Au Nom de Dieu, le clément, Le Miséricordieux Miracle des nombres dans Le Saint Coran

Miracle des nombres dans Le Saint Coran
Allah a dit dans Le Coran :
(Dis : "Même si les hommes et les djinns s'unissaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient produire rien de semblable, même s'ils se soutenaient les uns les autres) Sourate 17 (Al Israa) Verset 88.

Le Saint Coran est Le Livre d'Allah le Très ?levé. Le Créateur, l'Omniscient. Le Connaisseur de l'invisible. Le Connaisseur des circonstances des gens, de leur présent et de leur futur.

Sans doute Allah a donné dans ce Livre de tout exemple, les miracles de ce Livre restent durables jusqu'au jour de La Résurrection, chaque jour vous en découvrirez d'avantage. Parmi ces nombreux miracles; la régularité numérique du Saint Coran qui n'est autre que la preuve de l'authenticité du Prophète Mohamed et que Le Coran est un livre envoyé par Allah le Créateur des Cieux et de la Terre.

Le miracle des nombres dans Le Coran est certes un fait merveilleux que les savants musulmans ont découvert par l'utilisation des moyens statistiques les plus récents introduisant ainsi les nouvelles technologies telles les ordinateurs numériques.

Ce miracle est basé sur des chiffres qui s'expriment eux-mêmes, donc il n'est pas question de critiquer ou de réfuter cette vérité, il montre bien évident ce que Allah a dit : (C'est un Livre dont les versets sont parfaits en style et en sens, émanant d'un Sage, Parfaitement Connaisseur) Sourate 11 (Hoûd) Verset 1

Sans doute c'est le Livre d'Allah, il nous est arrivé sain et dépourvu de toute falsification, car l'ajout ou la suppression d'un mot ou même une seule lettre déséquilibre l'harmonie de ce merveilleux système numérique.

Allah a décidé que ce miracle des nombres demeure un secret jusqu'à l'invention des nouvelles technologies comme Il nous informe dans ce Verset : (Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute chose ?) Sourate 41 (Fossilat) Verset 53

Voici quelques statistiques des mots (arabes) constituant Le Coran :

1. des mots opposés se répètent de manière égale :
"La vie" se répète 145 fois --- "la mort" se répète 145 fois aussi

"Les bonnes oeuvres" se répète 167 fois --- "les méfaits" 167 fois aussi

"Vie d'ici-bas" se répète 115 fois --- "vie d'au-delà" 115 fois aussi

"Détresse" se répète 102 fois --- "endurance" 102 fois aussi

"Divulgation" se répète 16 fois --- "secret" 16 fois aussi

"Les Anges" se répète 88 fois --- "le diable" 88 fois aussi

"Iblis" se répète 11 fois --- "Protection d'Allah contre Iblis" 11 fois aussi

2. des mots en relation se répètent de manière égale :
"Dit" se répète 332 fois --- "ont Dit" 332 fois aussi

"Bon chemin" se répète 79 fois --- "miséricorde" 79 fois aussi

"Affection" se répète 83 fois --- "obéissance" 83 fois aussi

"Paix" se répète 50 fois --- "délices" 50 fois aussi

3. des mots se répètent en proportion :
"Le Clément" se répète 57 fois --- "Le Miséricordieux" 114 fois c à d le double

"Rétribution" 117 fois --- "Le Pardon" 234 fois c à d le double

"Les libertins" se répète 3 fois --- "les bons" 6 fois c à d le double

"difficultés" se répète 12 fois --- "facilités" 36 fois c à d le triple

4. les merveilles du nombre 7 :
Le mot "l'Homme" se compose de sept lettres dans l'écriture arabe (la langue où Le Coran a été descendu), aussi il a été crée par Allah en sept étapes suivant le Saint Coran : "Nous avons certes créé l'homme d'un extrait d'argile, puis Nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide. Ensuite, Nous avons fait du sperme une adhérence; et de l'adhérence Nous avons créé un embryon; puis, de cet embryon Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les os de chair. Ensuite, Nous l'avons transformé en une tout autre création. Gloire à Allah le Meilleur des créateurs !" Sourate 23 (Mouminoune) Verset 12

Les livres envoyés par Allah se composent tous de sept lettres dans l'écriture arabe : "Al Forkane" (Le Coran), "Al Injil" (L'?vangile), "Atawrat" (La Thora), "Sohof Moussa" (Les Livres de Moïse)

Le mot "diable" se compose aussi de sept lettres dans l'écriture arabe, n'est-il pas l'ennemi de l'Homme dans tous les cas ?

Les portes de l'Enfer sont aussi au nombre de sept comme Allah a dit : (Et l'Enfer sera sûrement leur lieu de rendez-vous à tous. Il a sept portes; et chaque porte en a sa part déterminée. Certes, les pieux seront dans des jardins avec des sources."Entrez-y en paix et en sécurité") Sourate 15 (Al hijr) Verset 43.

5. le verset en milieu de Sourate Al Baqara (La Vache) :
La Sourate Al Baqara contient 286 Versets en total, pour lire le Verset se trouvant au milieu il faut juste aller au verset 143, c'est merveilleux de lire en arabe ce qui signifie "Nous avons fait de vous une communauté en milieu"

Remarque : certaines traductions du Coran ne montrent pas le mot "milieu" dans ce Verset 143 de Sourate Al Baqara.

6. citation du mot "Adorez" dans le Coran :
Le mot "Adorez" a été répété dans Le Coran trois fois selon les contextes suivants :

3 fois adressé à toute l'Humanité

3 fois adressé aux habitants de La Mecque

3 fois adressé par le Prophète Noé à son peuple

3 fois adressé par le Prophète Hoûd à son peuple

3 fois adressé par le Prophète Sâlih à son peuple

3 fois adressé par le Prophète Jésus à son peuple

Est ce que c'est le hasard ? Pas du tout. Car si le nombre de ces exemples est limité on pourrait dire ainsi mais ils ne sont pas recensables, vous pouvez les trouver d'avantage dans chaque Verset du Coran. c'est la régularité numérique du Saint Coran comme Allah a dit : (C'est un Livre dont les versets sont parfaits en style et en sens, émanant d'un Sage, Parfaitement Connaisseur) Sourate 11 (Hoûd) Verset 1

Quelques Miracles Scientifiques du Coran
Ce qui va suivre est un recueil de quelques versets du Coran à caractère scientifique ce qui révèlent le côté divin et non humain (comme certains le prétendent) de ce Livre Saint. Il est important que le lecteur se replace dans le contexte de la révélation de ces quelques versets, c'est à dire au VIIè siècle.

(Commentaire des versets selon Dr Salah Ed Din Kechrid)

"Ceux qui ont renié nos signes, nous les rôtirons en enfer. Chaque fois que leurs peaux seront cuites à point, Nous leur remplaceront par d'autres afin qu'ils goûtent le supplice..." (V56/4)

Nous remarquons ici comment la fonction sensorielle est liée à la peau et la science moderne a découvert à son tour et bien plus tard que les nerfs sensitifs aboutissent à l'épiderme. Se peut-il qu'un berger illettré du 7è siècle devance la science de plus de dix siècles ?

"Celui que Dieu veut mettre sur la bonne voie. Il rend sa poitrine détendue pour recevoir l'Islam et celui qu'Il veut égarer. Il rend sa poitrine étroite et oppressée comme s'il montait progressivement dans le ciel..." (V125/6)

Il y a ici une allusion évidente à ce qu'on appelle aujourd'hui "le mal de l'altitude" ou "le mal des astronautes". Nous savons en effet que plus on monte, plus l'oxygène se raréfie et plus la pesanteur diminue. Ceci provoque un étouffement auquel on remédie par un masque à oxygène ou en pressurisant l'intérieur du véhicule volant. Comment ce berger illettré du 7è siècle pouvait-il pressentir un tel phénomène si ce Coran était autre chose qu'une inspiration de Dieu le Parfait Sachant.

"C'est Lui (Dieu) qui fit du soleil un éclairage et de la lune une lumière. Il détermina la croissance de la lune en vingt huit quartiers afin que vous sachiez le nombre des années ainsi que le calcul. Dieu n'a crée tout cela qu'en toute vérité et justice. C'est ainsi qu'Il développe les versets en détails pour des gens qui savent. (V5/10)

Dans ce verset, il y a plus qu'une preuve du caractère surhumain du Coran. Ce n'est pas en effet un illettré du 7è siècle qui pouvait faire la différence entre le soleil, masse incandescente et source de lumière et la lune, astre mort, qui ne joue que le rôle de réflecteur. Ce n'est pas non plus ce même homme qui pouvait savoir le rôle de l'astronomie dans la naissance des sciences mathématiques. Enfin, c'est là le signe de la supériorité du Coran quand il s'adresse aux gens de science et ne se met nullement en contracdition avec la raison humaine "...Pour des gens qui savent !"

"...La femme du Ministre dit alors :"Maintenant la vérité s'est cristallisée. C'est moi qui ai cherché à le séduire et il n'a absolument dit que la vérité" (V51/12)

Le verbe "Haçhaça" (cristalliser) veut dire se transformer en caillou. Il est employé en arabe pour dire "apparaître en toute clarté". Il est difficile de ne pas penser à la cristallographie qui est une méthode moderne pour déterminer les composants d'un mélange liquide. On s'en sert aussi pour obtenir un corps soluble dans un état de grande pureté (d'où l'association de ce mot à la vérité). L'emploi de ce terme est ici d'une éloquence frappante qui semble devancer de très loin le niveau intellectuel de l'époque.

"Dieu qui éleva les cieux sans colonnes que vous puissiez voir, puis a manifesté la plénitude de son pouvour sur le Trône et a soumis le soleil et la lune chacun courant vers un terme prénommé, il préconçoit la marche de toute choses. Il expose en détail les versets, peut être serez vous convaincus de la rencontre de votre Seigneur". (V2/13)

La loi d'attraction universelle ne sera connue que dix siècles plus tard. A cette époque de l'histoire, on croyait que le ciel était soutenu par des colonnes. Comment pouvait-on imaginer une force invisible alors qu'on ne pouvait même pas concevoir un Dieu immatériel et un monde inconnu.

"Ne voient-ils donc pas que Nous venons diminuer la terre à partir de ses bords". (V41/13)

Ce verset fait sans doute allusion à l'érosion marine qui tend à reculer les limites des continents.

"Nous lâchames les vents comme facteurs de fécondation et Nous fimes alors descendre du ciel une eau dont Nous vous avons abreuvés et dont vous ne détenez pas les réserves. (V22/15)

Les vents sont des facteurs de fécondation parce qu'ils transportent le pollen jusqu'aux fleurs femelles et les font féconder. Mais il s'agit dans ce verset de féconder les nuages et ce n'est que la science moderne qui nous a enfin permis de comprendre le sens. Il y a en effet des nuages à charge électrique positive et d'autres à charge négative. Dans chaque sorte de ces nuages, les gouttelettes de même signes se repoussent mutuellement et restent trop petites pour tomber sous la loi de la pensateur. C'est le vent qui mélange les gouttelettes de deux nuages de signes opposés et c'est alors que se forment les gouttes de pluie. Il dit bien tout de suite après "Nous fimes alors descendre du ciel une eau". Il y a donc relation de cause à effet.

"Vous avez assurément dans les troupeaux un exemple à méditer. Nous vous abreuvons de ce qui est dans leur ventre, entre des excréments intestinaux et du sang, un lait pur que les buveurs avalent avec facilité et délice. (V66/16)

Le mot arabe "farthin" désigne les excréments tant qu'ils sont dans le tube digestif. A leur sortie, ils portent le nom de "rawathin". Dans ce verset, Dieu nous montre un vrai miracle de la physiologie. Dans le corps des animaux le lait cotoie sans s'y mêler deux substances particulièrement impures : le sang et les excréments. Malgré cela, le lait est parfaitement pur et rien ne décèle au goût ou à l'odorat ce mauvais voisinage. Certains exégètes modernes voient dans le mot "farthin" l'équivalent du "chyle" c'est à dire de la masse des aliments digérés et prêts à être absorbés par la paroi de l'intestin grêle pour passer dans le système porte. Ainsi, le lait serait fabriqué à partir du sang et du chyle comme il l'est de fait. Mais ce qui plaide en faveur de l'autre interprétation, c'est que l'on parle à la fin du verset de la pureté et du bon goût du lait en opposition avec l'impureté du sang et des excréments (wa Allahou âlam).

"Ton Seigneur a inspiré aux abeilles : "Faites vous des maisons à partir des montagnes, des arbres et de ce que les hommes font comme treillages". "Puis mangez de tous les fruits et suivez en toute docilité les voies de votre Seigneur". Il sort de leur ventre une boisson aux couleurs différentes où se trouve une source de guérison pour les humains, il y a là surement un signe pour des gens qui méditent". (V68-69/16)

Les propriétés curatives et désintoxicantes du miel ne sont plus à prouver. Mais notons que le verset dit exactement "Où se trouve une source de guérison" ce qui veut dire que le miel n'est pas un remède universel comme le dit la croyance populaire. Un diabétique, par exemple, serait fou de consommer du miel qui est riche en sucre réducteur directement assimilable par le sang. Cependant, le miel est moins nocif pour les diabétiques que le sucre, car il contient avec lui les diastases qui aident à une assimilation complète tandis que le sucre n'est brûlé que partiellement et libère ainsi des aldéhydes et des cétones toxiques dans le sang. Pris à doses modérées, le miel peut très bien être consommé même par les diabétiques.

"Nous dîmes "O Adam ! Celui là est un ennemi pour toi et pour ton épouse. Qu'il ne vous sorte surtout pas du Paradis car tu serais alors misérable". "Il t'y appartient de ne connaître ni la faim, ni le dénuement. Là tu ne souffriras ni de la soif, ni de l'ardeur du soleil". (V117 à 119/20)

Remarquez dans ces versets (au niveau littéraire), comment la faim a été placée avec le dénuement et la soif avec l'ardeur du soleil. Nous savons en effet le pouvoir calorigène des aliments et comment on résiste mieux au froid quand on a le ventre plein. On sait aussi que la chaleur du soleil deshydrate le corps humain qui a alors besoin de boire pour éviter cette deshydratation. Est là un pur hasard ? Est un génie littéraire évident ? Mais puisqu'il s'agit d'un berger illettré, cela ne peut être que l'oeuvre d'une force surhumaine, en l'occurence l'oeuvre de Dieu qui sait parfaitement tout ce qu'Il fait.

"Est ce que ceux qui ont mécru n'ont point vu que les cieux et la terre étaient soudés et les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante ? Ne croient-ils donc point ? (V30/21)

Non seulement l'eau entre dans la composition de tout être vivant dans une proportion allant de 60 à 90 % mais même la matière minérale n'entre en réaction qu'en présence de l'eau qui lui permet de s'ioniser en anions et cations. C'est pourquoi il est dit dans le verset "Toute chose vivante".

"Ou comme des ténèbres dans une mer profonde, surmontée de vagues superposées ainsi que d'un nuage, ténèbres les unes au dessus des autres. Quand il sort la main, il ne la voit presque point. Celui a qui Dieu n'a pas fait une lumière, n'a aucune lumière." (V40/24)

De nos jours, il est facilement aisé de dire que plus l'homme s'enfonce dans les profondeurs marines et plus la lumière est rarissime, car sous l'effet de la profondeur, les couleurs claires disparaissent, ne laissant apparaître que des ténèbres. Il faut d'ailleurs remarquer que plus l'homme descend dans la mer et plus celui-ci à l'impression lors de sa remontée d'arriver à la surface et il n'en est rien, cette illusion d'optique est ce que le verset désigne ici par "surmontée de vagues superposées". Comment un homme du VIIè siècle aurait pu avancer de tels propos alors qu'il était impossible à l'époque de vérifier cette théorie faute de matériels de plongée sous marine. (commentaire Acei).

"...Dieu créa d'eau tout ce qui bouge sur terre.." (verset 45/24)

Ceci a déjà été expliqué ci-dessus.

"C'est Dieu qui donna libre cours aux deux mers ; celle-ci d'une douceur suave, celle là d'une amertume écoeurante et Il plaça entre elles une séparation et une barrière interdite". (V53/25)

On voit à Bassorah, en Iraq, les eaux douces du Tigre se déverser dans l'Océan Indien. Dans la marée haute, on voit une masse d'eau salée de couleur verte côtoyant une masse d'eau douce de couleur rougeâtre sans qu'il y ait entre elles le moindre mélange. C'est un phénomène moléculaire "d'interface" et c'est cette force qui interdit tout phénomène d'osmose entre l'eau douce et l'eau salée.

(voir aussi verset 19-20/55)

"Dieu qui créa les cieux, la terre et tout ce qu'il y a entre eux en six jours..." (V59/25)

Il s'agit bien entendu de jours spéciaux, ou de périodes géologiques dont chacune d'elles peut durer des millions d'années.

"Tu vois les montagnes et tu crois qu'elles sont immobiles alors qu'elles se déplacent à la vitesse des nuages. Telle est l'oeuvre de Dieu qui a tout façonné à la perfection. Il est parfaitement au courant de ce que vous faites." (V88/27)

Cela est vrai aussi bien pour la fin du monde où les montagnes se déplaceront pour aller combler les mers et les océans car la terre se transformera en une grande surface parfaitement unie que pour notre monde actuel où les montagnes à l'horizon se déplacent du fait de la rotation terrestre.

"Il a crée les cieux et la terre en toute vérité et bon droit. Il enveloppe la nuit de la sphère du jour et Il enveloppe le jour de la sphère de la nuit. Il a soumis le soleil et la lune. Tous courent vers un terme nommé à l'avance. N'est ce pas Lui le Tout Puissant et le Très Grand Absoluteur." (V5/39)

Cette évidente allusion à la sphéricité de la terre est l'un des miracles du Coran car au siècle de Mohamed (saw), on était très loin d'y croire et on se représentait la terre comme un grand plateau posé sur les cornes du taureau Atlas.

"Puis sa volonté se consacra au ciel qui était alors fumée. Il lui dit ainsi qu'à la terre : "Venez par obéissance ou par contrainte". Il dirent "Nous voici par pure obéissance". (V11/41)

Cela fait étonnement penser à la théorie de la "nébuleuse" origine de notre univers.

"Nous leur montrerons nos Signes dans les horizons et en eux-mêmes jusqu'à ce qu'il leur devienne manifeste que c'est la vérité. Ne leur suffit il donc pas de savoir que Dieu est témoin de toutes choses ?(V53/41)

Cette admirable prophétie du VIIè siècle est venue annoncer que dans les temps à venir la science leur découvrirait les merveilles de l'Univers et de leur propre anatomie et que cel les amènerait forcément à reconnaître le bien fondé de cette religion et le caractère divin de ce livre. Nous voyons en effet, tous les jours, de grands hommes de science embrasser spontanément l'Islam ou du moins témoigner avec force, de l'authenticité de l'Islam et de son bien fondé. Tel est le cas du Docteur Maurice Bucaille qui a fait paraître un livre très intéressant : "La Bible, le Coran et la Science" où il démontre avec des arguments très précis que seul le Coran reste en parfaite concordance avec les théories scientifiques modernes.

"Il y a dans la terre des signes pour ceux qui croient avec conviction ; ainsi qu'en vous-mêmes. N'avez vous donc pas des yeux pour voir ? C'est dans le ciel que se trouve votre subsistance et tout ce qui vous est promis, par le Seigneur et Maître des cieux et de la terre. C'est là, la pure vérité tout aussi vrai que vous êtes doués de parole. (V20 à 23/51).

Sans commentaires !

"Le ciel, Nous l'avons construit de main de maître et Nous en élargissons constamment le domaine". (V47/51)

On ne peut que s'étonner devant cette affirmation de l'extension continue des limites de l'Univers que l'astronomie contemporaine vient à peine de découvrir.

"Il y fit de la lune une lumière et du soleil une lampe" (V16/71)

On ne peut ne pas remarquer cette nuance entre "lumière" pour la lune et "lampe" pour le soleil. La lune est un simple réflecteur et c'est le soleil qui est source de lumière. Quand on pense que l'Humanité ne découvrit ces vérités que dix siècles plus tard, on ne peut douter de l'origine supranaturelle du Coran. Ce n'est pas Mohamed (saw), un berger illettré du 7è siècle qui pouvait énoncer lui-même de telles vérités scientifiques.

"Bien au contraire, Nous sommes capable de refaire parfaitement les extrémités de ses doigts." (V4/75)

Pourquoi Dieu cite t-il en particulier les bouts des doigts comme preuve évidente de Sa Puissance créatrice ? Qu'ont donc les bouts des doigts qui rendent leur création tellement difficile ? Ce sont ces questions que les exégètes se sont toujours vraiment posées jusqu'à la découverte des empreintes digitales dont on ne trouve pas deux copies identiques dans toute la race humaine à tel point qu'elles servent à identifier sûrement les gens. Voilà encore un signe évident de Dieu et une preuve de plus de l'origine supra naturelle du Coran.

CONCLUSION !
Ces quelques versets qui ont été choisis dévoilent clairement le côté divin du Coran. Cependant, pour percevoir ces miracles, il est évident que l'Homme doit faire preuve de méditation et d'une réflexion objective . Une multitude de versets coraniques ont interpellé l'Homme à la réflexion par l'utilisation des sens.
Malheureusement, notre siècle de matérialisme a voilé cette faculté aux êtres humains et il est déplorable de nos jours de voir l'Homme courir après les biens de ce monde sans se poser les réelles questions de son origine et de son but sur terre. Nous espérons avec l'aide de Dieu que cette démonstration simplifiée ouvrira en l'esprit humain des portes rouillées trop longtemps fermées.

Le Miracle Scientifique du Coran
1) De la création de l'homme:
Commençons par ce que le Coran dit sur la formation de l'embryon humain, des descriptions qui avaient fait leur apparition il y a plus de quatorze siècles...

Il faut tout d'abord rappeler que l'embryologie ne s'est pas reconnue en tant que science toute claire et définie qu'au XXème siècle, grâce aux radiographies. Au XVIIème siècle par exemple, on croyait que la création de l'homme est oeuvre complètement achevée dans les spermatozoïdes, c'est-à-dire que, si jamais tu examines un spermatozoïde sous le microscope, tu trouveras un être humain complet, et tu verras tous les détails de son corps. L'idée de formation graduelle était hors de question. Au XVIIIème siècle, avec la découverte de l'ovule, les regards se sont tournés vers la prépondérance du rôle de la femme dans la formation préliminaire du foetus complet, puisque l'ovule est plus grand. Ainsi, le rôle de l'homme, juste fécondant, a-t-il été marginalisé.

C'était ce que la "science" disait jusqu'au début du XXème siècle, lorsque les radiographies viennent révéler les détails du séjour de l'embryon dans l'utérus de sa mère et mettre en évidence les phases de la formation de l'être humain.

Mais le saint Coran avait donné son apport là-dessus depuis quatorze siècles : il avait décrit en détails les stades du développement du foetus à l'époque où nul sur Terre n'avait la moindre idée de ce qui se trouve à l'intérieur de la femme enceinte. Les versets concernés portent l'empreinte du Créateur de l'homme... A quelle science pourrait avoir puisé Muhammad (pbAsl) ? Et s'il pourrait, quelle science possédait l'espèce humaine sur ce sujet ?

Le Prophète - que l'on accuse d'avoir compilé le Coran - aurait-il mettre toute sa religion à l'enjeu en "théorisant" sur des énigmes déchiffrables par la postérité ? Non, ce ne sont pas des théories humaines, mais les mots éternels et immuables de Dieu, les mots par lesquels le culte Lui sera rendu et les louanges Lui seront célébrées jusqu'au Jour de la Résurrection.

Et qu'est-ce que le Coran dit sur les phases embryonnaires ?
Dans Son Livre saint, Dieu - à Lui la puissance et la gloire - dit :
"Nous avons certes créé l'homme d'un extrait d'argile
puis Nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide.
Ensuite, Nous avons fait du sperme une adhérence ; et de l'adhérence Nous avons créé une mudgha ; puis, de cette mudgha Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les os de chair. Ensuite, Nous l'avons transformé en une tout autre création. Gloire à Allah le Meilleur des créateurs !"

(Sourate 23 - versets de 12 à 14)

L'homme est donc, à l'origine, créé à partir de l'argile. Cette matière première se trouve partout sur le globe. En l'analysant, les biologistes ont découvert que les composants de l'argile - fer, potassium, magnésium, ... - sont au nombre de 18, juste le nombre de ceux du corps humain. Et c'est là la première vérité reconnue par les infaillibles calculs scientifiques.

Le verset (le mot 'âya signifie à la fois verset et signe) commence ensuite à décrire les étapes de la création de l'espèce humaine dans l'utérus de la mère : - "puis Nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide." Par ce reposoir solide, il s'agit de l'utérus.
- Quant à l'étape de "l'adhérence", nous donnerons la parole au professeur Keith Moore, embryologue qui était chef du département d'anatomie et d'embryologie à l'université de Toronto au Canada : "Les premières manifestations de l'embryon prennent la forme d'un ver." Et en comparant la radiographie d'un nouvel embryon à la photo d'un ver, la ressemblance sautait aux yeux. Mais le mot arabe "`alaqa" se définit dans le dictionnaire par : "adhérence", "genre de ver" et "caillot de sang" ! Sur ce, il a commenté, stupéfait : "Ce que le Coran décrit n'est pas seulement la forme de l'embryon, mais aussi sa substance ! A l'étape de l'adhérence, le sang est retenu dans les vaisseaux très fins, comme s'il était coagulé."
- "et de l'adhérence Nous avons créé une mudgha ;" La mudgha (du verbe madagha : mâcher) veut dire quelque chose mâchée. Voilà un autre terme qui colle parfaitement : la radiographie de l'embryon à cette phase est presqu'une reproduction de la photo d'un morceau d'argile ou d'une mastique mâchés! Qui plus est, l'embryon est sillonné par des marques pareilles aux traces des dents! Dans une autre sourate du Coran, Dieu passe de l'apparence extérieure de l'embryon mudgha à ce dont il se compose :
"... une mudgha (normalement) formée aussi bien qu'informe ..."

(Sourate 22 - verset 5)

Sous le microscope électronique, on a fait l'anatomie de l'embryon humain - alors ici d'un centimètre de long - et l'on a découvert que certains appareils avaient commencé à se former ("formée" est une traduction possible de l'adjectif "mukhallaqa", du verbe "khallaqa" créer) d'autres, pas encore. Or le Coran - en coordonnant les deux antonymes - ne fait qu'utiliser la seule et plus docte expression pour parler de cette étape de formation où les parties, de création achevée et non achevée, s'enchevêtrent.
- Les autres phases de la formation des os, puis de la chair, comme l'a montré le professeur Canadien sur les radiographies, se rencontraient parfaitement avec les notions figurant dans le Coran.

"Le Messager d'Allah aurait-il pu connaître ces détails sur la création de l'embryon humain ?" a-t-on demandé au docteur Keith Moore, qui a répondu : "Impossible! A ce moment, le monde tout entier ignorait que la formation du foetus passe par des phases, qu'en sera-t-il de la définition de chacune d'elles ? Cette définition qui a embarrassé la terminologie scientifique, au point d'être remplacée aujourd'hui par une classification numérotée inintelligible, avait été faite dans le Coran en toute simplicité et pertinence. Il nous est devenu clair qu'il s'agit là de preuves venues de la part de Dieu, à l'appui de Muhammad. Cela me prouve que Muhammad est le Messager de Dieu."
- "Par conséquent, n'embrasserez-vous pas l'Islam ?" - "Je suis prêt à inclure ces informations dans les prochaines éditions de mes livres!"

Les sens de ces versets a été lu devant nombre des plus grands embryologistes du monde, et aucun n'osait prétendre qu'il y a contradiction entre le Coran et les découvertes scientifiques les plus modernes sur ce sujet. Quant à lui, le professeur Thaïlandais Tagathat Jasen*, anatomiste, a demandé : "Ces mots ont-ils été dits il y a quatorze siècles ?" - "Oui" a-t-on répondu. "Mais ce sont des vérités révélées récemment par la science. Impossible que ce soient les paroles d'un être humain ; mais celles de Dieu le Très-Haut! Il est temps d'attester qu'il n'y a d'autre divinité qu'Allah et que Muhammad est Son Messager!"

Et voici un autre miracle sur les aspects anatomiques du corps humain, tiré du verset suivant :
"... Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d'autres peaux en échange afin qu'ils goûtent au châtiment... "

(Sourate 4, verset 56)

Dieu nous dit que les réprouvés de l'Enfer vivront dans la torture éternelle. Mais comment nous faire comprendre cette vérité alors que, d'après notre expérience, lorsque le corps périt, la sensation de douleur disparaît ?

On a découvert que les nerfs sont sous-jacents de la peau ; si celle-ci est brûlée, la douleur n'est plus ressentie. Comment le châtiment promis serait-il donc éternel si la souffrance doit se terminer un jour ? Les rebelles qui refusent de croire, de se soumettre et de s'en remettre à Dieu auraient pu faire fi de la menace et se complaire dans leurs illusions de l'impossibilité d'un châtiment éternel. De plus, les évidences scientifiques auraient pu contredire le Coran, lorsqu'il dit : "Quant aux criminels, ils demeureront éternellement dans le châtiment de l' Enfer,
qui ne sera jamais interrompu pour eux et où ils seront en désespoir."
(Sourate 43 - versets 74 et 75)
"qui ne sera jamais interrompu" ou "qui ne sera jamais allégé". Si la loi de la sensation de douleur ne fut découverte que tout récemment, qui alors l'aurait communiquée au Prophète Muhammad ? Ne sommes nous pas devant l'évidence que Celui qui parle est Lui-même Celui qui crée ?

Et si l'un des grands anatomistes de notre globe - lui qui a la maîtrise du corps de l'homme - en a trouvé d'autant plus de preuves factuelles de la présence du Grand Dieu qu'il avait déclaré sa conversion à l'Islam dans une conférence générale, ne suffit-ce pas à la croyance de tous les habitants de la Terre ?

2) De la création de l'univers:
Dieu - à Lui la puissance et la gloire - fait mention de l'origine une du cosmos lorsqu'Il dit :
"Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc pas?" (Sourate 21 - verset 30)

Au cours de la conférence du Miracle Coranique en Arabie Séoudite, le sens de ce verset a été soumis au Dr. Alfred Croner*, le notable géologue, qui s'est exclamé : "Impossible ! C'est tout à fait impossible qu'un livre, vieux de quatorze siècles, ait compris ces informations... lesquelles nous venons de découvrir depuis quelques années, tout à l'aide des techniques de pointe et à l'issue de longues et épuisantes études en physique nucléaire ! L'origine unique du cosmos est une vérité inaccessible à un être humain depuis quatorze siècles !!" Ainsi, les moyens scientifiques de nos jours viennent-ils ajouter foi à ce que Muhammad (pbAsl) disait d'aussi longtemps : l'homme voyage dans la Lune, en relève des échantillons de pierres - de la surface comme des couches sous-jacentes - et les ramène pour examen sur Terre... Conclusion : la composition des pierres lunaires est pareille à celle des pierres terrestres, donc ils proviennent d'une même origine.

Ne leur suffit-ce pas comme preuve matérielle ? La théorie de l'origine une des cieux et de la Terre étant confirmée, ne confirme-t-elle pas à son tour la présence de Dieu, le Créateur qui - dans le Coran - n'a fait que dévoiler une part des secrets de Son oeuvre dans l'Univers ?

Revenons au verset : Dieu y révèle l'un des clés de la vie, à savoir l'eau. Aujourd'hui, l'inhérence eau-vie est devenue tellement évidente que seule la présence d'eau sur telle ou telle planète - présence détectée par les caméras de satellites, navètes spatiales ou appareils installés sur les planètes proches de la Terre - compte le signe fiable de la possibilité des formes de vie. Il est à noter que les photos de ce genre ne sont pas de la précision requise pour décerner quelque créatures vivantes, et pourtant l'existence, ou non, d'eau tranche décisivement la question aux yeux des savants.

Or, la présence d'eau est une manifestation du pouvoir prévalant de Dieu. Sur Terre, l'eau se trouve et prend son cycle sans aucune intervention humaine ; c'est entièrement une grâce providentielle : évaporation des océans et mers, condensation dans les couches atmosphériques supérieures et alimentation de la Terre à nouveau. C'est ainsi que Dieu - à Lui la puissance et la gloire - dit dans la sourate Al-Wâqi`a :
"Voyez-vous donc l'eau que vous buvez ?
Est-ce vous qui l'avez fait descendre du nuage ? ou (en) sommes Nous le descendeur ?
Si Nous voulions, Nous la rendrions salée. Pourquoi n'êtes-vous donc pas reconnaissants?"
(Sourate 56 - versets de 68 à 70)
L'eau est donc un don du ciel attribué par le Tout-Puissant. Quiconque conteste doit pour autant nous percer un fleuve au milieu du désert et le remplir d'eau, s'il le peut... mais il ne le saura jamais !

La science a beau attester que la présence d'eau c'est la présence de vie, on reste aveugle vis-à-vis la mention coranique datant d'une dizaine de siècles ! Si seulement l'on y prête l'oreille... ce sera inconstestablement la croyance en Dieu, le Créateur, l'Unique qui nous pique la conscience à la fin du verset par l'interrogation : "Ne croiront-ils donc pas?"

Ainsi, se sont-"ils" rendus compte - par la preuve matérielle - que l'origine des cieux et de la Terree est la même et que l'eau représente le secret de la vie, et pourtant ils ne croient pas. La mécréance ainsi conçue tient de l'abominable opiniâtreté et de la dispute ; vices que la torture au feu de la Géhenne est capable de purger... Il est de la justice divine de châtier ceux qui - en dépit des preuves qui leur ont été données pour reconnaître leur Maître - persistent dans l'incroyance et la rébellion.

Il convient également de mentionner le verset suivant sur la création des cieux et de la Terre : le Coran défie les incroyants par la précision de ses descriptions et défie l'incertitude des sens par la sûreté de la science divine.
"Il S'est ensuite adressé au ciel qui était alors fumée et lui dit, ainsi qu'à la terre: 'Venez tous deux, bon gré, mal gré'. Tous deux dirent: 'Nous venons obéissants'."
(Sourate 41 - verset 11)

A la lecture de l'interprétation de ces mots, prof. Yuchidi Kosai*, directeur de l'observatoire de Tokyo, a voulu couper court à la discussion en attestant : "Le monde n'est arrivé que tout récemment au fait que le ciel fut de la fumée. Les navètes et satellites conquièrent aujourd'hui l'espace pour nous transmettre les photos d'une étoile naissante : c'est un amas de fumée dont le centre est occupé par la partie radieuse de l'étoile en formation et tout autour se voit une auréole rouge, signe de l'élévation de température."

"Depuis quelques années déjà, a-t-il ajouté, nous avions la conviction que le ciel fut du brouillard. Ce qu'avaient récusé les acquis scientifiques d'aujourd'hui ... Le brouillard est inerte et froid tandis que la fumée, c'est la chaleur et le mouvement ; et sur ce, le ciel doit avoir été de la fumée. Je suis très impressionné de rencontrer cette vérité dans le Coran !"

Jetons dans la suite le regard sur un autre témoignage célèbre rendu aux conférences du Miracle Coranique, celui du Dr. Astrokh*, de l'agence spatiale NASA : "Nous avons effectué, dit-il, tant de recherches sur les métaux de la Terre, et pourtant, le fer en reste le seul point d'interrogation pour les savants ; c'est un métal à haute potentialité, de composition singulière..."

De fait! Les électrons et neutrons dans un atome de fer requièrent à leur union une quantité énorme d'énergie, soit le quadruple du potentiel d'énergie de notre système solaire tout entier ! Ainsi, s'avère-t-il impossible que le fer ait été composé sur terre, c'est plutôt un élément qui lui avait été apporté. Lorsqu'on a soumis au Dr. Astrokh la traduction du sens de ce verset :
"... Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, aussi bien que des utilités pour les gens, ..."

(Sourate 57 - verset 25)

il a dit : "Ces mots ne peuvent point être ceux d'un homme !"

Laissons de côté les cieux et leurs secrets pour plonger dans les mers...

Il est établi aujourd'hui que les mers de notre planète ne sont pas de composition standard ; mais elles diffèrent selon la température, le degré de salinité, la densité, ou encore le taux d'oxygène dans chacune d'elles. Les caméras des satellites artificielles nous ont montré les mers en couleurs : l'une est d'un bleu foncé, l'autre noire, une troisième jaune, ... etc. ; variété due aux décalages de température.

Lisons à ce sujet dans le Livre de Dieu :
"Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer ;
il y a entre elles une barrière qu'elles ne dépassent pas."
(Sourate 55 - versets 19 et 20)
La "barrière" en question apparaît aujourd'hui claire et nette, et l'expression "qu'elles ne dépassent pas" s'explique par le fait que l'eau, en passage d'une mer à l'autre, acquiert les caractéristiques de sa destination de sorte que chaque mer préserve enfin ses conditions et se refuse au changement.

"Ce n'est qu'après installation de centaines de stations maritimes et prise de photos par les satellites que ces vérités ont été découvertes", a confessé Prof. Schroder* spécialiste Allemand, qui avait dit déjà au début : "A mesure que la science avance, la religion doit reculer." Les versets en examen l'ont d'autant plus confondu qu'il a déclaré : "Impossible qu'un homme ait dit cela !"

D'autre part, le géologue Prof. Durgarua* jette un peu de lumière sur les profondeurs des mers... La science vient, paraît-il, saluer la pertinence de la description coranique à l'illustration des ténèbres de la mécréance :
"(Les actions des mécréants) sont encore semblables à des ténèbres sur une mer profonde: des vagues la recouvrent, (vagues) au-dessus desquelles s'élèvent (d'autres) vagues, sur lesquelles il y a (d'épais) nuages. Ténèbres (entassées) les unes au-dessus des autres. Quand quelqu'un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu'Allah prive de lumière n'a aucune lumière."
(Sourate 24 - verset 40)
"Auparavant, à défaut d'équipements, on ne pouvait jamais plonger dans la mer pour plus de 20 mètres. Mais aujourd'hui, les plongeurs vont plus loin, et ils rencontrent, à 200 mètres de fond, une obscurité totale."

Voyons ce que l'on a découvert aujourd'hui au sein d'une "mer profonde" :
Les sept couleurs du spectre - rouge, orange, jaune, ... - disparaissent respectivement, chacune laissant à sa disparition une nuance d'obscurité. Le rouge est le premier à s'évanouir, succédé de l'orange, puis du jaune, ... Le violet ne se voit plus à 200 mètres de fond. Et c'est là l'obscurité totale. Ne s'agit-il donc pas ici des "ténèbres (entassées) les unes au-dessus des autres" ?

La description divine "(vagues) au-dessus desquelles s'élèvent (d'autres) vagues," est d'autre part mise scientifiquement en évidence : On a prouvé que le fond de la mer est une partie distincte de la couche superficielle et séparée d'elle par des vagues. Ainsi, se trouve-t-il deux genres de vagues, l'un invisible couvrant les profondeurs obscures de la mer, et l'autre visible s'étalant sur la surface.

Prof. Durgarua n'en a déduit - lui aussi - que l'impossibilité d'une provenance humaine de ces mots.

Le suivant signe divin mérite également d'être souligné :

"'Alif, Lâm, Mîm.
Les Romains ont été vaincus,
dans le pays voisin, et après leur défaite ils seront les vainqueurs,"
On a traduit "fî 'adna-l-'ard " par "dans le pays voisin" (voisin de l'Arabie) vu l'ancienne interprétation de cette expression ; une traduction littérale aurait pu paraître ambiguë : "le plus bas de la Terre". Toutefois, les dernières cartes géologiques viennent montrer que l'endroit où s'est déroulée la bataille en question dans le verset fait justement partie de la région la plus basse du globe terrestre.

Pour conclure, il faut rappeler que les aspects miraculeux dont on a parlé sont tirés d'un nombre de recherches débattues par les Conférences du Miracle Coranique, conférences auxquelles ont pris part de grands savants - d'ailleurs incroyants, récalcitrants pour la plupart - mais qui ont attesté tous que les versets coraniques dont ils ont entendu l'interprétation ne peuvent qu'être inspirés par Dieu, le Créateur de notre univers. Dieu - à Lui la puissance et la gloire - met et le croyant et l'incroyant au service de l'affirmation de Sa présence, dans le grand monde et dans le Coran.

- Cet article est extrait des "Preuves Matérielles de la Présence d'Allah" ouvrage du cheikh Muhammad Mutwallî Ach-Cha`râwî.
- (*) L'orthographe n'est pas sûre. Ecrivez-nous si vous connaissez comment s'écrit le nom de ce savant.