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Le plan précédent de Saqifa et Abu Bakr

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Le plan précédent de Saqifa et Abu Bakr

 

Après la mort du Saint Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), un groupe se rassembla à Saqifa et nomma Abu Bakr au califat selon le plan précédent. Alors que le Saint Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avait nommé Ali calife des musulmans à Ghadir, et le verset 3 de la sourate Al-Ma’ida fut révélé à Ghadir après la nomination de l’Imam Ali (a.s.) selon la reconnaissance de nombreux érudits sunnites. ... Aujourd’hui, ceux qui ne croient pas ont désespéré de saboter votre religion. N’aie pas peur d’eux, et crains de moi. Aujourd’hui, Nous avons perfectionné votre religion pour vous et achevé Notre faveur sur vous, et j’ai choisi l’islam comme religion pour vous, et quiconque est affligé de la faim, sans inclination à pécher, Allah est sûrement Souvent-Pardonneur, Très Miséricordieux.

Abu Bakr commença à organiser son travail organisationnel, y compris en expulsant le représentant de Lady Fatima (paix sur elle) de Fadak et ainsi en s’emparant agressivement de Lady Fatima (paix sur elle) Fadak ; cette occupation agressive eut lieu dix jours après la mort du Prophète (paix soit sur lui). 

Lorsque la nouvelle parvint à Hazrat Fatima (paix sur elle) qu’Abu Bakr avait pris possession des terres de Fadak, il partit avec les femmes de Banu Hashim jusqu’à ce qu’il vienne à Abu Bakr et dit : « Ô Abu Bakr, veux-tu me prendre la terre que le Prophète (paix soit sur lui) m’a confiée et me l’a donnée d’une manière que les musulmans n’ont pas prise par la guerre ? N’avez-vous pas entendu le Prophète (paix et bénédictions d’Allaah sur lui) dire : « Le respect de chacun pour son enfant est préservé, et vous savez que le Prophète (paix et bénédictions d’Allaah soient sur lui) n’a rien laissé d’autre à son enfant. »

 

Quand Abu Bakr l’entendit et vit les femmes avec lui, Dawati lui demanda d’écrire Fadak pour lui, et 'Umar entra et dit : « Ô calife du Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) ! » Hazrat Fatima (paix sur elle) dit : Viens, j’amènerai des témoins. Il a dit : « Qui ? » Hazrat Fatima (paix soit sur lui) répondit : Ali (paix soit sur lui) et euh Imen. 'Umar a dit : « Le témoignage d’une femme non musulmane qui ne parle pas éloquemment n’est pas acceptable, et Ali rassemble aussi le feu autour de son propre pain (il voulait dire que puisque Fadak atteint Ali, son témoignage est dans son propre intérêt, donc il n’est pas acceptable).

Hazrat Zahra (paix soit sur elle) tandis que les gens autour d’eux disaient : « Veux-tu rejeter ce que le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) et prendre une décision précise à notre sujet, autre que celle appliquée à tous les musulmans ? » Ô peuple, écoutez le péché qu’ils commettent, alors Hazrat Fatima (paix soit sur elle) se tourna vers ces deux personnes et dit : Si je réclame l’argent qui est entre les mains des musulmans, me demanderez-vous des témoins ou à eux ?

Ils ont dit : Nous vous demandons des témoins, Hazrat Fatima (paix soit sur elle) a dit : Si tous les musulmans réclament ce qui est entre mes mains, voulez-vous un témoin de leur part ou de moi ?

À ce moment-là, Umar se mit en colère et dit : Ce Fadak est le butin des musulmans, et la terre leur appartient, et elle est entre les mains de Fatima (que la paix soit sur elle), et le grain de sa récolte mange. S’il témoigne de sa prétention que le Prophète (paix soit sur lui) lui a donnée Fadak parmi les musulmans, alors que c’est leur butin et leur droit, je voterai pour qu’il appartienne à Dame Fatima (Paix sur elle) !

 

L’un des secrets que l’on peut exprimer concernant les protestations de  Zahra (paix soit sur elle) est son adhésion à une règle devenue connue en jurisprudence comme la règle de Yad, avec cette adhésion, Zahra (paix soit sur elle) voulait faire comprendre aux gens que ceux d’entre vous qui prêtent allégeance à ces personnes ne sont pas au courant des questions islamiques, au point que les questions les plus simples comme la règle de Yad et les versets liés à l’héritage sont nécessaires pour eux Alors, avec cette description, comment ces gens injustes qui s’engagent dans des usurpations agressives et les non-érudits peuvent-ils avoir l’autorité du califat au nom du Prophète (paix et bénédictions d’Allah sur lui) pour gérer les affaires de la société islamique ?! Ainsi, avant qu’il ne soit trop tard, rassemblez-vous autour du cercle principal du centre de tutelle, c’est-à-dire la personne désignée par le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), son frère et tuteur, afin d’organiser la porte de la déviation de la société.

Amir al-Mu’minin Ali (paix soit sur lui) écrit en prouvant la propriété de Fatima (paix soit sur elle) sur Fadak (dans la quarante-cinquième lettre de Nahj al-Balagha à Uthman bin Hanif) :

« Oui, Kant fi Aydina Fadak min kul ma azalta al-sama shashat les âmes du peuple et eux les âmes des derniers et les bénédictions du règne d’Allah et nous faisons de Fadak et d’autres Fadak un idiot » Oui, de ce que le ciel a jeté une ombre sur nous, Fadak était entre nos mains, certains ont été avare et d’autres l’ont généreusement ignoré, et Allah est le meilleur juge. Que dois-je faire avec les Fadak et les non-Fadak ?

Dans ce passage, l’Imam fait référence à la propriété de Fatima (paix soit sur elle) sur Fadak et considère sa possession par le calife comme illégitime, indiquant l’avare et l’envie, et à la fin, il appelle Dieu à juger, ce qui est lui-même la preuve de l’oppression de Dame Fatima (paix soit sur elle) et de l’usurpation de Fadak.

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