leurs efforts dans les recherches scientifiques sont sincères. Ils savent que chaque mystère de l'univers qu'ils éclaircissent aide l'humanité à mieux comprendre Dieu, à révéler la connaissance et la puissance infinie de Dieu. Confirmer à l'humanité l'existence de Dieu, lui démontrer la réalité de la création, est un acte d'adoration important pour un croyant.

Conduits par des intérêts aussi sincères, les savants croyants conduisent des recherches considérables avec un grand enthousiasme, pour découvrir les lois de l'univers, les systèmes miraculeux dans la nature, et les mécanismes parfaits et les comportements intelligents des êtres vivants. Ils accomplissent de grands résultats et font des progrès immenses. Ils ne vacillent jamais en face des problèmes qu'ils rencontrent, ils ne perdent pas courage quand ils échouent à être appréciés des autres. Ils ne cherchent qu'à gagner l'approbation de Dieu pour le travail qu'ils accomplissent.

Ils s'efforcent d'être utiles aux autres croyants simplement pour l'agrément de Dieu. Et ils ne reconnaissent aucune limite à leurs efforts. Ils font de leur mieux pour être le plus utile aux gens, et pour les servir de la meilleure manière qu'il soit. De plus, leurs efforts sincères les rendent très productifs, et leurs études aboutissent à des résultats positifs.

Ceux qui supposent que la science doit être séparée de la religion font une très grande erreur. Tout d'abord, ceux qui ne croient pas en Dieu ne peuvent expérimenter l'élévation spirituelle de la foi. Les projets scientifiques qu'ils initient avec un grand zèle deviennent rapidement monotones et peu passionnants. Leur motivation, avec un tel état d'esprit, n'est que de récolter des profits de ce monde. En cherchant à satisfaire ces désirs, comme la richesse, le rang social, la réputation ou le prestige, ils ne s'engagent que dans des recherches qui contribueront directement à de tels bénéfices personnels. Par exemple, un scientifique ayant un tel état d'esprit et motivé par des intérêts carriéristes ne mènera des recherches que dans les domaines qui aboutiront à une promotion. Il ne sera pas intéressé par des recherches sur un sujet utile à l'humanité à moins que cela ne serve ses propres intérêts. Ou bien, s'il est en position de faire un choix entre deux sujets de recherche, il choisira celui qui lui rapportera le plus de gains matériels, de prestige ou de rang social, et abandonnera celui qui pourrait être plus bénéfique pour l'humanité. En bref, ce genre de savants est rarement utile à l'humanité, échouant à servir le plus grand bien à moins qu'il y ait quelque gratification en retour.

Quand l'opportunité de gains personnels s'efface, il en va de même de leur désir de servir l'humanité.

Le Prophète Mohammed, le Messager de Dieu, (pbsl), a également mentionné les torts causés par cette mentalité. Il a dit :

Ne cherchez pas la connaissance pour polémiquer avec d'autres savants et pour prouver votre supériorité, ou pour vous disputer avec l'ignorant ou pour attirer l'attention des gens.9

D'un autre côté, le Prophète Mohammed (pbsl) a loué la propagation de la connaissance. Un de ses hadiths indique :

Dieu envoie des bénédictions sur ceux qui instruisent les gens pour l'acquisition d'un savoir bénéfique.10

Ayant conscience des bénédictions qu'elle recevra, l'enthousiasme et la motivation sincère vécue par une personne qui croit en Dieu lui ouvre de nouvelles perspectives, pas seulement dans le domaine de la science, mais aussi dans bien d'autres sphères de la vie, comme l'art, la culture etc.

Une personne d'une telle noblesse ne s'affaiblit jamais, au contraire, sa motivation ne fait que s'intensifier.

LA RELIGION DIRIGE LA SCIENCE DANS LA BONNE DIRECTION
La science est l'investigation du monde matériel dans lequel nous vivons. Elle utilise l'observation et l'expérience comme moyens de recherche. Avec ces deux moyens, la science mène à différentes conclusions basées sur l'information collectée. Cependant, chaque domaine de la science possède certaines normes qui sont admises d'emblée, ou acceptées sans vérification. Dans la littérature scientifique, cet ensemble de normes est appelé un "paradigme".

Ce point de vue initial porte sur "l'évolution" de toutes les investigations scientifiques apparentées. Comme on le sait, la première étape dans une investigation scientifique est la formulation d'une "hypothèse". Puis, cette hypothèse est testée à la lumière des expériences scientifiques. Si les observations et les expériences vérifient l'hypothèse, celle-ci devient un "principe établi ou une loi". Si l'hypothèse est réfutée, alors de nouvelles hypothèses sont testées, et le processus continue.

La formulation de l'hypothèse est souvent sujette aux idées personnelles des savants. Par exemple, si leur façon de voir est erronée, ils peuvent baser leur travail sur l'hypothèse que "la matière a une tendance à s'organiser par elle-même sans l'implication d'un agent conscient". Puis, ils entreprennent des recherches pendant des années pour vérifier cette hypothèse. Pourtant, puisque que la matière ne possède pas cette faculté, tous ces efforts sont voués à l'échec. De plus, si comme il arrive souvent les savants sont trop obstinés sur leur hypothèse, les recherches peuvent durer de très nombreuses années, voire des générations. Pourtant, le résultat final sera un gâchis énorme de temps et de ressources.

Par contre, si l'hypothèse initiale est qu'"il est impossible pour la matière de s'organiser par elle-même sans une planification consciente", cette recherche scientifique poursuit un cours plus productif et rapide.

En fait, l'établissement d'une hypothèse plausible nécessite une source entièrement différente de celle des simples données scientifiques.

L'identification correcte de cette source est critique, car, comme nous l'avons expliqué dans l'exemple précédent, une erreur dans l'identification d'une source peut énormément coûter à la science en temps et en ressources.

La source recherchée est la révélation de Dieu à l'humanité. Dieu est le Créateur de l'univers, du monde et des êtres vivants, et par conséquent, les connaissances les plus exactes et les plus incontestables sur ces sujets proviennent de Lui. Ainsi, Dieu nous a révélé des informations importantes dans le Coran à ce sujet. Les plus importantes sont les suivantes :

1) Dieu a créé l'univers à partir du néant. Tout est créé dans un but particulier. Il s'ensuit qu'il n'y a pas un chaos d'événements aléatoires dans la nature ou dans l'univers, mais un ordre parfait créé avec intelligence.

2) L'univers matériel, et en particulier la Terre sur laquelle nous vivons, est conçu spécialement pour accommoder la vie humaine. Il y a un certain but dans les mouvements des étoiles et des planètes, dans les points de repère géographique, et dans les propriétés de l'eau ou de l'atmosphère, qui rendent la vie humaine possible.

3) Dieu a créé tous les êtres vivants. Ceux-ci agissent sous l'inspiration de Dieu, comme l'énonce le Coran dans l'exemple des abeilles, avec le verset qui commence par "Voilà ce que votre Seigneur a révélé aux abeilles…" (Coran, 16 : 68)

Ce sont là des vérités absolues que Dieu nous a communiquées dans le Coran. Une approche de la science basée sur ces faits mènera inévitablement à des progrès remarquables et servira l'humanité de la manière la plus bénéfique qu'il soit. On trouve d'innombrables exemples de cela dans l'histoire. Cela n'a été possible que lorsque les musulmans ont établi la science sur des fondements, aidant en ce faisant à forger les plus grandes civilisations du monde, contribuant à des accomplissements majeurs aux 9ème et 10ème siècles. En Occident, les pionniers de tous les domaines de la science, de la physique à la chimie, de l'astronomie à la biologie et à la paléontologie, étaient de grands hommes de science qui croyaient en Dieu, et qui menaient des recherches pour explorer ce qu'Il a créé.

Einstein affirmait aussi que les savants devaient se fonder sur des sources religieuses dans le travail de l'établissement des objectifs : Bien que la religion soit ce qui détermine le but, elle a néanmoins appris de la science, dans le sens le plus large, les moyens qui contribuent à la réalisation des buts qu'elle a fixés. Mais la science ne peut être créée que par ceux qui sont pleinement enclins à la recherche de la vérité et à la compréhension. Pourtant, un tel penchant naît dans la sphère religieuse… On ne peut concevoir un véritable savant sans une foi profonde.11 Mais depuis le milieu du 19ème siècle, la communauté scientifique s'est séparée d'avec cette source divine, pour passer sous l'influence de la philosophie matérialiste.

Le matérialisme, idée qui remonte à la Grèce antique, affirme l'existence absolue de la matière et nie l'existence de Dieu. Cette approche matérialiste a fait son chemin progressivement dans la communauté scientifique, et une partie considérable de la recherche scientifique a été mobilisée pour la soutenir. Ainsi, plusieurs théories ont été formulées. Il y existe entre autres, la théorie du "modèle d'univers infini" qui suggère que l'univers existe depuis des temps infinis ; la théorie évolutionniste de Darwin qui affirme que la vie est l'œuvre du hasard ; ou les idées de Freud qui maintiennent que l'esprit humain n'est composé que du cerveau.

Aujourd'hui, rétrospectivement, on voit que les affirmations mises en avant par le matérialisme n'ont été qu'une perte de temps pour la science.

Depuis des décennies, un grand nombre de savants ont déployé d'immenses efforts pour prouver chacune de ces affirmations, mais les résultats se sont toujours avérés faux. D'un autre côté, d'autres découvertes ultérieures ont confirmé les proclamations du Coran, à savoir que l'univers a été créé à partir du néant, qu'il a été façonné pour convenir à la vie humaine, et qu'il est impossible que la vie ait pu apparaître et évolué par le fait du hasard.

Examinons maintenant ces faits un par un.

Les pertes causées à la science par l'obsession des matérialistes avec un "univers infini"
Jusqu'au début du 20ème siècle, l'opinion conventionnelle de la communauté scientifique, alors sous l'influence des matérialistes, était que l'univers possède des dimensions infinies, qu'il existait depuis un temps infini et qu'il existerait indéfiniment. En vertu de cette théorie du "modèle d'univers statique", l'univers n'avait ni commencement ni fin, et n'était qu'un conglomérat illimité de matière. Niant que l'univers fut créé, cette idée a jeté les bases de la philosophie matérialiste.

De nombreux savants ayant épousé le matérialisme comme fondement philosophique, ou qui avaient un penchant pour cette philosophie, ont pris le modèle de "l'univers infini" comme base pour leurs recherches scientifiques. Par conséquent, toutes les recherches en astronomie et en physique se sont fondées sur l'hypothèse que la matière a existé depuis un temps infini. De nombreux chercheurs ont travaillé inlassablement avant de voir le fruit de leur travail réfuté par des travaux plus récents.

Le scientifique belge Georges Lemaître, a été le premier à reconnaître l'inexactitude du modèle de "l'univers infini", et a proposé une alternative.

Se basant sur certains calculs effectués par le russe Alexandre Friedmann, Lemaître a déclaré que l'univers a eu en réalité un commencement, et qu'il est en expansion depuis le mouvement initial. Il a affirmé également qu'il devrait être possible de détecter des restes de radiation provenant de ce mouvement initial.

Il convient ici de signaler que Georges Lemaître était également prêtre. Lemaître croyait fermement que "l'univers fut créé par Dieu à partir du néant". Par conséquent, son approche scientifique différait grandement de celle des matérialistes.

Les années à venir allaient confirmer l'exactitude de l'hypothèse mise en avant par Lemaître. Tout d'abord, l'astronome américain Edwin Hubble a découvert avec son immense télescope que les étoiles s'éloignaient les unes des autres et de nous. Cela signifie que l'univers est en expansion, et donc qu'il n'est pas statique comme les matérialistes le supposaient.

En fait, un peu plus tôt déjà, Albert Einstein avait déjà calculé théoriquement que l'univers ne pouvait pas être statique. Cependant, il a mis cette théorie de côté, simplement parce que ses calculs ne concordaient pas avec le modèle largement reconnu à l'époque d'univers statique. Même un scientifique considéré comme le plus grand génie de son siècle pouvait être intimidé par le dogmatisme des matérialistes, et a ainsi choisi de ne pas révéler cette conclusion importante. Pourtant, il dira plus tard que ce choix était "la plus grande erreur de sa carrière".

L'expansion de l'univers nous révèle une autre évidence : si l'univers s'agrandit au fur et à mesure que le temps passe , alors, en remontant dans le temps, il doit se contracter pour finalement converger vers un seul point. Des calculs ont montré que cet unique point devrait avoir un volume nul. Notre univers est donc apparu suite à l'explosion de ce point, une explosion que l'on a appelé le "Big Bang".

En fait, la référence à ce point qui explose et qui a un volume nul n'est qu'une expression théorique. L'expression "volume nul" suggère simplement le "néant". L'univers entier a été créé à partir de "rien".

La théorie du Big Bang démontre clairement que l'univers a été créé à partir de rien. Néanmoins, d'autres preuves scientifiques étaient requises pour que la théorie soit largement acceptée. En 1948, George Gamov a avancé que si l'univers s'était formé à la suite d'une explosion soudaine et cataclysmique, comme Lemaître l'avait suggéré, il devrait y avoir des restes mesurés de radiation laissée par l'explosion, et cette radiation devait être uniforme dans tout l'univers.

Le postulat de Gamov allait être vérifié scientifiquement. En 1965, deux chercheurs du nom de Arno Penzias et Robert Wilson ont découvert les restes de cette radiation. Appelée "fond diffus cosmologique" (ou "rayonnement fossile"), elle n'est pas localisée mais distribuée uniformément partout dans l'univers. On réalisa rapidement que cette radiation était l'écho du Big Bang, résonnant toujours depuis les premiers moments de cette grande explosion. Penzias et Wilson ont reçu le prix Nobel pour cette découverte.

En 1989, la NASA a lancé dans l'espace le satellite COBE, dans le but d'étudier le fond diffus cosmologique. En quelques minutes, les scanners du satellite ont confirmé les mesures de Penzias et Wilson.

La découverte de la preuve confirmant la création de l'univers à partir du néant au cours du "Big Bang" a bouleversé les savants matérialistes. Ils furent les témoins de l'effondrement de leurs vastes recherches, de leurs hypothèses et de leurs théories non prouvées, les unes après les autres.

Le célèbre philosophe athée Antony Flew fit les commentaires suivants sur cette situation :

Il est reconnu que la confession est bonne pour l'âme. Je commencerai donc par confesser que l'athée stratonicien est embarrassé par le consensus cosmologique contemporain. Car il semble que les cosmologistes sont en train de fournir une preuve scientifique de ce que St Thomas ne pouvait prouver philosophiquement ; à savoir que l'univers a eu un commencement. Aussi longtemps que l'on puisse penser l'univers comme existant sans fin mais aussi sans commencement, il est facile de mettre en avant que son existence brute, ainsi que toutes ses caractéristiques fondamentales, doivent être acceptées comme les explications ultimes. Bien que je croie que cela reste toujours correct, il n'est certainement ni plus facile ni confortable de maintenir cette position face à l'histoire du Big Bang.12

Comme l'exemple ci-dessus l'explique clairement, si quelqu'un est dévoué aveuglément au matérialisme, il devient peu disposé à admettre la moindre preuve du contraire. Même s'il doit confesser le fait, il ne compromet pas son engagement envers le matérialisme.

D'un autre côté, de nombreux savants qui ne s'étaient pas engagés dans la négation doctrinaire de l'existence de Dieu, acceptent aujourd'hui le fait que c'est Dieu, le Tout-Puissant, qui a créé l'univers. Le scientifique américain William Lane Craig, connu pour ses recherches sur le Big Bang, en est un exemple :

En réalité, étant donné la vérité de la maxime ex nihilo fit (rien ne vient du néant), le Big Bang nécessite une cause surnaturelle. Puisque la singularité cosmologique initiale représente le départ de toutes les trajectoires de l'espace-temps, il ne peut y avoir la moindre cause physique au Big Bang. La cause doit plutôt transcender l'espace physique et le temps : elle doit être indépendante de l'univers, et incroyablement puissante. De plus, cette cause doit être un Etre, doté de libre arbitre… La cause de l'origine de l'univers doit être donc un Créateur qui, avant l'existence, a initié la Création par son action libre.13

La théorie du Big Bang nous offre une autre conclusion importante : c'est que, comme on l'a mentionné précédemment, une approche scientifique fondée sur les Ecritures divines réussira beaucoup mieux dans l'éclaircissement des mystères de l'univers. Les savants qui ont pris pour fondement philosophique le matérialisme et ont mis en avant le modèle "d'univers infini" ont été incapables de prouver leur théorie, malgré des décennies d'efforts inlassables. Cependant, la théorie du Big Bang, développée par Georges Lemaître, et qui se basait sur des sources divines, a certainement contribué au progrès scientifique et a aidé à révéler la véritable origine de l'univers.

Quand on regarde l'histoire de la science du 20ème siècle, on s'aperçoit que des événements similaires ont eu lieu dans d'autres domaines.

Les pertes occasionnées à la science par l'affirmation qu'"il n'y a pas de dessein dans la nature"
Les matérialistes n'ont pas seulement proposé que l'univers existe depuis un temps infini, ils ont aussi affirmé qu'il n'y a aucun dessein ou but dans l'univers. Ils ont avancé que l'équilibre entier, l'harmonie et l'ordre dans l'univers étaient l'œuvre du hasard. Cette affirmation, qui a dominé le monde scientifique à partir de la deuxième moitié du 19ème siècle, a tracé le cours de la recherche.

Par exemple, certains savants ont mis en avant une hypothèse appelée la "théorie du chaos" pour montrer qu'il n'y a aucune conception dans l'univers. Selon cette théorie, l'ordre peut surgir spontanément du chaos, et un certain nombre d'études scientifiques furent menées pour soutenir cette affirmation. Des calculs mathématiques, des études en physique théorique, des essais physiques et des expériences chimiques furent menés pour trouver une réponse à la question : "comment pouvons-nous démontrer que l'univers est le produit du chaos ?".

Chaque nouvelle découverte, pourtant, réfute un peu plus les théories du hasard et du chaos, révélant qu'il existe une conception extraordinaire dans l'univers. Des recherches conduites depuis les années 1960 démontrent constamment que tous les équilibres physiques de l'univers sont conçus de manière complexe afin de rendre la vie possible. Au fur et à mesure que la recherche avance, on découvre que chacune des lois de la physique, de la chimie et de la biologie, que chaque force fondamentale comme la pesanteur et l'électromagnétisme, ainsi que les détails de la structure des atomes et des éléments de l'univers, ont été adaptés précisément pour que les êtres humains puissent exister. Les savants font référence à cette conception extraordinaire sous le terme de "principe anthropique". C'est le principe selon lequel tous les détails de l'univers ont été arrangés pour rendre la vie humaine possible.

Avec ces découvertes, l'affirmation imposée à la communauté scientifique par la philosophie matérialiste que "l'univers est un tas de matière sans but ni signification et fonctionnant suivant le hasard", a été prouvée comme étant fausse. Le célèbre biologiste moléculaire Michael Denton fait le commentaire suivant dans son livre, Nature's Destiny: How the Laws of Biology Reveal Purpose in the Universe (La destinée de la nature : comment les lois de la biologie révèlent une intention dans l'univers) :

La nouvelle image qui est apparue dans l'astronomie du 20ème siècle présente un défi dramatique pou la présomption qui a dominé les cercles scientifiques au cours des quatre derniers siècles : que la vie est un phénomène périphérique et purement conditionnel dans le système cosmique… Les preuves fournies par la cosmologie et la physique modernes sont exactement le type de preuves que les théologiens naturels recherchaient au 17ème siècle mais n'arrivaient à trouver dans la science de leur époque.14

Les "théologiens naturels" dont il est fait référence ci-dessus sont les savants religieux des 17ème et 18ème siècles qui s'efforçaient d'invalider l'athéisme sur des bases scientifiques, et donc essayaient de prouver l'existence de Dieu. Cependant, comme il est dit dans la citation, le degré inférieur de connaissances scientifiques de cette époque ne leur permettait pas de justifier les vérités qu'ils percevaient, et le matérialisme, soutenu par les théories embryonnaires de la science d'alors, a acquis de l'autorité dans le monde scientifique. La science du 20ème siècle, cependant, a inversé ce cours et fourni des preuves décisives pour prouver que l'univers a été créé par Dieu.

Ici, le véritable point à considérer est le temps précieux énorme dépensé dans des recherches pour prouver le fantasme matérialiste. Toutes les théories des matérialistes, leurs formules, études en physique théorique, équations mathématiques et autres élucubrations se sont finalement avérées être de vaines tentatives. Tout comme l'idéologie raciste a amené l'humanité au désastre en aboutissant à la seconde Guerre Mondiale, l'idéologie matérialiste a, par pur athéisme militant, forcé le monde de la science à s'engager dans les ténèbres d'une orientation pseudo-scientifique.

Pourtant, si la communauté scientifique avait basé ses efforts non pas sur la fausse idée du matérialisme, mais sur la réalité que l'univers a été créé par Dieu, les recherches scientifiques auraient suivi un cours plus approprié.

Les pertes causées à la science par les efforts désespérés pour prouver la théorie de l'évolution
L'exemple le plus instructif d'une orientation incorrecte de la science fut l'adoption de la théorie de l'évolution de Darwin. Ayant été placé à l'ordre du jour des études scientifiques il y a 140 ans, cette théorie est en réalité la plus grande erreur perpétrée dans l'histoire de la science.

La théorie de l'évolution soutient que la vie est apparue à la suite de l'agencement par hasard de matières inertes. Cette même théorie affirme de plus que les organismes qui se sont formés par hasard ont évolué en d'autres créatures une nouvelle fois par le fait du hasard. Depuis un siècle et demi, de grands efforts sont faits pour trouver une justification scientifique à ce scénario dont les résultats n'ont prouvé, ironiquement, que le contraire. Des preuves scientifiques ont démontré que l'évolution n'a jamais eu lieu, que la possibilité d'une transmutation graduelle d'une espèce en une autre est hors de question, et que toutes les espèces vivantes ont été créées distinctement et sous leur forme actuelle.

Néanmoins, en dépit de preuves évidentes, les évolutionnistes ont mené d'innombrables études et expériences, écrit des volumes entiers bourrés de faux raisonnements et d'erreurs, établi des institutions, animé des conférences et des programmes télévisés - tout cela pour prouver la théorie de l'évolution de Darwin. L'exploitation de milliers de savants, ainsi que de quantités illimitées d'argent et de ressources, pour une affirmation improuvable, a causé un gâchis énorme et un sérieux préjudice à l'humanité. Si ces ressources avaient été utilisées correctement, de telles pertes n'auraient pas été occasionnées, de louables progrès scientifiques auraient été accomplis, et des résultats définitifs auraient été atteints dans les domaines les plus pertinents des études scientifiques.

D'un autre côté, un certain nombre de savants ou de penseurs se sont rendu compte à quel point la théorie de l'évolution est fausse. Le philosophe britannique Malcolm Muggeridge, par exemple, a fait le commentaire suivant :

Je suis moi-même convaincu que la théorie de l'évolution, et particulièrement l'étendue de ce à quoi elle a été appliquée, sera considérée dans les livres d'histoire du futur comme l'une des plus grandes plaisanteries de tous les temps. La postérité s'étonnera de ce qu'une hypothèse aussi fragile et douteuse ait pu être acceptée avec autant de crédulité.15

Le scientifique scandinave S?ren L?vtrup fait la remarque suivante dans son livre Darwinism: The Refutation of a Myth (Le darwinisme : la réfutation d'un mythe) :

Je suppose que personne ne niera que c'est un grand malheur si une branche entière de la science s'abandonne à une fausse théorie. Mais c'est ce qui s'est passé en biologie : depuis longtemps maintenant les gens discutent de problèmes évolutionnistes avec un vocabulaire "darwinien" particulier - "l'adaptation", "la pression sélective", "la sélection naturelle" etc. - croyant ainsi qu'ils contribuent à l'explication d'événements naturels. Ils ne le font pas… Je crois qu'un jour le mythe darwinien sera classé comme étant la plus grande tromperie de l'histoire de la science.16

Même un certain nombre de savants évolutionnistes ont reconnu que la théorie qu'ils défendent n'est pas confirmée par les faits et ils sont mal à l'aise sur ce sujet. "La perpétuation de la théorie (de l'évolution) d'aujourd'hui comme dogme n'encouragera pas le progrès vers des explications plus satisfaisantes des phénomènes observés"17, a dit l'évolutionniste Paul R. Ehrlich dans une interview publiée dans Science. Il y admet, bien qu'indirectement, le mal qu'un dévouement aveugle envers la théorie de l'évolution cause à la science.

Maintenant, examinons les efforts futiles menés pour soutenir les affirmations non scientifiques de la théorie de l'évolution, ce qui fait perdre à la science énormément de temps et de ressources.


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Les pertes causées à la science par l'affirmation que la matière inanimée peut former la vie LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE Les pertes causées à la science par l'affirmation que "la matière inanimée peut former la vie"
Quelle est l'origine de la vie ? Qu'est-ce qui distingue un oiseau, ou une girafe, d'une pierre, de l'eau, de la terre, c'est-à-dire de la matière inanimée ?

La réponse à cette question a fait l'objet de la curiosité humaine depuis l'antiquité. Les points de vue prédominants sont au nombre de deux. La première idée est qu'il existe une ligne très fine entre la matière animée et inanimée, qui peut facilement être franchie, et que la vie peut surgir spontanément à partir de la matière inanimée. Ce point de vue est appelé "abiogenèse" dans la littérature scientifique.

La seconde idée affirme qu'il existe une frontière insurmontable entre la matière vivante et la matière inerte. Selon ce point de vue, il est impossible que des organismes vivants puissent se développer à partir de matériaux inertes, et une forme de vie ne peut surgir que si elle provient d'une autre forme de vie. Ce point de vue, résumé par "la vie ne provient que de la vie", est appelé "biogenèse".

Il est intéressant de noter que l'idée d'"abiogenèse" est connectée à la philosophie matérialiste, tandis que l'idée de "biogenèse" provient des sources religieuses. La philosophie matérialiste a toujours argumenté que les matériaux non vivants pouvaient donner naissance à des organismes vivants. Les philosophes grecs croyaient que les formes simples de la vie surgissaient continuellement de la matière inerte.

Au contraire, les sources divines énoncent que la seule puissance pouvant donner vie à la matière inanimée est la puissance créatrice de Dieu. Les versets du Coran indiquent :

C'est Dieu qui fend la graine et le noyau : du mort Il fait sortir le vivant, et du vivant, Il fait sortir le mort. Tel est Dieu. Comment donc vous laissez-vous détourner ? (Coran, 6 : 95)

A Lui appartient la souveraineté des cieux et de la terre. Il fait vivre et Il fait mourir, et Il est omnipotent. (Coran, 57 : 2)

Dans les siècles reculés, quand les gens n'avaient qu'une connaissance très limitée de la nature, le point de vue de l'"abiogenèse" prévalait à cause de certaines observations erronées. Ceux qui voyaient des asticots se développer sur de la viande à l'air libre pensaient que cela survenait "spontanément". Ils supposaient aussi que les souris apparaissaient spontanément dans les grains de blé entreposés. Cette croyance, également appelée "génération spontanée", a été largement acceptée jusqu'au 17ème siècle.

Mais des expériences conduites par deux savants importants ont creusé la tombe de la génération spontanée. Le premier était Francisco Redi. Redi a mené des expériences en 1668 qui ont montré que les asticots qui apparaissaient sur la viande ne se formaient pas spontanément, mais venaient de mouches qui y avaient déposé leurs œufs. Après cette découverte, les défenseurs de l'abiogenèse ont battu en retraite, affirmant que, non pas des gros organismes comme des asticots ou des grenouilles, mais des microbes invisibles étaient produits à partir de matière inerte. Le débat a duré pendant les deux siècles suivants. Le biologiste français Louis Pasteur démontra finalement, à travers une série d'expériences, que les microbes ne pouvaient pas non plus se développer à partir de matériaux inertes. Pasteur résuma sa conclusion avec les paroles suivantes :

Est-ce que la matière peut s'organiser d'elle-même ? En d'autres termes, est-ce que les organismes peuvent venir au monde sans parents, sans ancêtres ? C'est la question qui doit être résolue… Il n'y a aucune circonstance connue aujourd'hui par laquelle on peut affirmer que des êtres microscopiques sont nés sans germes.18

Redi et Pasteur avaient une chose en commun : ces deux savants croyaient en l'existence de Dieu, et que la vie avait été créée par Lui. Leur croyance a joué un rôle important dans la reconnaissance de l'absurdité de l'abiogenèse. Effectivement, tandis qu'un certain nombre de savants sous l'influence du matérialisme (Darwin, Haeckel etc.) avaient souscrit au point de vue de l'abiogenèse, d'autres, qui approchaient la science d'un angle différent, se sont rendu compte de l'exactitude de la biogenèse.

Les savants évolutionnistes ont résisté à cette réalité évidente - par pure obsession d'athéisme. Leur dévotion aveugle à la philosophie matérialiste les a menés dans un combat futile qui allait durer un siècle. Deux savants matérialistes, Alexander Oparin et J. B. Haldane, ont alors présenté la notion d'"évolution chimique". Selon Oparin et Haldane, l'abiogenèse ne se déroulait pas en un court intervalle de temps, mais sur une longue période. Etant en conflit avec certaines lois scientifiques, dont la première est la seconde loi de la thermodynamique, cette affirmation a mené le monde scientifique dans une impasse, occasionnant ainsi une perte préjudiciable de temps et de ressources.

Au cours de ce siècle-là, certains savants ont mené des expériences pour prouver l'hypothèse de l'évolution chimique, et se sont donné beaucoup de mal pour soutenir l'affirmation avec de nouvelles théories. D'immenses laboratoires, de grandes institutions et des départements d'université y ont été mobilisés. Mais tous ces efforts se sont terminés par des échecs. Le célèbre évolutionniste Prof. Klause Dose, le directeur de l'Institut de Biochimie de l'Université de Johannes-Gutenberg, a finalement confessé que toutes les tentatives menées pour apporter des preuves à l'affirmation que les matériaux inertes peuvent produire de la matière vivante avaient été infructueuses:

Plus de 30 ans d'expérimentation sur l'origine de la vie dans les domaines de l'évolution chimique et moléculaire ont abouti à une meilleure perception de l'immense complexité du problème de l'origine de la vie sur Terre plutôt qu'à sa solution. Maintenant toutes les discussions sur les expériences et les théories principales dans ce domaine se terminent soit dans une impasse soit sur une confession d'ignorance.19

Si le monde scientifique n'était pas devenu obsédé avec l'idée d'abiogenèse, faux raisonnement matérialiste, tous ces efforts, conduits au nom de "l'évolution chimique", auraient pu être canalisés vers des domaines plus productifs. Si la communauté scientifique commence par reconnaître que la vie est créée par Dieu, et que Seul le Seigneur des mondes a le pouvoir de donner la vie, tout ce temps perdu, ainsi que cet argent et ces ressources humaines, pourra être évité à l'avenir. La science pourra se concentrer sur de nouvelles découvertes et recherches utiles à l'humanité, plutôt que de chercher à prouver les mythes de la Grèce Antique.

Aujourd'hui, la communauté scientifique a démontré que les matériaux inertes ne peuvent pas s'organiser par eux-mêmes suite à des événements aléatoires, puis se regrouper avec d'autres matériaux inertes pour former des cellules parfaites et très complexes. Il est également devenu évident que les millions de formes de la vie que nous voyons autour de nous n'ont pas pu se former, comme l'affirment les évolutionnistes, à partir de cellules qui se seraient assemblées par accident. A coup sûr, une rose, un paon, un tigre, une fourmi, en d'autres mots, toutes les créatures vivantes, n'ont pu apparaître par la volonté de cellules inconscientes constituées d'un assemblage d'atomes inconscients.

Un scientifique qui accomplit des études approfondies dans ces domaines n'est en aucun cas un produit de la décision commune prise par des atomes inconscients. Il est tout à fait impossible que des atomes inconscients puissent développer un être humain pleinement conscient.

A cet égard, il fut rapporté dans le Coran il y a 1.400 ans que la vie a été créée par Dieu à partir du "néant", que Dieu seul donne la vie, et qu'aucun autre être à part Lui n'a le pouvoir de "donner la vie". Si la science avait constaté les implications des faits transmis par Dieu à l'humanité, elle ne se serait pas "amusée" à faire des recherches peu concluantes pendant une aussi longue période.

Les pertes causées à la science par les efforts pour prouver l'affirmation de "l'évolution des espèces". Il y a des millions d'espèces vivantes sur terre, et ces espèces diffèrent les unes des autres d'innombrables manières. Considérez, par exemple, les chevaux, les oiseaux, les serpents, les papillons, les poissons, les chats, les chauve-souris, les vers de terre, les fourmis, les éléphants, les moustiques, les abeilles, les dauphins, les étoiles de mer, les méduses, les chameaux… Toutes ces formes de vie sont extrêmement différentes les unes des autres par leurs caractéristiques physiques, leur habitat, leurs techniques de chasse, leurs tactiques de défense, leurs habitudes alimentaires, leur mode de reproduction…

Comment sont donc apparues ces créatures ?
Quiconque réfléchissant à la question, en utilisant sa raison, verra que tous les êtres vivants sont conçus, c'est-à-dire créés. Chaque conception prouve l'existence d'un architecte intelligent l'ayant produite. Les êtres vivants, tout comme tous les autres exemples de conception dans la nature, prouvent l'existence de Dieu.

Cette vérité nous a été révélée par l'Islam. Dans le Coran, nous apprenons comment les êtres vivants sont apparus : toutes les espèces vivantes ont été créées distinctivement par Dieu. Dieu, avec Sa puissance créatrice unique et son savoir infini, a doté Ses créatures de caractéristiques diverses, et a ainsi donné à l'humanité de Son pouvoir infini, de Sa sagesse et de Son savoir. Voici certains des versets faisant référence à la création des êtres vivants :

Parmi Ses preuves est la création des cieux et de la terre et des êtres vivants qu'Il y a disséminés. Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il voudra. (Coran, 42 : 29)

Et Dieu a créé d'eau tout animal. Il y en a qui marchent sur le ventre, d'autres qui marchent sur deux pattes, et d'autres encore qui marchent sur quatre. Dieu crée ce qu'Il veut et Dieu est Omnipotent. (Coran, 24 : 45)

Il a créé les cieux sans piliers que vous puissiez voir ; et Il a enfoncé des montagnes fermes dans la terre pour l'empêcher de basculer avec vous ; et Il y a propagé des animaux de toute espèce. Et du ciel, Nous avons fait descendre une eau, avec laquelle Nous avons fait pousser des plantes productives par couples de toute espèce. Voilà la création de Dieu. Montrez-moi donc ce qu'ont créé, ceux qui sont en dehors de Lui ? Mais les injustes sont dans un égarement évident. (Coran, 31 : 10-11)

Il y a certes dans les cieux et la terre des preuves pour les croyants. Et dans votre propre création, et dans ce qu'Il dissémine comme animaux, il y a des signes pour des gens qui croient avec certitude. (Coran, 45 : 3-4)

Ayant reconnu la réalité de la création, les savants ont établi différentes disciplines, comme la biologie, l'anatomie et la paléontologie. Des savants de renom, comme Carl Linnaeus, qui a rigoureusement classifié le monde vivant, et qui est connu comme le "fondateur de la taxonomie" ; Georges Cuvier, le fondateur de la science des fossiles et de l'anatomie comparative ; Gregor Mendel, le fondateur de la génétique qui découvrit les lois de l'hérédité ; ou Louis Agassiz, qui est considéré comme le plus grand biologiste américain du 19ème siècle, tous pratiquaient la science en ayant conscience que toutes les espèces vivantes ont été créées par Dieu.

Puis, avec l'introduction de la théorie de l'évolution de Charles Darwin, le monde de la science a plongé dans une entreprise visant à prouver que les "espèces évoluent les unes à partir des autres". Cette tentative força les savants à s'engager dans un certain nombre de recherches infructueuses. Dans les fouilles de fossiles menées dans le monde entier, les savants se sont evertués à trouver des fossiles de formes intermédiaires qui n'avaient jamais existé dans l'histoire. De plus, des scénarios imaginaires ont été mis au point pour expliquer comment certaines espèces avaient pu évoluer. Les journaux scientifiques ont publié ces scénarios qui ont été par la suite enseignés dans les écoles et les universités.

Il est utile de citer certains de ces scénarios, pour démontrer la manière dont les évolutionnistes soumettent la science à leurs idées extravagantes. L'histoire suivante fut imprimée dans un article évolutionniste, à propos de la transition des reptiles en mammifères :

Certains des reptiles des régions les plus froides commencèrent à développer une méthode leur permettant de garder le corps chaud. Leur émission de chaleur augmentait quand il faisait froid et leur perte de chaleur fut réduite quand leurs écailles devinrent plus petites et plus pointues, et évoluèrent en fourrure. La transpiration fut aussi une adaptation permettant de réguler la température corporelle, un dispositif refroidissant le corps par l'évaporation de l'eau quand il est nécessaire. Mais alors les petits de ces reptiles commencèrent à lécher la sueur de leur mère pour se nourrir. Certaines glandes sudoripares commencèrent à libérer une sécrétion de plus en plus riche, qui devint en fin de compte du lait. Ainsi, les petits de ces mammifères primitifs avaient un meilleur départ dans la vie.20

Afin de justifier cette hypothèse évolutionniste, il a été nécessaire de prouver scientifiquement des événements impossibles, comme la transmutation de la sueur en lait et des écailles en fourrure, faisant perdre leur temps à des milliers de savants qui ont tenté de vérifier cette affirmation. En réalité, aucune de ces transformations n'est possible. Il est surtout impossible que le lait de la mère, qui contient tout ce dont a besoin un bébé, ait évolué à partir de la "sueur", comme affirmée ci-dessus. Le lait de la mère est une substance qui correspond tout particulièrement aux besoins d'un bébé, et il est modéré en fonction de chaque phase suivant un plan précis. Tout ce dont a besoin un bébé se trouve dans le lait de la mère juste quand il en a besoin. Par exemple, la période où le bébé a besoin de potassium est la même que la période où le lait de la mère est riche en potassium. Cette spécialisation s'applique à tous les autres éléments nécessaires au développement du bébé. Il est évidemment impossible qu'une telle nourriture ait pu se former par des coïncidences inconscientes.

De la même manière, l'autre composant de l'affirmation précédente, l'histoire de "l'évolution des écailles de reptile en fourrure de mammifère", est tout aussi ahurissant car en désaccord avec les faits scientifiques. Les écailles et la fourrure ont des structures complètement différentes : 1. La fourrure est folliculaire, c'est-à-dire qu'elle se développe à partir d'un sac. Quant aux écailles, elles sont des structures en forme de plaques dans la peau. En outre, les écailles se développent, grandissent et tombent d'une manière complètement différente des poils de fourrure.

Elles n'ont absolument rien en commun.

2. Il n'y a aucune preuve scientifique suggérant que la fourrure ait évolué à partir des écailles. Les évolutionnistes n'ont aucune preuve de fossile pour prouver cette affirmation, tout comme ils ne peuvent mettre en avant aucun mécanisme logique pour expliquer cette transformation.

Ce n'est pas le seul "conte" pseudo-scientifique mis en avant pour expliquer la transformation imaginaire des reptiles en mammifères. Chaque évolutionniste possède sa propre "histoire". De la même manière, plusieurs scénarios imaginaires ont été produits pour expliquer comment les dinosaures ont évolué en oiseaux. Un de ces scénarios affirme que certains dinosaures ont commencé à voler alors qu'ils chassaient des mouches. Un autre affirme que les dinosaures ont développé des ailes alors qu'ils sautaient d'arbre en arbre. Finalement, la science a pris l'habitude de "prouver" ces scénarios produits par l'imagination des évolutionnistes. Jusqu'ici, un grand nombre de savants ont mené des recherches sur la manière dont les dinosaures auraient commencé à voler alors qu'ils courraient ou sautaient de branche en branche. Ces savants, par naïveté ou pur entêtement athée, ont passé des années à montrer comment les écailles se sont transformées en plumes d'oiseaux. Le célèbre évolutionniste et ornithologiste Alan Feduccia est un de ces savants qui a travaillé sur le sujet sa vie durant. Après avoir passé 25 ans à chercher un lien entre les dinosaures et les oiseaux, Feduccia fit cette confession :

Eh bien, j'étudie les crânes d'oiseaux depuis 25 ans et je ne vois aucune ressemblance en quoi que ce soit. Je n'en vois juste pas… L'origine théropode des oiseaux, à mon avis, sera la plus grande gêne de la paléontologie du 20ème siècle.21

Les scénarios évolutionnistes ne se limitent pas à ceux-là. Tout comme le paléontologiste évolutionniste Dr. Colin Patterson l'admit, "il y a eu une quantité abominable d'histoires, certaines plus imaginatives que d'autres, sur la véritable nature de cette histoire [de la vie]".22 Les évolutionnistes ont également émis l'idée fantastique que les mammifères marins, comme les baleines et les dauphins, avaient évolué à partir de l'ours qui aimait nager. De plus, afin de fournir une base "scientifique" à ce scénario, ils ont produit des théories concernant des créatures mi-ours/mi-baleines, et même fabriqué des histoires de "baleines marchantes".

Les évolutionnistes sont libres de rêver et de croire au scénario qu'ils veulent. Le vrai problème est qu'ils font perdre les ressources et le temps du monde scientifique dans l'espoir de prouver ces scénarios. Comme l'a dit un autre évolutionniste renommé, Pierre Paul Grassé, concernant ces scénarios évolutionnistes, "il n'y a pas de loi interdisant les rêvasseries, mais la science ne doit pas s'y adonner".23

La science continuera de poursuivre désespérément de tels mythes aussi longtemps que les savants baseront leurs recherches sur des hypothèses incorrectes comme le darwinisme. La reconnaissance de la réalité de la création, d'un autre côté, mettra fin à toutes ces vaines tentatives qui entravent la progression de la science. Comme on l'a mentionné précédemment, tous les êtres vivants ont été créés individuellement par Dieu. Leurs caractéristiques physiques, leurs habitudes alimentaires, leurs techniques de chasse, leurs tactiques de défense, la manière dont ils élèvent leurs petits etc., tout est le reflet d'harmonies parfaites. Cela ne sert à rien d'affirmer et d'essayer de prouver que toutes ces harmonies ont pu survenir par hasard. Cette perfection n'a pas pu survenir par hasard ; elle n'a pu apparaître que grâce au pouvoir et au contrôle de notre Seigneur, le Créateur suprême. Par conséquent, il serait bien plus valable d'étudier des réalités vérifiables et leurs détails, plutôt que de produire des scénarios complètement imaginaires. Mieux encore, des recherches menées dans le cadre des réalités vérifiables nous aideraient à mieux comprendre Dieu, le Tout-Puissant, qui a créé les êtres humains et l'univers tout entier à partir du néant.

L'impasse des mutations
Une autre élucubration de la théorie évolutionniste qui a fait perdre son temps à la science fut la poursuite illusoire de "mutations avantageuses".

Les mutations sont des changements qui ont lieu dans le code génétique d'un organisme sous l'effet de radiations ou de produits chimiques. Bien que les évolutionnistes affirment que les êtres vivants ont évolué par des mutations, la majorité des savants s'accordent aujourd'hui pour dire que les mutations sont en réalité presque toujours nuisibles n'ayant d'autre effet que de causer des désordres dans les organismes. La fuite radioactive à Tchernobyl est une indication des effets nuisibles des mutations. Suite à ce désastre, de nombreuses personnes ont souffert de maladies comme la leucémie et de troubles importants comme les difformités à la naissance.

En dépit des effets négatifs des mutations, le néo-darwinisme a mis en avant deux concepts comme "mécanismes évolutionnistes", dont l'un est la mutation. Par conséquent, les savants ont voulu à tout prix prouver que les mutations pouvaient avoir des effets bénéfiques sur les êtres vivants puisque la théorie de l'évolution le dit. Mais, comme on l'a expliqué ci-dessus, les mutations sont toujours nuisibles, et personne n'a jamais observé le moindre effet évolutionniste.

Les évolutionnistes inventent avec ténacité des modèles de mutation artificielle et travaillent depuis des décennies à observer une mutation avantageuse. Par exemple, on a provoqué des mutations chez des mouches à fruit un grand nombre de fois, dans l'espoir qu'elles puissent donner naissance à "une mutation améliorant le code génétique". Le résultat a été un fiasco total. L'évolutionniste Michael Pitman a fait la remarque suivante à propos de ces expériences importantes, quoique non concluantes :

Morgan, Goldschmidt, Muller et d'autres généticiens ont soumis des générations de mouches à fruit à des conditions extrêmes de chaleur, de froid, de lumière, d'obscurité, et à des traitements chimiques et à des radiations. Toutes sortes de mutations, pratiquement toutes insignifiantes ou positivement délétères, ont été produites. L'évolution fabriquée par l'homme ? Pas vraiment : seuls quelques-uns des monstres des généticiens purent survivre en dehors des bouteilles où ils étaient engendrés. En pratique les mutants meurent, sont stériles, ou tendent à retourner au type sauvage.24

Le célèbre évolutionniste Gordon Taylor a également indiqué que 50 ans ont été perdus dans des expériences de mutations :

Parmi les milliers d'expériences de reproduction de mouches menées partout dans le monde depuis plus de cinquante ans, aucune nouvelle espèce distincte n'est jamais apparue… Ni même une nouvelle enzyme.25

Les arguments évolutionnistes dans les autres domaines scientifiques n'ont pas été différents. Néanmoins, les évolutionnistes plaident en faveur du darwinisme malgré toutes les preuves scientifiques, et ils présentent ensuite leur obstination comme de la "persévérance scientifique". Ce qu'ils mettent en œuvre, cependant, n'est pas de la persévérance scientifique, mais de la résistance à la science qui ne cadre pas avec leur propre imagination.

L'impasse des fossiles
Un autre exemple de perte de temps que la théorie évolutionniste a causée à la science est l'impasse obscure dans laquelle la paléontologie a été poussée. Il ne fait aucun doute que les études paléontologiques sont essentielles pour nous éclaircir sur l'histoire de la vie sur terre. Les préconceptions erronées de la théorie de l'évolution ont cependant eu un effet négatif sur le recherche des fossiles et ont induit en erreur les chercheurs. On constate alors que nombre de paléontologistes enquêtant sur l'"origine de l'homme" se retrouvent dans une impasse : toutes les recherches menées pour découvrir une créature mi-singe/mi-homme ont été une perte totale de temps.

On doit mentionner que les fouilles de fossiles sont menées dans des conditions très difficiles et nécessitent d'importants budgets. Les fouilles conduites depuis un siècle et demi, dans des régions comme les déserts africains, par des équipes importantes de chercheurs, dressant des camps pendants des mois sous un soleil brûlant, et avec des budgets dépassant des milliards de dollars, n'ont présenté aucun résultat concret. Le célèbre chercheur de fossiles, Richard Leakey, et le célèbre écrivain Roger Lewin, firent la confession suivante concernant le manque de conclusions de ces recherches :

Si quelqu'un se donne la peine de réunir dans une même pièce tous les restes fossiles de nos ancêtres (et de leurs parents biologiques) découverts jusqu'ici, qui vivaient il y a disons entre un et cinq millions d'années, il n'aurait besoin que d'une paire de tréteaux pour les poser tous sur une table. Et si ce n'était pas suffisant, une boite à chaussures pas exceptionnellement spacieuse serait plus que suffisante pour recevoir les découvertes de fossiles d'hominidés d'il y a six à quinze millions d'années !26

Tout ceci n'a été qu'une perte de temps, de connaissances, de travail, d'argent et d'autres ressources, menée soi-disant au nom de la "science". A travers le monde entier, des milliers d'universités, d'institutions scientifiques et d'organisations, des millions de savants, de professeurs et d'étudiants, de techniciens de laboratoires, des équipements technologiques et d'innombrables ressources ont été mis au service d'une fausse allégation et l'hypothèse avancée n'a pas été prouvée. C'est ici qu'on doit parler de crime contre l'humanité d'autant plus que de nouvelles découvertes continuent d'exposer la fausse route de l'hypothèse évolutionniste. Le scientifique évolutionniste S.J. Jones explique dans un article publié dans le magazine Nature, la situation difficile de la paléoanthropologie dans la recherche de l'origine de l'homme par l'étude des fossiles :

Les paléoanthropologues semblent dresser la liste des fossiles manquants avec un excès d'acharnement, et cela doit être aujourd'hui la seule science dans laquelle il est possible de devenir célèbre en ayant juste une opinion. Comme quelqu'un de cynique l'a dit, dans la paléontologie humaine le consensus dépend de celui qui crie le plus fort.27

Les pertes causées à la science par ceux qui nient "la conception parfaite dans la nature"
Nier le fait de la création, c'est-à-dire la "conception dans la nature", signifie en réalité gêner la recherche scientifique. Un savant qui a conscience de l'existence d'une conception dans la nature s'embarque dans ses études avec comme but de recherche cette conception et cette intention. Par contre, un évolutionniste n'aura pas cet objectif puisqu'il considère la nature comme étant un assemblage inutile de matière.

Le physicien et philosophe américain William Dembski est un autre scientifique qui affirme qu'il y a une "conception" dans la nature. Dembski montre que le point de vue évolutionniste, en niant l'existence d'une intention dans la nature, freine les progrès scientifiques. Il cite le terme des évolutionnistes d'"ADN poubelle" comme exemple (selon une hypothèse des savants évolutionnistes, l'ADN poubelle correspond à des composants de l'ADN qui n'incluent aucune information génétique et donc n'ont aucune fonction génétique apparente). Dembski remarque :

… La conception n'est pas une entrave pour la science. En fait, la conception peut encourager les recherches là où les approches évolutionnistes traditionnelles la gênent. Réfléchissez au terme "ADN poubelle". Ce qui est implicite dans ce terme est l'idée que puisque le génome d'un organisme a été façonné via un long processus d'évolution non dirigé, il est constitué d'un assemblage hétéroclite dont seules quelques portions sont essentielles à l'organisme. Ainsi, suivant un point de vue évolutionniste, on s'attend à une grande quantité d'ADN inutile. Si, d'un autre côté, les organismes sont conçus, on s'attend à ce que l'ADN fasse preuve autant que possible de fonctions. Et en réalité, les découvertes les plus récentes suggèrent que désigner l'ADN comme "poubelle" masque simplement notre manque actuel de connaissances sur ses fonctions. Par exemple, dans un numéro récent du Journal of Theoretical Biology, John Bodnar décrit comment "l'ADN non codant dans les génomes eucaryotes encode un langage qui programme la croissance et le développement de l'organisme". La conception encourage les savants à rechercher une fonction là où l'évolution la décourage… Admettre la conception dans la science ne peut qu'enrichir l'entreprise scientifique. Tous les outils de la science demeureront intacts. Mais la conception ajoute un nouvel instrument à la boîte à outils des explications des savants. De plus, la conception amène tout un ensemble de questions auxquelles la recherche doit répondre. Une fois que l'on sait qu'une chose a été conçue, on voudra savoir comment elle a été produite, à quel point la conception est optimale, et quel est son but.28

Il est évident qu'avoir la conscience du fait que les êtres vivants sont créés par Dieu ouvre de nouvelles voies à la science, et contribue également à une meilleure compréhension de la nature.

Mais les savants matérialistes, en niant la puissance créatrice de Dieu, affirment que toutes les formes de vie dans la nature sont le résultat d'événements fortuits. Selon eux, l'existence de "conceptions aberrantes" ou de "produits inutiles" est assez naturelle dans un univers qui est l'œuvre des coïncidences. Au fil des années, ce point de vue erroné a mené à une mauvaise interprétation des données scientifiques, empêchant ainsi la découverte d'un grand nombre de vérités. Par exemple, un scientifique matérialiste examinant une plume d'oiseau qu'il a découverte dans la nature décide, en étudiant la structure asymétrique de la plume, qu'elle est déformée car elle est apparue par hasard. Ainsi, il ne ressent pas le besoin d'étudier la structure asymétrique de la plume. Mais pour un scientifique qui croit que Dieu a créé toutes les formes de vie avec une intention

spécifique, et selon une conception parfaite, le schéma asymétrique d'une plume d'oiseau est un trait important qui mérite un examen attentif. Un savant tel ce dernier verra rapidement que la forme asymétrique des plumes d'oiseaux est nécessaire pour le vol, et que les oiseaux avec des formes de plumes symétriques sont incapables de voler.

Des exemples de ce type sont communs dans le monde de la science. Les savants qui étudiaient les abeilles eurent une expérience similaire. Certains d'entre eux, après avoir calculé les angles formés par les abeilles pour assembler les nids d'abeilles, ont trouvé que deux angles ne différaient de l'angle optimal que de 0,020 (les mesures montrèrent que les angles formés par les abeilles sont de 109,28 et 70,32 degrés, alors que par des calculs très compliqués, le mathématicien Konig a trouvé que les angles optimums étaient dans ce cas de 109,26 et 70,34). Les savants travaillant sur le sujet ont conclu que les abeilles faisaient une erreur par cette fraction minuscule. Le mathématicien écossais Colin Maclaurin (1698-1746), insatisfait de cette explication, a décidé d'étudier la question de zéro et avec minutie. Il a montré qu'à la suite d'une petite faute d'impression dans les tables logarithmiques, le résultat obtenu précédemment avait été décalé d'exactement deux minutes de degrés.29 Donc, il a été révélé que ce sont les abeilles qui avaient calculé l'angle optimal correctement, et non les savants !

Une personne qui a conscience que Dieu a créé tous les êtres vivants selon une forme parfaite, ne suppose jamais qu'il puisse y avoir une aberration dans la conception d'un objet de la nature. Il sait que chaque détail est créé par Dieu dans un but spécifique.

Une autre fausse idée, adoptée par les savants qui ne croient pas en la création parfaite de Dieu, est encore liée aux abeilles. Le New Scientist (12 octobre 1996) a publié une nouvelle de Ben Crystall, où il affirme que les abeilles battent des ailes excessivement et donc que leur vol est inefficace. Selon cet article, les abeilles battent des ailes parfois rapidement et parfois lentement, mais leur vol s'effectue à la même vitesse, et donc elles perdent de l'énergie quand elles battent des ailes rapidement. Selon l'auteur, c'est une erreur de conception.

Une équipe menée par Jon Harrison, de l'Université de l'Etat de l'Arizona, a publié des découvertes dans Science (vol. 274, 1996, p. 88) qui suggèrent qu'il y a de bonnes raisons dans les différences de fréquences de battement des ailes des abeilles. Tout en changeant la température de l'environnement, la température corporelle de l'abeille, la fréquence de ces battements d'ailes et son rythme métabolique furent mesurés. On a trouvé que lorsque la température monte de 20 à 40°C, la fréquence de battement des ailes diminue. Ainsi, les recherches ont révélé que les abeilles battent des ailes moins fréquemment dans un climat chaud, et inversement dans un climat froid. Pourtant, il n'y a aucun changement dans la vitesse de leur vol. Elles gardent leur corps chaud, ainsi que la ruche, avec l'énergie qu'elles génèrent en battant des ailes plus fréquemment dans un climat froid. Finalement, il s'ensuit que les ailes des abeilles ont une fonction double : le vol et la génération de chaleur.

Un autre sophisme mis en avant par les savants évolutionnistes, qui ne croient pas que Dieu a créé les êtres vivants distinctement et parfaitement sous leurs formes actuelles, est la question des "organes résiduels". Les évolutionnistes, qui affirment que tous les êtres vivants ont évolué à partir d'un ancêtre par le seul jeu du hasard, croient qu'il existe des "organes non fonctionnels" dans le corps humain, hérités des ancêtres, et qui sont devenus inutiles au fil du temps car ils n'étaient pas utilisés. Les savants qui ne croient pas en l'attribut créatif de Dieu, ont causé beaucoup de tort à l'étude scientifique de ces organes qu'ils supposaient non fonctionnels. Au fil des progrès de la science, on a compris que ces organes soi-disant non fonctionnels sont en réalité essentiels pour le corps humain. La diminution progressive de la longue liste des évolutionnistes défenseurs de cette question est la meilleure indication de la fausseté de cette idée. S.R. Scadding, lui-même évolutionniste, contribua à ce fait dans son article intitulé "Est-ce que les organes résiduels constituent une preuve pour l'évolution ?", publié dans le magazine Evolutionary Theory:

Puisqu'il n'est pas possible d'identifier sans ambiguïté des structures inutiles, et puisque la structure de l'argument utilisé n'est pas scientifiquement valable, je conclus que les "organes résiduels" ne fournissent aucune preuve particulière pour la théorie de l'évolution.30 La liste des organes résiduels, compilée par l'anatomiste allemand R. Wiedersheim en 1895, est constituée d'environ 100 organes, incluant l'appendice et le coccyx. Avec l'avancée de la science, le nombre d'organes dans la liste de Widersheim a progressivement diminué, et on a vu que ces organes avaient en réalité des fonctions très importantes dans le corps. Par exemple, on a découvert que l'appendice, que l'on supposait être un "organe résiduel", est en fait un organe lymphoïde qui combat les infections dans le corps. On a aussi découvert que les amygdales, qui étaient inclues dans la même liste d'organes résiduels, ont un rôle significatif dans la protection de la gorge contre les infections, particulièrement jusqu'à l'adolescence. On a trouvé que le coccyx, à l'extrémité inférieure de la colonne vertébrale, soutient les os autour du pelvis, et qu'il est le point de convergence de certains petits muscles. Dans les années qui suivirent, on vint à comprendre que le thymus déclenche le système immunitaire dans le corps humain en activant les cellules T, que la glande pinéale est en charge de la sécrétion de certaines hormones importantes, et les fonctions de bien d'autres organes soi-disant non fonctionnels furent également découvertes. Le pli semi-lunaire de la conjonctive, qui était rapporté par Darwin comme étant un organe résiduel, est en fait en charge du nettoyage et de la lubrification de l'œil.

Tous ces exemples montrent un seul fait : pour que la recherche scientifique soit efficace et rapide, elle doit se fonder sur des bases correctes. Dieu a tout créé avec une certaine intention, avec une conception parfaite et inimitable. Par conséquent, le but ultime d'un chercheur étudiant la nature devrait être de découvrir les détails de cette perfection dans toutes les choses et d'explorer les buts cachés de chaque phénomène qu'il rencontre.

Les effets négatifs produits sur les savants évolutionnistes et athées en sachant que leurs efforts sont vains
En fait, mener des recherches importantes et étudier des hypothèses trompeuses et non concluantes est tout aussi épuisant émotionnellement pour les savants évolutionnistes. Quand ils viennent à comprendre que la majorité des recherches auxquelles ils ont consacré leur vie est futile et inutile, ils ressentent un grand désespoir. Mener des recherches scientifiques requiert de l'abnégation et une grande discipline. Effectuer de longues expériences et observations en laboratoire, pour un principe dont ils savent qu'il ne mènera jamais à rien, et pour découvrir l'exact opposé de l'hypothèse qu'ils voulaient prouver, est certainement bouleversant pour ces savants.

Dans son livre La boîte noire de Darwin, dans lequel il discute de l'invalidité scientifique du darwinisme, le célèbre biochimiste Michael Behe décrit la psychologie des savants évolutionnistes confrontés à la réalité de la "conception" apparente dans la cellule vivante :

Ces quatre dernières décennies, la biochimie moderne a révélé les secrets de la cellule. Les progrès ont été difficiles à atteindre. Cela a nécessité que des dizaines de milliers de personnes dédient les meilleurs moments de leur vie au travail fatigant du laboratoire… Le résultat de ces efforts cumulés pour étudier la cellule - pour étudier la vie au niveau moléculaire - est un cri fort, clair et perçant de "conception" ! Le résultat est tellement sans ambiguïté et tellement signifiant qu'il doit être classé comme le plus grand accomplissement de l'histoire de la science. Ce triomphe de la science doit évoquer des cris de "Eurêka" provenant de dizaines de milliers de bouches.

Mais aucune bouteille n'a été débouchée, aucun applaudissement ne s'est fait entendre. A la place, un silence curieux, embarrassé, entoure la complexité absolue de la cellule. Quand le sujet est abordé en public, les pieds commencent à remuer, la respiration se fait plus laborieuse. En privé, les gens sont un peu plus détendus ; beaucoup admettent explicitement l'évidence mais baissent ensuite les yeux, hochent la tête, et ne vont pas plus loin. Pourquoi la communauté scientifique n'embrasse-t-elle pas avidement cette découverte ? Pourquoi l'observation d'une conception est-elle maniée avec des gants intellectuels ? Car accepter la conception intelligente, revient à accepter l'existence de Dieu.31

Certains évolutionnistes dans la communauté scientifique ont admis souffrir d'un tel désespoir. Par exemple, le paléontologiste Dr. Colin Patterson, paléontologiste du Musée Britannique d'Histoire Naturelle, et aussi l'auteur du livre intitulé Evolution, a fait les commentaires suivants dans un discours lors de l'inauguration du Musée d'Histoire Naturelle à New York :

La question est : pouvez-vous m'apprendre quelque chose sur l'évolution, la moindre chose qui soit vraie ? J'ai essayé cette question sur le personnel de géologie au Field Museum of Natural History et la seule réponse que j'ai obtenue fut le silence… Puis je me suis réveillé et j'ai réalisé que toute ma vie j'ai été dupé en prenant l'évolution comme une vérité.32

Plus loin dans le même discours, Patterson nota également :

Une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à adopter ce point de vue anti-évolutionniste, ou appelons-le plutôt non évolutionniste, est que l'année dernière j'ai soudainement réalisé que pendant plus de vingt ans j'ai pensé que je travaillais sur l'évolution de quelque manière que ce soit. Un matin je me suis réveillé et quelque chose s'était passée au cours de la nuit. J'ai été frappé par le fait que je j'avais travaillé sur cette chose pendant vingt ans et que je ne connaissais pas une seule chose à son sujet. C'est vraiment choquant d'apprendre que quelqu'un peut être induit en erreur pendant si longtemps.33

L'évolutionniste Dr. N. Heribert-Nilsson, directeur de l'Institut Botanique à l'Université Lund en Suède, a confessé avoir perdu plus de 40 années pour rien lorsqu'il a dit : "Ma tentative de démontrer l'évolution par une expérience menée depuis plus de 40 ans a complètement échoué."34 Ces exemples individuels montrent à quel point la science a souffert en poursuivant la recherche d'une théorie fausse. Depuis des décennies, les connaissances, le temps, l'énergie, le travail, les laboratoires, les assistants et les ressources financières payées a des milliers de chercheurs ont été gaspillés dans de fausses tentatives pour soutenir le mythe de l'évolution.

Il est très intéressant de noter que mis à part les évolutionnistes de notre époque, Charles Darwin, le fondateur de la théorie lui-même, s'est inquiété souvent de "passer son temps pour rien", et qu'"il serait finalement déçu". Darwin a parlé à plusieurs reprises de ses inquiétudes sur ce point dans ses lettres à ses amis ou dans ses articles. Dans une de ces lettres, il a confessé qu'il n'y a aucune preuve dans la nature permettant de soutenir sa théorie :

Toute la nature est perverse et elle ne fera pas comme je le souhaite.35

Le manque de confiance de Darwin est aussi manifeste dans les paroles suivantes :

Néanmoins je doute que le travail (d'écrire L'origine des espèces) valait le temps que j'y ai consacré.36

Evidemment, une fausse théorie, si elle n'est défendue que pour des raisons idéologiques, cause également détresse et désespoir parmi ses partisans. Ce sont les conséquences inévitables de placer la science sur un mauvais chemin.

Les pertes causées à la science par les fraudes évolutionnistes
Comme les évolutionnistes ont été incapables de découvrir des preuves pour soutenir leur théorie, ils trompent régulièrement l'humanité en déformant leurs recherches scientifiques et en commettant des canulars. Le canular le plus notoire fut le scandale de "l'Homme de Piltdown". Incapables de découvrir des fossiles de leurs soi-disant créatures mi-singe/mi-humain, dont ils prétendaient qu'elles avaient existé, les évolutionnistes décidèrent finalement d'en fabriquer une eux-mêmes. En montant la mâchoire d'un orang-outang sur un crâne humain, et en lui donnant un aspect âgé grâce à des traitements chimiques, ils exhibèrent le crâne pendant des années dans les musées les plus célèbres du monde, comme un "ancêtre humain".

F. Clark Howell, lui-même évolutionniste, décrit les préjudices que cette fraude a causés à la science :

On découvrit en 1953 que Piltdown n'était rien de plus qu'une mâchoire de singe placée sur un crâne humain. C'était un canular fabriqué à dessein.

Ils ne reconnurent ni la mâchoire comme étant celle d'un singe ni le crâne comme celui d'un humain. Au lieu de cela, ils déclarèrent chaque partie comme appartenant à un être entre un singe et un humain. Ils le datèrent de 500.000 ans, lui donnèrent un nom (Eoanthropus Dawsoni ou "Homme de l'aube") et écrivirent quelques 500 livres à son sujet. La "découverte" dupa les paléontologistes pendant quarante ans.37

Les paroles de ce savant sont vraiment remarquables. Une fausse pièce-preuve a dupé la communauté scientifique pendant 40 ans. Le fait que 500 livres furent écrits sur un crâne frauduleux est une indication flagrante des efforts gâchés.

L'auteur d'une autre fraude évolutionniste, Ernst Haeckel, n'a pas seulement confessé sa contrefaçon, il a fait également référence aux déformations commises par ses collègues afin de perpétuer leurs différentes idéologies :

Après cette confession compromettante de "contrefaçon" je devrais me sentir obligé de me considérer condamné et anéanti si je n'avais pas la consolation de voir à mes côtés sur le banc des accusés des centaines de collègues coupables, avec parmi eux les observateurs les plus dignes de confiance et les biologistes les plus estimés. La grande majorité des diagrammes des meilleurs manuels, des traités et des journaux de biologie encourent le même degré de charge de "contrefaçon", car ils sont tous inexacts, et sont plus ou moins construits, falsifiés et schématisés.38 Les tentatives de faire des observations, des expériences et des recherches en accord avec l'évolution, ainsi que la dissimulation des vérités, ou leur présentation déformée, ont certainement été des obstacles sérieux au progrès scientifique. L'écrivain évolutionniste W.R. Thompson admit ce fait, bien qu'indirectement, avec ces paroles :

Cette situation où des hommes scientifiques se rallient à la défense d'une doctrine qu'ils sont incapables de définir scientifiquement, encore moins de démontrer avec une rigueur scientifique, essayant de maintenir son crédit face au public en supprimant les critiques et les difficultés, est anormale et indésirable dans la science.39

La chose la plus intéressante est que toutes les études et les expériences que les évolutionnistes font pour prouver l'évolution aboutissent au bout du compte à des preuves qui soutiennent le fait de la création.

Les découvertes scientifiques prouvent toujours le fait de la création
Comme on l'a mentionné au début de ce chapitre, quand la science est guidé par des idéologies fausses, le temps, l'argent et le travail sont dépensés inutilement. Depuis le 18ème siècle, la science s'est trouvée sous l'influence des matérialistes, et presque toutes les recherches furent menées pour apporter des preuves scientifiques à la philosophie matérialiste. Par conséquent, les preuves scientifiques allant contre la philosophie matérialiste furent soit cachées soit présentées de manière déformée.

De plus, chaque étude et expérience faite par les évolutionnistes pour prouver l'évolution ont apporté des preuves supplémentaires en faveur de la création. La science est relativement simple et sans difficultés pour ceux qui croient en l'existence de Dieu. Etudier un phénomène en sachant qu'il existe, et en rechercher des preuves, ne causera aucun problème pour les scientifiques. A l'opposé, rechercher des preuves inexistantes est "fatiguant" et "ennuyeux" comme ils l'attestent eux-mêmes.

Un des exemples les plus flagrants de cela est donné par les trouvailles paléontologiques de la période du cambrien. C'est le nom donné à la période datant d'environ 550 millions d'années, et au cours de laquelle les premiers signes de vie ont été rapportés. Toutes les formes de vie qui existaient à cette époque étaient des créatures pleinement développées possédant des systèmes hautement complexes. Par exemple, une créature, aujourd'hui éteinte, appelée trilobite possédait une structure d'œil composé très compliqué. Constitué de 100 lentilles, cette structure optique est identique à celle de certains insectes modernes comme la libellule. Ce qui est "gênant" pour les évolutionnistes est que cette créature, affichant des structures complexes, est apparue à cette période d'un coup et sans ancêtre. Ces faits scientifiques montrent clairement du doigt la création.

Richard Dawkins, célèbre savant évolutionniste et zoologiste britannique, estime que les découvertes scientifiques sont logiquement en faveur du fait de la création. Voilà comme il l'explique :

Par exemple la strate de rochers du cambrien, datant d'environ 600 millions d'années, est la plus vieille dans laquelle nous trouvons la plupart des groupes majeurs d'invertébrés. Et nous trouvons la plupart d'entre eux dans un état avancé d'évolution, la première fois qu'ils apparaissent. C'est comme s'ils avaient été installés là, sans aucune histoire évolutionniste. Il est inutile de dire que cette apparition soudaine a réjoui les créationnistes.40

Cet état de non conclusion dans le domaine de la paléontologie est l'une des handicaps les plus graves de la théorie de l'évolution. Comme on l'a énoncé plusieurs fois, les savants évolutionnistes ont fourni leurs meilleurs efforts pendant des décennies pour trouver des formes de créatures en transition entre deux espèces, qui fourniraient des preuves d'une évolution.

Ils n'ont obtenu aucun résultat concret car de telles créatures n'ont jamais existé sur terre. Le paléontologiste évolutionniste, Mark Czarnecki, fait le commentaire suivant sur l'échec des évolutionnistes de trouver les fossiles des formes de transition qu'ils recherchent : Un problème majeur pour prouver la théorie concerne les archives fossiles ; les empreintes d'espèces disparues conservées dans les formations géologiques de la Terre. Ces archives n'ont jamais révélé de traces des variantes intermédiaires hypothétiques de Darwin - au contraire, les espèces apparaissent et disparaissent soudainement, et cette anomalie a alimenté l'argument créationniste que chaque espèce a été créée par Dieu.41 Lire entre les lignes des phrases de certains évolutionnistes révèle que chaque tentative pour rechercher une justification scientifique pour l'évolution s'est révélée infructueuse, et a échoué dans l'obtention de conclusions bien déterminées. Au contraire, chaque étude menée par les scientifiques évolutionnistes pour confirmer la notion que chaque chose apparaît grâce au hasard indique une vérité irrémédiable : la réalité que tous les êtres vivants sont créés de façon parfaite par Dieu, le Seigneur des cieux et de la terre.

Conclusion
Notre environnement immédiat, ainsi que l'univers dans lequel nous vivons, abonde de signes montrant le fait de la création. Sont implicites dans le système fascinant d'un moustique, dans l'art magnifique des ailes d'un paon, dans un organe complexe et fonctionnant parfaitement comme l'œil, et dans les millions d'autres formes de vie, les signes de l'existence de Dieu, de Sa sagesse et de Son savoir suprêmes, pour les gens qui croient. Un savant qui affirme que la création est un fait, voit la nature sur cette base ; il prend du plaisir dans chaque observation qu'il réalise, dans chaque expérience qu'il mène, et y trouve l'inspiration pour d'autres études.

Par contre, croire à un mythe comme l'évolution, et y adhérer malgré les contredits de la science, mène au désespoir. L'harmonie de l'univers et la conception des êtres vivants deviennent alors une grande source de troubles. Les paroles suivantes de Darwin nous offrent un aperçu des sentiments de la plupart des évolutionnistes :

Je me rappelle parfaitement du temps où penser à un œil me faisait frissonner, mais j'ai dépassé ce stade de plaintes… et maintenant des détails insignifiants de certaines structures me mettent mal à l'aise. La vue d'une plume dans la queue d'un paon, quand je la regarde fixement, me rend malade !42

Les plumes d'un paon, ainsi que d'innombrables autres signes de la création dans la nature, continuent d'embarrasser les évolutionnistes. Se détournant de ces miracles évidents, ils développent une ambivalence envers de telles vérités, accompagnée de dénégation. Un bon exemple est celui du célèbre évolutionniste Richard Dawkins, qui va jusqu'à interpeller les chrétiens en leur disant qu'ils ne doivent pas présumer être témoins d'un miracle, même s'ils voyaient la statue de la Vierge Marie flotter vers eux. Selon Dawkins, "peut-être que tous les atomes de la statue se sont déplacés en une fois dans la même direction - c'est sûr que c'est un événement peu probable, mais possible".43

Pour que la science progresse, ces survivants du 19ème siècle doivent être écartés, et les savants à la libre pensée doivent être assez courageux pour admettre que les faits tels qu'ils les comprennent ont leur place en science.


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LA RELIGION ET LA SCIENCE SONT TOUJOURS EN ACCORD LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE LA RELIGION ET LA SCIENCE SONT TOUJOURS EN ACCORD
Les matérialistes, tentant de masquer leur défaite par la science, ont souvent recours à différentes méthodes de propagande. La plus importante est le cliché du "conflit entre la science et la religion", employée couramment par les publications matérialistes. Ces sources traitent d'histoires fictives, en suggérant qu'à travers l'histoire la religion a toujours été contre la science, et que la science ne peut progresser que si la religion est éliminée.

Un coup d'œil rapide à l'histoire de la science sera cependant suffisant pour exposer la fausseté de cette affirmation.

Quand on regarde l'histoire de l'Islam, on voit que la science fut introduite au Moyen-Orient en même temps que le Coran. Les Arabes pré-islamiques croyaient en toutes sortes de superstitions et ouï-dire, et ne faisaient aucune recherche sur l'univers ou la nature. Avec l'Islam, cette communauté s'est civilisée. Elle a commencé à acquérir des connaissances de haute valeur sur la base des commandements du Coran et à examiner le monde autour d'elle. Pas seulement les Arabes, mais d'autres nations, comme les Iraniens, les Turcs et les Nord-africains, se sont aussi éclairés après avoir embrassé l'Islam. L'utilisation de la raison et de l'observation ordonnée par le Coran a donné naissance à une grande civilisation aux 9ème et 10ème siècles. De nombreux savants musulmans vivant à cette période ont fait des découvertes significatives dans un certain nombre de disciplines, comme l'astronomie, les mathématiques, la géométrie et la médecine.

L'importance donnée au savoir en Islam est également évidente dans les traditions (hadiths) du Prophète de l'Islam (pbsl). Il existe de nombreux hadiths encourageant les musulmans à rechercher le savoir et à le propager. En voici certains :

Celui qui chemine sur une voie à la poursuite du savoir, Dieu lui fait suivre une voie vers le jardin (le paradis)… Les savants sont les héritiers des prophètes, car les prophètes n'ont pas laissé derrière eux un héritage de richesses mais de savoir. Donc quiconque participe à cela en tire un bénéfice abondant.44

Un croyant n'est jamais rassasié de savoir ; il essaye d'en acquérir jusqu'à sa mort et son entrée au paradis.45

On raconte que le Prophète (pbsl) avait l'habitude de dire après la prière de l'aube : "O Dieu, je Te demande des connaissances bénéfiques, des actions acceptables et de bonnes provisions."46

Jouant un rôle important dans le transfert des connaissances scientifiques en Europe, et ayant produit de nombreux savants musulmans à elle seule, l'Andalousie a été un creuset pour des découvertes révolutionnaires et des progrès scientifiques, particulièrement dans le domaine de la médecine.

Les médecins musulmans ne se spécialisaient pas dans un seul domaine, ils entreprenaient des études sur de nombreux sujets, y compris la pharmacologie, la chirurgie, l'ophtalmologie, la gynécologie, la physiologie, la bactériologie et l'hygiène. Un des médecins andalous les plus réputés était Ibn Juljul (?-992) : il a fait des études approfondies sur les herbes médicinales, et produit des ouvrages sur l'histoire de la médecine et les herbes médicinales. Un autre médecin distingué de l'époque était

Abu Ja'far Ibn al-Jazzar (?-1009) de Tunisie : il a maîtrisé la science de la thérapie par les drogues pour le traitement de symptômes et maladies spécifiques et produit plus de 30 livres. Abd al-Latif al-Baghdadi (1162-1231) est connu pour ses études en anatomie. Il a corrigé les erreurs faites dans le passé dans les études anatomiques de certains os du corps, comme la mâchoire et les os de la poitrine. Le livre de Baghdadi, Al-Ifade ve'l Itibar, a été republié en 1788 et traduit en latin, en allemand et en français. Son livre Makalatun fi'l Havas traite des cinq sens.

Les anatomistes musulmans ont déterminé correctement le nombre d'os dans le crâne humain, et découvert l'existence des trois osselets de l'oreille.

Un des principaux savants musulmans travaillant en anatomie était Ibn Sina (980-1037), connu sous le nom d'Avicenne en Occident. Instruit en littérature, en mathématique, en géométrie, en physique, en sciences naturelles, en philosophie et en logique, dans sa jeunesse Ibn Sina n'était pas seulement connu en Orient mais aussi en Occident. Son ouvrage le plus populaire, al-Qanun fi al-Tibb, connu comme le "Canon" en Occident, a été écrit en arabe, et après sa traduction en latin au 12ème siècle, il est devenu le manuel des écoles en Europe jusqu'au 17ème siècle. Le Canon traite de maladies et de drogues de manière systématique. A côté de cela, Ibn Sina a écrit plus de 100 livres sur la philosophie et les sciences naturelles. Une part significative des connaissances médicales inclues dans le Canon est toujours acceptée de nos jours.

Zakariya Qazwini a énuméré les nombreuses croyances erronées concernant le cœur et le cerveau et qui avaient été enseignées depuis Aristote. Les faits qu'il a fournis sur le cerveau et le cœur sont très proches de notre savoir actuel.

Les ouvrages d'anatomie de Zakariya Qazwini, Hamdullah al-Mustaufi al-Qazwini (1281-1350), et Ibn al-Nafis, ont posé les fondations de la médecine moderne. Ces savants ont démontré, dès le 13ème et 14ème siècles, les relations entre le cœur et les poumons, que les artères transportent du sang oxygéné, et que les veines transportent du sang désoxygéné, que le sang est oxygéné dans les poumons, et que le sang oxygéné qui retourne au cœur est transporté au cerveau et à d'autres organes du corps via l'aorte.

Le premier livre de l'ouvrage en trois volumes de Ali Bin Isa (?-1038)

sur les maladies ophtalmologiques, intitulé Tadhkiratou-l-Kahhaline fi-l-Ayni wa Amraadhi-haTezkiratu'l, est entièrement dévoué à l'anatomie de l'œil et inclut des informations très détaillées. L'ouvrage fut traduit en latin et en allemand.

Mohammed ibn Zakariyya ar Razi (Rhazes) (865-925), Burhan al-din Nafis (?-1438), Isma'il Jurjani (?-1136), Qutb al-Din al-Shirazi (1236-1310), Mansur ibn Mohammed, Abu al-Qasim al-Zahrawi (Albucasis) sont quelques-uns des savants musulmans réputés pour leurs études en astronomie, en mathématique, en médecine et en anatomie.

Par ailleurs, de nombreux savants musulmans ont apporté de grandes contributions à des disciplines autres que la médecine et l'anatomie. Par exemple, al-Biruni savait que la Terre tourne autour de son propre axe, 600 ans avant Galilée, et il a déterminé la circonférence terrestre 700 ans avant Newton. Ali Kuscu, un scientifique du 15ème siècle, a été le premier à faire une carte de la Lune, et une région de la Lune porte son nom.

Thabit ibn Qurrah (Thebit), qui vivait au 9ème siècle, a inventé le calcul différentiel des siècles avant Newton. Battani, un scientifique du 10ème siècle, est le premier développeur de la trigonométrie. Abul Wafa Muhammad al-Buzjani a introduit les termes de "sécante-cosécante" pour la première fois en trigonométrie. Al-Khwarizmi a écrit le premier livre d'algèbre au 9ème siècle. Al-Maghribi a inventé l'équation connue aujourd'hui sous le nom de triangle de Pascal, quelques 600 ans avant Pascal. Ibn al-Haitham (Alhazen), qui vivait au 11ème siècle, est le fondateur de l'optique. Roger Bacon et Kepler ont utilisé ses travaux, et Galilée a inventé le télescope en s'y référant. Al-Kindi (Alkindus) a introduit la physique relative et la théorie de la relativité environ 1.100 ans avant Einstein. Shams al-din, qui a vécu 400 ans avant Pasteur, a été le premier à découvrir l'existence des germes microbiens, tandis que Ali ibn al-Abbas, 10ème siècle, a été le premier à faire de la chirurgie cancéreuse. Dans le même siècle, Ibn el Jessar a introduit les raisons et les méthodes du traitement de la lèpre. Ces savants musulmans, dont on n'a cité ici que quelques exemples, ont fait des découvertes importantes qui ont posé les fondations de la science moderne.

Quand on regarde la civilisation occidentale, on s'aperçoit que l'avènement de la science moderne a coïncidé avec la foi en Dieu. Le 17ème siècle, connu sous le nom d'"âge de la révolution scientifique", foisonne de savants dont le principal but était l'exploration de l'univers et de la nature que Dieu a créés. Tous les instituts scientifiques établis dans différents pays, comme l'Angleterre et la France, avaient pour principal but de "se rapprocher de Dieu en découvrant Ses lois". Cette tendance a fait son chemin au 18ème siècle. Certains des savants connus pour leur foi en Dieu ont apporté des contributions significatives au monde de la science : c'étaient Newton, Kepler, Copernic, Bacon, Galilée, Pascal, Boyle, Paley et Cuvier, pour n'en nommer que quelques-uns. (Pour plus de détails, cf. le chapitre "Les savants de foi")

Ces savants croyaient en Dieu et faisaient des recherches scientifiques avec une inspiration découlant de leur foi. Une des meilleures indications de cela fut les "Traités de Bridgewater", une série de publications parues en Angleterre au début du 19ème siècle. Un certain nombre de savants menaient des recherches dans des disciplines variées, et définissaient l'objet de leur étude comme étant "les signes de l'harmonie et de l'ordre que Dieu a créés dans l'univers et dans la nature". La méthode employée par ces savants est nommée "théologie naturelle", ce qui signifie "connaître Dieu par la nature".

Il s'agit du livre de William Paley, Natural Theology: Evidences of the Existence and Attributes of the Deity, Collected From the Appearances of Nature (Théologie naturelle : des preuves de l'existence et des attributs divins, rassemblées des apparences de la nature), publié en 1802, qui a été le pionnier des Traités de Bridgewater. Dans ce livre, Paley donne des exemples de conception chez les êtres vivants, révélant des connaissances en anatomie.

En prenant l'ouvrage de Paley comme modèle, un appel a été lancé aux membres de la Royal Society de Londres pour écrire, imprimer et publier un millier de copies d'un ouvrage "sur la puissance, la sagesse et la bonté de Dieu comme elles se manifestent dans la création, illustrant ce travail par tous arguments bien fondés comme, par exemple, la variété et la formation des créatures de Dieu, dans le royaume animal, végétal et minéral ; l'effet de la digestion et par là l'effet de la transformation des nutriments ; la construction de la main de l'homme et une variété infinie d'autres arguments ; ainsi que par les découvertes antiques et modernes dans l'art, les sciences, et toute l'étendue de la littérature moderne".

De nombreux savants ont répondu à cet appel pour explorer les signes de l'existence de Dieu. Les ouvrages produits en conséquence sont les suivants :

(1) ""The Adaptation of External Nature to the Moral and Intellectual Constitution of Man" (L'adaptation de la nature externe à la constitution intellectuelle et morale de l'homme), par Thomas Chalmers (1833)

(2) "Chemistry, Meteorology, and Digestion" (Chimie, météorologie et digestion), par William Prout, M.D. (1834)

(3) "History, Habits, and Instincts of Animals" (Histoire, habitudes et instincts des animaux), par William Kirby (1835)

(4) "The Hand, as Evincing Design" (La main, une conception évidente), par Sir Charles Bell (1837)

(5) "Geology and Mineralogy" (Géologie et minéralogie), par Dean Buckland (1837)

(6) "The Adaptation of External Nature to the Physical Condition of Man" (L'adaptation de la nature externe à la condition physique de l'homme), par J. Kidd, M.D (1837)

(7) "Astronomy and General Physics" (Astronomie et physique générale), par Dr. William Whewell (1839)

(8) "Animal and Vegetable Physiology" (La physiologie animale et végétale), par P.M Roget, M.D (1840)

Les Traités de Bridgewater ne sont qu'un exemple de la rencontre de la religion et de la science. La principale motivation derrière les études scientifiques, conduites à la fois avant et après ces ouvrages, était de connaître l'univers que Dieu a créé, et ainsi de percevoir Sa toute-puissance.

La déviation de la communauté scientifique de sa course initiale a commencé avec la prédominance de la philosophie matérialiste dans la culture occidentale du 19ème siècle, qui a été le résultat de certaines conditions politiques et sociales. Ce processus a trouvé sa pleine expression dans la théorie de l'évolution de Darwin, culminant, en contradiction directe avec le point de vue précédent, en une présentation de la science et de la religion comme deux sources conflictuelles de savoir.

Faisant référence à ce développement, des chercheurs britanniques, Michael Baigent, Richard Leigh et Henry Lincoln firent ce commentaire :

Pour Isaac Newton, un siècle et demi avant Darwin, la science n'était pas séparée de la religion mais, au contraire, était un aspect de la religion, et au bout du compte elle lui était subordonnée… Mais la science à l'époque de Darwin devint exactement cela, en divorçant du contexte dans lequel elle avait précédemment existé et en s'établissant comme un rival absolu, un dépôt alternatif de significations. Par conséquent, la religion et la science ne travaillèrent plus de concert, mais s'opposèrent l'une à l'autre, et l'humanité fut de plus en plus forcée de choisir entre les deux.47 Aujourd'hui, cependant, ce conflit forcé entre la religion et la science se trouve être contraire aux découvertes mêmes de la science. La religion déclare que l'univers a été créé à partir du néant, et la science a trouvé des preuves de ce fait. La religion nous enseigne que les êtres vivants sont créés par Dieu et la science nous a fourni des preuves de cela dans la conception découvertes chez les êtres vivants. Dans son livre, Nature's Destiny (La destinée de la nature), Michael Denton écrit : "La science, qui est depuis des siècles la grande alliée de l'athéisme et du scepticisme, est finalement devenue, en ces derniers jours du second millénaire, ce que Newton et bien d'autres de ses premiers partisans avaient souhaité avec ferveur, à savoir le 'défenseur de la foi anthropocentrique'".48

Cette conclusion atteinte par la science a aidé un nombre grandissant de savants à acquérir une forte croyance en Dieu. Le biochimiste réputé Michael Behe fait référence à ce fait quand il dit : "Accessoirement, les savants qui croient en Dieu ou en une réalité au-delà de la nature sont bien plus courants que ce que les histoires des médias populaires laissent à penser. Il n'y a pas de raison de penser que le chiffre de 90 pourcent de la population qui croit en Dieu soit différent pour les savants."49

Confrontés à la conclusion établie par la science, tout ce que peuvent faire les matérialistes est de créer une certaine pression, et de chercher à intimider le reste de la communauté scientifique. En Occident, un savant doit se conformer à certaines attentes afin d'être promu, de recevoir un doctorat quelconque (MD ou Ph D en anglais), ou pour voir ses articles publiés dans les journaux scientifiques. La condition première est d'accepter la théorie de l'évolution sans condition. Pour cette raison, certains savants sont forcés de soutenir des mythes darwinistes qu'ils rejettent en réalité car ne tenant pas compte des signes de la création. Dans un article publié dans le magazine Scientific American (septembre 1999) intitulé "Les savants et la religion en Amérique", Rodney Stark, sociologiste, Université de Washington, souligne la pression imposée aux savants :

Il y a eu 200 ans de marketing martelant qui veut que si vous voulez être une personne scientifique vous devez laisser votre esprit libre des chaînes de la religion. … Dans les universités de recherche, les gens religieux gardent leur bouche fermée. Et les gens irréligieux font de la discrimination. Il y a un système récompensant les gens irréligieux dans les échelons supérieurs.50

Une autre facette du combat systématique engagé par les matérialistes contre la science est la propagande mentionnée précédemment. Au centre de cette propagande se trouvent des devises comme "la religion est en conflit avec la science", ou "la science doit être matérialiste". Voyons maintenant pourquoi ces déclarations sont illogiques et non viables.

La réaction de l'Eglise médiévale contre les savants
Les cercles anti-religieux utilisent couramment les pratiques et les réactions errantes de l'Eglise médiévale comme une arme contre la religion. On dit que l'Eglise a retardé l'Europe et lui a infligé une grande misère. Dans ces efforts se trouve la tentative implicite d'associer l'Eglise médiévale à la religion, et de délivrer le message que "si la religion l'emporte, nous sombrerons dans les ténèbres du Moyen Age". La véritable religion ne se reflète cependant pas dans les pratiques et les réactions de l'Eglise catholique.

L'Eglise catholique, abandonnant la véritable révélation apportée par le Prophète Jésus, a adopté certaines pratiques irréligieuses. La science a indubitablement souffert aux mains de l'Eglise, laquelle était gouvernée par un clergé servant les intérêts particuliers d'une poignée de personnes, divorçant ainsi complètement de sa source divine. Ce développement historique ne peut cependant pas être attribué à la religion de l'Islam. L'Islam est basé, non sur les superstitions de son clergé, mais sur le Coran qui est la parole de Dieu.

Un exemple significatif, montrant que le fanatisme de l'Eglise catholique n'a rien à voir avec la foi, est la persécution par l'Eglise de savants pieux comme Galilée (les croyances de ces savants seront examinées en détail dans la seconde partie du livre). Cet exemple montre une fois de plus que les pressions exercées par les institutions religieuses sur la science ne sont pas une conséquence de la foi, mais la déformation de la religion.

Les critiques basées sur la Bible et la Torah
Un certain nombre de matérialistes, qui veulent dépeindre la religion et la science comme hostiles l'une vis-à-vis de l'autre, ne citent pas seulement des exemples des pratiques de l'Eglise catholique, mais également des passages spécifiques de la Torah, ou de la Bible, pour démontrer comment ils contredisent les découvertes scientifiques. Pourtant, il y a une vérité qu'ils ignorent ou feignent d'ignorer : la Bible et la Torah sont des textes altérés. Les deux incluent un grand nombre de superstitions produites par l'homme. Par conséquent, c'est un tort de considérer ces livres comme des sources de référence fondamentale à la religion.

Le Coran, d'un autre côté, est la révélation de Dieu. Il n'a été en rien altéré ; pas même une seule lettre n'a été changée. Pour cette raison, il n'y a pas de contradiction ou d'erreur dans le Coran. Tous les faits proclamés par le Coran sont en harmonie avec les découvertes scientifiques. De plus, de nombreux faits scientifiques qui n'ont été découverts que de nos jours étaient annoncés dans le Coran il y a 1400 ans de cela. C'est là un miracle important du Coran, et c'est une des preuves définitives qu'il est la parole de Dieu (certains des faits scientifiques indiqués dans le Coran seront couverts dans les prochains chapitres).

Conscients de cela, les matérialistes, incapables de citer le moindre verset du Coran pour étayer leurs propres arguments, ne citent que la Bible ou la Torah pour s'opposer à la religion.

L'affirmation que "la science doit être matérialiste"
Un autre outil de propagande utilisé par les philosophes matérialistes est le cliché que "seules les études scientifiques comptent, et que celles-ci doivent êtres matérialistes".

En fait, ce n'est rien d'autre qu'un jeu de mots, que l'on reconnaîtra facilement en y réfléchissant un tant soit peu. Il est vrai que la science étudie la matière, mais cela n'implique pas qu'elle doit être matérialiste ; car "étudier la matière" et "être matérialiste" sont des choses très différentes. Quand on étudie la matière, on conclut que cette matière contient un savoir et une conception trop grands pour dériver d'elle-même. On peut apprécier que ce savoir et cette conception aient été créés consciemment par un agent intelligent, bien que nous ne pouvons pas le voir.

Considérons, par exemple, une grotte, dont nous ne savons pas si quelqu'un l'a déjà visité avant nous ou non. Si l'on découvre, en y entrant, des dessins impressionnants et magistraux sur les murs de la grotte, on peut alors conclure "qu'un agent intelligent a dû passer ici avant nous, lequel a manifestement produit ces ouvrages". On peut ne jamais voir cet agent intelligent, mais on connaît son existence à partir de ses œuvres.

C'est de cette manière que la science étudie la nature, et découvre qu'il y existe un ordre qui ne peut en aucun cas être expliqué par des facteurs matériels, et que cette conception ne peut être que le fait d'une sagesse supramatérielle. En d'autres mots, le monde matériel abonde de signes évidents de la puissance créatrice et de l'autorité de Dieu.

L'approche fanatique et dogmatique des matérialistes
Celui qui souscrit à un certain point de vue est libre de tester si cette idée peut être vérifiée par des faits scientifiques, et de faire des recherches scientifiques dans ce but. Par exemple, une personne peut proclamer que le monde est plat, et conduire des recherches pour soutenir son affirmation. La question importante est la manière dont cette personne évalue les données scientifiques qu'elle accumule. Un scientifique évaluant des résultats scientifiques avec objectivité sera incapable de trouver la moindre preuve indiquant que la terre est plate, et au contraire, il rencontrera beaucoup de preuves que la terre est elliptique. Dans ce cas, ce que doit faire cette personne est d'admettre la vérité sans préjudice, et d'abandonner ses croyances erronées.

La même chose est vraie pour le matérialisme. La science a prouvé que la matière n'est pas un être absolu, mais qu'elle a eu un commencement. De plus, elle a montré qu'il y a une conception formidable dans la nature. Par conséquent, les savants matérialistes étudiant la matière ont vu que leur théorie est inexacte et que la vérité est en réalité diamétralement opposée à leur affirmation. Mais que se passe-t-il en fait ? Les scientifiques matérialistes entretiennent une dévotion aveugle envers le matérialisme, affichant une ténacité étonnante envers leur "croyance". Un généticien d'Harvard, Richard Lewontin, un célèbre matérialiste et évolutionniste, excuse son matérialisme dogmatique avec ces paroles :

Ce n'est pas que les méthodes et les institutions de la science nous forcent à accepter une explication matérielle du monde des phénomènes mais qu'au contraire, nous sommes forcés par notre adhésion à priori aux causes matérielles de créer un dispositif de recherches et un ensemble de concepts qui produisent des explications matérielles, même si elles vont à l'encontre de l'intuition ou qu'elles sont déconcertantes pour le non-initié. De plus, ce matérialisme est absolu, alors nous ne pouvons pas permettre une explication divine entrer en scène.51

Ici Lewontin dépeint en fait l'état d'esprit de tous les matérialistes. Comme il le reconnaît, les matérialistes souscrivent d'abord à l'idéologie matérialiste, par-dessus tout, puis cherchent des preuves pour soutenir leur idéologie. C'est-à-dire que le matérialisme n'est pas une conclusion à laquelle les matérialistes sont arrivés via des recherches scientifiques, mais un préjugé qu'ils imposent à la science.

La même idée est enfermée dans les paroles d'un autre évolutionniste. Dans son livre, intitulé Origins: A Skeptic's Guide to Creation of Life on Earth (Les origines : un guide sceptique sur la création de la vie sur terre), le célèbre évolutionniste Robert Shapiro énonce son engagement envers la théorie de l'évolution de cette manière :

A l'avenir, un jour pourrait arriver où toutes les expériences bien fondées de la chimie aboutissent à découvrir qu'elles ont toutes clairement manqué d'établir une origine probable pour la vie. De plus, de nouvelles preuves géologiques pourraient indiquer une apparition soudaine de la vie sur terre. Finalement, on pourrait avoir exploré l'univers et n'avoir trouvé aucune trace de vie, ou de processus menant à la vie, où que ce soit.

Dans un tel cas, certains savants pourraient choisir de se tourner vers la religion pour trouver une réponse. D'autres, cependant, y compris moimême, essaieraient de classer les hypothèses scientifiques les moins probables dans l'espoir d'en trouver une plus vraisemblable que les restantes.52

Ici, ce que Shapiro veut dire quand il parle "d'hypothèses scientifiques," c'est en fait des "hypothèses matérialistes". Cette dévotion aveugle envers le matérialisme a mené Shapiro, et des milliers d'autres comme lui, à souscrire à une incrédulité fanatique. Ce qu'ils disent en vérité est, "quelles que soient les preuves présentées, nous ne croirons pas en Dieu".

Il est intéressant de noter que cette obsession n'est pas particulière aux seuls matérialistes actuels. Dans le Coran, Dieu nous a révélé des choses intéressantes sur de telles gens qui ont décidé de rester incrédules. Par exemple, les Egyptiens qui disaient à Moïse qui leur a montré plusieurs miracles : "Quel que soit le miracle que tu nous apportes pour nous fasciner, nous ne croirons pas en toi" (Coran, 7 : 132). Ils avaient la même prédisposition que les matérialistes d'aujourd'hui. Dieu fait référence à ces personnes de cette manière :

Il en est parmi eux qui viennent t'écouter, cependant que Nous avons entouré leurs cœurs de voiles qui les empêchent de comprendre (le Coran), et dans leurs oreilles est une lourdeur. Quand même ils verraient toutes sortes de preuves, ils n'y croiraient pas. Et quand ils viennent disputer avec toi, ceux qui ne croient pas disent alors : "Ce ne sont que des légendes des anciens." (Coran, 6 : 25)

Et ils jurent par Dieu, à grand renfort de serments, que si leur advenait un signe, sûrement ils y croiraient. Dis : "Les signes ne viennent que de Dieu." Qu'est-ce qui vous fait soupçonner que s'il leur advenait, pour autant ils y croiraient ? (Coran, 6 : 109)

LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DU CORAN
Il y a quatorze siècles, Dieu a révélé le Coran à l'humanité pour la guider. Il a appelé les hommes à embrasser la vérité en adhérant à ce livre.

Depuis le jour de sa révélation jusqu'au Jour de la Résurrection, cet ultime Livre Divin et la Sunnah de notre Prophète (pbsl), demeureront les seuls guides de l'humanité.

Le style incomparable du Coran et la sagesse supérieure qu'il renferme sont des preuves irréfutables indiquant qu'il s'agit de la parole de Dieu. De plus, le Coran possède de nombreux attributs miraculeux prouvant qu'il est une révélation divine. Un de ces attributs est le fait qu'un certain nombre de vérités scientifiques, que seule la technologie du 20ème siècle nous a permis de découvrir, étaient déjà affirmées dans le Coran voici 1400 ans.

Le Coran n'est, bien entendu, pas un ouvrage scientifique. Cependant, de nombreux faits scientifiques, exprimés dans ses versets d'une manière extrêmement concise et profonde, n'ont été découverts qu'au moyen de la technologie du 20ème siècle. On ne possédait pas ce savoir à l'époque de la révélation du Coran, et c'est là une preuve supplémentaire que le Coran est la parole de Dieu.

Afin de comprendre les miracles scientifiques du Coran, nous devons d'abord voir quel était le niveau de la science à l'époque où ce Livre Saint a été révélé.

Au 7ème siècle, lorsque le Coran a été révélé, la société arabe comptait de nombreuses superstitions sans fondement à propos de questions scientifiques. Ne possédant pas la technologie nécessaire pour observer l'univers et la nature, les anciens Arabes croyaient à des légendes héritées des générations passées. Ils supposaient, par exemple, que les montagnes soutenaient le ciel. Ils croyaient que le monde était plat et qu'il y avait de hautes montagnes à chaque extrémité. On pensait que ces montagnes étaient des piliers qui maintenaient la voûte du ciel.

Ces superstitions de la société arabe ont été éliminées par le Coran. Le deuxième verset de la sourate ar-Rad dit : "Dieu est Celui qui a élevé les cieux sans piliers…" ; il a corrigé l'idée que le ciel demeurait suspendu grâce aux montagnes. Dans bien d'autres domaines, des faits importants ont été apportés à une époque où personne n'aurait pu les connaître. Le Coran, révélé à une époque où les gens savaient très peu de choses sur l'astronomie, la physique ou la biologie, contient des faits essentiels sur des sujets variés, comme la création de l'univers, la création de l'être humain, sa conception et les diverses étapes du fœtus, la structure de l'atmosphère et les équilibres délicats qui rendent possible la vie sur terre.

Examinons maintenant quelques-unes des vérités scientifiques révélées dans le Coran.

La création de l'univers
L'origine de l'univers est décrite dans le Coran dans le verset suivant :

Lui qui est à l'origine des cieux et de la terre… (Coran, 6 : 101)

Ce qu'affirme ici le Coran est totalement en accord avec les découvertes de la science contemporaine. Selon l'astrophysique contemporaine l'univers tout entier, ainsi que l'espace et le temps, sont apparus à la suite d'une grande explosion - le Big Bang dont il a été question plus haut. Les cercles scientifiques modernes s'accordent à dire que le Big Bang est la seule explication rationnelle pour le commencement et l'apparition de l'univers.

Avant le Big Bang, la matière n'existait pas. A partir du néant, où la matière, l'énergie, et même le temps n'existaient pas et ne peuvent être décrits que métaphysiquement, ils ont tous été créés. Ce fait, découvert par la physique moderne seulement au 20ème siècle, nous a été annoncé dans le Coran voici 1400 ans.

L'expansion de l'univers
Dans le Coran, révélé voici quatorze siècles, à une époque où la science de l'astronomie en était à ses balbutiements, l'expansion de l'univers est décrite ainsi :

Le ciel, Nous l'avons construit par Notre puissance et Nous l'élargissons constamment. (Coran, 51 : 47)

Le mot "ciel", utilisé dans ce verset, est employé en divers endroits du Coran pour désigner l'espace et l'univers. Ici encore, c'est dans ce sens que le mot est employé. Autrement dit, le Coran nous informe que l'univers est "en expansion". C'est exactement à cette conclusion qu'est parvenue la science aujourd'hui.

Jusqu'à l'aube du 20ème siècle, la seule opinion présente dans le monde scientifique était que "l'univers possède une nature constante et existe depuis un temps infini", comme on l'a vu plus haut. Les recherches, les observations et les calculs effectués grâce à la technologie moderne ont cependant révélé qu'en réalité, l'univers a eu un commencement et qu'il est en expansion constante.

Comme il a été mentionné plus haut, au début du 20ème siècle, le physicien russe Alexander Friedman et le cosmologue belge Georges Lemaître ont calculé théoriquement que l'univers est en mouvement constant et en expansion. Cela allait être prouvé par l'observation en 1929. En observant le ciel avec un télescope, l'astronome américain Edwin Hubble a découvert que les étoiles et les galaxies s'éloignaient constamment les unes des autres. Un univers dont tous les éléments s'éloignent constamment les uns des autres ne pouvait qu'être un univers en expansion constante. Les observations effectuées les années suivantes l'ont confirmé. Alors que nul ne pouvait le savoir du temps de la révélation du Coran, celui-ci en a fait état. C'est parce que le Coran est la parole de Dieu, Créateur et Maître de l'univers tout entier.

Les orbites
Une des raisons les plus importantes du grand équilibre visible dans l'univers est le fait que les corps célestes suivent des chemins spécifiques.

Les étoiles, les planètes et les satellites tournent tous autour de leur propre axe et ils tournent également ensemble avec le système dont ils font partie, et l'univers fonctionne selon un ordre très précisément adapté, à l'instar des rouages des machines d'une usine.

Il existe dans l'univers environ 200 milliards de galaxies, dont chacune comporte près de 200 milliards d'étoiles. La plupart de ces étoiles ont des planètes et la plupart de ces planètes ont des satellites. Tous ces corps célestes se déplacent sur des orbites calculées avec la plus grande précision. Depuis des millions d'années, chacun d'eux "vogue", comme de nombreuses comètes, dans sa propre orbite, en parfaite harmonie avec tous les autres. De plus, de nombreuses comètes se déplacent aussi suivant des orbites bien déterminées.

Dans l'univers, les orbites n'appartiennent pas uniquement aux corps célestes. Le système solaire et même d'autres galaxies évoluent autour de leur centre à des vitesses considérables. Chaque année, la Terre, ainsi que le système solaire, se déplacent d'environ 500 millions de km par rapport à l'endroit où ils étaient l'année précédente. On a calculé que la moindre déviation dans leur orbite aurait des conséquences incalculables, qui pourraient sonner le glas du système entier. Par exemple, les conséquences d'une déviation de la terre de son orbite de seulement 3mm ont été décrites ainsi :

Au cours de sa rotation autour du Soleil, la Terre suit une orbite qui, tous les 29 kilomètres, ne dévie que de 2,8 millimètres d'une course en ligne droite. L'orbite suivie par la Terre ne change jamais, car une déviation de seulement 3 millimètres causerait des désastres catastrophiques : si la déviation était de 2,5 millimètres au lieu de 2,8, alors l'orbite serait très large, et nous gèlerions tous. Si la déviation était de 3,1 mm, nous serions tous brûlés à mort.53

Une autre caractéristique des corps célestes est qu'ils tournent aussi autour de leur propre axe. C'est ce qu'insinue peut-être le verset : "[je jure] par les cieux avec leurs systèmes cycliques." (Coran, 86 : 11)

A l'époque de la révélation du Coran, l'humanité ne possédait pas les télescopes ou les technologies d'observation avancées d'aujourd'hui pour observer les millions de kilomètres de l'espace, ni les connaissances modernes de physique ou d'astronomie. Par conséquent, à cette époque, il n'était pas possible de déterminer scientifiquement que l'espace était "rempli de voies et d'orbites" comme énoncé dans le verset coranique 51 : 7. Cependant, cela nous fut ouvertement déclaré dans le Coran qui fut révélé à cette époque, car le Coran est la parole de Dieu.

La trajectoire du Soleil
Il est précisé dans le Coran que le Soleil et la Lune suivent des chemins spécifiques :

Et c'est Lui qui a créé la nuit et le jour, le Soleil et la Lune, chacun voguant dans une orbite. (Coran, 21 : 33)

Le mot "voguer" dans le verset ci-dessus est exprimé en arabe par le mot sabaha ; il est utilisé pour décrire le mouvement du Soleil dans l'espace.

Ce mot signifie que le Soleil ne se déplace pas de façon aléatoire à travers l'espace mais tourne autour de son axe et suit une course prédéfinie.

Le fait que le Soleil n'est pas immobile mais suit une trajectoire spécifique est également cité dans un autre verset :

Et le Soleil court vers un gîte qui lui est assigné ; telle est la détermination du Tout-Puissant, de l'Omniscient. (Coran, 36 : 38)

Ces faits qui sont cités dans le Coran n'ont pu être découverts que grâce aux avancées modernes de l'astronomie. Selon les calculs des astronomes, le Soleil se déplace dans la direction principale de l'étoile Véga, laquelle est située proche de l'"Apex Solaire" - l'unique direction dans notre galaxie suivie par le Soleil - à la vitesse incroyable de 720.000 km/h. En d'autres termes, cela montre que le Soleil parcourt quelques 17,28 millions de kilomètres par jour. Et tout comme le Soleil, toutes les planètes et satellites dans son champ gravitationnel parcourent également la même distance.

La voûte protégée
Dans le Coran, Dieu attire notre attention sur un attribut très intéressant du ciel :

Nous avons fait du ciel une voûte protégée, et pourtant ils se détournent de Nos signes. (Coran, 21 : 32)

Cet attribut du ciel a été prouvé par la recherche scientifique effectuée au 20ème siècle.

L'atmosphère entourant la Terre tient une place fondamentale pour la continuité de la vie : détruisant de nombreux météores, grands et petits, lorsqu'ils approchent de la Terre, elle évite qu'ils tombent sur terre et fassent du mal aux êtres vivants.

De plus, l'atmosphère filtre les rayons lumineux provenant de l'espace qui sont nuisibles pour les êtres vivants. Il est intéressant de noter qu'elle ne laisse passer que les rayons inoffensifs et utiles - la lumière visible, l'ultraviolet proche et les ondes radio passent à travers. Tout ce rayonnement est essentiel pour la vie. Les rayons ultraviolets proches, que l'atmosphère ne laisse passer que partiellement, sont très importants pour la photosynthèse des plantes et pour la survie de tous les êtres vivants. La majeure partie des rayons ultraviolets intenses émis par le Soleil sont filtrés par la couche d'ozone de l'atmosphère, et seule une partie restreinte - et essentielle - du spectre ultraviolet parvient jusqu'à la Terre.

La fonction protectrice de l'atmosphère ne s'arrête pas là. Elle protège aussi la Terre du froid glacial de l'espace, dont la température est d'environ -270° C.

Il n'y a pas que l'atmosphère qui protège la Terre d'effets nuisibles. Outre l'atmosphère, la ceinture de Van Allen, une couche créée par le champ magnétique terrestre, sert également de bouclier contre les rayonnements nuisibles qui menacent notre planète. Ces rayonnements, constamment émis par le Soleil et les autres étoiles, sont mortels pour les êtres vivants. Si la ceinture de Van Allen n'existait pas, les énormes éruptions d'énergie, appelées "éruptions solaires", que connaît fréquemment le Soleil détruiraient toute vie sur Terre.

Le Dr Hugh Ross explique l'importance des ceintures de Van Allen pour notre survie :

En fait, la Terre est la plus dense des planètes du système solaire. Ce grand noyau composé de nickel et de fer est responsable de notre grand champ magnétique. Ce champ magnétique forme la couche protectrice de radiation de Van Allen, laquelle protège la Terre contre les rayonnements qui la bombardent. Sans cette couche, la vie ne serait pas possible sur Terre. La seule autre planète qui possède un champ magnétique et qui est formée de zones rocheuses est Mercure - mais l'intensité de ce champ magnétique est 100 fois moins importante que celle de la Terre. Même Venus, notre planète soeur, n'a pas de champ magnétique. La couche protectrice de radiation de Van Allen est une conception propre à la Terre.54

On a calculé que l'énergie transmise lors d'une seule de ces éruptions équivalait à 100 milliards de bombes atomiques similaires à celle lâchée sur Hiroshima. 58 heures après une éruption, on a noté que les aiguilles magnétiques des boussoles effectuaient des mouvements inhabituels et à 250 km au-dessus de l'atmosphère terrestre, la température s'est brusquement élevée à 2.500° C.

En bref, c'est un système parfait qui est à l'œuvre au-dessus de la Terre. Il enveloppe notre monde et le protège des menaces extérieures. Les savants ne l'ont appris que récemment, mais il y a plusieurs siècles, Dieu nous a informés dans le Coran que l'atmosphère du monde fonctionne comme un bouclier protecteur, comme l'indique le verset 21 : 32 ci-haut cité.

Le ciel doté de retour
Le 11ème verset de la sourate at-Tariq, dans le Coran, fait référence à la fonction de "retour" du ciel.

Par le ciel et ses systèmes cycliques (Coran, 86 : 11)

Le mot rajaai rendu par "cyclique" dans les traductions du Coran exprime aussi la notion de "renvoi" ou de "retour".

Comme on le sait, l'atmosphère e nveloppant la Terre est constituée de nombreuses couches. Chaque couche joue un rôle important pour la vie. La recherche a révélé qu'elles ont pour fonction de renvoyer les matériaux ou les rayons auxquels elles sont exposées dans l'espace ou vers la Terre.

Examinons maintenant à travers quelques exemples la fonction de "renvoi" accomplie par les couches qui environnent la Terre.

La troposphère, située à 13-15 km au-dessus de la Terre, permet à la vapeur d'eau s'élevant de la surface de se condenser et de retourner vers la Terre sous forme de pluie.

La couche d'ozone, qui se situe dans la stratosphère à une altitude de 25 km, réfléchit le rayonnement nuisible et la lumière ultraviolette venant de l'espace.

L'ionosphère réfléchit les ondes radio émises depuis la Terre vers différentes parties du monde, tout comme un satellite de communication passif : c'est ce qui permet la communication sans fil et l'émission radiophonique et télévisée sur de longues distances.

La magnétosphère renvoie les particules radioactives nuisibles émises par le Soleil et les autres étoiles dans l'espace avant qu'elles n'atteignent la Terre.

L'affirmation par le Coran de cette propriété des couches composant le ciel, que la science n'a pu découvrir que récemment, prouve une fois encore que le Coran est la parole de Dieu.

Les couches de l'atmosphère
Le Coran nous rapporte un autre fait significatif : il nous dit que le ciel est constitué de sept couches :

C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient. (Coran, 2 : 29)

C'est Dieu qui a créé sept cieux et autant de terres. Entre eux [Son] commandement descend, afin que vous sachiez que Dieu est en vérité Omnipotent et que Dieu a embrassé toutes choses de [Son] savoir. (Coran, 65 : 12)

Le mot "cieux", qui apparaît dans plusieurs versets du Coran, est utilisé pour faire référence au ciel au-dessus de la Terre, ainsi qu'à l'univers tout entier. Etant donné la signification de ce terme, on voit que le ciel de la Terre, ou l'atmosphère, est constitué de sept couches.

On sait, en effet, aujourd'hui que l'atmosphère terrestre est constituée de différentes couches superposées.55 Les définitions faites en se basant sur les contenus chimiques ou la température de l'air montrent que l'atmosphère de la Terre est divisée en sept couches.56 D'après le modèle LFMII ("Limited Fine Mesh Model"), modèle de l'atmosphère utilisé pour estimer les conditions climatiques pour 48 heures, l'atmosphère est effectivement composée de sept couches. Selon les définitions géologiques modernes les sept couches de l'atmosphère sont les suivantes :

1. Troposphère

2. Stratosphère

3. Mésosphère

4. Thermosphère

5. Exosphère

6. Ionosphère

7. Magnétosphère

Une autre information encore plus étonnante à ce sujet est mentionnée dans le verset suivant : "Il les détermina en sept cieux et révéla à chaque ciel sa fonction." (Coran, 41 : 12) Dieu nous explique donc qu'Il a assigné à chaque ciel sa propre fonction. Effectivement, comme nous l'avons vu ci-haut et comme nous le verrons dans les chapitres suivants, chacune de ces couches a un rôle vital pour le bienfait de l'humanité et de celui de tous les êtres vivants sur Terre. Chaque couche possède une fonction particulière, depuis la formation de la pluie jusqu'à la prévention des rayons nocifs, du reflet des ondes radio à la protection contre l'effet néfaste des météores.

Les versets ci-dessous nous informent de l'apparition de ces sept couches de l'atmosphère :

N'avez-vous pas vu comment Dieu a créé sept cieux superposés ? (Coran, 71 : 15)

Celui qui a créé sept cieux superposés… (Coran, 67 : 3)

Le mot en arabe tibaqan dans ces versets, traduit en français par "couches" signifie "couche, couverture ou enveloppe appropriée de quelque chose", et met l'accent sur le fait que la couche supérieure est très appropriée pour la couche inférieure. Le mot est utilisé ici aussi au pluriel : "couches". Les sept cieux superposés, tels que décrits dans ce verset, sont sans aucun doute l'expression la plus parfaite pour décrire l'atmosphère.

C'est un grand miracle que ces vérités, qui n'auraient absolument pas pu être découvertes sans la technologie du 20ème siècle, aient été explicitement énoncées dans le Coran voici 1400 ans.

Le rôle des montagnes
Le Coran attire l'attention sur une caractéristique géologique capitale des montagnes :

Et Nous avons placé sur la terre des montagnes fermes, afin qu'elle ne s'ébranle pas avec elles. (Coran, 21 : 31)

Ce verset affirme que le rôle des montagnes est d'empêcher la survenue de "chocs" sur la terre.

On ignorait cette fonction à l'époque où le Coran a été révélé. On ne l'a compris que tout récemment, grâce aux découvertes de la géologie moderne. Autrefois, on pensait que les montagnes étaient simplement des bosses qui se dressaient à la surface de la terre.

Les savants ont maintenant réalisé que les montagnes ne sont pas justes des élévations ou des protubérances, mais que les "fondations" de ces montagnes s'étendent sur une profondeur 10 à 15 fois supérieure à leur hauteur visible. Avec de telles caractéristiques, les montagnes peuvent être comparées à un clou ou un piquet enfoncé dans le sol. Par exemple, un pic comme le Mont Everest, dont le sommet s'élève à près de 9 km au-dessus de la surface de la terre, développe des "racines" sur une longueur supérieure à 125 km.57

De plus, les montagnes sont apparues à la suite de mouvements et de collisions entre d'immenses plaques formant l'écorce terrestre. Quand deux plaques entrent en collision, la plus solide glisse sous l'autre, celle du dessus se plisse et forme des reliefs et des montagnes. La couche inférieure s'enfonce sous le sol et s'étend vers les profondeurs. Cela signifie, comme on l'a dit précédemment, que les montagnes cachent sous terre une extension aussi importante que la portion visible.

Dans un texte scientifique, la structure des montagnes est décrite comme suit :

Là où les continents sont les plus épais, comme dans les chaînes montagneuses, l'écorce s'enfonce plus profondément dans le manteau.58

Le Professeur Siaveda, un célèbre hydrogéologue de renommée mondiale, a fait le commentaire suivant sur la façon dont les montagnes sont maintenues par des tiges ressemblant à des racines attachées à la surface :

La différence fondamentale entre les montagnes continentales et les montagnes océaniques se situe dans leur composition… Mais le dénominateur commun aux deux types de montagnes, ce sont les "racines" qui les soutiennent. Dans le cas des montagnes continentales, des matières de densité plus basse et plus légère s'étendent sous terre à l'instar des racines. Dans le cas des montagnes océaniques, il existe aussi des matières plus légères qui soutiennent les montagnes. Par conséquent, la fonction des "racines" est de soutenir les montagnes selon la loi d'Archimède.59

De plus, Frank Press, l'ancien président de l'Académie Nationale des Sciences des Etats-Unis, dit dans son livre Earth (Terre), encore utilisé comme un ouvrage de référence dans de nombreuses universités, que les montagnes ressemblent à des piquets, enfouis profondément sous la surface de la terre.60

Dans un verset, ce rôle des montagnes est indiqué au moyen d'une comparaison avec des "piquets" :

N'avons-nous pas placé la terre comme un lit, et les montagnes comme des piquets ? (Coran, 78 : 6-7)

Dans un autre verset, Dieu a révélé : "et quant aux montagnes, Il les a ancrées." (Coran, 79 : 32). Le mot arsaha dans ce verset signifie "enraciner, fixer, ancrer". Grâce à ces caractéristiques, les montagnes fixent l'écorce terrestre en s'étendant au-dessus et au-dessous de la surface de la terre aux points de jonction de ces plaques. De cette façon, elles stabilisent l'écorce terrestre et l'empêchent de dériver sur la couche de magma ou au sein des plaques elles-mêmes. En résumé, on peut comparer les montagnes à des clous qui maintiennent ensemble des morceaux de bois.

Aujourd'hui, nous savons que la couche rocheuse externe de la surface de la Terre est traversée par des failles et qu'elle est formée de plaques qui "flottent" au-dessus de la lave fondue (magma). Etant donné que la Terre effectue une rotation très rapide autour de son axe, si ce n'était l'effet fixateur des montagnes, ces plaques se déplaceraient constamment. Dans un tel cas, le sol ne s'accumulerait pas à la surface de la Terre, l'eau ne serait plus retenue par le sol, les plantes ne pousseraient pas, et aucune route ni aucune maison ne pourrait être construite ; en résumé, la vie sur terre serait impossible. Cependant, grâce à la miséricorde de Dieu, les montagnes sont comme des pieux, et dans une large mesure, empêchent les mouvements des plaques terrestres.

Le rôle vital des montagnes, découvert par la géologie moderne et la recherche sismique, a été révélé dans le Coran il y a 14 siècles comme un exemple de la sagesse suprême de Dieu. Il est dit dans un autre verset :

… Et Il a enfoncé des montagnes fermes dans la terre pour l'empêcher de basculer avec vous… (Coran, 31 : 10)


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L'identité dans les empreintes digitales LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE L'identité dans les empreintes digitales
Alors qu'il est énoncé dans le Coran qu'il est facile pour Dieu de ramener l'homme à la vie après la mort, les empreintes digitales des gens sont particulièrement accentuées :

Mais si ! Nous sommes capable de remettre à leur place les extrémités de ses doigts. (Coran, 75 : 4)

Cette mise en relief des extrémités des doigts a une signification très spéciale car l'aspect et les détails figurant sur cette partie des membres sont absolument spécifiques à chaque individu. Toute personne vivante ou ayant vécu sur terre a des empreintes digitales uniques.

C'est pourquoi les empreintes digitales sont reconnues comme étant une sorte de "carte d'identité" très importante, spécifiques à chaque individu, et elles sont utilisées à cet effet dans le monde entier.

Mais ce qui est important est que cette caractéristique des empreintes digitales n'a été découverte que vers la fin du 19ème siècle. Avant cela, les gens considéraient les empreintes digitales comme des sillons ordinaires sans importance ou signification spécifique. Pourtant, à travers le Coran, Dieu nous en a informés dans le Coran dès le 7ème siècle.

Le mouvement des montagnes
Le mouvement perpétuel des montagnes est une autre donnée mentionnée dans le Coran. Dieu nous dit que les montagnes ne sont pas immobiles comme elles semblent l'être, mais qu'elles sont constamment en mouvement.

Et tu verras les montagnes, que tu croyais figées, passer comme des nuages. (Coran, 27 : 88)

Ce déplacement des montagnes est causé par le mouvement de l'écorce terrestre sur laquelle elles sont fixées. L'écorce terrestre "flotte" en quelque sorte sur le manteau, qui est plus dense. C'est au début du 20ème siècle que, pour la première fois dans l'histoire, un scientifique allemand du nom d'Alfred Wegener a avancé l'hypothèse que les continents formaient initialement un seul bloc, puis ont dérivé dans des directions différentes et s'écartèrent les uns des autres.

Ce n'est que dans les années 1980, 50 ans après la mort de Wegener, que les géologues ont compris qu'il avait raison. Comme Wegener l'avait indiqué dans un article rédigé en 1915, les continents étaient reliés 500 millions d'années auparavant : la grande masse continentale, appelée Pangée, était située au Pôle Sud.

La Pangée s'est fragmentée en deux il y a approximativement 180 millions d'années. Chaque morceau a dérivé vers une direction différente. L'un, Gondwana, incluait l'Afrique, l'Australie, l'Antarctique et l'Inde; l'autre, Laurasie, l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Asie, sauf l'Inde. Pendant les 150 millions d'années qui ont suivi cette séparation, Gondwana et Laurasie se sont divisés en de plus petites parties.

Ces continents qui ont émergé suite à la fragmentation de la Pangée se sont constamment déplacés à la surface de la Terre de quelques centimètres par an, changeant au fur et à mesure les proportions des mers et des continents.

Découvert grâce aux recherches géologiques effectuées au début du 20ème siècle, ce mouvement de l'écorce terrestre est expliqué par les savants comme suit :

L'écorce et la partie supérieure du manteau, sur une épaisseur d'environ 100 km, sont divisées en segments appelés plaques. Il y a six plaques principales, et plusieurs petites. Selon la théorie appelée "la tectonique des plaques", ces plaques se déplacent sur la Terre, en emportant avec elles les continents et les fonds océaniques. La dérive des continents atteint 1 à 5 cm par an. A mesure que se poursuit le déplacement des plaques, une lente modification de la géographie de la Terre se produit. Chaque année, par exemple, l'Océan Atlantique s'élargit légèrement.61

Un point important doit être souligné : dans un verset du Coran, Dieu décrit le mouvement des montagnes comme une dérive. Aujourd'hui, la science moderne utilise l'expression "dérive des continents" pour décrire ce mouvement.62

La dérive des continents est un phénomène qui n'aurait pu être observé à l'époque de la révélation du Coran, et Dieu a clairement indiqué comment il fallait le comprendre : "Et tu verras les montagnes, que tu croyais figées…". Il a ensuite décrit une réalité, indiquant que les montagnes passaient comme des nuages et attire clairement notre attention sur les mouvements des couches auxquelles les montagnes sont fixées.

C'est sans aucun doute un des miracles coraniques que ce fait scientifique, récemment découvert par la science, ait été évoqué dans le Coran.

Le miracle du fer
Le fer est l'un des éléments évoqués dans le Coran. Dans la sourate al-Hadid ("le fer"), nous apprenons ce qui suit :

Et Nous avons fait aussi descendre le fer, dans lequel se trouvent une force redoutable et des avantages pour les hommes… (Coran, 57 : 25)

Le mot anzalna traduit par "Nous avons fait descendre" pourrait correspondre à une allégorie pour expliquer le service que le fer rend aux hommes.

Mais si nous considérons le sens littéral de l'expression "faire descendre [physiquement] du ciel", comme dans le cas de la pluie et des rayons solaires, nous réalisons que ce verset implique un miracle scientifique très significatif. Les découvertes astronomiques modernes ont en effet révélé que le fer qui se trouve sur la Terre provient d'étoiles géantes des confins de l'espace.63

Le fer qu'on trouve sur Terre , aussi bien que celui présent dans tout le système solaire, viennent des confins de l'espace, étant donné que la température du Soleil est insuffisante pour la formation du fer. La température à la surface du Soleil est de 6.000 degrés, et la température du noyau, quant à elle, est à peu près de 20 millions de degrés. Ce métal ne peut être produit que dans des étoiles beaucoup plus grandes que le Soleil, où la température atteint plusieurs centaines de millions de degrés.

Quand la quantité de fer dans une étoile dépasse une certaine concentration, l'étoile ne peut plus l'héberger et finit par exploser en ce que l'on appelle une "nova" ou une "supernova". Ces explosions permettent la dispersion du fer dans l'univers.64

Une source scientifique nous fournit les informations suivantes sur le sujet :

Il y a aussi des preuves concernant des supernova plus vieilles. Des taux de fer-60 élevés dans les sédiments océaniques ont été interprétés comme des indicateurs de l'explosion d'une supernova située à 90 années lumières du Soleil, il y a 5 millions d'années. Le fer-60 est un isotope radioactif du fer, formé lors d'explosions de supernova, qui finit par se désintégrer et dont la demi-vie est de 1,5 million d'années. La présence accrue de cet isotope dans une couche géologique indique une récente nucléosynthèse d'éléments non loin dans l'espace et leur transport par la suite sur Terre (probablement dans les grains de poussière).65

Tout cela montre que le fer ne s'est pas formé à l'intérieur de la Terre mais qu'il a été transporté dans l'espace par des supernova, et est ainsi "descendu sur la Terre" exactement comme l'affirme le verset. Il est clair que cette information n'était pas connue au 7ème siècle, époque de la révélation du Coran. Néanmoins, ce fait est relaté dans le Coran, la parole de Dieu, Lui qui cerne toutes choses de Son omniscience.

L'astronomie a aussi révélé que d'autres éléments se sont formés en dehors de la Terre. Dans le verset "Nous avons fait aussi descendre le fer", le mot "aussi" fait peut-être référence à cette idée. Cependant, le fait que le verset mentionne spécifiquement le fer est vraiment étonnant, étant donné que ces découvertes ont été faites à la fin du 20ème siècle. Dans son livre Nature's Destiny, le célèbre microbiologiste Michael Denton, cité plus haut, souligne l'importance du fer :

De tous les métaux, aucun n'est plus essentiel à la vie que le fer. C'est l'amas de fer au centre d'une étoile qui déclenche l'explosion d'une supernova et la dispersion qui en résulte des atomes vitaux pour la vie à travers tout le cosmos. C'est l'attraction exercée par la pesanteur sur les atomes de fer vers le centre de la Terre, durant les premiers âges de la planète, qui a généré la chaleur qui a permis la différentiation chimique initiale de la Terre ainsi que le dégagement gazeux de l'atmosphère primitive, et qui a abouti finalement à la formation de l'hydrosphère.

C'est le fer en fusion au centre de la Terre, qui tel une gigantesque dynamo, génère le champ magnétique terrestre, lequel à son tour donne naissance à la ceinture de radiation de Van Allen, formant un bouclier à la surface de la Terre, s'opposant à toute entrée destructive de radiations cosmiques de haute énergie et préservant ainsi la couche d'ozone, couche très cruciale...

Sans l'atome de fer, il n'y aurait pas de vie basée sur la chimie du carbone dans le cosmos ; pas de supernova, pas de production de chaleur à l'époque primaire de la Terre, pas d'atmosphère, ni d'hydrosphère. Il n'y aurait pas eu de champ magnétique protecteur, pas de ceintures de radiation de Van Allen, pas de couche d'ozone, pas de métal pour fabriquer l'hémoglobine du sang humain, pas de métal pour contrôler la réactivité de l'oxygène, et pas de métabolisme oxydatif.

La relation intime et fascinante entre la vie et le fer, entre la couleur rouge du sang et la mort d'étoiles distantes, n'indique pas seulement le rapport des métaux avec la biologie, mais aussi celui de la vie avec le cosmos… 66

Ce phénomène indique clairement l'importance de l'atome de fer que Dieu nous a Lui-même soulignée. De plus, il y a une autre vérité cachée dans le Coran qui attire notre attention sur l'importance du fer : la sourate al-Hadid (verset 25) qui fait référence au fer, contient deux codes mathématiques très intéressants :

"Al-Hadid" est la 57ème sourate du Coran. L'abjad, ou alphabet consonantique du mot al-hadid en arabe, lorsque les valeurs de ses lettres sont additionnées, est aussi.57

La valeur numérique du mot hadid seul est de 26, et le chiffre 26 est le numéro atomique du fer.

Les vents fécondants
Un verset du Coran mentionne la fonction fécondatrice des vents et la formation de la pluie qui en résulte.

Et Nous envoyons les vents fécondants, puis Nous faisons descendre du ciel une eau dont Nous vous abreuvons… (Coran, 15 : 22)

Ce verset souligne que le premier stade de la formation de la pluie est le vent. Jusqu'au début du 20ème siècle, la seule relation que l'on connaissait entre le vent et la pluie était que le vent poussait les nuages. Mais les découvertes de la météorologie moderne ont démontré le rôle "fécondant" des vents dans la formation de la pluie.

Cette fonction fécondatrice du vent se produit de la manière suivante :

A la surface des océans et des mers, d'innombrables bulles d'air sont formées par l'écume. Au moment où ces bulles jaillissent en des milliers de minuscules particules d'un centième de millimètre de diamètre, elles sont projetées dans l'air. Ces particules, appelées "aérosols", se mélangent à la poussière apportée par les vents, et sont transportées jusqu'aux couches supérieures de l'atmosphère par les vents. A ce niveau, elles entrent en contact avec la vapeur d'eau, laquelle se condense autour des particules et se transforme en gouttelettes d'eau. Ces gouttelettes d'eau s'assemblent d'abord pour former des nuages, puis tombent sur la terre sous forme de pluie.

Comme on l'a vu, les vents "fécondent" la vapeur d'eau flottant dans l'air avec les particules qu'ils transportent depuis la mer, et finalement contribuent à la formation des nuages de pluie.

Si les vents ne possédaient pas cette propriété, les gouttelettes d'eau ne se formeraient jamais dans la haute atmosphère et la pluie n'existerait pas.

Le point le plus important à retenir ici, c'est le rôle crucial des vents dans la formation de la pluie, affirmé dans le Coran il y a 14 siècles, à une époque où les gens ne savaient que très peu de choses des phénomènes naturels…

Des informations complémentaires sont contenues dans le verset au sujet de la propriété fécondante du vent. Il s'agit de son rôle dans la pollinisation des fleurs. De nombreuses plantes sur terre dispersent leur pollen grâce au vent afin d'assurer la survie de leur espèce. Plusieurs plantes à graines ouvertes (gymnospermes), des pins, des palmiers et des arbres du même genre, plantes à graine qui produisent des fleurs (angiospermes), et des plantes graminiformes sont entièrement fécondées par le vent. Le vent transporte le pollen d'une plante à une autre, facilitant ainsi le processus de fécondation.

Jusque très récemment, on ignorait que le vent pouvait féconder les plantes. Cependant, lorsqu'on réalisa que les plantes étaient composées d'individus mâles et femelles, on découvrit aussi le rôle fécondant du vent. Cette vérité était déjà indiquée dans le Coran : "C'est Lui qui [...] du ciel a fait descendre de l'eau avec laquelle Nous faisons germer des couples de plantes de toutes sortes." (Coran, 20 : 53)

De la pluie en quantité déterminée
Une autre information que nous fournit le Coran à propos de la pluie, est le fait qu'elle est envoyée sur terre avec mesure. Ceci est mentionné dans la sourate az-Zukhruf ainsi :

Celui qui a fait descendre l'eau du ciel avec mesure et avec laquelle Nous ranimons une cité morte [aride]. Ainsi vous serez ressuscités. (Coran, 43 : 11)

Cette quantité de pluie définie a été mesurée par la recherche scientifique moderne. On estime qu'en moins d'une seconde, environ 16 millions de tonnes d'eau s'évaporent de la Terre, soit 513 trillions de tonnes d'eau par an. C'est aussi la quantité de pluie qui tombe sur la Terre chaque année. Ainsi, l'eau circule continuellement selon un cycle équilibré, avec "mesure". La vie sur Terre dépend de ce cycle de l'eau. Même si toute la technologie disponible dans le monde devait être employée dans cet objectif, ce cycle ne pourrait être reproduit artificiellement.

Même une légère déviation de cet équilibre entraînerait vite un déséquilibre écologique qui provoquerait la fin de toute vie sur Terre. Mais ceci n'arrive jamais, et la pluie continue à tomber chaque année en déversant exactement le même volume, tout comme l'indique le Coran.

La proportion de pluie ne s'applique pas seulement à sa quantité, mais aussi à la vitesse à laquelle tombent les gouttes d'eau. La vitesse de ces gouttes de pluie, sans tenir compte de leur taille, n'excède pas une certaine limite.

Philip Lenard, un physicien allemand qui a reçu le Prix Nobel de physique en 1905, avait découvert que la vitesse de chute des gouttes d'eau augmente avec leur diamètre et ce jusqu'à 4,5 mm. Pour les gouttes de plus grande taille, cependant, la vitesse de chute ne dépasse pas 8 m par seconde.67 Il a attribué cela au changement de forme de la goutte généré par le flux d'air au fur et à mesure que la taille de la goutte s'accroît.

Le changement de forme augmente la résistance à l'air de la goutte et ralentit sa vitesse de chute.

Comme on peut le voir, Dieu, dans le Coran, veut peut-être attirer notre attention sur le subtil ajustement dans la pluie - fait qui ne pouvait être connu il y a 1400 ans.

Les mers ne se mélangeant pas entre elles
Une des caractéristiques des mers découverte tout récemment est exprimée dans un verset coranique comme suit :

Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer ; il y a entre elles une barrière qu'elles ne dépassent. (Coran, 55 : 19-20)

Cette propriété des mers, qui convergent sans pourtant se mélanger, n'a été découverte que très récemment par les océanographes. En raison d'une force physique appelée "tension de surface", les eaux des mers voisines ne se mélangent pas. Du fait d'une différence de densité, la tension superficielle empêche les mers de se mélanger, comme si un mur très fin les séparait.68

Ce qui est remarquable, c'est qu'à une époque où l'on n'avait aucune des connaissances modernes sur la physique, la tension de surface ou l'océanographie, ce phénomène ait été évoqué dans le Coran.

Le sexe du bébé
Jusqu'à très récemment, on pensait que le sexe du bébé était déterminé par les cellules de la mère. Ou bien pensait-on tout au moins que le sexe était déterminé conjointement par les cellules mâles et femelles. Mais le Coran nous renseigne différemment : il affirme que la masculinité ou la féminité est déterminée par "une goutte de semence éjaculée".

Il a créé le couple, le mâle et la femelle, à partir d'une goutte de semence éjaculée. (Coran, 53 : 45-46)

N'était-il pas une goutte de sperme éjaculé ? Puis une adhérence que Dieu a créée et harmonisée, et dont Il a fait un couple mâle et femelle ? (Coran, 75 : 37-39)

Les progrès de la génétique et de la biologie moléculaire ont scientifiquement validé l'exactitude de l'information donnée dans le Coran. On sait maintenant que le sexe est déterminé par les cellules spermatiques de l'homme, et que la femme ne joue aucun rôle dans ce processus.

Les chromosomes sont les principaux éléments impliqués dans la détermination du sexe. Deux des 46 chromosomes qui déterminent l'identité sexuelle d'un être humain sont appelés chromosomes sexuels. Ces deux chromosomes sont appelés "XY" chez l'homme et "XX" chez la femme, parce que leur aspect fait penser à ces lettres. Le chromosome Y est porteur des gènes codant pour la masculinité, tandis que le chromosome X est porteur des gènes codant pour la féminité.

La formation d'un nouvel être commence par la combinaison croisée d'un de ces chromosomes, qui existe par paires chez l'homme et la femme. Chez la femme, les deux composants de la cellule sexuelle (l'ovule) qui se divise en deux durant l'ovulation, sont porteurs de chromosomes X. La cellule sexuelle mâle (le spermatozoïde), en revanche, vient en deux sortes différentes de spermatozoïde, l'une contenant un chromosome X et l'autre un chromosome Y. Lorsque la cellule sexuelle s'unit avec un spermatozoïde contenant un chromosome X, alors le bébé sera de sexe féminin. Si elle s'unit avec le spermatozoïde portant un chromosome Y, le bébé sera de sexe masculin.

Autrement dit, le sexe d'un bébé est déterminé par le type de chromosome du mâle qui s'unit avec l'ovule.

On ignorait tout cela jusqu'à la découverte des gènes au 20ème siècle. Dans de nombreuses cultures où la naissance de filles n'était pas appréciée, on pensait que le sexe du bébé est déterminé par la femme. Donc, 14 siècles avant la découverte des gènes humains, le Coran a fourni a l'humanité l'information capitale que le sexe du bébé est déterminé non par la femme mais par l'homme.

L'adhérence à l'utérus
Si nous continuons d'examiner le Coran, notamment sur ce qu'il relate à propos de la formation de l'être humain, nous découvrons encore d'autres miracles scientifiques très importants.

Lorsque le spermatozoïde de l'homme s'unit à l'ovule de la femme, les caractéristiques sexuelles du bébé à naître sont déjà présentes. Cette cellule unique, appelée "zygote", commencera instantanément à se reproduire en se divisant, pour devenir ensuite un "morceau de chair", appelé embryon. Nul ne peut, bien entendu, observer cela autrement qu'à l'aide d'un microscope.

Toutefois, le développement de l'embryon n'a pas lieu dans un espace vide. Il s'accroche à l'utérus tel une plante s'enracinant dans le sol. Grâce à ce lien avec la mère, l'embryon peut recevoir les substances essentielles à son développement.69

C'est là qu'apparaît un autre miracle très important du Coran. En parlant de l'embryon qui se développe dans l'utérus de la mère, Dieu emploie dans le Coran le mot alaq - c'est-à-dire une "adhérence" :

Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, créé l'être humain d'un 'alaq. Lis, car ton Seigneur est le Très Généreux… (Coran, 96 : 1-3)

Le sens du mot alaq en arabe est "quelque chose qui s'accroche". Ce mot est utilisé littéralement pour décrire les sangsues lorsqu'elles s'accrochent sur un corps pour en sucer le sang.

Ce n'est certainement pas un pur hasard qu'un mot si approprié soit utilisé pour décrire le mode de fixation de l'embryon dans l'utérus, à savoir la nidation. Cela prouve une fois de plus que le Coran est une révélation de Dieu, Seigneur des mondes.

Les muscles qui enveloppent les os
Un autre élément important contenu dans les versets du Coran concerne les étapes du développement d'un être humain dans l'utérus. Les versets indiquent qu'on assiste d'abord au développement des os de l'embryon, puis à la formation des muscles qui enveloppent l'ossature.

Ensuite Nous en avons fait une goutte de semence dans un réceptacle sûr, puis Nous avons créé de la goutte de semence une adhérence, puis Nous avons créé de l'adhérence un morceau mâché, puis Nous avons créé du morceau mâché des os puis Nous avons revêtu les os de chair ; ensuite Nous en avons produit un autre être : béni soit Dieu, le Meilleur des créateurs ! (Coran, 23 : 14)

L'embryologie est une discipline scientifique qui étudie le développement de l'embryon dans l'utérus. Jusqu'à très récemment les embryologistes pensaient que le développement des os et des muscles était concomitant. Mais des recherches plus poussées réalisées grâce aux progrès de la technologie ont établi que la révélation coranique relative à ce sujet est juste dans ses moindres détails.

Ces examens au niveau microscopique ont montré que le développement à l'intérieur de l'utérus maternel se fait exactement de la manière décrite dans ces versets. D'abord, le tissu cartilagineux de l'embryon s'ossifie. Puis les cellules musculaires sélectionnées à partir d'un tissu spécifique s'assemblent et enveloppent les os.

Cet événement est décrit dans une publication scientifique nommée Developing Human en ces termes :

… [L]a forme du squelette détermine l'apparence générale de l'embryon au cours de la 7ème semaine, Les muscles ne se développent pas au même moment mais juste après. Les cellules musculaires prennent position dans le milieu environnant les os, sur tout le corps puis enveloppent les os. Ainsi les muscles prennent les formes et les structures bien connues... La phase d'enveloppement des os par les muscles a lieu durant la 8ème semaine.70 En bref, les étapes du développement humain décrites dans le Coran concordent parfaitement avec les découvertes de l'embryologie moderne.

Les trois étapes dans l'utérus maternel
Dans le Coran, il est noté que l'homme est créé dans l'utérus maternel selon un processus composé de trois étapes.

Il vous crée dans les ventres de vos mères, création après création, dans trois ténèbres. Tel est Dieu, votre Seigneur ! A Lui appartient toute la royauté. Point de divinité à part Lui. Comment pouvez-vous vous détourner (de Son culte) ? (Coran, 39 : 6)

L'expression fi dhouloumatin thalaathin traduit en français par "trois ténèbres", indique que trois régions sont impliquées dans le développement de l'embryon. Il s'agit de :

a) la cavité de l'abdomen

b) la cavité de l'utérus

c) la cavité du placenta

Par ailleurs, la biologie moderne a révélé que le développement embryonnaire a lieu dans trois régions de l'utérus. L'embryologie nous dit que ces régions consistent en trois couches chacune.

La paroi abdominale latérale comprend trois couches : l'oblique externe, l'oblique interne, et les muscles abdominaux transversaux… 71

Plus révélateur encore du sens verset coranique cité, l'embryologie a découvert les deux vérités suivantes. En premier lieu, elle nous dit que la paroi utérine est formée de trois couches épaisses : le périmètre, le myomètre et l'endomètre.72 En second lieu, elle montre que le placenta, organe qui relie l'embryon à l'utérus maternel, est composé de trois couches : l'amnios (la membrane interne qui abrite le fœtus), le chorion (la couche moyenne de l'amnios), la déciduale ou la caduque (la couche externe de l'amnios).73

Le sens du verset ci-haut cité peut également dire que l'être humain est créé dans le ventre de sa mère en trois étapes distinctes. De son côté, l'embryologie montre aussi que le développement embryonnaire du bébé a lieu dans trois régions distinctes de l'utérus maternel. Aujourd'hui, dans les manuels d'embryologie des facultés de médecine, ce sujet est considéré comme une connaissance fondamentale. Par exemple, dans Basic Human Embryology, un texte de référence fondamental dans le domaine de l'embryologie, ce fait est exprimé ainsi :

La vie dans l'utérus connaît trois étapes : pré-embryonnaire (les premières deux semaines et demie) ; embryonnaire (jusqu'à la fin de la huitième semaine) ; et fœtale (de la huitième semaine à l'accouchement).74

Ces phases, appelées trimestres, désignent trois périodes et correspondent aux étapes du développement du bébé. Les caractéristiques de ces trois étapes sont décrites ainsi :

- L'étape pré-embryonnaire
Lors de cette première étape, le processus de division cellulaire du zygote commence rapidement. Il ressemblera ensuite à une grappe de cellules et s'accroche à la paroi de l'utérus tout en continuant à se diviser. Les cellules s'organiseront en trois couches.

- L'étape embryonnaire
Pendant cette deuxième étape qui dure cinq semaines et demie, l'être vivant est appelé "embryon". Durant cette période, les organes et systèmes fondamentaux du corps commencent à apparaître à partir des couches cellulaires.

- L'étape fœtale
L'embryon est appelé "fœtus" à partir de cette étape (de la 8ème semaine de la grossesse à l'accouchement). A la différence de l'étape précédente, le fœtus a maintenant l'apparence d'un être humain avec un visage, des mains et des pieds. Bien que ne mesurant que 3 cm au début, le fœtus possède tous ses organes complets et apparents. Cette étape dure 30 semaines et le développement continue jusqu'à l'accouchement.

Les informations sur le développement utérin de l'embryon n'ont été disponibles qu'après des observations effectuées au moyen d'instruments modernes. Pourtant, comme de nombreux autres faits scientifiques, ce savoir nous est communiqué miraculeusement par Coran. Le fait que des renseignements si détaillés et si exacts aient été donnés dans le Livre de Dieu, à une époque où les gens n'avaient que des connaissances rudimentaires des questions médicales, prouve clairement que le Coran est la parole de Dieu.

Le lait maternel
Nous avons commandé à l'homme [la bienfaisance envers] son père et sa mère. Sa mère l'a porté [subissant pour lui] peine sur peine ; son sevrage a lieu à deux ans. Sois reconnaissant envers Moi ainsi qu'envers tes parents. Vers Moi est la destination. (Coran, 31 : 14)

Grâce aux substances entrant dans sa composition, le lait maternel est un composé sans pareil créé par Dieu pour répondre aux besoins nutritionnels du bébé et pour le protéger contre d'éventuelles maladies. L'équilibre nutritionnel du lait maternel est à un niveau idéal et le lait constitue la meilleure nourriture possible pour le corps immature du bébé. Le lait maternel est par ailleurs très riche en ingrédients qui accélèrent le développement des cellules du cerveau et du système nerveux.75 Aucune nourriture artificielle produite avec la technologie actuelle ne peut remplacer cet aliment miraculeux.

La liste des bienfaits nutritifs apportés par le lait maternel au bébé augmente chaque jour. La recherche a montré que les bébés nourris au lait maternel sont particulièrement protégés contre les infections liées aux systèmes respiratoire et digestif. Tout cela grâce aux anticorps contenus dans le lait maternel pour lutter contre les infections. Une autre propriété anti-infectieuse du lait maternel est qu'il fournit un environnement propice pour les bactéries "bénéfiques" appelées "flore bactérienne", constituant ainsi une barrière contre les bactéries nocives, les virus et les parasites. En outre, il a été démontré qu'il y a certains facteurs du lait maternel qui préparent le système immunitaire contre des maladies infectieuses et lui permettent de fonctionner correctement.76

Etant donné que le lait maternel a été spécialement conçu pour les bébés, il constitue aussi la nourriture la plus digeste pour eux. Bien que très riche sur le plan nutritionnel, il est facilement digéré par le système digestif du bébé qui est très délicat. Le bébé dépense ainsi moins d'énergie en digestion, et peut préserver le reste de l'énergie pour d'autres fonctions telles que la croissance et le développement des organes.

Le lait des mères ayant donné naissance à des prématurés contient des concentrations plus élevées en graisses, protéines, sodium, chlore et fer par rapport au cas d'une naissance à terme, répondant ainsi aux besoins plus grands du nouveau-né. En effet, il a été établi que les fonctions de l'œil se développent mieux chez des prématurés nourris au lait maternel, et qu'ils font preuve de plus d'intelligence durant les tests. De plus, ils bénéficient de bien d'autres bienfaits.

Une autre découverte scientifique concernant le lait maternel est son bienfait extrême durant les deux premières années de l'enfant.77 Cette importante information, découverte seulement récemment par la science, a été révélée par Dieu, il y a 14 siècles de cela dans le verset suivant : "Et les mères qui veulent donner un allaitement complet allaiteront leurs bébés deux ans complets." (Coran, 2 : 233)


Conclusion
Tout ce que nous avons vu jusqu'ici indique un fait clair : le Coran est un livre dont toutes les informations se sont avérées être vraies. Des faits concernant des thèmes scientifiques et des informations sur le passé et le futur, des faits que personne ne pouvait connaître à l'époque de la révélation, nous sont annoncés dans le Coran. Il est impossible que ces informations aient été connues avec le niveau de connaissances et de technologie de l'époque. Il est clair que cela fournit des preuves tangibles que le Coran n'est pas la parole de l'homme. Le Coran est la parole de Dieu Tout-Puissant, le Créateur de toutes choses et Celui qui embrasse toutes choses par Sa connaissance. Dans un verset, Dieu dit : "Ne méditent-ils donc pas sur le Coran ? S'il provenait d'un autre que Dieu, ils y trouveraient certes maintes contradictions !" (Coran, 4 : 82). Il n'y a aucune contradiction dans le Coran, mais en plus chaque information qu'il contient indique toujours davantage le miracle de ce Livre divin.

Ce qui incombe à l'homme c'est de se tenir fermement à ce Livre révélé par Dieu, et de le recevoir comme son seul et unique guide. Dans un de ses versets, Dieu nous ordonne :

Et voici un Livre (le Coran) béni que Nous avons fait descendre - suivez-le donc et soyez pieux, afin de recevoir la miséricorde. (Coran, 6 : 155)

LIVRE 2
LES SAVANTS DE FOI
Peu importe le degré d'obstination des matérialistes et des athées, une seule vérité évidente persiste : Dieu a créé toutes les formes de la vie ainsi que les systèmes régis par la science. Cependant, il est certain que la science et la religion sont compatibles et qu'elles le seront tant qu'elles seront pratiquées de façon honnête et raisonnable. Une marque de cet accord apparent est représentée par les "savants de la foi", du passé et du futur, qui ont tous apportés des contributions significatives à l'humanité.

Un chercheur, qui fait de nouvelles découvertes et travaille sur la compréhension des mystères de l'univers, est en fait un individu qui recherche la beauté de Dieu en profondeur en essayant de détecter ses détails. C'est la raison pour laquelle la religion et la science sont une unité inséparable. Un tel chercheur est quelqu'un qui démontre l'infinie puissance de Dieu, la beauté ainsi que l'unicité de Sa création. Pour cette raison, les savants, contrairement aux croyances populaires, peuvent percevoir de façon plus immédiate l'existence et l'unicité de Dieu, et cela parce qu'ils se consacrent à l'étude des objets créés par Dieu.

Sans surprise aucune, il existe un grand nombre de savants qui ont apporté d'importantes contributions à la science en ayant recours à la pensée libre et à l'ouverture d'esprit que la religion leur a fournies. Ces personnes ont non seulement démontré que la science et la religion sont compatibles mais ont également servi la science et l'humanité avantageusement. D'éminents savants comme Newton, Kepler, Léonard de Vinci et Einstein, qui étaient les pionniers de la science, croyaient, suite à leurs observations et recherches, que l'univers est une création organisée et qu'il est sous le contrôle de Dieu. De plus, ce sont des hommes de foi qui ont découvert les principes sur lesquels la science repose. La religion a donc joué un rôle important dans cette découverte. Par exemple, Isaac Newton, considéré comme le savant le plus éminent de tous les temps, explique son point de vue sur le cosmos au travers des mots suivants :

Ce magnifique système de planètes, du soleil et de comètes n'a pu apparaître que grâce à la pensée et à la domination d'un Etre intelligent et puissant. Cet Etre gouverne toutes les choses... en tant que Seigneur de toutes les choses. On l'appelle habituellement le Seigneur Dieu, Dirigeant Universel.78

Il est connu que les réalisations de Kepler découlent de sa foi religieuse. Arno Penzias, lauréat du prix Nobel de physique de 1978, et co-découvreur des radiations cosmiques raconte à propose de Kepler :

Cela remonte réellement au triomphe, non pas de Copernic, mais au triomphe de Kepler. C'est parce que, après tout, la notion d'épicycles remonte à l'époque où les savants échangeaient leurs opinions. Tout cela a duré jusqu'à ce que nous ayons un véritable croyant et ce fût Kepler. ... Il croyait réellement en Dieu le Juge Suprême. ... Et il a dit qu'il doit y avoir quelque chose de plus simple et de plus puissant. Il a eu de la chance ou peut-être qu'il y avait quelque chose de plus profond, mais la foi de Kepler a été récompensée avec ses lois de la nature. Et depuis ce jour-là, cela a été un combat terrible. Mais au fil des siècles, nous avons constaté que des lois très simples de la nature s'appliquent en réalité.

Et alors, l'attente est toujours du côté des savants. Et cela vient essentiellement de Kepler, et Kepler a tiré cela de sa foi... 79

Dans cette partie du livre, nous allons traiter des savants de foi, passés et présents, qui ont fondé et développé la science moderne, ainsi que leurs contributions scientifiques. Tous les savants inclus dans cette partie croyaient que le cosmos et toutes les formes de la vie étaient créés par Dieu. Les paroles de Francis Bacon décrivent l'estime qu'un scientifique de foi porte à tous les êtres créés :

Comme toutes les œuvres montrent la puissance et les capacités de l'ouvrier... il en est de même pour les œuvres de Dieu, qui montrent l'omnipotence et la sagesse du Créateur.80

Dans ses versets, Dieu énonce qu'un des moyens d'acquérir l'aptitude de penser à la création, de craindre Dieu, de reconnaître la création comme venant de Lui et de comprendre Son omnipotence et Son omniscience est "d'acquérir le savoir" :

Ceux qui ont pris des protecteurs en dehors de Dieu ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l'araignée. Si seulement ils savaient ! Dieu connaît toute chose qu'ils invoquent en dehors de Lui. Et c'est Lui le Tout Puissant, le Sage. Telles sont les paraboles que Nous citons aux gens ; cependant, seuls les savants les comprennent. C'est pour une juste raison que Dieu a créé les cieux et la terre. Voilà bien là une preuve pour les croyants. (Coran, 29 : 41-44)

Et parmi Ses signes la création des cieux et de la terre et la variété de vos langages et de vos couleurs. Il y a en cela des preuves pour les savants. (Coran, 30 : 22)

Dieu atteste, et aussi les anges et les doués de science, qu'il n'y a point de divinité à part Lui, le Mainteneur de la justice. Point de divinité à part Lui, le Puissant, le Sage ! (Coran, 3 : 18)

Mais ceux d'entre eux qui sont enracinés dans la connaissance, ainsi que les croyants, (tous) ont foi à ce qu'on a fait descendre sur toi et à ce qu'on a fait descendre avant toi. Et quant à ceux qui accomplissent la salat, paient la zakat et croient en Dieu et au Jour dernier, ceux-là Nous leur donnerons une énorme récompense. (Coran, 4 : 162)

LES SAVANTS DE FOI DANS LE PASSE
Roger Bacon (1220-1292)
"La grâce de la foi l'illumine grandement."81

Appelé Docteur Mirabiles (Docteur merveilleux) par ses contemporains, Roger Bacon était un scientifique et théologien britannique qui a mis l'accent sur la méthode expérimentale et mis fin à de nombreuses traditions archaïques pratiquées par la science de son époque. Bacon avait prévu un grand nombre de percées technologiques qui se sont développées des centaines d'années plus tard, percées qui étaient même complexes, voire difficiles à appréhender pour l'époque. Les bateaux à vapeur, les trains, les voitures, les avions, les grues ainsi que les ponts suspendus sont quelques-unes des innovations qu'il a anticipées au 13ème siècle.

Dans une lettre adressée à un ami, Bacon écrit :

D'abord, il devrait y avoir des instruments de navigation sans personne pour les régler, de grands navires pour fendre les mers avec un seul homme pour les diriger, et ils devraient naviguer bien plus rapidement que s'ils étaient remplis d'hommes ; également, des chariots qui devraient se déplacer avec une force indicible sans créature vivante pour les tirer.82

Croyant que la lumière a été créée par Dieu pour permettre à l'homme de voir, Bacon a mené des observations à cet effet. Il a défini les caractéristiques extraordinaires des lentilles optiques ainsi que leur champs d'applications. Il a été le premier à remarquer que la lumière émise par les étoiles ne parvient pas à la terre au même moment. C'est lui, finalement qui a affirmé que la terre n'est pas plate mais ronde et ce, 200 ans avant Christophe Colomb et avant que l'Inde ne soit atteinte en naviguant à partir de l'ouest de l'Europe.

Persuadé que les conclusions auxquelles il était arrivé par ses observations étaient utiles aux hommes de foi, Bacon dit :

Alors cette science, en ce qui concerne la richesse des croyants, est utile, puisque que nous avons vu dans sa connaissance particulière le futur, le présent et le passé.83

Bacon, en tant que scientifique, a argumenté que la science n'est pas en contradiction avec la religion, mais que par contre, elle peut servir d'outil important pour convaincre les non croyants. Il a affirmé : "… cette science a un grand avantage, celui de persuader l'homme à accepter la foi."84

Francis Bacon (1561-1626)
Bacon, un des fondateurs de la méthode scientifique, est connu pour avoir été un croyant dévoué. Dans son Novum Organum, il précise que la philosophie naturelle (la science) est "après la parole de Dieu, le remède le plus sûr contre la superstition ainsi que le soutien le plus performant de la foi".85

Galilée Galilei (1564-1642)
Galilée Galilei est la première personne à avoir fait usage du télescope pour observer le ciel. Il a soutenu que la terre est ronde et il a été le premier à détecter les régions noires, les cratères ainsi que les collines de la lune. Connu pour sa grande contribution à la science, il croyait que les sens, le langage ainsi que l'intelligence ont été attribuées aux gens par Dieu et qu'ils se doivent de les utiliser du mieux possible. Il a soutenu qu'il n'est que trop évident que la nature a été conçue par Dieu. Il a indiqué que la nature n'est rien d'autre qu'un autre livre écrit par Dieu, et que l'affrontement entre la vérité scientifique et la vérité de la foi ne sont pas en contradiction puisque Dieu est l'Auteur de toute la vérité.86

Johannes Kepler (1571-1630)
Puisque nous les astronomes, nous sommes les prêtres du plus grand Dieu en ce qui concerne le livre de la nature, il nous incombe d'être attentif, non à la gloire de nos esprits, mais plutôt, par-dessus tout, à la gloire de Dieu.87

Kepler, le père de l'astronomie moderne, a découvert le mouvement elliptique des planètes, a établi une formule permettant de relier la période de l'orbite d'une planète à sa distance moyenne du soleil et a complété les tables astronomiques qui permettent le calcul de la position des planètes à n'importe quel moment du passé ou du futur.

En tant que scientifique, Kepler pensait également que l'univers a été engendré par un Créateur. Quand on lui a demandé pourquoi il pratiquait la science, il a répondu "… j'avais l'intention de devenir théologien… à présent, je vois comment est Dieu, et par mes efforts, je vois aussi qu'Il est glorifié en astronomie, car les cieux déclarent la gloire de Dieu".88

La vie de Kepler, qui croyait que la gloire de Dieu se manifestait dans toutes Ses créatures, est un exemple démontrant toute la réussite et l'ouverture d'esprit qu'un scientifique qui admet l'existence d'un dessein divin dans la nature peut atteindre. "Qui place les ours blancs et les loups blancs dans les régions enneigées du Nord, et qui y crée aussi des œufs d'oiseaux en tant que nourriture pour les ours, les baleines et, les loups ?" demande Kepler. Il y répond lui-même :

Notre Dieu est Tout-Puissant et Sa vertu est grande et Sa sagesse ne se compte pas : Le glorifient les cieux, Le glorifient le soleil, la lune et les planètes. Utilisez chacun de vos sens pour Le percevoir, et votre langue pour déclarer votre Créateur. Le glorifient les harmonies célestes, Le glorifient les juges des harmonies découvertes : et par mon âme, louer le Seigneur, le Créateur, aussi longtemps que je serai : car de Lui et par Lui et en Lui sont toutes les choses, les sensibles et les intelligibles ; car de cela nous sommes totalement ignorants et ce que nous connaissons n'est qu'une toute petite part ; car il y a bien plus au-delà ce cela. A lui les louanges, les honneurs et la gloire, le monde sans fin.89

Johannes Baptista von Helmont (1579-1644)
Ayant découvert la chimie pneumatique et la physiologie chimique, Helmont, a aussi inventé le thermomètre et le baromètre. Walter Pagels, qui a écrit un livre sur les aspects religieux de la science de von Helmont, rapporte qu'il trouvait l'inspiration pour ses recherches dans ses croyances religieuses.90

Blaise Pascal (1623-1662)
Contribuant à la plus grande innovation en géométrie depuis l'époque des anciens Grecs, Pascal était un savant éminent qui a fait des découvertes significatives très tôt dans sa vie. En plus de ses contributions aux mathématiques, Pascal a également fait des découvertes extraordinaires en physique, réalisé de nombreuses études en mécanique des fluides et de l'atmosphère et prouvé que la pression atmosphérique varie en fonction de l'altitude.

Célèbre figure de l'histoire des sciences, Pascal était également un homme profondément spirituel. Il fait référence au pouvoir éternel de Dieu quand il dit que Dieu est le Créateur de toute chose, des mathématiques à l'ordre des éléments.91

John Ray (1627-1705)
Botanique britannique de renom, John Ray était un homme de foi. Il sentait que si l'homme avait été placé sur terre pour refléter la gloire de Dieu dans Ses œuvres, alors il devrait faire attention à chaque chose créée. Dans ses plus jeunes années, incité par cette opinion, Ray s'est engagé dans la recherche scientifique. Il est devenu la plus grande autorité de son époque en botanique et en zoologie. Il a écrit un livre bien accueilli, The Wisdom of God in Creation (La sagesse de Dieu dans la création). Dans ce livre, où il présente des milliers de plantes, d'insectes, d'oiseaux, d'espèces de poissons, et autres, il rapporte que la nature révèle l'existence d'un Créateur. Les œuvres de création de Dieu, dit-il, étaient "les œuvres créées par Dieu au commencement, et conservées par Lui jusqu'à ce jour dans le même état et les mêmes conditions que dans lesquelles elles avaient été d'abord faites".92 Ray, qui a apporte une contribution considérable à la botanique, a toujours souligné que la science et la religion s'entrecoupent de plusieurs manières. Son attitude se comprend mieux par ses paroles : "Il n'y a pas d'occupation plus méritante et délicieuse pour un homme libre que de contempler les œuvres de la nature et d'honorer la sagesse et la bonté infinies de Dieu."93

Robert Boyle (1627-1691)
Considéré comme le père de la chimie moderne, Boyle a réalisé un grand nombre de découvertes scientifiques révolutionnaires. Il a établi la relation entre le changement dans la pression appliquée à l'air et le volume occupé par l'air, ce qui est connu aujourd'hui comme la "loi de Boyle des gaz". Ses autres inventions incluent une sorte de papier PH et un réfrigérateur primitif. Il a démontré que l'eau s'étend lorsqu'elle gèle. La définition moderne du terme "élément" lui revient, il a contribué également à la théorie de l'atomisme qui stipule que si l'air est compressible, cela est dû au vide existant entre ses particules.

En même temps que responsable de ces grandes découvertes, Boyle était un croyant dévoué. Il croyait en l'existence d'un dessein intelligent dans la nature, créée par un Créateur puissant. Boyle nous enseigne dans ses livres et écrits que la science et la foi en Dieu doivent rester l'une à côté de l'autre. Dans un de ses écrits, il dit : "Pensez à glorifier celui qui a créé la nature… Utilisez le savoir afin d'apporter du bien à l'humanité."94

Ailleurs, il mentionne que la perfection des êtres vivants révèle explicitement l'existence de Dieu :

L'ingéniosité excellente de ce grand système qu'est le monde, et en particulier les structures singulières des corps des animaux et les utilisations de leurs sens et d'autres parties, ont été les plus grands motifs pour les philosophes, à toutes époques et dans n'importe quelle nation, de reconnaissance d'une Divinité comme l'auteur de ces structures admirables.95


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L'identité dans les empreintes digitales LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE Antonie von Leeuwenhoek (1632-1723)
C'est bien Leeuwenhoek qui a découvert les bactéries. Leeuwenhoek avait l'habitude de polir ses propres lentilles pour examiner des vêtements. Intrigué par ce qu'il a observé, il a commencé à produire d'autres verres grossissants - et il devint ainsi le premier homme à voir et à décrire les bactéries au travers d'un microscope.

Son objectif consistant à réfuter l'idée de génération spontanée sans Créateur l'a mené à effectuer d'importantes études scientifiques. Afin d'atteindre ce but, il a étudié le système nutritif des plantes et des animaux et examiné les spermatozoïdes, le transport des nutriments dans les plantes ainsi que la structure et la fonction des différents composants des plantes. Les cellules sanguines sont également devenues le sujet de ses recherches. Il a été le premier à étudier les capillaires et à observer les cellules sanguines passer au travers d'eux. Avant Leeuwenhoek, personne n'avait compris que les muscles sont constitués de fibres.96

Isaac Newton (1642-1727)
Considéré comme l'un des plus grands savants ayant jamais existé, Newton était à la fois mathématicien et physicien. Sa plus grande contribution à la science a été sa découverte de la loi de la gravitation universelle. Il a ajouté le concept de masse à la relation entre la force et l'accélération ; il a introduit la loi de l'action et de la réaction et mis en avant la thèse selon laquelle un objet en mouvement continuera d'avancer en ligne droite à une vitesse constante à moins de lui appliquer une force. Les lois de Newton concernant les mouvements sont restées applicables pendant 4 siècles, du plus simple des calculs d'ingénierie jusqu'aux projets technologiques les plus complexes. Les contributions de Newton ne se sont pas limitées à la pesanteur mais elles se sont étendues également à la mécanique et à l'optique. En découvrant les sept couleurs de la lumière, Newton a jeté ainsi les bases d'une nouvelle discipline, nommée l'optique.

Parallèlement à ses découvertes révolutionnaires, Newton a écrit des thèses réfutant l'athéisme et défendant la création. Il a soutenu l'idée que "la création est la seule explication scientifique". Newton croyait que l'univers mécanique, gigantesque horloge travaillant sans relâche, ne pouvait qu'être le travail d'un Créateur Tout-Puissant et sage.

Derrière les découvertes de Newton, qui ont changé le cours du monde, se trouvait son désir de se rapprocher de Dieu. Newton a étudié les objets de la création de Dieu afin de mieux Le connaître. A cette fin, il s'est consacré aux études avec une grande énergie. Newton nous a communiqué la raison de son zèle pour les efforts scientifiques dans son fameux ouvrage, Principia Mathematica :

... Il (Dieu) est éternel et infini, omnipotent et omniscient ; c'est-à-dire que Sa durée va de l'éternité jusqu'à l'éternité ; Sa présence de l'infini à l'infini ; Il régit toutes les choses, et connaît toutes les choses qui sont ou qui peuvent être. Il est... éternel et infini ; ... Il subsiste et est présent. Il subsiste pour toujours, et est présent partout ; et, en existant toujours et partout, Il constitue la durée et l'espace... Nous ne Le connaissons que par Ses inventions les plus sages et excellentes... [Nous] Le vénérons et L'adorons comme Ses serviteurs... 97

John Flamsteed (1646-1719)
Fondateur du célèbre observatoire de Greenwich, il était le premier astronome royal d'Angleterre. Flamsteed qui, après d'innombrables observations, a réalisé la première grande carte des étoiles de l'époque des télescopes, était également un homme d'église dévoué.

John Woodward (1665-1728)
Woodward était l'un des plus grands pères de la géologie. Une des plus grandes contributions de Woodward a été la mise en place d'un important musée de paléontologie à Cambridge ainsi que de sa branche de géologie.

Carolus Linnaeus (1707-1778)
Linnaeus, scientifique d'une grande piété, a entrepris d'importantes études en botanique. C'est lui qui a prouvé que les plantes se reproduisent sexuellement et il a introduit dans la science la notion de "taxonomie biologique".

Jean Deluc (1727-1817)
Deluc était un physicien suisse qui a inventé le terme "géologie". Lui et son père ont développé le thermomètre à mercure moderne et l'hygromètre. Il est connu pour sa croyance en la création ainsi que pour son opposition à l'idée selon laquelle l'univers et la vie sont le produit du hasard.

Sir William Herschel (1738-1822)
Herschel était un des astronomes les plus compétents du 18ème siècle. Herschel, qui a construit les télescopes à réflexion les plus avancés de son époque, et qui a catalogué et étudié les nébuleuses et les galaxies comme jamais auparavant, était un scientifique de la foi. Ce fut Herschel qui dit : "Les astronomes non pieux doivent être fous", remarquant qu'il est stupéfiant qu'un scientifique étudiant l'astronomie, et qui de ce fait est témoin de l'ordre parfait dans l'univers, ne puisse pas croire en Dieu.98

William Paley (1743-1805)
Paley était un scientifique qui croyait en la création. Son ouvrage, Natural Theology (Théologie Naturelle), a été un des best-sellers de son époque. Paley sentait que "si les œuvres d'art sont les produits de l'homme, alors les êtres vivants doivent être le produit d'un être bien supérieur à l'homme". Selon Paley, le fait que tous les êtres vivants sont équipés de toutes les caractéristiques dont ils ont besoin pour survivre dans leur habitat est une "marque d'ingéniosité, en faveur de la conception et d'un Créateur astucieux".99

George Cuvier (1769-1832)
Cuvier était un des plus grands anatomistes et paléontologistes. Il est considéré comme le fondateur de la science de l'anatomie comparative et un des architectes clés de la paléontologie en tant que discipline scientifique séparée. C'était un créationniste ferme, participant même dans les débats importants qui opposaient la création à l'évolution.100

Humphrey Davy (1778-1829)
Connu comme homme de foi, Davy était l'un des plus grands chimistes de son époque, et l'homme sous lequel Faraday a fait son apprentissage. Il a été le premier à isoler plusieurs éléments chimiques importants, à développer la théorie du mouvement de la chaleur, à inventer la lampe de secours, et à démontrer que le diamant est du carbone, parmi d'autres contributions importantes.

Adam Sedgwick (1785-1873)
Un des grands géologues du 19ème siècle, Sedgwick est plus particulièrement célèbre pour avoir identifié et nommé les importants systèmes rocheux connus sous les noms de Cambrien et Dévonien. Il était aussi curé, et bien qu'il fût ami de Charles Darwin, il s'est toujours opposé à ses idées évolutionnistes.101

Michael Faraday (1791-1867)
Reconnu universellement comme étant le plus grand physicien de tous les temps, Faraday était tout particulièrement doué dans le développement des nouvelles sciences de l'électricité et du magnétisme. Il a apporté également des contributions majeures dans le domaine de la chimie.

Faraday était un scientifique qui croyait en l'existence d'un Créateur, et en l'harmonie de la science et de la religion. Puisqu'un seul Dieu a créé le monde, dit-il, toute la nature doit être interconnectée en un tout unique. Se basant sur cette idée, il a conclu que l'électricité et le magnétisme devaient être liés.102

Samuel Morse (1791-1872)
Morse était un scientifique remarquable connu pour son invention du télégraphe. Il a construit également le premier appareil photographique en Amérique.

Morse croyait en l'existence d'un Créateur qui a créé toutes les choses dans un dessein précis. Il sentait que le monde matériel et le monde spirituel agissaient en harmonie. Quatre ans avant de mourir, Morse a écrit : "Plus je m'approche de la fin de mon pèlerinage, plus j'apprécie la grandeur et la splendeur des remèdes de Dieu pour les hommes déchus, et plus le futur est illuminé de joie et d'espoir".103

Joseph Henry (1797-1878)
Le grand physicien américain et scientifique pieux, Joseph Henry, était professeur à l'Université de Princeton. Henry, inventeur du moteur électromagnétique et du galvanomètre, a pris pour habitude de s'arrêter pour adorer Dieu, puis de prier pour être bien guidé, à chaque moment critique d'une expérience, dans toutes ses expérimentations.104

Louis Agassiz (1807-1873)
Agassiz, largement reconnu comme le plus grand biologiste américain, était un opposant invétéré de l'évolutionnisme.

Agassiz voyait le dessein de Dieu partout dans la nature, et il ne pouvait pas se réconcilier avec une théorie qui ne reconnaissait pas la conception. Comme il l'a écrit dans son Essay on Classification :

La combinaison dans le temps et l'espace de toutes ces conceptions attentives ne montre pas seulement la pensée, elle montre aussi la préméditation, la puissance, la sagesse, la grandeur, la prescience, l'omniscience, la providence. En un mot, tous ces faits dans leur connexion naturelle proclament à haute voix le Seul Dieu, que l'homme peut connaître, adorer et aimer.105

James Prescott Joule (1818-1889)
En plus de sa découverte de la première loi de thermodynamique, Joule a montré également comment calculer la quantité de chaleur produite par un courant électrique se déplaçant dans un fil, et il était le premier à calculer la vitesse des molécules de gaz. Sa plus grande découverte a été la valeur de la constante connue comme "l'équivalent mécanique de la chaleur". Cette découverte a conduit à la formulation de la loi de conservation de l'énergie, l'une des plus fondamentales et universelles de toutes les lois scientifiques.

Joule, en tant que découvreur de ces lois scientifiques importantes, était un scientifique qui croyait qu'il pouvait se rapprocher de Dieu en connaissant les lois de la nature. Sa croyance l'a incité à entamer de plus grandes investigations. Il faisait partie des 717 savants qui ont signé un manifeste contre Darwin en 1864. Il a exprimé ses croyances concernant la science en ces termes :

Après la connaissance et la soumission envers la volonté de Dieu, le prochain but doit être de connaître certaines choses sur Ses attributs de sagesse, de puissance et de bonté, comme elles sont mises en évidence par Ses œuvres. Il est évident que connaître les lois naturelles ne signifie rien de moins que de connaître l'esprit de Dieu qui s'y exprime.106

George Gabriel Stokes (1819-1903)
George Stokes était un grand physicien et mathématicien britannique qui a apporté des contributions majeures dans plusieurs domaines. Il a élargi les connaissances des décalages gravitationnels, de l'astrophysique, de la chimie, des problèmes soniques et de la chaleur. Il a montré que contrairement au verre, le quartz est transparent aux radiations ultraviolettes. Avec Lord Kelvin, il était le premier à apprécier les recherches électrodynamiques de James Joule. Stokes a montre que les rayons X faisaient aussi partie du spectre électromagnétique de Maxwell. Pendant quelques temps, Stokes fut président de l'Institut Victoria de Londres, et un membre actif de la Société Philosophique de Cambridge.

C'était un scientifique qui a étudié la nature en ayant foi dans le Créateur, et il a insisté tout particulièrement dans ses écrits sur sa croyance en Dieu. Dans un de ses ouvrages, il dit que "les lois de la nature sont portées selon Sa volonté, et Celui qui les veut peut aussi vouloir leur suspension".107

Rudolph Virchow (1821-1902)
Les principales contributions scientifiques de Virchow sont en médecine. Il est considéré comme le père de la pathologie moderne et de l'étude des maladies cellulaires. Il était le premier à décrire la leucémie, et il était actif dans les recherches anthropologiques et archéologiques. Virchow figure parmi les grands savants qui se sont fermement opposés aux enseignements évolutionnistes de Darwin et Haeckel. Il s'est engagé également activement en politique et il a combatu vigoureusement les enseignements évolutionnistes dans les écoles d'Allemagne.108

Gregory Mendel (1822-1884)
Avec sa découverte des trois lois de la génétique, Mendel est entré dans l'histoire comme la personne ayant fondé les principes de l'héritage. Les principes de Mendel sur l'héritage se sont avérés être les preuves les plus convaincantes exposant la fausseté de la théorie de l'évolution. Parallèlement à cela Mendel croyait que Dieu avait créé le monde, et que le hasard aveugle ne pouvait être responsable de son apparition.109

Louis Pasteur (1822-1895)
Pasteur est une des plus grandes figures de l'histoire de la science et de la médecine au 20ème siècle, principalement grâce à sa théorie microbienne des maladies, et à sa forte opposition à la théorie de l'évolution. Il a été le premier à expliquer les bases organiques et le contrôle de la fermentation, et pendant qu'il s'orientait de plus en plus vers la bactériologie, il a isolé plusieurs organismes causant des maladies, et développé des vaccins pour les combattre - notamment les terribles maladies de la rage, de la diphtérie, de la maladie du charbon et d'autres - ainsi que les processus de pasteurisation et de stérilisation.

Pasteur, qui était un fervent croyant, a fait l'objet d'une critique féroce à cause de son opposition à la théorie de l'évolution de Darwin. C'était un défenseur de la compatibilité de la science et de la religion, qu'il a souvent souligné dans ses écrits. Ainsi, il a écrit : Plus je connais de choses, plus ma foi s'approche de celle du paysan breton (c'est-à-dire une foi qui est sereine, complète et inconditionnelle).110

William Thompson (Lord Kelvin) (1824-1907)
Lord Kelvin est reconnu comme le physicien majeur de son époque, et il est aussi connu pour sa foi solide en Dieu. Il est tenu en haute estime dans la communauté scientifique pour ses contributions à la physique et aux mathématiques, ainsi que pour ses inventions. Il a développé une méthode permettant de liquéfier l'hydrogène et l'hélium et établi l'échelle des températures absolues qui sont aujourd'hui mesurées en "degrés Kelvin". Il a fait de la thermodynamique une discipline scientifique formelle, et il a formulé ses première et seconde lois avec une terminologie précise.

Il parle ouvertement de sa foi en Dieu dans ses ouvrages :

Ne soyez pas effrayéz d'être des penseurs libres. Si vous pensez suffisamment fort, vous serez contraints par la science à croire en Dieu.111 En ce qui concerne l'origine de la vie, la science... affirme positivement la puissance créatrice.112

Sir William Huggins (1824-1910)
Huggins était bien connu en tant que scientifique de la foi et brillant astronome. Il a été le premier à démontrer que les étoiles étaient constituées pour la plupart d'hydrogène, ainsi que de faibles quantités des mêmes éléments existant sur Terre. Il a aussi été le premier à identifier l'effet Doppler (le fait que la lumière des étoiles se décale du rouge vers le bleu lorsqu'elles s'éloignent les unes des autres) en astronomie, ce qui a engendré l'idée d'un univers en expansion.

J. J. Thomson (1856-1940)
En 1897, J.J.Thomson a découvert l'électron. Il était professeur de physique à l'Université de Cambridge. Thomson, qui était un homme pieux, a fait le commentaire suivant dans Nature, attirant l'attention sur le fait que les conclusions atteintes par la science indiquent l'existence de Dieu :

Dans la tour lointaine, des sommets scientifiques de plus en plus élevés offriront à ceux qui les atteignent des perspectives plus larges et approfondiront la sensation dont la vérité est soulignée par chaque progrès de la science, la grandeur de l'œuvre de Dieu.113

Joseph Clerk Maxwell (1831-1879)
Maxwell a vécu une vie courte mais exceptionnellement productive. Reconnu comme le père de la physique moderne, il a démontré l'unité de la lumière et de l'électricité en regroupant la lumière, l'électricité et le magnétisme dans un jeu d'équations de même qu'il a mis au point une réfutation mathématique exhaustive de la célèbre "hypothèse nébuleuse" de La Place, un athée français notoire. Einstein s'est basé sur les équations de Maxwell pour formuler la théorie de la relativité.

Albert Einstein a appelé la réussite de Maxwell "la plus profonde et la plus fructueuse que la physique ait expérimenté depuis l'époque de Newton". Il était fortement opposé à l'évolution et a ainsi écrit une réfutation incisive des philosophies évolutionnistes de Herbert Spencer, le grand avocat du darwinisme. Dans une lettre il a souligné qu'un scientifique de la foi a une obligation de conduire ses travaux dans l'intérêt de la religion.114

John Strutt (1842-1919)
John Strutt a fait des études sur les mouvements des ondes électromagnétiques, en apportant des contributions remarquables en optique, en physique sonique et en dynamique des gaz. Il a été le co-découvreur de l'argon et des gaz rares. Il était aussi connu comme étant un croyant fervent. En préambule de ses articles il écrivait : "Les ouvrages du Seigneur sont grands."115

Albert Einstein (1879-1955)
Albert Einstein, qui est un des savants les plus importants du siècle dernier, était aussi connu pour sa foi en Dieu. Iln'hésitait pas à défendre le fait que la science ne puisse pas exister sans la religion :

Je ne peux concevoir, a-t-il affirmé, un authentique savant sans cette foi profonde. La situation peut être décrite par une image : la science sans la religion est boiteuse.116

Einstein était convaincu que l'univers était trop parfaitement conçu pour être le résultat du hasard, et qu'il avait été créé par un Créateur avec une intelligence supérieure.

Pour Einstein, qui a souvent fait référence à sa croyance en Dieu dans ses écrits, réfléchir à l'ordre naturel dans l'univers était très important. Dans un de ses écrits il mentionne : "Dans chaque véritable chercheur de la nature existe une sorte de révérence religieuse."117 Ailleurs, il écrit :

Quiconque est sérieusement impliqué dans la science devient convaincu qu'un esprit se manifeste dans les lois de l'univers - un esprit infiniment supérieur à celui de l'homme... De cette manière travailler dans la science mène à un sentiment religieux d'un type particulier...118

Georges Lemaitre 1894-1966)
Georges Lemaître proposa la théorie du Big Bang concernant la création de l'univers. Il pensait que l'univers avait un commencement distinct, qu'il aurait une fin, et que la reconnaissance de ce fait joue un rôle critique pour aider les gens à croire en Dieu. Lemaître, qui était aussi prêtre, croyait que la science et la religion mèneraient à la même vérité.119

George Washington Carver (1865-1943)
L'agriculture est devenue une discipline importante à partir du début du 19ème siècle. Carver était un célèbre chercheur agronomique qui a fait plusieurs découvertes critiques.

Carver était connu pour sa croyance en Dieu, à laquelle il faisait pratiquement toujours référence dans ses discours et ses interviews. Comme il l'a dit à un reporter du Atlanta Journal qui l'avait questionné sur la permanence des peintures à l'argile qu'il avait développées : "Tout ce que je fais est de préparer ce que Dieu a fait, pour des usages que l'homme peut mettre en œuvre. C'est l'œuvre de Dieu - pas la mienne."120

Wernher von Braun (1912-1977)
Wernher von Braun était un des plus grands savants au monde. C'était un ingénieur allemand travaillant sur les fusées et qui a développé la célèbre fusée V-2 au cours de la Seconde Guerre Mondiale.

Dr. Braun, devenu par la suite directeur de la NASA, était aussi un scientifique à la foi solide. Dans la préface à une anthologie sur la création et la conception dans la nature, il offre ce témoignage :

Le vol spatial habité est une réussite stupéfiante, mais cela n'a ouvert à l'humanité qu'une porte minuscule pour voir les merveilles de l'espace.

Un regard à travers ce judas sur les vastes mystères de l'univers ne devrait que confirmer notre foi en la certitude de son Créateur. Je trouve aussi difficile à comprendre un savant qui ne reconnaît pas la présence d'une rationalité supérieure derrière l'existence de l'univers qu'un théologien qui nierait les avancées de la science.121

En mai 1974, Wernher von Braun énonce dans un article :

On ne peut être confronté à la loi et à l'ordre de l'univers sans conclure qu'il doit exister une conception et un but derrière tout ça... Plus nous comprenons les complexités de l'univers et ses rouages, plus nous avons des raisons de nous étonner de la conception inhérente qui le sous-tend... Etre forcé de ne croire qu'en une seule conclusion - que tout dans l'univers soit apparu par le fait du hasard - violerait l'objectivité de la science elle-même... Quel processus aléatoire pourrait produire le cerveau d'un homme ou le système de l'œil humain ?... 122

Max Planck (1858-1947)
Célèbre physicien allemand, Max Planck a découvert une constante physique qui porte aujourd'hui son nom. Professeur de physique à l'Université de Berlin dans les années 1900, Planck a affirmé que la forme d'une radiation pouvait être comparée à l'image formée par une goutte d'eau sur une vitre, plutôt qu'à de l'eau s'écoulant constamment dans une rivière. Jusqu'à Planck, les savants pensaient que la lumière suivait un mouvement de vague. Planck, qui a découvert que chaque particule de lumière est un paquet d'énergie, a désigné ces particules sous le terme de "photon". Le concept de photon a été un tournant dans l'histoire de la physique. Désormais on a appris avec Planck que la lumière ne voyage pas uniquement dans l'air sous forme de vagues comme le son, mais aussi comme des particules.

Responsable de ces découvertes révolutionnaires, Planck croyait en une "intelligence toute-puissante qui gouverne l'univers".123 Il a dit que le Créateur de l'ordre dans l'univers est Dieu et il a parlé de sa propre croyance en Lui avec ces mots :

N'importe qui ayant été sérieusement engagé dans des travaux scientifiques réalise qu'au-dessus de l'entrée du temple de la science sont écrits les mots : Vous devez avoir la foi. C'est une qualité indispensable pour un savant.124

Sir Alister Hardy (1896-1985)
Hardy a été le fondateur de la science océanique moderne. La Fondation Templeton, qui récompense chaque année un chercheur pour sa contribution au Une étude scientifique de l'univers a suggéré une conclusion qui peut être résumée... dans la phrase que l'univers apparaît avoir été conçu par un pur mathématicien.127

D'AUTRES SAVANTS DE FOI DU PASSE
Les savants, dont le nom suit dans cette section, et qui ont apporté des contributions significatives à la science, croyaient en la création. Ils sont un exemple pour ainsi dire "vivant" que la croyance en la création n'entre pas en conflit avec la science, et qu'au contraire, la religion encourage en réalité la science. Ce sont : progrès dans la religion, a honoré Sir Alister Hardy en 1985, pour des travaux empiriques qui pour la première fois avaient étudié scientifiquement des expériences religieuses.

Charles Coulson (1910-1974)
Coulson, professeur de mathématique à l'Université d'Oxford pendant de nombreuses années, a souvent mentionné sa foi en Dieu, son désir de se rapprocher de Dieu, ses prières envers Dieu, et sa croyance que le but de la vie était de se rapprocher de Dieu.125

Sir James Jeans (1877-1946)
L'éminent physicien Sir James Jeans croyait que l'univers avait été créé par un Créateur à la sagesse infinie. Voici certaines déclarations dans lesquelles il s'étend sur son point de vue :

Nous découvrons que l'univers montre des preuves d'une Puissance conceptrice ou dominante qui a quelque chose en commun avec notre propre esprit.126

Leonard de Vinci (1452-1519) Art, ingénierie, architecture

Georgius Agricola (1494-1555) Minéralogie

John Wilkins (1614-1672) Astronomie, mécanique

Walter Charleton (1619-1707) Président du "Royal College of Physicians"

Isaac Barrow (1630-1677) Professeur de mathématiques Nicolas Steno (1631-1686) Stratigraphie

Thomas Burnet (1635-1715)

Géologie

Increase Mather (1639-1723) Astronomie

Nehemiah Grew (1641-1712)

Médecine

William Whiston (1667-1752)

Physique, géologie

John Hutchinson (1674-1737)

Paléontologie

Jonathan Edwards (1703-1758)

Physique, météorologie

Richard Kirwan (1733-1812)

Minéralogie

Timothy Dwight (1752-1817)

Educateur

James Parkinson (1755-1824)

Médecine

William Kirby (1759-1850)

Entomologie (étude des insectes)

Benjamin Barton (1766-1815)

Botanique, zoologie

John Dalton (1766-1844)

Inventeur de la théorie atomique moderne

Charles Bell (1774-1842)

Anatomie

John Kidd (1775-1851)

Chimie

Johann Carl Friedrich Gauss (1777-1855)

Géométrie, géologie, magnétisme, astronomie

Benjamin Silliman (1779-1864)

Minéralogie

Peter Mark Roget (1779-1869)

Physiologie

William Buckland (1784-1856) Géologie William Prout (1785-1850)

Chimie

Edward Hitchcock (1793-1864)

Géologie

William Whewell (1794-1866)

Astronomie, physique

Richard Owen (1804-1892)

Zoologie, paléontologie

Matthew Maury (1806-1873)

Océanographie, hydrographie

Henry Rogers (1808-1866)

Géologie

James Glaisher (1809-1903)

Météorologie

Philip H. Gosse (1810-1888)

Ornithologie (l'étude des oiseaux), zoologie

Sir Henry Rawlinson (1810-1895)

Archéologie

John Ambrose Fleming (1849-1945)
Electronique

Sir Joseph Henry Gilbert (1817-1901)

Chimie agronomique

Thomas Anderson (1819-1874)

Chimie

Charles P. Smyth (1819-1900)

Astronomie

John W. Dawson (1820-1899)

Géologie

Henri Fabre (1823-1915)

Entomologie

Bernhard Riemann (1826-1866)

Géométrie

Joseph Lister (1827-1912)

Chirurgie

John Bell Pettigrew (1834-1908)

Anatomie, physiologie

Balfour Stewart (1828-1887)

Electricité ionosphérique

P.G. Tait (1831-1901)

Physique, mathématiques

Edward William Morley (1838-1923)

Lauréat du prix Nobel de physique

Sir William Abney (1843-1920)

Astronomie

Alexander MacAlister (1844-1919)

Anatomie

A.H. Sayce (1845-1933)

Archéologie

James Dana (1813-1895)

Géologie

George Romanes (1848-1894)

Biologie, physiologie

William Mitchell Ramsay (1851-1939)

Archéologie

William Ramsay (1852-1916)

Chimie

Howard A. Kelly (1858-1943)

Gynécologie
Douglas Dewar (1875-1957)

Ornithologie

Paul Lemoine (1878-1940)

Géologie

Charles Stine (1882-1954)

Chimie organique

A. Rendle-Short (1885-1955)

Médecine

L. Merson Davies (1890-1960)

Géologie, paléontologie

Sir Cecil P.G. Wakeley (1892-1979)

Médecine

LES SAVANTS DE FOI CONTEMPORAINS
De grandes avancées ont été effectuées au 20ème siècle, et de nombreuses découvertes, restées ignorées pendant des années, ont été dévoilées. Les progrès accomplis par la science ont clairement démontré un fait : le fait de la création.

Chaque découverte scientifique indique une conception, un ordre et un plan tous parfaits dans chaque partie de la nature, vivante ou inerte.

Témoignant eux-mêmes de cette vérité, de nombreux savants ont vu que la conception de l'univers entier est l'œuvre d'une Intelligence supérieure, et ils ont pris fait et cause pour la création, comme l'œuvre de Dieu Tout-Puissant.

Aujourd'hui, de nombreuses organisations universitaires respectées en Occident, et particulièrement aux USA, ont été fondées par des savants croyants. Ces institutions travaillent pour mettre en évidence le fait que les preuves scientifiques confirment la conception parfaite de l'univers.

Certains des savants de la foi d'aujourd'hui, qui sont reconnus pour leurs réussites scientifiques, sont les suivants :

Dr. Henry Fritz Schaefer
Dr. Fritz Schaefer est professeur de chimie à Graham Perdue, et directeur du Centre de Chimie Quantique Informatique à l'Université de Géorgie. Il a été nommé pour le Prix Nobel, et a été récemment cité comme le troisième chimiste le plus cité au monde. Schaefer, scientifique croyant, aspire à mieux connaître Dieu à travers ses quêtes scientifiques. Comme il l'indique :

La signification et la joie dans ma science viennent dans les moments occasionnels où je découvre quelque chose de nouveau et où je me dis : "Ainsi c'est comme ça que Dieu a fait !"128

Isaac Bashevis Singer
Un des plus célèbres physiciens de notre époque, Singer rejette la théorie de l'évolution et croit en Dieu. Lors d'une conférence, il a critiqué la théorie de l'évolution avec une histoire intéressante : Les savants ont découvert une île isolée, a-t-il dit. Les savants qui ont posé pied sur l'île furent très impressionnés par ce qu'ils y ont vu. Ils étaient fascinés par les jungles et les animaux sauvages. Ils ont gravi des collines abruptes et examiné les alentours. Ils n'ont pu trouver le moindre signe de civilisation sur l'île. Juste au moment de retourner vers leur bateau, ils ont trouvé une montre de marque sur la plage. Elle fonctionnait parfaitement. C'était très intriguant pour les savants. Comment cette montre avait-elle pu arriver ici ? Ils étaient sûrs que personne d'autre n'avait jamais posé le pied sur l'île avant eux. Il n'y avait donc qu'une seule autre possibilité. Cette montre, avec son bracelet en cuir bien façonné, son verre, sa pile et ses autres parties, était arrivée sur cette île par hasard et s'était posée sur la plage. Il n'y a pas d'autre alternative.

Pour expliquer le fantasme des évolutionnistes, Singer a terminé son histoire par ces mots : "Chaque montre a forcément un horloger."129

Tout dans l'univers, vivant ou non, possède une conception supérieure et un ordre parfait. Par conséquent, rien ne peut être attribué au hasard. Il est évident que tout est le travail d'un Créateur suprême tout-puissant. La majorité des savants modernes, comme Singer, font état de cette perfection et de cet ordre, pour démontrer que tout est le travail de Dieu.

Malcolm Duncan Winter, Jr.
Prof. Winter, qui reçu son doctorat en médecine de la Northwestern University Medical School, croit également que l'univers et les êtres humains ont été créés par un Créateur supérieur. Voici ce qu'il dit :

La Terre et l'univers avec toutes leurs complexités, la vie sous ses différentes formes, et finalement l'homme lui-même avec sa capacité de penser sont tous trop complexes pour être apparus comme ça. Il doit donc y avoir un Esprit Maître, un Créateur, derrière tout cela. Il doit y avoir un Dieu.130 William Phillips
Phillips, qui s'est vu décerner le Prix Nobel avant son 50ème anniversaire pour ses méthodes permettant de refroidir et d'attraper des atomes avec un laser, est un scientifique croyant. Lors d'une conférence de presse suivant l'annonce de son Prix Nobel, il a fait la remarque suivante :

Dieu nous a donné un monde incroyablement fascinant dans lequel vivre et explorer.131

Prof. Dale Swartzendruber
Prof. Swartzendruber, qui a travaillé d'abord comme chercheur-assistant à l'Université de Californie, puis comme professeur associé à l'Université de Purdue, est également membre de la Soil Science Society of America. Prof. Swartzendruber parle de l'origine de l'univers en ces termes :

En fait, il y a une téléologie, un but, une conception "en tout lieu". On ne peut y échapper, dans les cieux au-dessus ou sur la terre en dessous.

William Dembski
Le domaine de recherche poursuivi par Dembski, un des savants mathématiciens renommés de notre époque, couvre une large gamme de disciplines, allant de la philosophie à la théologie. Dembski souligne que la science est une tentative pour comprendre le monde, et que les savants ne sont que des découvreurs. Il présente certains de ses points de vue de cette manière :

Le monde est la création de Dieu, et les savants dans leur compréhension du monde reconstituent simplement les pensées de Dieu. Les savants ne sont pas des créateurs mais des découvreurs... La chose importante concernant l'acte de création est qu'elle révèle le Créateur. L'acte de création porte toujours la signature du Créateur.133

Nier un Grand Concepteur est aussi illogique que d'admirer un magnifique champ de blé jaune et houleux, et en même temps nier l'existence du fermier dans la ferme sur le bas-côté.132

Prof. Stephen Meyer
Meyer est un professeur associé de philosophie au Whitworth College. Il croit à la création et a produit plusieurs ouvrages sur le sujet. Dans bon nombre de ses travaux, il soutient que l'univers est le produit d'un dessein intelligent, et que la nature témoigne de cette réalité. Dans un de ses articles, il fait référence à la conception dans la cellule et dit :

Je soutiens que ni le hasard, ni une "sélection naturelle pré-biotique", ni une "nécessité" physico-chimique (sous n'importe quelle apparence théorique) ne peuvent expliquer l'origine de l'information de la première cellule.134

Prof. Stephen Meyer
Walter Bradley, qui est actuellement un professeur dans le département d'ingénierie mécanique à l'Université A&M du Texas, est l'auteur du livre The Mystery of Life's Origin (Les mystères de l'origine de la vie). Il croit que le cosmos et tous les êtres vivants et non vivants sont le résultat d'une conception, et que des preuves de cela prolifèrent partout. Les paroles de Bradley portent en elles-mêmes sa croyance en l'existence d'un Créateur :

Au printemps 1987, j'ai accepté de donner une présentation sur le Christianisme et la science à l'Université de Cornell. J'ai décidé d'essayer, pour les besoins du grand public, de traiter d'un large éventail de preuves scientifiques de l'existence de Dieu... Il est absolument clair que les preuves abondent dans le sens de l'existence d'un Créateur intelligent.135

Earl Chester Rex
Prof. Rex fut conférencier en mathématiques à l'Université de Californie du Sud, puis professeur associé de physique au George Pepperdine College.

Croyant que l'univers entier a été créé par Dieu, et qu'il est sous Son contrôle , il a remarqué que toutes les théories actuelles sur l'origine et la conservation de l'univers qui ignorent ou nient la Création n'expliquent pas soit tous les faits pertinents, soit elles sont désespérément complexes et obscures.136

Dr. Allan Sandage
Dr. Allan Sandage, un des astronomes les plus distingués de notre époque, a choisi d'accepter Dieu à l'âge de 50 ans. Dans une interview publiée dans le magazine Newsweek, paru sous le titre de "La science trouve Dieu", Sandage a expliqué pourquoi il a embrassé la foi :

C'est ma science qui m'a conduit à la conclusion que le monde est bien plus compliqué que ce qui peut être expliqué par la science. Ce n'est que par l'intermédiaire du surnaturel que je comprends le mystère de l'existence.137

Prof. Cecil Boyce Hamann
Hamann, membre des facultés de Greenville College, de l'Université du Kentucky et de l'Ecole Médicale de l'Université de St. Louis, enseigne actuellement la biologie au Asbury College. C'est un scientifique possédant une croyance ferme en Dieu. Hamann a exprimé sa croyance ainsi : Dans quelque domaine de la science que je me tourne, se trouvent des preuves de conception, de loi et d'ordre - venant d'un ?tre suprême... Oui, je crois en Dieu. Je crois en un Dieu qui n'est pas seulement une Divinité toute-puissante qui a créé et qui maintient l'univers, mais un Dieu qui est concerné par la voûte de Sa création, à savoir l'homme.138

Lester John Zimmerman
Prof. Zimmerman, qui a reçu son doctorat de la Purdue University, et qui est professeur d'agronomie et de mathématiques au Goshen College, a discuté de sa foi en Dieu de la manière suivante :

Toute la nature provient de Dieu, et Il la maintient - continuellement. Plus j'étudie et observe les travaux de la nature dans les sols et les plantes, plus ma croyance en Dieu augmente, et je m'incline tous les jours devant Lui d'émerveillement et d'éloges.139

Enrico Medi
L'éminent scientifique italien, Enrico Medi, a parlé lors d'une conférence internationale à Rome en 1971, des miracles que rencontre le savant, et de la conclusion à laquelle il est lui-même finalement arrivé :

... Il y a une cause, en dehors de l'espace, au-delà du temps, le maître de la vie, qui fait en sorte que la vie existe de cette manière. Et c'est Dieu... 140

Wayne U. Ault
Prof. Ault possède un doctorat de l'Université Colombia. Il a été chercheur au Laboratoire de Géochimie, à New York. Prof. Ault a affirmé que les recherches scientifiques augmentent l'engagement envers Dieu :

La quête de la connaissance et la curiosité qui demande le pourquoi et le comment de la nature font partie des traits accordés à l'esprit. Une fois que le savant a eu foi dans le Créateur de l'univers, cette foi ne peut que grandir suite aux études de n'importe quelle sorte.141

Prof. Michael P. Girouard
Michael Girouard, professeur de biologie à l'Université de Louisiane du Sud, croit que la vie n'a pas pu apparaître par hasard, et que les structures les plus complexes et parfaites des protéines et de la cellule, les unités fondamentales de la vie, ont été créées par Dieu.

Dans un discours intitulé, "Est-il possible que la vie apparaisse par des coïncidences ?", fait lors de la seconde conférence internationale sur le darwinisme, qui s'est tenue le 5 juillet 1998 sous le thème "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", sous le patronage de la Fondation des Recherches Scientifiques à Istanbul, Girouard a présenté ses affirmations avec des preuves scientifiques à l'appui, et a terminé son discours avec les paroles suivantes :

La constitution des êtres vivants est bien plus compliquée que les résultats obtenus dans les expériences de laboratoire. Quand on se tourne vers les lois de la chimie et de la physique pour une explication, c'est ce que nous apprenons : il doit sûrement y avoir une Intelligence, un Créateur ; un Créateur qui a ordonné ces lois. C'est l'explication la plus scientifique. Les lois de la physique et de la chimie nous révèlent avec assurance que l'évolution et la formation des êtres vivants à partir de matière inerte sont impossibles. Par respect envers ces découvertes scientifiques, cela ne termine pas seulement mon discours, mais cela signe aussi la fin de l'évolution.142

Prof. Edward Boudreaux
Dr. Edward Boudreaux, professeur de chimie à l'Université de Nouvel Orléans, croit que les éléments chimiques doivent avoir été délibérément arrangés par Dieu pour que la vie puisse se former. Lors de la deuxième partie de la même conférence citée précédemment, Boudreaux a fait une présentation sur "la conception en chimie", dans laquelle il a déclaré que "le monde dans lequel nous vivons, ainsi que ses lois naturelles sont précisément agencés par le Créateur pour notre bénéfice, à nous les humains".143

Prof. Kenneth Cumming
Prof. Kenneth Cumming, scientifique renommé mondialement de l'Institut pour Recherche sur la Création aux USA, est une autorité en biochimie et en paléontologie. Il a déclaré qu'il est opposé à la théorie de l'évolution et qu'il croit en l'existence de Dieu.

On remarque une complexité à tous les niveaux. Un caractère unique à tous les niveaux. Que ce soit au niveau cellulaire, au niveau organique, au niveau du corps, au niveau du système, ces complexités sont apparentes... Les cellules et les corps sont magnifiquement créés.

Dans une large gamme de machines vivantes, ce sont des associations complexes de protéines, de graisses qui construisent les tissus et qui synthétisent et brûlent la nourriture... Elles montrent des caractéristiques de conception très complexes.144

Prof. Carl Fliermans
Prof. Fliermans, un scientifique très reconnu aux USA, est un professeur de microbiologie à l'Université de l'Indiana. Il a conduit des recherches sur "la neutralisation des déchets chimiques par les bactéries" sponsorisées par le Département US de la Défense. A la conférence sur "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", citée précédemment, il a réfuté les affirmations évolutionnistes dans le domaine de la biochimie. Dans son discours, il a déclaré sa croyance en Dieu :

La biologie moderne, a-t-il fait remarquer, prouve que les formes de vie ne sont pas apparues par hasard, ce qui constitue une preuve pour la création supérieure de Dieu.145

Prof. David Menton
Prof. David Menton, professeur d'anatomie à l'Université de Washington, a affirmé sa croyance en Dieu en disant : "J'examine les anatomies des êtres vivants depuis 30 ans. A chaque fois, je tombe sur la réalité de la création parfaite de Dieu."146

Prof. John Morris
Le célèbre géologue professeur Morris, est le président de l'Institut pour la Recherche sur la Création, l'organisation la plus prolifique aux USA, formée de savants défendant la création. Dans un discours, il fait référence à sa foi en Dieu, et sa croyance que la théorie de l'évolution a été réfutée par la science, de la manière suivante :

En tant que nombreux savants qualifiés et distingués, nous, en tant que croyants en Dieu, croyons que Dieu est le Créateur. C'est Dieu qui gouverne notre vie et c'est vers Lui que nous devons nous tourner. Nous Lui devons notre vie et nous sommes responsables de gagner Son agrément.147

Paul Ernest Adolph
Prof. Adolph, auparavant associé en anatomie à l'Université de St. John, est un membre du Fellow of American College of Surgeons. Il doit sa foi solide à ses études scientifiques. Prof. Adolph a dit une fois à propos de sa foi :

... Je dirais que j'ai définitivement accepté l'existence et la réalité de Dieu. Ma conviction ne résulte pas que d'expériences de nature spirituelle, mais la pratique médicale a amplement confirmé ce que j'avaiaccepté par foi... Oui, en effet, il y a un Dieu !148

Arthur Peacocke
Arthur Peacocke, dont la discipline scientifique primaire était la biochimie physique, est directeur du Ian Ramsey Centre à l'Université d'Oxford. Il proclame sa croyance en Dieu de cette manière :

Dieu crée et est présent à chaque instant du temps du monde créé ; Dieu transcende le passé et le temps présent : Dieu est éternel, dans le sens où il n'existe aucun temps où Il n'existait pas et aucun futur dans lequel Il n'existera pas.149

Albert McCombs Winchester
Diplômé de l'Université du Texas, il a été professeur de biologie à l'Université de Baylor, et président de l'Académie des Sciences de Floride. Il affirme que les recherches scientifiques fortifient sa croyance en Dieu :

Aujourd'hui, je suis heureux de dire, après plusieurs années d'étude et de travail dans les domaines de la science, que ma foi en Dieu, plutôt que d'avoir été secouée, s'est fortifiée et a acquis une fondation plus forte que jamais. La science apporte un aperçu de la majesté et de l'omnipotence de l'Etre suprême qui grandit avec chaque nouvelle découverte.150


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Mehdi Golshani LE CORAN QUVRE LA VOIE A LA SCIENCE Mehdi Golshani
Le physicien Mehdi Golshani, de l'Université de Technologie Sharif à Téhéran, dans une interview à Newsweek, a souligné sa croyance en Dieu et que la recherche scientifique complète la religion :

Les phénomènes naturels sont les signes de Dieu dans l'univers et les étudier est pratiquement une obligation religieuse. Le Coran demande aux humains de "parcourir la terre, et de voir comment Il a initié la création". Les recherches sont un acte d'adoration, puisqu'elles révèlent les merveilles de la création de Dieu.151

Prof. Edwin Fast
Diplômé de l'Université d'Oklahoma, et ayant enseigné à la même université dans le département de physique, le professeur Fast soutient qu'il est complètement impossible pour les atomes, les blocs fondamentaux de la matière, de s'être assemblés spontanément pour former l'univers entier et les êtres vivants. Il exprime sa croyance en la création avec ces paroles :

En remontant assez loin on doit finalement atteindre la conclusion que l'existence de "lois naturelles", qui décrivent les systématiques dans l'univers, est une preuve d'une Intelligence qui a choisi d'établir le fonctionnement de l'univers comme on l'observe... La Cause qui a créé les particules a logiquement déterminé les propriétés qu'elles devaient avoir.152

Charles H. Townes
Townes, qui a découvert le principe à l'origine du laser, est diplômé de l'Université de Berkeley. Il a déclaré sa foi en Dieu de cette manière : En tant que personne religieuse, je ressens fortement la présence et les actions d'un Etre créateur qui me dépasse et pourtant qui est toujours proche et personnel.153

John Polkinghorne
John Polkinghorne, qui a eu une carrière distinguée dans la physique des particules à l'Université de Cambridge, a fait le commentaire suivant dans une interview à Newsweek :

Quand vous réalisez que les lois de la nature doivent être incroyablement bien réglées pour produire l'univers que nous voyons, qu'elles concourent à implanter l'idée que l'univers n'est pas apparu juste comme cela, mais qu'il doit y avoir un but derrière cela... Pour moi, le composant fondamental de la croyance en Dieu est qu'il y a un esprit et un but derrière l'univers.154

Prof. Dr. Duane Gish
Duane Gish, qui détient un doctorat en biochimie de l'Université de Californie, à Berkeley, est un scientifique respecté connu pour ses convictions religieuses et son combat contre la théorie de l'évolution. Gish est intervenu dans plusieurs conférences parlant de l'invalidité de la théorie de l'évolution. Il est un des principaux spécialistes des débats créationnistes dans le monde aujourd'hui.

Gish a participé trois fois comme orateur lors des conférences sur "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisées en 1998 en Turquie. Sur l'effondrement de la théorie de l'évolution, et sa forte foi en la création, Gish annonce :

La théorie de l'évolution subit une crise désespérée. Au contraire, l'idée de création est confortée par des preuves flagrantes. Aujourd'hui, des milliers de savants trouvent l'idée de création de plus en plus convaincante.155

Hugh Ross
Hugh Ross, qui détient un doctorat en astronomie de l'Université de Toronto, est le président de "Reasons to Believe", un institut créationniste aux USA. Il a écrit de nombreux ouvrages sur la relation entre la cosmologie et la création. Voici certains de ses ouvrages : The Creator and the Cosmos (Le Créateur et le cosmos), Creation and Time (La création et le temps) et Beyond the Cosmos (Au-delà du cosmos). Concernant la création de l'univers par un Créateur, il dit :

Si le commencement du temps est simultané avec le commencement de l'univers, comme le théorème de l'espace-temps le dit, alors la cause de l'univers doit être une entité opérant dans une dimension de temps complètement indépendante et préexistante de la dimension de temps du cosmos... Cela nous dit que le Créateur est transcendant, opérant au-delà des limites dimensionnelles de l'univers.156

Un Créateur intelligent et transcendant a dû créer l'univers. Un Créateur intelligent et transcendant a dû concevoir l'univers. Un Créateur intelligent et transcendant a dû concevoir la planète Terre. Un Créateur intelligent et transcendant a dû concevoir la vie.157s

Dr. Pierre Gunnar Jerlstrom
Diplômé en biologie moléculaire de l'Université Griffith, Jelstrom a mené plusieurs études dans son domaine, et a reçu diverses récompenses scientifiques. Ses articles sont publiés dans différents magazines scientifiques. Il est aussi connu pour sa croyance en la création.

Dr. Stephen Grocott
Grocott possède un doctorat de l'Université d'Australie de l'Ouest, dans le domaine de la chimie organométallique des complexes métalliques optiquement actifs. Il a travaillé pendant des années comme chercheur dans le raffinage de l'alumine, de la chimie industrielle, analytique et industrielle, et a publié de nombreux papiers dans ces domaines. Après plusieurs années passées comme évolutionniste passif, il a été secoué par la masse accablante des preuves scientifiques complètes et logiques en faveur d'une création spéciale. Grocott est aussi un conférencier dynamique sur ce sujet.

Dmitry Kouznetsov
Scientifique russe, Kouznetsov remarque qu'un grand nombre de savants en sont venus à croire en Dieu et en la religion face aux faits scientifiques qu'ils ont découverts. Kouznetsov est également un ardent spécialiste des débats avec les évolutionnistes.158

Dr. Emil Silvestru
Dr. Emil Silvestru a travaillé comme professeur associé à l'Université de Babes-Bolyai, en Roumanie. Autorité internationalement respectée sur la géologie des cavernes, il a publié de nombreux papiers scientifiques dans des journaux universitaires dans le monde entier. Il était jusqu'à récemment le scientifique à la tête du premier institut spéléologique au monde (spéléologie = l'étude scientifique des cavernes). Il est un scientifique créationniste.

Dr. Andre Eggens
Dr. André Eggen, qui a conduit un grand nombre de recherches en génétique animale, travaille comme chercheur pour le gouvernement français. Eggen croit en la création.

Dr. Ian Macreadie
Dr. Ian Macreadie est un biologiste moléculaire qui a effectué des recherches intensives en biologie moléculaire et en microbiologie. Auteur de plus de 60 papiers de recherches, il est spécialiste des recherches principales au Biomolecular Research Institute of Australia's Commonwealth Scientific and Industrial Research Organization (CSIRO). Dr. Macreadie, qui croit en la création, a aussi également gagné le premier prix de la Société Australienne pour la Microbiologie, pour des contributions remarquables à la recherche.

Prof. Andrew Conway Ivy
Un des plus célèbres experts en physiologie au monde, Andrew Ivy était le chef du département de physiologie et de pharmacologie de l'Ecole Médicale de l'Université du Nord-Ouest entre 1925 et 1946 et le vice-président de l'Université de l'Illinois entre 1946 et 1953. Par la suit, il a été nommé professeur distingué de physiologie et chef du département de science clinique à l'Université de l'Illinois, Collège de médecine à Chicago. Quand on lui a demandé "y a-t-il un Créateur qui a créé l'univers ?", il a répondu "Oui, je suis certain qu'il existe un Dieu", pour ensuite continuer en disant :

Croire en l'existence de Dieu fournit la seule signification complète, ultime et rationnelle à la vie. Croire en Dieu est la seule raison ultime pour la certitude absolue que l'homme est une personne et quelque chose plus qu'un paquet de matière et d'énergie. Croire en Dieu est la source et la base ultime de la conception la plus inspirée de l'esprit humain.159

Dr. Raymond Jones
Dr. Jones a servi pendant des années dans une agence scientifique très respectée du gouvernement d'Australie, le CSIRO mentionné précédemment. Il est connu pour avoir résolu le problème Leucaena, qui a rapporté des millions de dollars aux industries agricoles australiennes. Jones est un scientifique créationniste.

Jules H. Poirier
Jules H. Poirier a travaillé pour l'U.S. Navy comme ingénieur spécialiste de la conception électronique pour les projets spatiaux et de haute défense. Il a étudié l'ingénierie électrique, la physique et les mathématiques à l'Université de Californie à Berkeley. Au cours de sa carrière professionnelle, il a été l'auteur de plusieurs solutions et innovations de conception contribuant ainsi à la modernisastion des forces de défense US et au programme spatial. Découvrant les exploits supérieurs de la sagesse dans les animaux, Poirier a conclu qu'ils ont dû être créés par un Créateur. Il est l'auteur du livre From Darkness to Light to Flight : Monarch - the Miracle Butterfly, dans lequel il s'étend sur ce problème.

Michael J. Behe
Michael J. Behe est un des savants les plus renommés à croire que le cosmos et tous les êtres vivants sont le fruit d'un dessein intelligent. Behe est professeur de biochimie à l'Université Lehigh en Pennsylvanie. Il a publié de nombreux articles dans des journaux célèbres comme le New York Times et le Boston Review. Behe est l'auteur de La Boîte Noire de Darwin, distribué dans 80 pays, qui a prouvé biologiquement que la théorie de l'évolution ne peut être vraie.

Behe a prouvé l'invalidité de la théorie de l'évolution avec un concept qu'il appelle "complexité irréductible". Selon cette idée, de nombreux organes sont composés de plusieurs parties interagissant et s'agençant parfaitement, lesquelles contribuent à la fonction primaire, et si la moindre partie est enlevée alors le système entier cesse de fonctionner. Pour cette raison, un développement graduel ou accidentel est hors de question. Dans Darwin's Black Box (La boîte noire de Darwin), Behe écrit :

Ils ont été conçus non pas par les lois de la nature, ni par le hasard ou la nécessité ; mais ils ont plutôt été planifiés. Le Concepteur savait à quoi ressembleraient les systèmes quand ils seraient terminés, puis Il les a crées. La vie sur terre à son niveau le plus fondamental, dans ses composants les plus critiques, est le produit d'une activité intelligente. La conclusion d'un dessein intelligent découle naturellement des données elles-mêmes... Déduire que les systèmes biochimiques ont été conçus par un agent intelligent est un processus banal qui ne requiert aucun nouveau principe de logique et de science. Cela découle simplement du travail important que la biochimie a effectué ces quarante dernières années, et la considération de la manière dont nous atteignons des conclusions de conception tous les jours.160

Philip Johnson
Johnson, qui a enseigné le droit à l'Université de Californie à Berkeley, a conduit des recherches intensives sur l'aspect idéologique de la théorie de l'évolution. Johnson est l'auteur de trois livres sur ce sujet : Darwin on Trial (Darwin à l'épreuve), Reason in the Balance (La raison dans la balance) et Objection Sustained (Objection perpétuelle), ainsi que deux livres massifs sur le droit criminel et de nombreux articles. Johnson, connu pour sa féroce opposition à la théorie de l'évolution, est aussi un scientifique qui croit en Dieu. La croyance et les recherches de Johnson sont apparentes dans ces paroles :

... Je veux défier l'évolution matérialiste. Unissons-nous autour du Créateur.161

Charles Birch
Charles Birch est professeur émérite à l'Université de Sydney, en Australie. Il est connu pour sa foi solide en la création. Il a reçu le Prix Templeton pour le progrès dans la religion en 1990. Sa foi est exprimée de cette manière :

Dieu en tant que source de toutes valeurs était plus près que les mains et les pieds, plus près que la respiration. L'expérience de Dieu était réelle... Dieu est à la fois la cause dans la création du monde et l'effet dans l'expérimentation du monde.162

S. Jocelyn Bell Burnell
Jocelyn Bell Burnell est professeur de physique à l'Open University en Angleterre, et présidente de son département. Astronome, elle est l'une des personnes ayant découvert les étoiles tournantes appelées pulsars. Burnell, qui a une forte foi en Dieu, écrit :

Je crois en un Dieu qui est puissant et omniscient, mais aussi attentif et pardonneur... Je suis certaine qu'il y a un Dieu.163

Prof. Owen Gingerich
Owen Gingerich est professeur d'astronomie et d'histoire de la science au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, à Cambridge, Massachusetts. Il a une foi profonde en Dieu, qu'il déclare ainsi :

Je crois en Dieu en tant que super intelligence qui a planifié et guidé la création de l'univers... Je crois que la création de l'humanité est le principal but de l'univers et que l'humanité a été créée à l'image de Dieu, en ce qui concerne la connaissance, la conscience et la liberté morale de choisir entre le bien et le mal.164

Prof. Carl Friedrich von Weizsacker
Weizsacker, physicien et philosophe, est professeur au Max-Planck-Gesellschaft en Allemagne. Il a exprimé sa croyance en Dieu de la manière suivante :

Lors d'une belle nuit étoilée dans les montagnes du Jura en Suisse j'ai perçu deux certitudes : ici Dieu est présent, et les étoiles sont des sphères de gaz, comme la physique nous l'enseigne aujourd'hui.165

Prof. David Berlinski
David Berlinski, diplôme de mathématiques de l'Université Princeton, croit que les êtres vivants n'ont pas évolué, mais qu'ils sont le produit d'un dessein intelligent. Dans ses travaux, Berlinski fait souvent référence à Dieu comme l'auteur de ce dessein. Les citations suivantes de Berlinski en sont des exemples :

Les structures de la vie sont complexes, et les structures complexes ne peuvent apparaître dans le monde que par un processus de conception délibérée. Un acte d'intelligence est nécessaire pour créer ne serait-ce qu'un dé à coudre ; pourquoi les éléments de la vie devraient-ils être différents ?166

La biologie moléculaire a révélé ce que sont les créatures vivantes - la création de Dieu. 167

Dr. Don Batten
Don Batten a effectué des recherches approfondies en physiologie végétale et a reçu plusieurs récompenses pour ses recherches. C'est également un savant pieux. Il a écrit plusieurs livres et de nombreux articles parlant des signes de la création sur terre, en plus des sujets relatifs à son propre domaine. Il parcourt également le monde pour donner des conférences au cours desquelles il explique les signes de Dieu en utilisant un langage adapté au grand public. Ce scientifique australien a entrepris sa première tournée de conférences en Angleterre en 1995.

J.P. Moreland
J.P. Moreland, docteur en philosophie de l'Université de Californie du Sud, est un scientifique de la foi, et l'auteur de Christianity and the Nature of Science (Le Christianisme et la nature de la science), et The Creation Hypothesis (L'hypothèse de la création).

Paul A. Nelson
Il est docteur en philosophie de l'Université de Chicago. Il est l'un des savants qui croit que la vie est le produit d'un dessein intelligent.

Prof. Jonathan Wells
Jonathan Wells, docteur en études religieuses de Yale, et chercheur biologiste postdoctoral au département de biologie moléculaire et cellulaire, à l'Université de Californie à Berkeley, est l'auteur de Charles Hodge's Critique of Darwinism (La critique de Charles Hodge du darwinisme). Wells affirme que les derniers développements de la science montrent que la vie est le travail d'une conception.

Prof. William Lane Craig
William Craig, docteur en philosophie de l'Université de Birmingham, en Angleterre, a aussi obtenu un doctorat en théologie, à la Ludwig Maximiliens Universitat-Munchen, en Allemagne de l'Ouest. Il croit que l'univers a été créé par Dieu dans un but particulier. Les idées de Craig se retrouvent dans ces remarques :

... l'existence de l'univers a une cause. En fait, je pense qu'on peut de façon plausible argumenter que la cause de l'univers doit être un Créateur personnel. Autrement, comment un effet temporel pourrait survenir d'une cause éternelle ?... Nous avons vu sur la base d'arguments philosophiques et de confirmations scientifiques qu'il est plausible que l'univers ait commencé à exister. Etant donné le principe intuitif que ce qui commence à exister a une cause pour son existence, nous avons été amenés à conclure que l'univers a une cause pour son existence. Sur la base de notre argument, cette cause a dû être éternelle, sans cause, immuable, sans âge et immatérielle. De plus, elle doit être un agent personnel qui choisit librement pour créer un effet dans le temps ; par conséquent, sur la base de l'argument cosmologique, je conclus qu'il est rationnel de croire que Dieu existe.168

En réalité, étant donné la vérité de la maxime ex nihilo nihil fit (rien ne sort du néant), le Big Bang requiert une cause surnaturelle. Puisque la singularité cosmologique initiale représente le terminus de toutes les trajectoires de l'espace-temps, il ne peut y avoir de cause physique au Big Bang. La cause doit plutôt transcender l'espace et le temps physique : elle doit être indépendante de l'univers, et incroyablement puissante. De plus, cette cause doit être un être personnel, doté d'une libre volonté. La cause de l'origine de l'univers doit donc être un Créateur personnel qui, il y a un temps fini de cela, a créé l'univers par Son action libre.169

Dr. Kurt Wise
Le paléontologiste Dr. Kurt Wise, qui est professeur assistant au département de mathématiques et de science naturelle du Bryan College, est connu pour son opposition à la théorie de l'évolution et sa foi solide en Dieu. "La création n'est pas une théorie" dit-il. "Le fait que Dieu a créé l'univers n'est pas une théorie - c'est la vérité".170

Sigrid Hartwig Scherer
Sigrid Hartwig-Scherer, docteur en anthropologie physique de l'Université de Zurich, est l'auteur de Ramapithecus-Vorfahr des Menschen? (Ramapithecus - l'ancêtre des humains ?). Dans ses œuvres, elle démontre que les archives fossiles réfutent la théorie de l'évolution, et que les singes ne sont pas les ancêtres des humains. Elle sent que toutes les créatures sont l'œuvre d'un Créateur.

Dr. John Baumgardner
Dr. Baumgardner, docteur en géophysique et en physique spatial de l'Université de Californie, à Los Angeles, est arrivé à une impasse dans ses recherches sur l'évolution. C'est alors qu'il a dénoncé le darwinisme et admis le créationnisme malgré son éducation évolutionniste.

Prof. Dr. Donald Chittick
Dr. Donald Chittick est docteur en chimie physique de l'Université de l'Etat de l'Oregon. Récompensé à plusieurs reprises pour ses recherches, il se consacre aux conférences sur des sujets tels que "Les preuves de la création" et "La création et la terre primaire".

Dr. Werner Gitt
Dr. Gitt est directeur et professeur à l'Institut de Physique et de Technologie d'Allemagne Fédérale (Physikalisch-Technische Bundesanstalt, Braunschweig). Il a écrit de nombreux papiers scientifiques dans les domaines de l'informatique, des mathématiques et des sciences de l'ingénierie.

Dr. Gitt, qui croit en la création, a également écrit de nombreux livres dans lesquels il critique la théorie de l'évolution. Il s'agit de Did God Use Evolution? (Est-ce que Dieu a utilisé l'évolution ? ); In the Beginning was Information (Au commencement était l'information) ; Stars and their Purpose: Signposts in Space (Les étoiles et leur but : des points de repère dans l'espace) et If Animals Could Talk (Si les animaux pouvaient parler).

Dr. Gary E. Parker
En train de faire une maîtrise en sciences de biologie/physiologie à l'Université Ball State, Dr. Parker a reçu plusieurs récompenses universitaires. Il a commencé sa carrière comme évolutionniste, cependant devant les nombreuses preuves scientifiques convaincantes supportant la création, il a fini par abandonner la théorie de l'évolution, et admettre l'existence du Créateur. Il a publié différents livres en biologie et en science de la création, et a participé à des conférences sur le créationnisme dans le monde entier.

Dr. Margaret Helder
Dr. Helder est botaniste et vice-présidente de l'Association de la Science de la Création d'Alberta au Canada. Elle est aussi probablement la femme la plus renommée dans la science de la création. Elle a écrit de nombreux articles sur les signes de la création qui nous entourent.

Prof. Dr. Jonathan D. Sarfati
Dr. Sarfati, diplômé en chimie de l'Université de Victoria à Wellington, il est le co-auteur de plusieurs papiers dans les grands journaux scientifiques. Il a été longtemps intéressé par la défense de la foi, et il est actuellement un chercheur actif dans le créationnisme.

Prof. Robert Matthews
Diplômé en physique de l'Université d'Oxford et membre de la Royal Statistical Society et la Royal Astronomical Society, Robert Matthews a décrit le miracle de la création dans son livre publié en 1992 :

Le processus complet se déroule normalement en une harmonie parfaite, produisant un fœtus, puis un bébé vivant, un enfant et finalement un adulte.

Comme bien d'autres en biologie, le processus est apparemment miraculeux. Comment une complexité aussi frappante peut-elle être produite à partir d'éléments de base aussi simples ? En bref, comment une seule cellule bien plus petite que le point de cette lettre "i" peut-elle produire un être sensible ? Beaucoup des processus impliqués restent mystérieux, et constituent un des plus fascinants des mystères hors du commun.171

Dr. Claude Tresmontant
Dr. Claude Tresmontant, de l'Université de Paris, dans une interview au magazine Realities, a décrit sa foi en la création, et sa croyance que la terre n'a pas pu apparaître par hasard :

Aucune théorie du hasard ne peut expliquer la création du monde... Cela n'a aucun sens de dire que le hasard peut expliquer la création d'un être.172

Dr. Don Page
Don Page a obtenu son doctorat en physique de l'Institut de Technologie de Californie en 1976, et il a ensuite travaillé avec des savants renommés.

Page croit que comprendre l'univers aide à prendre conscience de la sagesse et du pouvoir de Dieu, même si ce n'est pas suffisant pour les comprendre complètement.

Dr. Andrew Snelling
Dr. Snelling, docteur en géologie, a été impliqué dans des projets de recherches avec le CSIRO (Commonwealth Scientific Industrial Research Organization), l'ANSTRO (Australian Nuclear Science and Technology Organization) et des savants universitaires à travers l'Australie, et avec des savants aux Etats-Unis, en Angleterre, au Japon, en Suède et à l'Agence Internationale de l'Energie Atomique. Suite à ces recherches Andrew a publié des papiers scientifiques dans des journaux scientifiques internationaux. Il a été honoré de plusieurs prix pour sa contribution à la science de la création, et a écrit de nombreux articles sur les signes de la création chez les êtres vivants.

Dr. Carl Wieland
Dr. Carl Wieland, médecin créationniste, est beaucoup demandé comme conférencier sur les preuves scientifiques de la création. Il est également l'auteur de nombreux articles sur ce sujet, publiés dans le monde entier.

D'AUTRES SAVANTS DE FOI CONTEMPORTAINS
Il existe de nombreux savants partout dans le monde qui croient en Dieu. Tous les savants renommés de notre époque qui sont cités ici s'opposent à l'idée que les êtres vivants sont apparus par hasard, et croient que Dieu a créé l'univers dans son ensemble selon un dessein intelligent.

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CONCLUSION
La religion est la principale source fournissant à l'homme les connaissances les plus précises concernant la création de l'univers et de la vie.

Quand nous disons "religion", cependant, nous faisons référence au Coran et à la Sunnah de notre Prophète (pbsl), comme véritables sources d'information. Les livres saints des autres religions ont été altérés au fil du temps et ne peuvent plus être considérés comme des Livres Divins.

Le Coran, d'un autre côté, est sans aucun doute la parole de Dieu et il ne contient aucune contradiction. C'est le livre que Dieu a envoyé à Ses serviteurs pour les guider. Dieu affirme dans de nombreux versets que le Coran est la révélation ultime, et qu'il se trouve sous Sa protection. Un verset de la sourate al-Hijr dit :

Nous ne faisons descendre les anges qu'avec la vérité ; et alors, il ne leur sera pas accordé de répit [à ces impies]. (Coran, 15 : 9)

Par conséquent, la science n'avancera rapidement que si elle est guidée par le Coran, en prenant en ligne de compte ses enseignements. C'est alors que la science suivra le chemin de Dieu. Quand la science adopte une approche antagoniste vis-à-vis de la religion, les savants gâchent à la fois du temps et des ressources, et le progrès de la science est entravé.

Comme dans tous les autres domaines de la recherche, la voie à suivre dans le domaine scientifique est encore la "voie" ordonnée par Dieu dans le Coran. Comme Dieu le proclame, "Certes, ce Coran guide vers ce qu'il y a de plus droit..." (Coran, 17 : 9)

Ils dirent : "Gloire à Toi !

Nous n'avons de savoir que ce que Tu nous as appris.

Certes c'est Toi l'Omniscient, le Sage." (Coran, 2 : 32)

Notes
1. Ibn Majah 1/224 et Tirmidhi 218, rapporté par Anas Ibn Malik

2. Tirmidhi 279, Darimi et Daraqutni, rapporté par Abdullah ibn Mas`ud

3. Tirmidhi 220

4. Albert Einstein, Ideas and Opinions, Crown Publishers, New York, 1954

5. Letter to Maurice Solovine I, 1er janvier 1951 ; Einstein Archive 21-174, 80-871, publié dans Letters to Solovine, p. 119.

6. H. S. Lipson, A Physicist's View of Darwin's Theory, Evolutionary Trends in Plants, vol. 2, no. 1, 1988, p. 6

7. H. S. Lipson, A Physicist Looks at Evolution, Physics Bulletin, vol. 31 (1980) p. 138

8. Albert Einstein, Science, Philosophy, And Religion: A Symposium, 1941, ch1.3

9. Tirmidhi 225 et Ibn Majah, rapporté par Abdullâh Ibn Umar et Ka'b ibn Malik.

10. Tirmidhi 1392

11. Albert Einstein, Science, Philosophy, And Religion: A Symposium, 1941, ch1.3

12. Henry Margenau, Roy Abraham Vargesse, Cosmos, Bios, Theos, La Salle IL: Open Court Publishing, 1992, p. 241

13. William Lane Craig, Cosmos and Creator, Origins & Design, printemps 1996, vol. 17, p. 18

14. Michael Denton, Nature's Destiny: How the Laws of Biology Reveal Purpose in the Universe, The New York: The Free Press, 1998, pp. 14-15

15. Malcolm Muggeridge, The End of Christendom, Grand Rapids: Eerdmans, 1980, p. 59

16. S?ren L?vtrup , Darwinism: The Refutation of A Myth, New York: Croom Helm, 1987, p. 422

17. Paul R. Ehrlich et Richard W. Holm, Patterns and Populations, Science, vol. 137 (31 août 1962), pp. 656-7

18. Sidney Fox, Klaus Dose, Molecular Evolution and The Origin of Life, New York: Marcel Dekker, 1977, p. 2

19. Klaus Dose, The Origin Of Life: More Questions Than Answers, Interdisciplinary Science Reviews, vol. 13, no. 4, 1988, p. 348

20. George Gamow, Martynas Ycas, Mr. Tompkins Inside Himself, Allen & Unwin, Londres, 1966, p. 149

21. Pat Shipman, Birds Do It. Did Dinosaurs?, New Scientist, 1er février 1997, p. 28

22. Colin Patterson, Harper's, février 1984, p. 60

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31. Michael J.Behe, Darwin's Black Box, New York: Free Press, 1996, pp. 231-232

32. Colin Patterson, Evolution and Creationism, Discours à l'American Museum of Natural History, New York (5 novembre 1981)

33. Colin Patterson, Evolution and Creationism, Discours à l'American Museum of Natural History, New York (5 novembre 1981)

34. The Earth Before Man, p. 51

35. Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, vol. I, New York:D. Appleton and Company, 1888, p. 413

36. Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, vol. I, New York:D. Appleton and Company, 1888, p. 315

37. F. Clark Howell, Early Man, NY: Time Life Books, 1973, pp. 24-25

38. Francis Hitching, The Neck of the Giraffe: Where Darwin Went Wrong, New York: Ticknor and Fields 1982, p. 204

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40. Richard Dawkins, The Blind Watchmaker, Londres: W. W. Norton 1986, p. 229

41. Mark Czarnecki, The Revival of the Creationist Crusade, MacLean's, 19 janvier 1981, p. 56

42. Norman Macbeth, Darwin Retried: An Appeal to Reason, Boston, Gambit, 1971, p. 101

43. Richard Dawkins, The Blind Watchmaker, Londres: W. W. Norton, 1986, p. 159

44. Al-Kulayni, Usul al-Kafi, i, kitab fadl al-'ilm, bab thawab al-'alim wa al-muta'allim, hadith 1

45. Tirmidhi, 222

46. Tirmidhi, 2487, Ahmad et Ibn Majah, rapporté par Umm Salamah

47. Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln, The Messianic Legacy, Gorgi Books, London:1991, pp. 177-178

48. Michael Denton, Nature's Destiny: How the Laws of Biology Reveal Purpose in the Universe, The New York: The Free Press, 1998, p. 389

49. Michael J.Behe, Darwin's Black Box, New York: Free Press, 1996, p. 239

50. Edward J. Larson et Larry Witham, Scientists and Religion in America, Scientific American, septembre 1999, p. 81

51. Richard Lewontin, The Demon-Haunted World, The New York Review of Books, 9 janvier 1997, p. 28

52. Michael J. Behe, Darwin's Black Box, New York: Free Press, 1996, p. 234

53. Bilim ve Teknik (Science et Technologie), juillet 1983

54. "The Incredible Design of the Earth and our Solar System,"

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55. Michael Pidwirny, "Atmospheric Layers," 1996 ;

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59.http://www.beconvinced.com/science/QURANMOUNTAIN.htm

60. Frank Press, Raymond Siever, Earth, 3ème édition, W. H. Freeman and Company, San Francisco, 1982

61. Carolyn Sheets, Robert Gardner, Samuel F. Howe ; General Science, Allyn and Bacon Inc. Newton, Massachusetts, pp. 305-306

62. Powers of Nature, National Geographic Society, Washington D.C., 1978, pp. 12-13

63. Dr. Mazhar, U. Kazi, 130 Evident Miracles in the Qur'an, Crescent Publishing House, New York, 1997, pp. 110-111 ; http://www.wamy.co.uk/announcements3.html ; extrait du discours de Prof. Zighloul Raghib El-Naggar

64. Dr. Mazhar, U. Kazi, 130 Evident Miracles in the Qur'an, Crescent Publishing House, New York, 1997, pp. 110-111; http://www.wamy.co.uk/announcements3.html ; extrait du discours de Prof. Zighloul Raghib El-Naggar

65. Priscilla Frisch, "The Galactic Environment of the Sun", American Scientist, janvier-février 2000; http://www.americanscientist.org/template/AssetDetail/assetid/21173?fulltext=true

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68. Richard A. Davis, Principles of Oceanography, Addison-Wesley Publishing Company, Don Mills, Ontario, pp. 92-93

69. Keith L. Moore, E. Marshall Johnson, T. V. N. Persaud, Gerald C. Goeringer, Abdul-Majeed A. Zindani, Mustafa A. Ahmed, Human Development as Described in the Qur'an and Sunnah, Commission on Scientific Signs of the Qur'an and Sunnah, Makkah, 1992, p. 36

70. Keith L. Moore, Developing Human, 3ème édition, W. B. Saunders Company, 1982, p. 364a

71.http://anatomy.med.unsw.edu.au/cbl/embryo/Notes/git4.htm; http://www.yoursurgery.com/ProcedureDetails.cfm?BR=1&Proc=74

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74. Basic Human Embryology, Williams P., 3ème edition, 1984, p. 64

75. "High-Risk Newborn-The Benefits of Mother's Own Milk", University of Utah Health Sciences Center, http: //www.uuhsc.utah.edu/healthinfo/pediatric/Hrnewborn/bhrnb.htm

76. "High-Risk Newborn-The Benefits of Mother's Own Milk", University of Utah Health Sciences Center, http://www.uuhsc.utah.edu/healthinfo/pediatric/Hrnewborn/bhrnb.htm

77. Rex D. Russell, "Design in Infant Nutrition," http://www.icr.org/pubs/imp-259.htm

78. Principia, Newton, 2ème édition ; J. de Vries, Essentials of Physical Science, B. Eerdmans Pub.Co., Grand Rapids, SD, 1958, p. 15

79. http://www.ldolphin.org/bum bulis/

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81. Dan Graves, Scientists of Faith, Kregel Resources, 1996, p. 26

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83. Michael Bumbulis, Christianity and The Birth of Science, http://www.ldolphin.org/bumbulis

84. First Book of Francis Bacon of the Proficience and Advancement of Learning Divine and Human

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87. Henry M. Morris, Men of Science Men of God, Master Books, 1992, p. 13

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89. Harmonice Mundi, Johannes Kepler Gesammelte Werke, Munich, 1937, vol. 6, p. 363

90. Dan Graves, Scientists of Faith, Kregel Resources, 1996, p. 51

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95. John Marks Templeton, Evidence of Purpose - Scientists Discover the Creator, Continuum, New York 1994, p. 50

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98. Henry M. Morris, Men of Science Men of God, Master Books, 1992, p. 31

99. William Paley, Natural Theology; or, Evidences of the Existence and Attributes of the Deity Collected from the Appearances of Nature [Edinburgh, 1816], chapitre 5, section 5, p. 61

100. Henry M. Morris, Men of Science Men of God, Master Books, 1992, pp. 38-39

101. Henry M. Morris, Men of Science Men of God, Master Books, 1992, p. 53

102. Dan Graves, Scientists of Faith, Kregel Resources, 1996, p. 111

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107. www.leaderu.com/offices/ schaefer/docs/scientists.html

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111. www.leaderu.com/offices/ schaefer/docs/scientists.html

112. Henry M. Morris, Men of Science Men of God, Master Books, 1992, p. 66

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114. Dan Graves, Scientists of Faith, Kregel Resources, 1996, p. 153

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118. Lettre à un enfant qui demanda si les savants prient, 24 janvier 1936 ; Einstein Archive 42-601

119. Dan Graves, Scientists of Faith, Kregel Resources, 1996, p. 159

120. Gene Adair, George Washington Carver, pp. 82-83

121. Henry M. Morris, Men of Science Men of God, Master Books, 1992, p. 85

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124. Max Planck, Where Is Science Going?, Allen & Unwin, 1933, p. 214

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126. Sir James Jeans, lors de sa conférence à Cambridge, rapporté dans le Times, Londres, 5 novembre 1930

127. Sir James Jeans, The Mysterious Universe, New York: Macmillan Co., 1932/ Cambridge, England: University Press, 1932, p. 140

128. US News & World Report, 23 décembre 1991

129. Taskin Tuna, Sonsuz Uzaylar (Espaces éternels), p. 31

130. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, pp. 182-183

131. www.leaderu.com/offices/ schaefer/docs/scientists.html

132. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 191

133. William Dembski, The Act of Creation, Bridging Transcendence and Immanence, presenté à Millstatt Forum, Strasbourg, France, 10 août 1998

134. Stephen C. Meyer, pris dans son discours intitulé "The Explanatory Power of Design: DNA and the Origin of Information", effectué lors de la Conférence "Mere Creation: Reclaiming the Book of Nature", sur la conception et les origines, Biola University, 14-17 novembre 1996

135. http://www.leaderu.com/ real/ri9403/evidence.html

136. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 181

137. Sharon Begley with Marian Westley, "Science Finds God", Newsweek, 20 juillet 1998, p. 46

138. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 219

139. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 196

140.Acts of the Second International Catechetical Congress, Rome, 20-25 Septembre 1971, Rome Studium, 1972 pp. 449-450

141. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 211

142. Michael Girouard, extrait de son discours intitulé "Is it Possible for Life to Emerge by Coincidences?", délivré lors de la seconde conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 5 juillet 1998 à Istanbul, Turquie.

143. Edward Boudreaux, extrait de son discours intitulé "The Design in Chemistry", délivré lors de la seconde conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 5 juillet 1998 à Istanbul, Turquie

144. Kenneth Cumming, extrait de son discours délivré lors de la première conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 4 avril 1998 à Istanbul, Turquie

145. Carl Fliermans, extrait de son discours délivré lors de la seconde conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 5 juillet 1998 à Istanbul, Turquie

146. David Menton, extrait de son discours délivré lors de la seconde conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 5 juillet 1998 à Istanbul, Turquie

147. John Morris, extrait de son discours délivré lors de la seconde conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 5 juillet 1998 à Istanbul, Turquie

148. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 212

149. John Marks Templeton, Evidence of Purpose - Scientists Discover the Creator, Continuum, New York 1994, p. 103

150. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 165

151. Newsweek, 20 juillet 1998, p. 49

152. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 155

153. Newsweek, 20 juillet 1998, p. 49

154. Newsweek, 20 juillet 1998, pp. 48-49

155. Duane Gish, extrait de son discours délivré lors de la première conférence internationale, intitulée "L'effondrement de la théorie de l'évolution : le fait de la création", organisée par la Fondation des Recherches Scientifiques le 4 avril 1998 à Istanbul, Turquie

156. Hugh Ross, Creator and the Cosmos, p. 112

157. Hugh Ross, Design and the Anthropic Principle, Reasons to Believe, CA1988

158. http://earth.ics.uci.edu/faqs/ kouznetsov.html

159. John Clover Monsma, The Evidence of God in an Expanding Universe, p. 225

160. Michael J. Behe, Darwin's Black Box, New York: Free Press, 1996, p.196

161. Tim Stafford, The Making of a Revolution, Christianity Today, vol. 41, no. 14, 8 décembre 1997

162. John Marks Templeton, Kenneth Seeman Giniger, Spiritual Evolution - Scientists Discuss Their Beliefs, Templeton Foundation Press, Philadelphia &, Londres, pp. 3,14

163. John Marks Templeton, Kenneth Seeman Giniger, Spiritual Evolution - Scientists Discuss Their Beliefs, Templeton Foundation Press, Philadelphia &, Londres, pp. 22-23

164. John Marks Templeton, Kenneth Seeman Giniger, Spiritual Evolution - Scientists Discuss Their Beliefs, Templeton Foundation Press, Philadelphia &, Londres, pp. 50-51

165. John Marks Templeton, Kenneth Seeman Giniger, Spiritual Evolution - Scientists Discuss Their Beliefs, Templeton Foundation Press, Philadelphia &, Londres, p. 131

166.http://www.rae.org/dendar.html

167. http://www.rae.org/matersci.html

168. http://www.leaderu.com/ truth/3truth11.html

169. William Lane Craig, Cosmos and Creator, Origins & Design, vol. 17, p. 18

170. http://www.answersingenesis.org/ Docs/3119.htm

171. Robert Matthews, Unravelling The Mind of God, p. 8

172. Claude Tresmontant, "It is Easier to Prove the Existence of God Than It Used to Be", Réalités, Paris, avril 1967, p. 46


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