Mariage avec Sainte Fatima Zahra (qu'Allah la salue)

L'une des événements de la première année de l'Hégire, qui est l'un des plus grands honneurs de la vie d'Imam Ali (que la paix soit sur lui), est la demande en mariage de Sainte Fatima Zahra (qu'Allah la salue) par lui, qui a été acceptée par le Prophète (que la paix et les bénédictions d'Allah soient sur lui) et Sainte Fatima Zahra (qu'Allah la salue). Puis, le mariage a été célébré au cours de la deuxième année de l'Hégire.

Fermeture des portes privées de la mosquée, sauf celle de la maison d'Imam Ali (paix soit sur lui)

Parmi les événements survenus la première année de l'Hégire, il y a eu la construction de maisons autour de la mosquée de Médine après l'achèvement de la mosquée. Chaque musulman habitait dans une maison, et chaque maison avait une porte privée donnant accès à la mosquée. Un ordre divin est venu de fermer toutes ces portes privées. La nouvelle a été transmise à la maison du Prophète (prières et paix soient sur lui et sur sa famille). Ce sujet est connu sous le nom de « Hadīth al-Sadd wal-Abwāb ».

Pacte de fraternité du Prophète swt avec Imam Ali psl

Combien d'années s'étaient écoulées depuis le début de l'Hégire ? La concentration de musulmans de cultures et de races diverses à Médine et la formation d'un nouveau gouvernement islamique sous une seule bannière nécessitaient un lien fort, unifié et universel entre les individus. C'est pourquoi le Prophète swt, conformément à sa mission de la part de Dieu, a entrepris l'acte d'établir la fraternité entre les individus. Il a fait frères deux à deux trois cents des émigrés et des auxiliaires. Cette importante tâche fut achevée, et soudain, Ali psl, les yeux pleins de larmes, dit au Messager de Dieu swt: « Vous avez fait frères vos compagnons, mais qu'en est-il de ma fraternité ? » À ce moment-là, le Prophète swt se tourna vers Ali psl et dit : « Tu es mon frère dans ce monde et dans l'au-delà. »

Et dans le récit de Jabir Ansari, il est dit que le Prophète swt a dit à Ali psl : « Tu es mon frère et je suis ton frère. Quiconque le nie, dites : Je suis le serviteur de Dieu et le frère du Messager de Dieu. Personne d'autre que toi ne peut faire une telle affirmation sans mentir. »