LES ARCHIVES FOSSILES REFUTENT L'EVOLUTION L'ATLAS DE LA CREATION Volume 2
L'ATLAS DE LA CREATION
Volume 2
HARUN YAHYA
Publié en août 2007
EDITIONS GLOBAL
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A L'ATTENTION DU LECTEUR
Dans tous les livres de l'auteur, les questions liées à la foi sont expliquées à la lumière des versets coraniques et les gens sont invités à connaître la parole de Dieu et à vivre selon Ses préceptes. Tous les sujets qui concernent les versets de Dieu sont expliqués de telle façon à ne laisser planer ni doute, ni questionnement dans l'esprit du lecteur. Par ailleurs, le style sincère, simple et fluide employé permet à chacun, quel que soit son âge ou son appartenance sociale, d'en comprendre facilement la lecture. Ces écrits efficaces et lucides permettent également leur lecture d'une seule traite. Même ceux qui rejettent vigoureusement la spiritualité resteront sensibles aux faits rapportés dans ces livres et ne peuvent réfuter la véracité de leur contenu.
Ce livre et tous les autres travaux de l'auteur peuvent être lus individuellement ou être abordés lors de conversations en groupes. Les lecteurs qui désirent tirer le plus grand profit des livres trouveront le débat très utile dans le sens où ils seront en mesure de comparer leurs propres réflexions et expériences à celles des autres.
Par ailleurs, ce sera un grand service rendu à la religion que de contribuer à faire connaître et faire lire ces livres, qui ne sont écrits que dans le seul but de plaire à Dieu. Tous les livres de l'auteur sont extrêmement convaincants. De ce fait, pour ceux qui souhaitent faire connaître la religion à d'autres personnes, une des méthodes les plus efficaces est de les encourager à les lire.
Dans ces livres, vous ne trouverez pas, comme dans d'autres livres, les idées personnelles de l'auteur ou des explications fondées sur des sources douteuses. Vous ne trouverez pas non plus des propos qui sont irrespectueux ou irrévérencieux du fait des sujets sacrés qui sont abordés. Enfin, vous n'aurez pas à trouver également de comptes-rendus désespérés, pessimistes ou suscitant le doute qui peut affecter et troubler le cœur.
A PROPOS DE L'AUTEUR
Adnan Oktar, qui écrit sous le pseudonyme HARUN YAHYA, est né à Ankara en 1956. Il a effectué des études artistiques à l'Université Mimar Sinan d'Istanbul, et a étudié la philosophie à l'Université d'Istanbul. Depuis les années 80, il a publié de nombreux ouvrages sur des sujets politiques, scientifiques et liés à la foi. Harun Yahya est devenu célèbre pour avoir remis en cause la théorie de l'évolution et dénoncé l'imposture des évolutionnistes. Il a également mis en évidence les liens occultes qui existent entre le darwinisme et les idéologies sanglantes du 20ème siècle, telles que le fascisme et le communisme.
Les ouvrages de Harun Yahya, qui ont été traduits en 57 langues, constituent une collection de plus de 45.000 pages avec 30.000 illustrations.
Son pseudonyme est constitué des noms "Harun" (Aaron) et "Yahya" (Jean), en mémoire de ces deux prophètes estimés qui ont tous deux lutté contre le manque de foi de leurs peuples. Le sceau du Prophète (paix et bénédiction sur lui) qui figure sur la couverture des livres de l'auteur, revêt un caractère symbolique lié à leur contenu. Ce sceau signifie que le Coran est le dernier Livre de Dieu, Son ultime parole, et que notre Prophète (paix et bénédiction sur lui)) est le dernier maillon de la chaîne prophétique. En se référant au Coran et à la Sounna, l'auteur s'est fixé comme objectif d'anéantir les arguments des tenants des idéologies irréligieuses, pour réduire au silence les objections soulevées contre la religion. Le Prophète (paix et bénédiction sur lui) a atteint les plus hauts niveaux de la sagesse et de la perfection morale, c'est pourquoi son sceau est utilisé avec l'intention de rapporter le dernier mot.
Tous les travaux de l'auteur sont centrés sur un seul objectif : communiquer aux autres le message du Coran, en les incitant à réfléchir à des questions liées à la foi, telles que l'existence de Dieu, Son unicité, l'au-delà, et en exposant les fondations faibles et les idéologies perverses des systèmes irréligieux.
L'œuvre de Harun Yahya est connue à travers de nombreux pays, de l'Inde aux ?tats-Unis, de la Grande-Bretagne à l'Indonésie, de la Pologne à la Bosnie, de l'Espagne au Brésil, de la Malaisie à l'Italie, de la France à la Bulgarie et à la Russie.
Certains de ses livres sont disponibles dans les langues suivantes : l'anglais, le français, l'allemand, l'espagnol, l'italien, le portugais, l'urdu, l'arabe, l'albanais, le chinois, le swahili, le hausa, le divehi (parlé à l'île Maurice), le russe, le serbo-croate (bosniaque), le polonais, le malais, l'ouïgour, l'indonésien, le bengali, le danois et le suédois et de nombreux lecteurs du monde entier les apprécient.
Ces ouvrages ont permis à de nombreuses personnes d'attester de leur croyance en Dieu, et à d'autres d'approfondir leur foi. La sagesse et le style sincère et fluide de ces livres confèrent à ces derniers une touche distinctive qui ne peut manquer de frapper ceux qui les lisent ou qui sont amenés à les consulter. Ceux qui réfléchissent sérieusement sur ces livres ne peuvent plus soutenir l'athéisme ou toute autre idéologie et philosophie matérialiste, étant donné que ces ouvrages sont caractérisés par une efficacité rapide, des résultats définis et l'irréfutabilité. Même s'il y a toujours des personnes qui le font, ce sera seulement une insistance sentimentale puisque ces livres réfutent telles idéologies depuis leurs fondations. Tous les mouvements de négation contemporains sont maintenant vaincus de point de vue idéologique, grâce aux livres écrits par Harun Yahya. L'auteur ne tire pas de fierté personnelle de son travail ; il espère seulement être un support pour ceux qui cherchent à cheminer vers Dieu. Aucun bénéfice matériel n'est recherché dans la publication de ces livres.
Ceux qui encouragent les autres à lire ces livres, à ouvrir les yeux du cœur et à devenir de meilleurs serviteurs de Dieu rendent un service inestimable.
Par contre, encourager des livres qui créent la confusion dans l'esprit des gens, qui mènent au chaos idéologique et qui, manifestement, ne servent pas à ôter des cœurs le doute, s'avère être une grande perte de temps et d'énergie. Il est impossible, pour les nombreux ouvrages écrits dans le seul but de mettre en valeur la puissance littéraire de leurs auteurs, plutôt que de servir le noble objectif d'éloigner les gens de l'égarement, d'avoir un impact si important. Ceux qui douteraient de ceci se rendront vite compte que Harun Yahya ne cherche à travers ses livres qu'à vaincre l'incrédulité et à diffuser les valeurs morales du Coran. Le succès et l'impact de cet engagement sont évidents dans la conviction des lecteurs.
Il convient de garder à l'esprit un point essentiel : la raison des cruautés incessantes, des conflits et des souffrances dont la majorité des gens sont les perpétuelles victimes, est la prédominance de l'incroyance sur cette terre. On ne pourra mettre fin à cette triste réalité qu'en bâtissant la défaite de l'incrédulité et en sensibilisant le plus grand nombre aux merveilles de la création ainsi qu'à la morale coranique, pour que chacun puisse vivre en accord avec elle. En observant l'état actuel du monde qui ne cesse d'aspirer les gens dans la spirale de la violence, de la corruption et des conflits, il apparaît vital que ce service rendu à l'humanité le soit encore plus rapidement et efficacement. Sinon, il se pourrait bien que les dégâts causés soient irréversibles.
Les livres de Harun Yahya, qui assument le rôle principal dans cet effort, constitueront par la volonté de Dieu un moyen par lequel les gens atteindront au 21ème siècle la paix, la justice et le bonheur promis dans le Coran.
LES ARCHIVES FOSSILES REFUTENT L'EVOLUTION
INTRODUCTION
Dans quasi toutes les écoles du monde, les manuels de biologie utilisés à des fins pédagogiques rapportent une histoire de la vie fausse. Les étudiants apprennent sous le titre de "la théorie de l'évolution", en réalité, des mécanismes totalement déficients, des preuves falsifiées, des illustrations et des croquis conjecturaux, des fossiles mal-interprétés et une histoire des êtres vivants fallacieuse.
Ce mythe, sujet de nombreux livres et de cours répétés un nombre indéfini de fois, est considéré si factuel que rares sont ceux qui expriment le moindre doute sur la véracité de l'évolution. Les étudiants s'imaginent tous avoir reçu une éducation fiable qui leur sera utile au cours de leur vie. Ils seraient étonnés d'apprendre qu'un mensonge sur un thème aussi important que le véritable sens de la vie leur a été enseigné sous couvert scientifique.
Le fait est qu'un effort déterminé est fait pour imposer ce mensonge au public et le répandre dans le monde entier. Ce mensonge est une invention de toute pièce, enseigné dans les écoles. Des preuves fabriquées et des histoires erronées à propos de l'histoire de la vie sont véhiculées par la plupart des médias. Les experts en la matière, parfois même les gagnants des prix Nobel, épousent le mensonge en défendant cette tromperie.
"L'histoire de la vie" enseignée par les instructeurs depuis tant d'années est un scénario falsifié - une alliance perpétuant à travers le monde la supercherie coordonnée de l'évolution.
La force croissante de cette alliance et de son emprise sur les manuels scolaires et les médias s'explique par sa base matérialiste. Le darwinisme, nourri par la perspective matérialiste, qui domine actuellement le monde, se renforce et est mis en avant grâce à la même idéologie. Les matérialistes ont peu de scrupules à présenter des preuves falsifiées au public. L'objectif de cette politique étendue est évident : détourner les hommes de la foi en Dieu, de nier Son existence et de dépeindre la matière comme unique réalité absolue !
Les darwinistes continuent à ignorer que les êtres vivants ont été créés ! Il n'existe rien d'assimilable à l'évolution dans l'histoire de la vie.
Dieu est le Créateur et le Seigneur de toutes choses. Il crée la matière et donne la vie à toutes les entités. Il n'y a pas d'autre Créateur en dehors de Dieu, et pas d'autre puissance en dehors de Lui. Par conséquent, seules des preuves de la création sur terre existent.
Les darwinistes se heurtent à ces preuves dans toutes les recherches qu'ils entreprennent pour tenter de prouver l'évolution. Leur tentative est un échec, car il n'y a pas de preuve que l'évolution a bien eu lieu. Ils se retrouvent constamment face à la création soudaine, complexe et sublime. Les preuves fausses ne soutiennent pas une théorie fausse. Au contraire, elles la rendent encore moins solide et moins fiable. Au nom de la survie du matérialisme, les darwinistes persistent toutefois dans leurs méthodes trompeuses, comme enfermés dans un cercle vicieux.
Mais tout ceci arrive enfin à son terme. Le concept a été détruit par de nombreuses preuves, notamment par les "fossiles vivants" dont le nombre augmente chaque jour. Une forme de vie restée identique pendant 150 millions d'années, ou qui n'a pas changé même au cours de 300 millions d'années, élimine définitivement le scénario de l'évolution. Des millions d'espèces vivantes, à propos desquelles de nombreux scénarios évolutionnistes furent inventés, illustrent l'absence d'évolution dans les fossiles laissés par leurs ancêtres. Les êtres vivants que nous observons aujourd'hui auraient dû, selon les darwinistes subir l'évolution. Pourtant les spécimens de fossiles de ces espèces identiques étayent le fait qu'elles n'ont jamais subi une quelconque évolution.
Les fossiles vivants sont des preuves si puissantes qu'ils anéantissent toutes les affirmations darwinistes, réfutant ainsi le non-sens de l'évolution enseigné dans les manuels. Ils remettent totalement en question les fausses reconstitutions "intermédiaires" dans tous les musées de l'évolution, et démontrent que les scénarios imaginaires évolutionnistes dans les divers livres et articles darwinistes ne sont que des fabrications.
Les darwinistes s'évertuent à ignorer ces preuves sans pour autant réussir à les éliminer. Les fossiles vivants, dont on découvre chaque jour davantage de spécimens, ont, en effet, déjà aboli la thèse de l'évolution.
Ce livre présente ces faits importants ainsi que l'embarras des darwinistes face aux preuves. Vous verrez comment cette supercherie se désagrège depuis l'époque de Charles Darwin, auteur de cette théorie. Les exemples de fossiles vivants illustrés dans ce livre ne représentent qu'une infime partie des preuves invalidant cette duperie. Des nombreux spécimens de "fossiles vivants" sont découverts régulièrement dans presque toutes les strates sédimentaires, un seul, néanmoins, suffit à réfuter le darwinisme.
La loi de Dieu anéantit l'ordre darwiniste :
Ou bien cherchent-ils à tramer quelque intrigue ? Ce sont ceux qui ont mécru qui sont les victimes de leurs propres intrigues. Ou ont-ils une autre divinité à part Dieu ? Que Dieu soit glorifié et purifié de tout ce qu'ils associent ! Et s'ils voient tomber des fragments du ciel, ils disent : "Ce sont des nuages superposés." Laisse-les donc, jusqu'à ce qu'ils rencontrent leur jour où ils seront foudroyés. Le jour où leurs intrigues ne leur serviront à rien, et où ils ne seront pas secourus. (Sourate at-Tur, 42-46)
DARWIN S'EST TROMPE: LES ESPECES N'ONT JAMAIS CHANGE
Le plus grand problème auquel il (Darwin) dut probablement faire face était les moyens par lesquels les caractéristiques adaptatives furent transmises de génération en génération, car les principes de la génétique n'avaient pas encore été découverts à l'époque de la mort de Darwin. Un second problème qu'il ne put résoudre s'apparentait à la nature des archives fossiles.1
Darwin donna le nom de "théorie de l'évolution" à l'hypothèse qu'il développa, sur les deux attentes décrites par le paléontologue évolutionniste Douglas Ward dans l'extrait cité ci-dessus.
Sa première supposition était que les gènes donnant naissance à des caractéristiques différentes pouvaient être transmis, d'une manière imaginaire, aux générations suivantes, conduisant ainsi à des changements parmi les espèces. Il conjecturait, par ailleurs, que ces séries de changements imaginaires pouvaient être préservés dans les archives fossiles.
Darwin pouvait aisément prétendre que des changements s'opéraient dans les traits anatomiques d'un être vivant et qu'ils étaient ensuite transmis aux générations subséquentes, s'ensuivant alors une nouvelle espèce. Dans les années 1850, lorsque Darwin présenta ses idées, la science en était encore à ses balbutiements. L'étude de la génétique n'était pas encore née. La complexité des cellules et des chromosomes, sans parler de l'ADN, restait encore à être découverte. La structure glorieuse des gènes déterminant toutes les caractéristiques d'un être vivant, les données contenues dans ces gènes et leur complexité étaient alors complètement inconnues.
Il était, par conséquent, facile pour Darwin de croire que des fossiles quelque part sur terre allaient venir confirmer ces changements hypothétiques au sein des espèces. D'après lui, les fossiles de formes intermédiaires existaient dans les couches géologiques, mais n'avaient pas été mis à jour. A cette époque, le nombre de spécimens de fossiles extraits des roches était très limité. Etant donné qu'aucune forme intermédiaire n'avait été découverte, Darwin s'attendait à ce qu'à l'avenir on voie apparaître ces "liens manquants" imaginaires. Il suffisait pour cela de temps et d'études soignées.
Darwin érigea sa théorie sur deux hypothèses de base, mais un examen précis ne révèle ni preuve ni observation, parce que la théorie de l'évolution fut avancée pour des raisons totalement idéologiques et non scientifiques. Elle fut inventée pour détourner les hommes de leur foi en Dieu et pour leur offrir une soi-disant alternative au fait de la création. Il s'agit en fait d'une adaptation de l'histoire naturelle de la logique matérialiste instillée à travers le monde à cet effet. Le fait d'associer la théorie à la science facilita son acceptation, en raison notamment du stade primitif de la science à cette époque. L'illogisme de la théorie était clair, mais les standards scientifiques étaient alors tels que les preuves de la faiblesse de la théorie ne pouvaient encore être comprises.
Le siècle et demi qui suivit fournit rapidement d'innombrables preuves scientifiques démontrant l'invalidité de l'hypothèse de Darwin. Les données révélées par la génétique éradiquent complètement l'idée d'espèces "descendant" d'autres espèces à travers des changements minimes graduels. Les gènes, comme nous le savons aujourd'hui, sont extrêmement complexes et délicats. Une quelconque mutation peut avoir un effet inverse et dommageable sur eux. Il est, par conséquent, impossible que des changements aléatoires totalement inconscients se produisent dans les gènes de sorte que la structure d'un organisme se transforme en une autre avec différentes fonctions.
Les archives fossiles représentent également une déception majeure pour les darwinistes. Aucun fossile de forme intermédiaire n'a été découvert contrairement aux attentes de Darwin. L'idée que les archives fossiles sont "inadéquates" ne fait désormais plus partie du credo darwiniste, parce que la terre a fourni la plupart des spécimens existants. Une grande partie de la planète a été fouillée. La paléontologie révèle plutôt qu'aucun exemple de "transition" n'existe. Les êtres vivants qui existaient il y a des millions d'années n'ont jamais changé depuis tout ce temps.
Le paléontologue évolutionniste de l'Université d'Harvard Stephen Jay Gould affirme ouvertement que Darwin était, en réalité, conscient de ce point lorsqu'il écrivit :
Les archives fossiles ont causé à Darwin davantage de peine que de joie.2
Les évolutionnistes Niles Eldredge et Ian Tattershall du Musée Américain d'histoire naturelle ont décrit leur position en ces termes : … Que des sortes individuelles de fossiles soient notoirement restées identiques au cours de leur occurrence dans les archives fossiles étaient un fait déjà connu par les paléontologues bien avant que Darwin ne publie son Origine. Darwin, lui-même,… prophétisa que les générations futures de paléontologues allaient combler ces fossés par des recherches diligentes… 120 ans de recherches paléontologiques plus tard, il est devenu très clair que les archives fossiles ne confirmeront pas cette partie des prédictions de Darwin, ni celles de maigres archives fossiles. Les archives fossiles montrent simplement que cette prédiction est fausse.
L'observation que les espèces sont des entités incroyablement conservatrices et statiques au cours de longues périodes, a toutes les qualités des nouveaux vêtements de l'empereur : tout le monde le savait, mais préférait l'ignorer. Les paléontologues, confrontés à des archives récalcitrantes refusant de céder au schéma prédit par Darwin, se contentèrent simplement de tourner la tête.3
En résumé, Darwin défendit sa théorie de l'évolution en ignorant délibérément toutes ces impossibilités, alors qu'elles étaient tout à fait connues à l'époque. Scientifiquement, il n'existe pas de changements génétiques utiles se produisant aléatoirement chez les espèces, ni de transmissions de ces mêmes changements aux générations suivantes. Les fossiles n'indiquent pas de tels changements et ne proposent pas la moindre cellule de l'une de ces formes intermédiaires hypothétiques qui auraient dû exister au cours des centaines de millions d'années.
Ceci étant, quelles preuves scientifiques maintiennent la théorie de l'évolution en vie ?
Il n'y en a pas ! Cela montre une fois de plus que les raisons en faveur du darwinisme sont idéologiques plutôt que scientifiques. Le protocole scientifique requiert qu'une hypothèse soit d'abord affirmée, ensuite celle-ci passe au stade de règle, uniquement après avoir été soutenue par des preuves. Cependant, ce schéma ne fut pas respecté pour la théorie de l'évolution, car pas une seule preuve ne vient étayer la théorie. Néanmoins, elle subsiste dans les manuels et apparaît régulièrement dans les médias, de manière très trompeuse. Elle est protégée par des lois et préservée par la logique suivante : "Elle est immuable et aucune décision à son encontre ne peut être formulée." La seule raison de tout cela est que la théorie de l'évolution est une croyance dogmatique, et non une thèse scientifique.
Les archives fossiles réfutent constamment les affirmations du darwinisme et pointent vers le fait de la création. Tous les efforts des darwinistes pour prouver le contraire ont abouti à l'échec. Les preuves issues des roches sédimentaires déclarent ouvertement que les êtres vivants n'ont pas subi d'évolution. Deux des plus grandes preuves sont l'absence de fossiles de formes intermédiaires et la stagnation dans les archives fossiles mêmes.
LES FOSSILES DE FORMES INTERMEDIAIRES N'EXISTENT PAS
L'évolutionniste Dr. David Raup, conservateur du Musée Field d'histoire naturelle à Chicago dit :
La théorie de la sélection naturelle de Darwin a toujours été étroitement liée aux preuves provenant de fossiles et la plupart des gens supposent probablement que les fossiles constituent une part très importante de l'argument général en faveur des interprétations darwinistes de l'histoire de la vie. Malheureusement, cela n'est pas strictement vrai.4
Les visiteurs d'un quelconque musée d'histoire naturelle se retrouvent face à une intense propagande évolutionniste. Y sont exposés des reconstitutions imaginaires et de faux os fabriqués à la main, supposés appartenir à nos prétendus ancêtres. Le moindre fragment fossilisé d'un être ayant vécu jadis, qui ne représente en soi nullement une preuve de l'évolution, est toutefois présenté comme une preuve hautement importante de forme intermédiaire de la transition imaginaire du poisson en amphibien. Une côte qui confirmerait davantage le fait de la création est exhibée avec une immense fierté comme preuve de l'évolution. Se basant sur les descriptions détaillées des prétendus fossiles et les noms latins qui leur sont attribués, ceux qui examinent ces pièces sont convaincus d'avoir affaire à un fait évolutionniste. Or le véritable objectif du musée est de donner l'impression que quelque chose existe alors qu'elle n'a jamais existé et de faire la propagande à propos de quelque chose d'inexistant.
Les évolutionnistes s'imaginent atteindre leurs buts à travers ces méthodes, parce que les visiteurs de musée n'ont pas conscience du fait qu'il n'existe pas un seul fossile de forme intermédiaire pour soutenir la théorie de l'évolution. Ils ne savent pas non plus que les fossiles vivants restés identiques pendant des millions d'années, contrairement aux affirmations de la théorie de l'évolution, sont dissimulés dans les entrepôts, situés souvent ironiquement en dessous des salles d'expositions.
En fait, les efforts déployés par les évolutionnistes s'avèrent être creux. Aucun fossile de forme intermédiaire étayant le concept d'évolution n'a jamais été découvert. Il n'existe, en effet, pas la moindre trace de ces étranges créatures imaginaires semi développées qui auraient dû exister au cours de millions d'années. Le processus d'évolution n'est rien de plus qu'une croyance - un souhait que les évolutionnistes voudraient voir se vérifier. Pourtant les archives fossiles n'ont jamais permis à ce rêve de devenir vrai. D'innombrables fossiles ont été exhumés dans le monde entier sans que les fossiles de formes intermédiaires manquantes ne soient découverts à leur tour. Il est impossible qu'on en trouve la moindre trace car l'évolution n'a jamais eu lieu. En inventant des théories fictives, en fabriquant des formes intermédiaires imaginaires en plâtre et en bakélite, et en élaborant des reconstitutions basées sur les influences de l'artiste pour illustrer les vies supposées de ces formes intermédiaires, les darwinistes cherchent à insuffler la vie à une prétendue évolution.
Le fait est, toutefois, que leurs efforts ne porteront jamais leurs fruits. Les conditions sont aujourd'hui différentes de celles de l'époque de Darwin. Les faits scientifiques sont dévoilés et de nouvelles découvertes révèlent constamment les preuves du fait de la création. Aucun darwiniste ne peut plus soutenir que les archives fossiles sont insuffisantes. La science et les fossiles fournissent une pléthore de preuves incontestables.
L'absence de tout fossile intermédiaire est trop évidente pour être couverte plus longtemps par les évolutionnistes.
Dans la revue Science, D. S. Woodroff de l'Université de Californie mentionne la sérieuse déception des évolutionnistes :
Mais les espèces fossiles restent inchangées durant pratiquement toute leur histoire et les archives ne fournissent pas le moindre exemple d'une transition significative.5
Dans les strates où ils mènent leur chasse aux fossiles de formes intermédiaires, les darwinistes trouvent constamment des fossiles d'êtres vivants n'ayant pas subi le moindre changement au cours de millions d'années et donc n'ayant pas été soumis à un processus d'évolution. Les preuves du fait de la création abondent par millions chaque jour, alors que les fossiles de formes intermédiaires tant attendus ne sont nulle part. Les évolutionnistes ont dû alors se contenter de représenter ce qui en fait constituait une preuve de la création sous les traits de fossiles de formes intermédiaires. Au moyen de différentes techniques de propagande, ils tentèrent de dépeindre des formes de vie hautement développées et complexes remontant à des millions d'années comme preuve de leur propre théorie. En soumettant leurs interprétations biaisées des fossiles, ils tentèrent ainsi de faire passer le système complexe et développé d'ailes d'oiseaux pour des ailes "en développement" et les nageoires des poissons pour les futures pattes d'une créature se préparant à émerger sur la terre ferme. Ainsi, ils cherchèrent à présenter le cœlacanthe comme un exemple de transition entre l'eau et la terre et l'archéoptéryx comme un reptile évoluant du sol vers les airs.
En réalité, même ces restes fossilisés démontrent que ces créatures étaient dotées de caractéristiques excessivement complexes et non intermédiaires. Lorsqu'un cœlacanthe, l'un des êtres vivants objet des spéculations évolutionnistes, fut péché dans des eaux profondes en 1938, près de 400 millions d'années après les spécimens fossilisés, tous les rêves évolutionnistes volèrent en éclat.
Les évolutionnistes connurent un revers similaire avec l'archéoptéryx, que la science considère désormais comme un oiseau à part entière. Les évolutionnistes perdirent tous leurs arguments, quand l'archéoptéryx, dépeint pendant des années comme une preuve cruciale de la transition imaginaire de la terre à l'air, s'avéra posséder des muscles de vol parfaits, des plumes idéalement adéquates au vol et une parfaite structure des ailes.
D'autres incidents remirent en question ouvertement le concept de formes intermédiaires, comme celui de l'homme de Piltdown et l'homme du Nebraska, sensés être également des preuves de l'évolution. Désespérés par l'absence totale de formes intermédiaires, les évolutionnistes allèrent jusqu'à fixer une mâchoire d'orang-outan au crâne d'un homme récemment décédé. Ils le nommèrent l'homme de Piltdown et exhibèrent leur fabrication pendant près de quarante ans. Ce fossile fabriqué, exposé au British Museum, fut rapidement retiré des vitrines lorsque la supercherie fut mise à jour.
L'homme du Nebraska fut le sujet de nombreuses illustrations et reconstitutions imaginaires - toutes basées sur une simple dent ! S'inspirant de cette dent, les évolutionnistes s'imaginèrent qu'elle appartenait à un fossile de forme intermédiaire combinant des traits humains et simiesques.
Mais il s'avéra plus tard que cette dent appartenait à un ours sauvage. C'est pourquoi on peut dire que les fossiles observés par les nombreux visiteurs de musées et présentés comme preuves de l'évolution sont le produit d'une telle logique frauduleuse.
Le paléontologue évolutionniste George Gaylord Simpson du Musée Américain d'histoire naturelle reconnaît le problème des formes intermédiaires auxquels sont confrontés les évolutionnistes :
Cela est vrai pour tous les 32 ordres de mammifères… Les membres les plus anciens et les plus primitifs de chaque ordre ont déjà les caractères ordinaux basiques, et en aucun cas il n'est question d'une séquence approximativement continue entre un ordre et un autre. Dans la plupart des cas, la rupture est si nette et le fossé si large que l'origine de l'ordre est spéculative et matière à controverse… Cette absence régulière de formes transitionnelles ne se confine pas aux mammifères, mais il s'agit d'un phénomène quasi-universel, comme le savent depuis longtemps les paléontologues. Cela est vrai pour presque toutes les classes d'animaux, vertébrés et invertébrés… Cela est vrai pour les classes et pour les principaux phyla animaux, et c'est apparemment vrai également pour des catégories analogues de plantes.6
En dépit de l'absence totale de preuves, les évolutionnistes continuent à défendre que "les êtres vivants ont évolué". Cette affirmation implique des millions d'espèces qui n'ont pu exister et encore moins émerger. Pourtant les évolutionnistes prétendent qu'elles se sont développées au cours d'un processus imaginaire - l'évolution - qui ne peut s'expliquer. Ceci dit, il a été prouvé qu'il est impossible que des protéines puissent naître spontanément. Pourtant, selon la théorie de l'évolution, ce miracle a bel et bien eu lieu et la protéine est née par hasard.
Il est également impossible que les organelles de la cellule naissent ensemble par coïncidence. C'est cependant ce que veut l'évolution. Ce miracle se produisit, conduisant au noyau de la cellule, aux gènes, à l'ADN, aux enzymes et aux innombrables autres structures complexes qui ne peuvent être produites artificiellement aujourd'hui, même dans des conditions de laboratoires contrôlées. Or, selon la théorie de l'évolution, tous sont nés du hasard aveugle.
Les évolutionnistes ont passé au crible les archives fossiles à la recherche d'une quelconque trace de ce processus et des changements impliqués.
Cependant, encore selon les évolutionnistes, un autre miracle s'est produit : toutes les traces dans les archives fossiles ont disparu !
La logique de cet argument suit : l'évolution est née d'une série de millions d'évènements impossibles qui, selon l'évolution, seraient issus de coïncidences aveugles et inconscientes. Le darwinisme nie l'existence de Dieu et de tout phénomène surnaturel, mais n'hésite pas à affirmer que des millions d'organismes vivants sont nés d'une série de miracles. La théorie de l'évolution présentée de manière scientifique est en réalité une croyance érigeant d'innombrables miracles et coïncidences en une multitude de divinités.
La théorie de l'évolution est incapable de prouver qu'une seule protéine est née spontanément. Elle est incapable de présenter un seul spécimen de forme intermédiaire pour prouver que les espèces vivantes ont évolué. La théorie se réfute par ses deux composantes de base. Elle se trouve dans une situation délicate dont elle ne peut sortir en couvrant l'absence de formes intermédiaires dans les archives fossiles et dissimulant les exemples de fossiles vivants dont le nombre augmente quotidiennement.
Face au manque de preuves, les darwinistes persistent, au contraire, à utiliser des méthodes frauduleuses. Mais le public devient de plus en plus conscient du fait que l'évolution est enseignée pour des raisons idéologiques et non scientifiques. Les darwinistes veulent donner l'impression que les fossiles de formes intermédiaires existent alors que ce n'est pas vrai et ils dissimulent les preuves du fait de la création dans les coffres des musées. Pourquoi ? La raison est évidente : ils connaissent trop bien les nombreuses preuves incontestables de l'existence de Dieu, le Seigneur de l'univers. Puisqu'ils luttent pour nier Son existence, ils tentent de cacher les faits. Or, Dieu manifeste Sa propre existence avec d'innombrables preuves et annule les plans des darwinistes.
Ne voient-ils pas que Nous frappons la terre et que Nous la réduisons de tous côtés ? C'est Dieu qui juge et personne ne peut s'opposer à Son jugement, et Il est prompt à régler les comptes. Certes ceux d'avant eux ont manigancé ; le stratagème tout entier appartient à Dieu. Il sait ce que chaque âme acquiert. Et les mécréants sauront bientôt à qui appartient la (bonne) demeure finale. (Sourate ar-Raad, 41-42)
LES ARCHIVES FOSSILES CONFIRMENT LA CREATION: LA STAGNATION DANS LES ARCHIVES FOSSILES
Darwin prédit que les formes de vie restées inchangées pendant des millions d'années allaient représenter une difficulté majeure pour sa théorie, et il y fit fréquemment référence. Ces espèces spéciales furent même baptisées "fossiles vivants" par Darwin lui-même !
Le paléontologue évolutionniste Peter Douglas Ward fait allusion au problème de Darwin :
Pourtant, le principe central de Darwin était que la plupart des organismes changent à travers le temps. Mais ont-ils tous changé dans les mêmes proportions ou les proportions ont-elles varié ? Darwin était persuadé qu'elles variaient, car il pouvait désigner une série de créatures assez similaires aux fossiles qu'il avait pu voir, dont certains étaient issus de très anciennes strates. Darwin confronta ce problème à plusieurs reprises. Bien qu'il semblât satisfait de l'explication fournie dans L'origine des espèces, le fait même qu'il portât ces "fossiles vivants" à l'attention de ses lecteurs suggère qu'il n'était pas entièrement à l'aise avec le phénomène. Il écrit par exemple : "Dans certains cas… des formes faiblement organisées semblent avoir été préservées jusqu'au présent, du fait d'un mode de vie confiné ou dans des endroits particuliers, où elles ont été soumises à une concurrence moins sévère et où leur nombre minuscule a retardé les chances de variations favorables." L'existence des fossiles vivants, un terme qu'il inventa, continua à le déconcerter, et servit d'arme contre lui à ses nombreux critiqueurs."12
Darwin décrivait les êtres vivants en question comme des "formes faiblement organisées", c'est pourquoi il essaya de présenter la question sous un angle mineur en proposant une justification à leur survie. Pourtant ces fossiles sont identiques aux spécimens actuels. Ils présentent des caractéristiques excessivement développées. Leur survie ne peut s'expliquer avec les quelques arguments auxquels Darwin lui-même avait du mal à croire.
Quant aux successeurs de Darwin, le problème était beaucoup moins limité qu'il ne le fut du temps de Darwin. Le nombre de fossiles exhumés des nombreuses strates terrestres s'élevait à des millions. Leur quête de formes intermédiaires s'acheva avec la découverte de fossiles vivants. Des restes découverts dans des couches datant de millions d'années s'avérèrent identiques à leurs homologues vivants aujourd'hui. Ceci constitue l'un des coups majeurs assenés à la théorie de l'évolution précipitant la chute de celle-ci.
Darwin a certes pu être mal à l'aise avec l'existence des fossiles vivants, mais il ignorait alors l'étendue de leur diversité. Il ne savait pas non plus combien de ces spécimens fossilisés allaient émerger dans les années futures. Au lieu des formes intermédiaires escomptées par Darwin, ce sont d'innombrables spécimens de fossiles vivants qui furent exhumés, ce qui constitua une déception majeure pour lui et sa théorie.
A ce jour, des millions de fossiles vivants ont été découverts dans les strates de la terre. Certains trouvent un relais dans les médias, mais la grande majorité est consignée dans les coffres de divers musées. L'existence des fossiles vivants est, néanmoins, trop importante pour être étouffée en les cachant, parce que toutes les strates sédimentaires sondées dévoilent leur lot de spécimens de fossiles vivants. Ceux qui suivent la presse peuvent s'imaginer qu'il n'existe qu'un nombre très limité de fossiles vivants et qu'ils ne sont exhumés que rarement. Pourtant ce n'est pas du tout le cas. Ces fossiles - représentants antérieurs datant de millions d'années des formes de vie actuelles - sont découverts partout.
La stagnation dans les archives fossiles ne put être expliquée ni par Darwin ni par ceux qui lui succédèrent. A l'origine, les évolutionnistes soutenaient que par exemple des blattes de 350 millions d'années n'avaient pas changé parce qu'"elles étaient capables de s'adapter à tous les environnements et donc de se nourrir de toutes sortes de choses".
Les évolutionnistes n'ont jamais soulevé la question de savoir comment un insecte de 350 millions d'années a pu apparaître sous sa forme complète et complexe alors qu'il aurait dû être, selon les évolutionnistes, extrêmement primitif. Ils ignorèrent délibérément que quelle que soit sa capacité d'adaptation, cet insecte aurait dû se développer graduellement si l'on se réfère toujours à la théorie de l'évolution.
Des hypothèses similaires furent émises à propos d'autres formes de vie. Bien que le lézard tuatara de 200 millions d'années ne soit nullement différent de ses congénères actuels, ils continuent à défendre l'idée d'évolution progressive des êtres vivants. Mystérieusement, cette théorie ne s'est pas appliquée aux blattes qui se reproduisent rapidement ni aux archéobactéries capables de se reproduire en l'espace de quelques minutes, dont on a trouvé des èfossiles remontant à 3,5 milliards d'années ! C'est pourquoi les évolutionnistes attachent de l'importance à seulement quelques fossiles vivants. Elaborer des justifications non scientifiques, illogiques et incohérentes ne sort pas de l'ordinaire des évolutionnistes.
Si tous les fossiles vivants recevaient le même intérêt, il ne serait ni possible ni crédible de fabriquer une justification de l'existence de chacun d'entre eux.
Le magazine New Scientist faisait allusion au besoin des évolutionnistes à trouver des excuses invalides et l'inutilité de ces dernières :
La contrainte évolutionniste ne peut pas expliquer la persistance de tous les fossiles vivants. Tout ceci laisse une image assez compliquée… Rester général ou se spécialiser. Vivre vite ou lentement. Etre simple ou non. Etre au bon endroit au bon moment. Si tout le reste échoue, essayer de devenir une "super-espèce", béni d'une physiologie capable de résister à tout.13
Autrement dit, les darwinistes sont prêts à associer l'existence des fossiles vivants à n'importe quelle cause en dehors du fait de la création. Si toutes leurs explications ne tiennent pas la route, ils qualifieront alors un organisme particulier de "super-espèce" comme le mentionne clairement le New Scientist. L'unique chose à laquelle se refuseraient les darwinistes est de reconnaître que la forme de vie en question fut "créée" à l'origine.
Ce discours incohérent, derrière lequel Darwin s'était caché et que les darwinistes contemporains évitent généralement de mentionner, a été totalement démoli par le nombre extraordinaire de fossiles exhibant la stagnation. Il existe plus de "fossiles vivants" que de scénarios imaginables par les évolutionnistes. Ces fossiles sont le signe clair que l'évolution n'a jamais eu lieu.
D'après la théorie de l'évolution, un animal ressemblant à un loup contemporain plongea dans la mer un jour et en l'espace de 50 millions d'années, ses descendants se transformèrent en un gigantesque mammifère : la baleine.14 Si malgré l'absence de logique évidente, l'évolution est capable de transformer un mammifère terrestre en une baleine en un si bref laps de temps géologique, comment la salamandre a-t-elle pu rester identique pendant 160 millions d'années ? Aucun évolutionniste ne détient la réponse scientifique. Le problème ne se limite pas aux salamandres, mais à d'innombrables espèces et exemples de fossiles vivants aujourd'hui dont nous présenterons des spécimens dans les derniers chapitres de cet ouvrage. Un nombre conséquent de spécimens vient confirmer la stagnation dans les archives fossiles, comme l'affirme l'évolutionniste Niles Eldredge, paléontologue au Musée Américain d'histoire naturelle:
La stagnation est maintenant abondamment documentée comme le schéma paléontologique dominant dans l'histoire évolutionniste des espèces.15 Les spécimens mis à jour prouvent qu'il y a des millions d'années, un grand nombre d'êtres vivants disposaient des mêmes caractéristiques anatomiques que leurs congénères actuels. Près de 84% de la famille des insectes ayant vécu il y a 100 millions d'années existent aujourd'hui encore.16 La botaniste Margaret Helder cite les points de vue de Niles Elredge et décrit cette magnifique diversité des fossiles vivants de la sorte :
La caractérisation d'un organisme en tant que fossile vivant dépend du degré de similarité que l'observateur cherche entre la créature vivante et le fossile. Si la définition se fait en termes de catégories générales d'organisme, telles que les éponges en général ou les fougères en général, voire des groupes spécifiques de fougères, alors Niles Eldredge dit : "… avec une telle mesure, pratiquement tout est un fossile vivant."17 Que l'on se permette une définition aussi large ou non, il est prudent de conclure que les fossiles vivants ne sont pas rares.18
Sans aucun doute, l'apparition de ces formes de vie en grand nombre ne surprend pas l'individu rationnel. Si les hommes peuvent voir que Dieu a créé tous les êtres vivants, alors ils peuvent également comprendre les preuves manifestes issues des fossiles. A travers l'histoire de la vie, les organismes n'ont guère évolué, mais sont nés soudainement dotés des caractéristiques les plus complexes et parfaites.
Il est facile pour Dieu de créer un être vivant qui existe aujourd'hui encore avec les mêmes traits surprenants qu'il y a des millions d'années.
Ceux capables d'apprécier cette vérité voit dans l'existence des fossiles vivants l'une des preuves de la création de Dieu. La terre ne fournit pas la moindre preuve de l'évolution théorisée par Darwin, mais confirme plutôt le fait de la création. Niles Eldredge est l'un des évolutionnistes qui reconnaît la faille :
Une simple extrapolation ne fonctionne pas. Je m'en suis rendu compte dans les années 60, lorsque j'essayais en vain de documenter des exemples de changement directionnel lent et constant auquel nous croyions tous, depuis que Darwin nous avait dit que la sélection naturelle laisserait précisément une trace aussi révélatrice à mesure que nous collections nos fossiles. J'ai compris au lieu de cela qu'une fois que les espèces apparaissent dans les archives fossiles, elles n'ont pas tendance à changer beaucoup. Les espèces demeurent imperturbables, implacablement résistantes au hasard.19
Ces propos démontrent bien que les "preuves chez les fossiles", "le processus évolutionniste" et "le changement progressif ou ponctuel chez les êtres vivants" ne sont que des spéculations. A la vue de ces faits, personne ne peut avoir foi en la conjecture darwiniste - des affirmations spéculatives démolies plus en détails dans les chapitres suivants. Pierre-Paul Grassé, célèbre zoologiste français mentionne l'erreur de l'évolution :
"L'évolution en action" de J. Huxley et d'autres biologistes est simplement une observation de faits démographiques, de fluctuations locales de génotypes, de distributions géographiques. Souvent les espèces concernées sont restées pratiquement inchangées pendant des centaines de siècles ! La fluctuation en tant que résultat de circonstances avec des modifications préalables de génome, n'implique pas l'évolution, et nous en avons les preuves tangibles chez de nombreuses espèces panchroniques (c'est-à-dire des fossiles vivants identiques depuis des millions d'années)… 20
Il est essentiel que les gouvernements des pays où les spécimens de fossiles vivants sont exhumés leur accordent toute leur importance et les présentent au monde comme une preuve scientifique essentielle. Sinon, une conception peu soucieuse des faits scientifiques - à savoir la théorie de l'évolution - continuera à jouir d'un soutien aveugle au moyen de propagande et de tricherie. Les archives fossiles étayant l'histoire de la vie sur terre démontrent que les êtres vivants n'ont jamais évolué, mais qu'ils sont apparus soudainement avec toutes leurs caractéristiques complexes. En d'autres termes, les fossiles défendent le fait de la création.