Le verset de l'accomplissement de la religion
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Le verset de l'accomplissement de la religion
Au sujet de la parole de Dieu: "Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion et accomplir sur vous Mon bienfait. Et il m'agrée que la soumission soit votre religion"([1])
Les chiites s'accordent qu'elle fut révélée à Ghadir Khum après que le messager de Dieu, prière et paix sur lui et les siens, ait investi l'Imam Ali en qualité de Khalife des musulmans selon le récit rapporté par les Imams de la sainte Famille. C'est la raison pour laquelle ils placent l'Imamat parmi les fondements de la religion. Ils prétendent que beaucoup de nos savants pensent que ce verset fut révélé à Ghadir Khum après l'investiture de l'Imam Ali dont je cite quelques uns à titre d'exemple:
Tarikhu Dimashq, Ibn Asakir, tome2, page75.
Manaqibu Ali Ibn Abou Tali d'Ibn AlMaghazaliyyi sh shafi, page 19.
Tarikhu Baghdad de khatibu Baghdadi,tome 8, page 290.
Al ittifaq, As Suyyuti, tome1, page31.
Al Manaqibu de Alkhawarazmi Al Hanafi;
Tazhkiratu l khawasi de Al Bastu bnu l Djawzi, page 30.
Tafsiru bni Kathir, tome2, page 14.
Ruhu l ma'ani, Alusi, tome6, page55.
Al Bidayatu wa n Nihaya, Ibn KathirAd Damashqi, tome5m page213.
Ad Durru l manthur fi t tafsir bi lma'thur, As Suyuti, tome3, page 19.
11. Yanabi'u mawadda, Al Qanduziyyu l Hanafi, page 115.
12. >Shawahidu t Tanzil, Al Haskaniyyu l Hanafi, tome1, page157.
Je dirai qu'en dépit de ceci, les savants sunnites sont obligés d'exploiter ce verset dans une autre circonstance afin de sauvegarder l'honneur de pieux prédécesseurs parmi les compagnons, car s'ils acceptaient qu'il avait été révélé à Ghadir Khum, ils accorderaient implicitement que c'est par la wilaya (tutelle) de Ali Ibn Abou Talib que Dieu a parachevé la religion et accomplit Son bienfait sur les musulmans . De ce fait, la succession de trois premiers khalifes qui l'on précédé n'aurait plus de légitimité. Leur probité serait mise en doute, et beaucoup de traditions célèbres se dissoudraient comme se dissout le sel dans l'eau. C'est une affaire impossible et la calamité est exorbitante, car elle concerne le credo d'une grande Umma qui possède une histoire et des savants. Il ne nous est donc pas possible de démentir les gens comme Bokhari et Muslim qui pensent que ce verset a été révélé vendredi dans la soirée de la station à Arafat.
Par ce genre des choses, les premiers récits deviennent de simples superstitions infondées et, par conséquent, il vaut mieux récuser les chiites que remettre en cause les compagnons, car ceux-ci sont protégés contre l'erreur ([2]), personne n'a le droit de mettre en cause leurs faits et leurs propos; tandis que les chiites sont des adorateurs d'étoiles, des impies et des hérétiques dont le fondateur de leur secte est Abdullah ibnu Saba([3]) qui était un juif converti à l'Islam sous le règne de Uthman dans le but de comploter contre l'Islam et les musulmans.
C'est le moyen le plus facile pour tromper la Umma qui est déjà habituée à vénérer et à sanctifier les Compagnons, n'importe lequel d'entre eux, même celui qui n'avait vu le Prophète qu'une seule fois, comment pourrons nous convaincre les musulmans que ces hadiths ne sont pas des fables que racontent les chiites, mais qu'ils ont été réellement rapportés des douze Imams, dont l'Imamat a été stipulé par le messager de Dieu. Les gouvernements islamiques du premier siècle réussirent à instaurer l'amour et la vénération des compagnons, même de ceux qui haïssaient Ali et ses descendants que l'on maudissait du haut des chaires. Ils pourchassaient les chiites pour les tuer et les disperser, ce qui servit à instaurer la haine des chiites à cause de la grande propagande et des rumeurs que répandit Muawiya contre les chiites alors qu'ils sont le parti d'opposition bien connu tel qu'on les appelle chez nous parce qu'ils sont en marge de la société.
C'est la raison pour laquelle nous voyons même les écrivains et les historiens des ces époques là appeler les chiites "rawafidh" (récalcitrants) en les considérant comme des impies et se permettant de verset leur sang pour être appréciés par leurs dirigeants. Quand les omeyyades furent détrônés et remplacés par les abbassides, certains historiens continuèrent dans la même lancée alors que d'autres connurent la vérité des Ahlul Bayt ([4]), et essayèrent d'arranger et d'être loyaux en ajoutant Ali au nombre des Khalifes orthodoxes sans toutefois arriver à affirmer clairement sa légitimité. C'est ainsi qu'on les voit ne mentionner qu'un petit nombre des vertus d'Ali qui ne portent pas préjudice à celles des khalifes qui l'ont précédé. Certains sont même arrivés à inventer des récits racontant les vertus d'Abu Bakar, de Umar et de Uthman qu'ils mettent sur la bouche d'Ali lui-même de manière à couper la voie, suivant leurs prétentions, aux chiites qui le considèrent comme le meilleur de tous.
J'ai découvert, à travers la recherche, que la renommée et la magnificence des hommes (Compagnons) se mesuraient par le degré de haine qu'ils vouaient à Ali ibn Abi Talib. Les omeyyades et les abbassides approchaient et louaient quiconque s'opposait ou combattait Ali par l'épée ou par la langue. C'est ainsi qu'ils élevèrent certains compagnons au dessus des autres, firent des libéralités à certains poètes et en tuèrent d'autres. Et peut être que Aicha, la mère des croyants, n'aurait joui de cette position auprès d'eux si elle n'avait pas entretenu cette haine ([5]) vis-à-vis d'Ali qu'elle combattit.
C'est aussi pour la même raison que les abbassides ont fait l'éloge de Bokhari, Muslim et de l'Imam Malik parce qu'ils n'ont rapporté qu'un petit nombre de ses vertus, alors que dans ces recueils nous constatons clairement que Ali ibn Abi Talib n'a ni vertu ni mérite.
Dans le chapitre consacré aux vertus de Uthman, citées et apportées dans son authentique, Bokhari cite Ibn Umar qui dit: "Au temps du Prophète, que la prière et la paix soient sur lui et les siens, nous ne mettions personne au même niveau qu'Abu Bakar, puis Umar, puis Uthman, ensuite nous laissions les autres compagnons du Prophète, que la prière et la paix soient sur lui et les siens, sans les distinguer les uns des autres. ([6])La position d'Ali auprès du Prophète était pareille à celle d'autres gens (ordinaires)!
Il existe aussi, au sein de la Umma, des partisans d'autres sectes tels que les Mutazilites, les kharidjites, etc, qui ne sont pas du même avis que les chiites, parce que l'Imamat d'Ali et des ses descendants, après l'envoyé de Dieu, leur interdit de parvenir au khilafa et de régner sur les gens pour disposer d'eux et ainsi que de leur possessions à l'instar de ce que firent les omeyyades de la première et deuxièmes génération jusqu'à ce que jour. C'est pour cela que les dirigeants et les présidents qui sont arrivés au pouvoir aussi bien par la voie héréditaire que par la voie des élections populaires, n'adhèrent pas à cette croyance. C'est-à-dire qu'ils ne croient pas au khilafa des Ahlul Bayt, voire ils se moquent de cette pensée théocratique qui n'est revendiquée que par les chiites, et surtout quand, dans leur étroitesse d'esprit et leur opinion mesquine, ils arrivent à croire à l'Imamat du Mahdi attendu qui remplira leur terre de justice et d'équité comme elle est remplie d'injustice et d'iniquité.
Venons en maintenant à discuter posément et sans parti pris, des avis des deux factions, pour connaitre la circonstance de la révélation du verset de "Ikmalu d din" afin que nous suivions l'avis les plus conforme et nous ne nous soucions plus de l'agrément ni du courroux de ceux là. Dès lors que nous obtenons avant toute chose l'agrément de Dieu et la salut au jour où ni la richesse ni les enfants ne seront d'aucun profit excepté celui qui viendra à Dieu avec un cœur sain, le jour où certains visages s'éclaireront et d'autres deviendront noirs. A ceux aux visages noirs alors: " Vous avez mécru après avoir cru? Et bien goûtez au châtiment, pour avoir mécru! Et quant à ceux dont les visages s'éclairciront, ils seront dans la miséricorde de Dieu, où ils demeureront éternellement"([7])
(1) La Tableservie:3
(2) C'est parce qu'ils pensent que les compagnons sont pareils aux étoiles dont on peut se guider en suivant n'importe lequel d'ente eux.
(1) Lisez le livre d'Allamé Al Askari intitulé Abdullah ibn Saba pour vous rendre compte qu'il n'a jamais existe; c'est un personnage fictif qui fut créé par Sayfu ibn Ummar Tamimi connu pour l'invention et le mensonge. Lisez Al Fitanatul Kubra de Taha Husayn et si vous le désirez vous pouvez lire également As Sillatu bayna taçawwufi wa sh shia du docteur Mustafa kamil Shaybi pour savoir que le fameux Abdullah ibn Saba n'est autre que notre maitre Ammar ibn Yasir, que Dieu soit satisfait de lui.
(2) Ceci parce que les Imams des Ahlul Bayt se présentèrent eux-mêmes par leur comportement vertueux, leur savoir qui illumina l'orient et l'occident, ainsi que leur renonciation, leur piété et les prodiges dont Dieu les a doté.
(1) Elle ne supportait pas de mentionner son nom, Bokhari, tome1, page 162; tome 7 pages 18; tome 5, page 140. Les historiens rapportent qu'elle fut informée de son assassinat, elle se prosterna en remerciant Dieu et composa un poème pour la circonstance.
(2) Sahihu Bokhari, tome4, page 191 et 201. Il a également rapporté à la page 195 du tome 4 un récit attribué à Muhammad ibn Hanafi qui dit: "Je demandai à mon père de me dire qui était le meilleur des hommes après le messager de Dieu, que la prière et la paix soient sur lui et les siens, il dit: Abu Bakar! Je lui demandai: Qui ensuite? Il dit: Umar! Craignant qu'il ne dise Uthman, je dis: Ensuite c'est toi? Il dit: je ne suis qu'un homme parmi les autres"
(1) LaFamille d'Amram: 106.
Au sujet de la parole de Dieu: "Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion et accomplir sur vous Mon bienfait. Et il m'agrée que la soumission soit votre religion"([1])
Les chiites s'accordent qu'elle fut révélée à Ghadir Khum après que le messager de Dieu, prière et paix sur lui et les siens, ait investi l'Imam Ali en qualité de Khalife des musulmans selon le récit rapporté par les Imams de la sainte Famille. C'est la raison pour laquelle ils placent l'Imamat parmi les fondements de la religion. Ils prétendent que beaucoup de nos savants pensent que ce verset fut révélé à Ghadir Khum après l'investiture de l'Imam Ali dont je cite quelques uns à titre d'exemple:
Tarikhu Dimashq, Ibn Asakir, tome2, page75.
Manaqibu Ali Ibn Abou Tali d'Ibn AlMaghazaliyyi sh shafi, page 19.
Tarikhu Baghdad de khatibu Baghdadi,tome 8, page 290.
Al ittifaq, As Suyyuti, tome1, page31.
Al Manaqibu de Alkhawarazmi Al Hanafi;
Tazhkiratu l khawasi de Al Bastu bnu l Djawzi, page 30.
Tafsiru bni Kathir, tome2, page 14.
Ruhu l ma'ani, Alusi, tome6, page55.
Al Bidayatu wa n Nihaya, Ibn KathirAd Damashqi, tome5m page213.
Ad Durru l manthur fi t tafsir bi lma'thur, As Suyuti, tome3, page 19.
11. Yanabi'u mawadda, Al Qanduziyyu l Hanafi, page 115.
12. >Shawahidu t Tanzil, Al Haskaniyyu l Hanafi, tome1, page157.
Je dirai qu'en dépit de ceci, les savants sunnites sont obligés d'exploiter ce verset dans une autre circonstance afin de sauvegarder l'honneur de pieux prédécesseurs parmi les compagnons, car s'ils acceptaient qu'il avait été révélé à Ghadir Khum, ils accorderaient implicitement que c'est par la wilaya (tutelle) de Ali Ibn Abou Talib que Dieu a parachevé la religion et accomplit Son bienfait sur les musulmans . De ce fait, la succession de trois premiers khalifes qui l'on précédé n'aurait plus de légitimité. Leur probité serait mise en doute, et beaucoup de traditions célèbres se dissoudraient comme se dissout le sel dans l'eau. C'est une affaire impossible et la calamité est exorbitante, car elle concerne le credo d'une grande Umma qui possède une histoire et des savants. Il ne nous est donc pas possible de démentir les gens comme Bokhari et Muslim qui pensent que ce verset a été révélé vendredi dans la soirée de la station à Arafat.
Par ce genre des choses, les premiers récits deviennent de simples superstitions infondées et, par conséquent, il vaut mieux récuser les chiites que remettre en cause les compagnons, car ceux-ci sont protégés contre l'erreur ([2]), personne n'a le droit de mettre en cause leurs faits et leurs propos; tandis que les chiites sont des adorateurs d'étoiles, des impies et des hérétiques dont le fondateur de leur secte est Abdullah ibnu Saba([3]) qui était un juif converti à l'Islam sous le règne de Uthman dans le but de comploter contre l'Islam et les musulmans.
C'est le moyen le plus facile pour tromper la Umma qui est déjà habituée à vénérer et à sanctifier les Compagnons, n'importe lequel d'entre eux, même celui qui n'avait vu le Prophète qu'une seule fois, comment pourrons nous convaincre les musulmans que ces hadiths ne sont pas des fables que racontent les chiites, mais qu'ils ont été réellement rapportés des douze Imams, dont l'Imamat a été stipulé par le messager de Dieu. Les gouvernements islamiques du premier siècle réussirent à instaurer l'amour et la vénération des compagnons, même de ceux qui haïssaient Ali et ses descendants que l'on maudissait du haut des chaires. Ils pourchassaient les chiites pour les tuer et les disperser, ce qui servit à instaurer la haine des chiites à cause de la grande propagande et des rumeurs que répandit Muawiya contre les chiites alors qu'ils sont le parti d'opposition bien connu tel qu'on les appelle chez nous parce qu'ils sont en marge de la société.
C'est la raison pour laquelle nous voyons même les écrivains et les historiens des ces époques là appeler les chiites "rawafidh" (récalcitrants) en les considérant comme des impies et se permettant de verset leur sang pour être appréciés par leurs dirigeants. Quand les omeyyades furent détrônés et remplacés par les abbassides, certains historiens continuèrent dans la même lancée alors que d'autres connurent la vérité des Ahlul Bayt ([4]), et essayèrent d'arranger et d'être loyaux en ajoutant Ali au nombre des Khalifes orthodoxes sans toutefois arriver à affirmer clairement sa légitimité. C'est ainsi qu'on les voit ne mentionner qu'un petit nombre des vertus d'Ali qui ne portent pas préjudice à celles des khalifes qui l'ont précédé. Certains sont même arrivés à inventer des récits racontant les vertus d'Abu Bakar, de Umar et de Uthman qu'ils mettent sur la bouche d'Ali lui-même de manière à couper la voie, suivant leurs prétentions, aux chiites qui le considèrent comme le meilleur de tous.
J'ai découvert, à travers la recherche, que la renommée et la magnificence des hommes (Compagnons) se mesuraient par le degré de haine qu'ils vouaient à Ali ibn Abi Talib. Les omeyyades et les abbassides approchaient et louaient quiconque s'opposait ou combattait Ali par l'épée ou par la langue. C'est ainsi qu'ils élevèrent certains compagnons au dessus des autres, firent des libéralités à certains poètes et en tuèrent d'autres. Et peut être que Aicha, la mère des croyants, n'aurait joui de cette position auprès d'eux si elle n'avait pas entretenu cette haine ([5]) vis-à-vis d'Ali qu'elle combattit.
C'est aussi pour la même raison que les abbassides ont fait l'éloge de Bokhari, Muslim et de l'Imam Malik parce qu'ils n'ont rapporté qu'un petit nombre de ses vertus, alors que dans ces recueils nous constatons clairement que Ali ibn Abi Talib n'a ni vertu ni mérite.
Dans le chapitre consacré aux vertus de Uthman, citées et apportées dans son authentique, Bokhari cite Ibn Umar qui dit: "Au temps du Prophète, que la prière et la paix soient sur lui et les siens, nous ne mettions personne au même niveau qu'Abu Bakar, puis Umar, puis Uthman, ensuite nous laissions les autres compagnons du Prophète, que la prière et la paix soient sur lui et les siens, sans les distinguer les uns des autres. ([6])La position d'Ali auprès du Prophète était pareille à celle d'autres gens (ordinaires)!
Il existe aussi, au sein de la Umma, des partisans d'autres sectes tels que les Mutazilites, les kharidjites, etc, qui ne sont pas du même avis que les chiites, parce que l'Imamat d'Ali et des ses descendants, après l'envoyé de Dieu, leur interdit de parvenir au khilafa et de régner sur les gens pour disposer d'eux et ainsi que de leur possessions à l'instar de ce que firent les omeyyades de la première et deuxièmes génération jusqu'à ce que jour. C'est pour cela que les dirigeants et les présidents qui sont arrivés au pouvoir aussi bien par la voie héréditaire que par la voie des élections populaires, n'adhèrent pas à cette croyance. C'est-à-dire qu'ils ne croient pas au khilafa des Ahlul Bayt, voire ils se moquent de cette pensée théocratique qui n'est revendiquée que par les chiites, et surtout quand, dans leur étroitesse d'esprit et leur opinion mesquine, ils arrivent à croire à l'Imamat du Mahdi attendu qui remplira leur terre de justice et d'équité comme elle est remplie d'injustice et d'iniquité.
Venons en maintenant à discuter posément et sans parti pris, des avis des deux factions, pour connaitre la circonstance de la révélation du verset de "Ikmalu d din" afin que nous suivions l'avis les plus conforme et nous ne nous soucions plus de l'agrément ni du courroux de ceux là. Dès lors que nous obtenons avant toute chose l'agrément de Dieu et la salut au jour où ni la richesse ni les enfants ne seront d'aucun profit excepté celui qui viendra à Dieu avec un cœur sain, le jour où certains visages s'éclaireront et d'autres deviendront noirs. A ceux aux visages noirs alors: " Vous avez mécru après avoir cru? Et bien goûtez au châtiment, pour avoir mécru! Et quant à ceux dont les visages s'éclairciront, ils seront dans la miséricorde de Dieu, où ils demeureront éternellement"([7])
(1) La Tableservie:3
(2) C'est parce qu'ils pensent que les compagnons sont pareils aux étoiles dont on peut se guider en suivant n'importe lequel d'ente eux.
(1) Lisez le livre d'Allamé Al Askari intitulé Abdullah ibn Saba pour vous rendre compte qu'il n'a jamais existe; c'est un personnage fictif qui fut créé par Sayfu ibn Ummar Tamimi connu pour l'invention et le mensonge. Lisez Al Fitanatul Kubra de Taha Husayn et si vous le désirez vous pouvez lire également As Sillatu bayna taçawwufi wa sh shia du docteur Mustafa kamil Shaybi pour savoir que le fameux Abdullah ibn Saba n'est autre que notre maitre Ammar ibn Yasir, que Dieu soit satisfait de lui.
(2) Ceci parce que les Imams des Ahlul Bayt se présentèrent eux-mêmes par leur comportement vertueux, leur savoir qui illumina l'orient et l'occident, ainsi que leur renonciation, leur piété et les prodiges dont Dieu les a doté.
(1) Elle ne supportait pas de mentionner son nom, Bokhari, tome1, page 162; tome 7 pages 18; tome 5, page 140. Les historiens rapportent qu'elle fut informée de son assassinat, elle se prosterna en remerciant Dieu et composa un poème pour la circonstance.
(2) Sahihu Bokhari, tome4, page 191 et 201. Il a également rapporté à la page 195 du tome 4 un récit attribué à Muhammad ibn Hanafi qui dit: "Je demandai à mon père de me dire qui était le meilleur des hommes après le messager de Dieu, que la prière et la paix soient sur lui et les siens, il dit: Abu Bakar! Je lui demandai: Qui ensuite? Il dit: Umar! Craignant qu'il ne dise Uthman, je dis: Ensuite c'est toi? Il dit: je ne suis qu'un homme parmi les autres"
(1) LaFamille d'Amram: 106.