Martyre de l’imam al-Husayn (as)
Martyre de l’imam al-Husayn (as)
L’infanterie sous le commandement de Shammar b. Dhu l-Jawshan entoura al-Husayn (as), mais ils ne s’avancèrent pas et Shammar les encouragea à attaquer. [163] Shammar ordonna aux tireurs de tirer sur l’Imam al-Husayn (as). En raison de l’abondance de flèches, le corps de l’Imam était rempli de flèches. Husayn (as) se retira et ils s’alignèrent devant lui. [165] Les blessures et la fatigue avaient considérablement affaibli al-Husayn (as). Il s’est donc levé pour se reposer un moment. À ce moment-là, une pierre a frappé son front et du sang en a coulé. Dès que l’Imam (as) voulait essuyer le sang de son visage avec l’ourlet de sa chemise (ou un mouchoir ou un tissu), une flèche empoisonnée à trois pointes était lancée sur lui et atterrissait sur son cœur ou sa poitrine. L’Imam a dit : « Au nom d’Allah, au nom d’Allah, et au nom d’Allah, et sur la nation du Messager d’Allah, ô Allah, tu es témoin que ces gens tuent une personne qui n’a pas de fils d’un prophète autre que lui. » Puis il retira la flèche de l’arrière de sa tête et le sang coula comme une gouttière. Husayn (as) posa sa main sur la blessure et quand elle fut remplie de sang, il aspergea le sang vers le ciel. On dit que pas une goutte de sang n’est retournée au sol. Puis il frotta le sang sur sa tête et dit : « Je resterai ainsi jusqu’à ce que je rencontre mon ancêtre, le Prophète (psl). » L’Imam al-Husayn (as) n’a pas pu se battre et s’est arrêté. Il est écrit que quiconque viendrait à lui abandonnerait jusqu’à ce que Malik b. Nasir frappe al-Husayn (as) à la tête avec une épée à tel point que le chapeau de l’Imam (as) a été déchiré et l’épée l’a frappé à la tête et son chapeau a été rempli de sang. L’Imam le maudit et mit un autre chapeau.
Shammar ordonna à l’armée d’achever l’œuvre de l’Imam al-Husayn (as). Entre-temps, il a été attaqué de toutes parts. Un homme nommé Zar’a ibn Shariq Tamimi a frappé l’Imam avec une épée à l’épaule gauche. Sinan ibn Anas al-Nakha’i lui a également tiré une balle dans la gorge. Alors Salih b. Wahab al-Ju’fi (selon Sinan b. Anas al-Nakha’i) s’avança et frappa al-Husayn (a) sur le côté avec une lance à tel point qu’il tomba à terre avec sa joue droite du cheval. Sayyid b. Tawus croit que l’Imam al-Husayn (as) est tombé de l’encre au sol après avoir été abattu.
Shammar ordonna à l’armée d’achever l’œuvre de l’Imam al-Husayn (as). Entre-temps, il a été attaqué de toutes parts. Un homme nommé Zar’a ibn Shariq Tamimi a frappé l’Imam avec une épée à l’épaule gauche. Sinan ibn Anas al-Nakha’i lui a également tiré une balle dans la gorge. Alors Salih b. Wahab al-Ju’fi (selon Sinan b. Anas al-Nakha’i) s’avança et frappa al-Husayn (as) sur le côté avec une lance à tel point qu’il tomba à terre avec sa joue droite du cheval. Sayyid b. Tawus croit que l’Imam al-Husayn (as) est tombé de l’encre au sol après avoir été abattu.
L’Imam al-Baqir (as) rapporte que lorsque al-Husayn (as) a été martyrisé, il avait plus de trois cents blessures sur son corps, toutes devant son corps, parce qu’il n’a pas tourné le dos à l’ennemi. Dans un sermon prononcé après le martyre de l’Imam al-Husayn (as) à Kufa, l’Imam al-Sajjad (as) a interprété le meurtre de l’Imam al-Husayn (as) comme un meurtre. Certains auteurs ont également cité des preuves de ce meurtre à partir des phrases de maqtal, comme le fait que le corps de l’imam al-Husayn a été transformé en hérisson (hérisson) en raison de l’intensité de la fusillade. [181] Allameh Téhéran dans Lam’at al-Husayn croit que dans son célèbre poème, Nayyar Tabrizi a décrit la situation des différents êtres dans l’univers (chacun selon sa capacité et son talent) au moment du martyre de l’Imam al-Husayn (as). Voici quelques extraits de la poésie de Nir dans son divan (Nir Fire Temple).