L'ATLAS DE LA CREATION Volume 3 HARUN YAHYA Publié en août 2009 EDITIONS GLOBAL Talatpasa Mah. Emirgazi Caddesi Ibrahim Elmas Is Merkezi A Blok Kat 4 Okmeydani - Istanbul / Turquie Tél : (+90 212) 222 00 88 Imprimé en Turquie Secil Ofset 100. Yil Mah. MAS-SIT Matbaacilar Sitesi 4. Cadde No: 77 Bagcilar-Istanbul / Turquie Tél : (+90 212) 629 06 15 www.harunyahya.com/fr - www.harunyahya.fr contact@harunyahya.org INTRODUCTION Fossile est le nom donné aux restes ou aux traces d'une plante ou d'un animal préservé dans les strates géologiques ou dans certains cas dans de l'ambre depuis les temps préhistoriques. Les fossiles provenant des quatre coins du monde constituent une source d'information importante sur les organismes ayant existé sur terre depuis les temps les plus anciens remontant parfois jusqu'à des centaines de millions d'années. La recherche sur les fossiles nous permet d'apprendre des choses sur les plantes ou les animaux disparus, ainsi que sur les formes antérieures des espèces existant encore aujourd'hui. Grâce à ces données, nous savons quelles formes de vie existaient à telle ou telle époque, quelles étaient les caractéristiques de ces formes de vie et si elles ressemblaient aux espèces de nos jours.
Selon la théorie de l'évolution de Darwin, dont l'invalidité scientifique a été révélée, depuis, par des découvertes scientifiques, tous les êtres vivants descendent d'un seul ancêtre commun. Darwin et ses partisans prétendaient que des formes de vie très différentes s'étaient développées les unes des autres suite à de petits changements sur de très longues périodes de temps.
D'après les principes de cette théorie invalide, des coïncidences auraient donné naissance aux premières cellules vivantes. Ensuite, ces cellules nées du hasard se seraient combinées pour devenir, au terme de millions d'années, des invertébrés marins. Plus tard, le développement d'une colonne vertébrale leur aurait permis de devenir des poissons. Puis, ces poissons auraient quitté les eaux pour la terre ferme et pour se transformer ainsi en reptiles ; reptiles dont les oiseaux et les mammifères sont supposés descendre.
Si ces idées étaient justes, alors un grand nombre de formes "intermédiaires" montrant la transition entre les différentes espèces auraient dû exister autrefois, et tout au moins un certain nombre d'entre elles auraient dû se fossiliser. Si les reptiles étaient réellement devenus des oiseaux, il aurait bien fallu que des milliards de créatures mi-oiseaux, mi-reptiles aient existé autrefois. De la même manière, il aurait dû y avoir un grand nombre de formes de vie mi-vertébrés/mi-poissons et mi-poissons/mi-reptiles. Ces formes de vie intermédiaires auraient dû par ailleurs présenter des organes et des structures partiellement développées. En outre, si de telles espèces transitionnelles avaient réellement existé, alors leur nombre devrait atteindre les centaines de millions, voire de milliards et leurs vestiges fossilisés devraient être facilement disponibles à travers le monde.
Darwin qualifiait ces créatures hypothétiques de "formes intermédiaires". Il savait parfaitement que pour prouver sa théorie, il lui fallait absolument découvrir au moins les restes de quelques formes intermédiaires. Il expliquait pourquoi il devait y avoir une profusion de formes intermédiaires :
"Par la théorie de la sélection naturelle, toutes les espèces vivantes ont été connectées aux espèces-parents de chaque genre, par des différences pas plus importantes que celles que nous voyons entre les variétés domestiques et naturelles de la même espèce de nos jours…" 1
Darwin dit ici que les différences entre un "ancêtre" et son soi-disant "descendant" au cours du dit processus d'évolution devraient être aussi légères que les différences entre les variétés au sein d'une espèce vivante particulière (par exemple entre un épagneul de pure race et un bâtard).
Par conséquent, si l'évolution avait réellement eu lieu comme l'avance Darwin, elle aurait dû opérer par de très petits changements graduels.
Chez n'importe quel être vivant, les changements liés à la mutation sont relativement modestes. Afin que des transformations majeures (la transformation de pattes en ailes, de branchies en poumons ou de nageoires en pattes) puissent se produire, des millions de très petits changements successifs doivent s'accumuler, sur des millions d'années. Ce processus aurait dû nécessairement provoquer l'apparition de millions de formes intermédiaires transitionnelles.
Après la déclaration citée précédemment, Darwin aboutit à cette conclusion :
"… le nombre des variétés intermédiaires qui ont autrefois existé a dû être considérable."2
Darwin exprima le même point dans d'autres parties de son livre L'origine des espèces :
Il a dû certainement exister, si ma théorie est fondée, d'innombrables variétés intermédiaires reliant intimement les unes aux autres les espèces d'un même groupe… On ne pourrait trouver la preuve de leur existence passée que dans les restes fossiles... 3
Darwin était néanmoins très conscient du fait qu'aucun fossile de ces formes intermédiaires n'avait été encore mis au jour, ce qui représentait une difficulté majeur pour sa théorie. Dans un chapitre de son livre intitulé "Des difficultés sur la théorie", il écrivait :
Si les espèces dérivent d'autres espèces par des degrés insensibles, pourquoi ne rencontrons-nous pas d'innombrables formes de transition ? Pourquoi tout n'est-il pas dans la nature à l'état de confusion ? Pourquoi les espèces sont-elles si bien définies ?… Mais pourquoi ne trouvons-nous pas fréquemment dans la croûte terrestre les restes de ces innombrables formes de transition qui, d'après cette hypothèse, ont dû exister ?… Pourquoi donc chaque formation géologique, dans chacune des couches qui la composent, ne regorge-t-elle pas de formes intermédiaires ? La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c'est en cela, peut-être, que consiste l'objection la plus sérieuse qu'on puisse faire à ma théorie."4
La seule explication de Darwin face à ce dilemme majeur fut l'absence de preuves, l'insuffisance des vestiges fossiles découverts à l'époque. Il estimait qu'une fois les données fossiles examinées en détail, les liens intermédiaires manquant allaient inévitablement être découverts. Or, au cours des 150 années passées, la recherche a montré que les espoirs de Darwin et de ses successeurs étaient vides. Aucun fossile de forme intermédiaire n'a jamais été mis au jour.
Les milliers de musées et de collections privées à travers le monde comptent environ 100 millions de fossiles. Tous sont identifiables en tant qu'espèces de par leurs structures uniques et leurs différences anatomiques. Aucun vestige fossile de formes mi-poisson/mi-amphibien, ou mi-dinosaure/mi-oiseau, ou mi-singe/mi-homme si attendues par les évolutionnistes n'a jamais été découvert.
Le paléontologue Niles Eldredge et l'anthropologue Ian Tattershall, tous deux du Muséum Américain d'Histoire Naturelle, affirment que les archives fossiles permettent parfaitement de comprendre l'histoire de la vie et qu'elles ne défendent d'aucune manière la théorie de l'évolution :
Que des types individuels de fossiles restent visiblement les mêmes tout au long de leur présence dans les archives fossiles était connu par les paléontologues longtemps avant que Darwin ne publie son Origine. Darwin lui-même… prophétisa que les générations futures de paléontologues allaient combler ces fossés par des recherches diligentes… 120 années de recherches paléontologiques plus tard, il devint abondamment clair que les archives fossiles ne confirmeront pas cette partie des prédictions de Darwin et que le problème ne provient pas d'archives fossiles pauvres. Les données fossiles montrent simplement que cette prédiction est fausse.5
Comme le soulignent ces scientifiques évolutionnistes, l'histoire de la vie se dessine en effet dans les archives fossiles, mais il s'agit d'une histoire de la vie sans formes intermédiaires.
D'autres scientifiques s'accordent sur le fait que les formes intermédiaires n'existent pas. Par exemple, Rudolf A. Raff, directeur de l'Institut de Biologie Moléculaire de l'Université d'Indiana, et le chercheur de l'Université d'Indiana Thomas C. Kaufman ont déclaré :
Le manque de formes ancestrales ou intermédiaires entre les espèces fossiles n'est pas une spécificité bizarre de l'histoire des premiers métazoaires. Les fossés sont généraux et prévalent à travers les archives fossiles.6
Les archives fossiles ont même préservé les vestiges microscopiques de bactéries ayant vécu il y a des milliards d'années. Malgré tout, aucun fossile appartenant à une quelconque forme de vie transitionnelle fictive n'a jamais été découvert. Il existe des fossiles de milliers de formes de vie différentes, qu'il s'agisse de fourmis, de bactéries, d'oiseaux ou de plantes. Les fossiles de végétaux et animaux éteints ont été si parfaitement préservés qu'il est même possible de reconstituer leur structure, alors qu'ils n'existent plus aujourd'hui. L'absence d'un seul spécimen de forme intermédiaire, en dépit de la richesse des fossiles, indique l'invalidité de la théorie de l'évolution et non les lacunes des archives fossiles.
LE DILEMME DES EVOLUTIONNISTES: LES FORMES INTERMEDIAIRES Les évolutionnistes font appel aux archives fossiles pour confirmer leur théorie selon laquelle les espèces vivantes évoluèrent progressivement les unes des autres. Or, bien que 99% des fossiles aient été mis au jour et catalogués, ils ne disposent toujours pas de la moindre preuve en faveur de l'évolution. C'est pourquoi certains évolutionnistes ont tenté de fabriquer leurs propres fossiles et de les faire passer pour des preuves de leur théorie. Les contrefaçons de ces "vestiges" finirent néanmoins par être dévoilées ou assimilées à des erreurs d'interprétations.
Les fossiles dans les strates de la terre confirment le fait que toutes les formes de vie ont existé sous leur forme originale parfaite depuis leur création. Le professeur de paléontologie de l'Université de Glasgow, T. Neville George exprima ce point de vue il y a de nombreuses années :
Il est inutile de s'excuser plus longtemps par la pauvreté des archives fossiles. D'une certaine façon, elles sont devenues riches à un degré pratiquement ingérable, et la découverte dépasse l'intégration… Les archives fossiles continuent néanmoins à se composer principalement de fossés.7
Le paléontologue Niles Eldredge estime que Darwin avait tort d'accuser la nature insuffisante des archives fossiles de l'absence des formes intermédiaires :
Les sauts dans les archives et toutes les preuves montrent que les archives sont réelles : les fossés que nous voyons reflètent des événements réels dans l'histoire de la vie, et non l'objet d'archives fossiles pauvres.8
Nombreux sont ceux qui se trompent en voyant une corrélation positive entre les archives fossiles et la théorie de Darwin. Cette idée fausse est expliquée dans un article du magazine Science :
Un grand nombre de scientifiques bien formés externes à la biologie évolutionniste et la paléontologie ont malheureusement l'idée que les archives fossiles sont bien plus darwiniennes qu'elles ne le sont. Cela provient probablement de la sur-simplification inévitable dans les sources secondaires : les manuels de bas niveau, les articles semi-populaires et ainsi de suite. Il y a également peut-être une volonté de prendre ses désirs pour des réalités. Au cours des années après Darwin, ses défenseurs espéraient effectuer les progressions prévues. En général, ils n'ont encore rien trouvé, pourtant leur optimisme est resté inébranlable et de pures fantaisies s'immiscèrent dans les manuels.9
Le paléontologue américain S.M. Stanley décrit comment la vérité révélée par les archives fossiles est ignorée par la mentalité qui domine le monde scientifique, ce qui contribue également à l'ignorance des autres :
Les archives fossiles connues ne sont pas et n'ont jamais été en accord avec le gradualisme. Ce qui est remarquable est que, à travers une variété de circonstances historiques, même l'histoire de l'opposition a été obscurcie. … Comme l'historien biologique William Coleman a récemment écrit : "La majorité des paléontologues sentirent que leurs preuves contredisaient simplement l'accent de Darwin sur les changements minimes, lents et cumulés menant à la transformation des espèces."… Leur histoire a été dissimulée.10
LES FOSSILES CAMBRIENS ET LA CREATION DES ESPECES Les strates terrestres les plus anciennes dans lesquelles les fossiles de formes de vie complexe apparaissent sont celles de l'ère cambrienne, remontant à 543 à 490 millions d'années. Dans les strates plus vieilles que le cambrien, aucun fossile d'êtres vivants n'a été découvert, en dehors des organismes uni-cellulaires. Pendant le cambrien, toutefois, une variété de formes de vie distinctes fit soudainement son apparition. Plus de trente formes de vie (les oursins, les étoiles de mer, les trilobites, les escargots et les poissons) apparurent à la même période.
Par ailleurs, contrairement aux hypothèses de la théorie de l'évolution, toutes les formes de vie nées si spontanément présentent des structures physiques hautement complexes et non "rudimentaires".
Selon la théorie erronée de l'évolution, des formes de vie plus sophistiquées ont dû évoluer d'autres formes plus primitives. Pourtant, il n'existe pas de formes de vie complexes antérieures à celles du cambrien. Ces formes de vie cambriennes sont toutes apparues soudainement, sans prédécesseurs plus anciens. Le zoologue anglais Richard Dawkins, l'un des plus célèbres défenseurs de la théorie de l'évolution reconnaît que :
C'est comme si les créatures cambriennes étaient juste plantées là, sans la moindre histoire évolutionniste.11
Ce fait invalide irrévocablement la théorie de l'évolution. Parce que dans L'origine des espèces, Darwin écrivit :
Si des espèces nombreuses, appartenant aux mêmes genres ou aux mêmes familles, avaient réellement apparu tout à coup, ce fait anéantirait la théorie de l'évolution par la sélection naturelle.12
Le coup fatal appréhendé par Darwin vint de la période cambrienne, avec le début des archives fossiles.
De nouvelles formes de vie firent leur apparition de façon soudaine avec des structures complètes et parfaites au cours des ères qui succédèrent au cambrien. Des groupes de base tels que les poissons, les amphibiens, les reptiles, les oiseaux et les mammifères émergèrent sur terre à un moment unique et sous des formes parfaites. Ils ne comptent parmi eux aucune forme intermédiaire tant espérée par les évolutionnistes.
Ce fait révélé par les archives fossiles montre que les êtres vivants n'ont pas évolué d'un stade simple vers un stade plus complexe, que ce soit sur le plan fonctionnel ou physique, mais qu'ils ont été créés par Allah. L'évolutionniste Mark Czarnecki avoue que :
Un problème majeur dans la démonstration de la théorie a été les archives fossiles ; les empreintes des espèces disparues préservées dans les formations géologiques de la terre. Ces archives n'ont jamais révélé les traces des variantes intermédiaires hypothétiques de Darwin - au lieu de cela des espèces apparaissent… abruptement, et cette anomalie a alimenté l'argument créationniste selon lequel chaque espèce fut créée par Allah.13
LES TITRES VANTANT "LA DECOUVERTE DE CHAINON MANQUANT" SONT UNE FRAUDE NON-SCIENTIFIQUE S'il vous est déjà arrivé de lire un gros titre de journal annonçant la découverte d'un "chaînon manquant", alors vous pouvez être sûr que l'article n'a pas de valeur scientifique. Les scientifiques sérieux ont depuis longtemps abandonné l'idée des "chaînons manquants" et reconnu qu'il était non-scientifique de faire des conjectures évolutionnistes basées sur les fossiles.
Henry Gee, paléontologue et éditeur du journal scientifique Nature, écrit à ce sujet dans son livre datant de 1999 In search of deep time (A la recherche des temps profonds) :
Etant donné le bavardage omniprésent des journalistes et des auteurs de gros titres à propos de la recherche d'ancêtres et la découverte des chaînons manquants, il peut paraître surprenant que la plupart des paléontologues professionnels ne pensent pas à l'histoire de la vie en termes de scénarios ou de récits, et qu'ils rejetaient le mode narratif de l'histoire évolutionniste en raison de sa nature non-scientifique depuis plus de trente ans.14
Ces articles persistants à propos des chaînons manquants visent à donner l'impression qu'une simple découverte confirmera l'hypothèse qu'une espèce est issue d'une autre. Pourtant les fouilles entreprises depuis plus d'un siècle ont totalement ébranlé les attentes concernant la découverte de formes intermédiaires. L'éminent paléontologue A.S. Romer le reconnaissait déjà en 1963 :
Les chaînons sont manquants précisément là où nous les désirons le plus ardemment [pour indiquer la transition entre les espèces] et il n'est que trop probable que de nombreux chaînons continueront à être manquants.15
Les paléontologues ont ajouté à leur "liste des manquants" les chaînons manquants. Leurs propres aveux sont toutefois contraires à l'impression que certains médias souhaitent donner. Niles Eldredge et Ian Tattersall n'ont pas l'air d'attente positive des médias :
L'un des mythes les plus répandus de toute la paléontologie… est le mythe que les histoires évolutionnistes des êtres vivants sont essentiellement une question de découverte. … Mais si c'était réellement le cas, on pourrait s'attendre avec assurance à ce que l'histoire de l'évolution humaine devienne plus claire à mesure des découvertes de fossiles hominidés. Or si quelque chose se produit, c'est effectivement le contraire.16
Pour résumer, le chaînon manquant n'est pas une créature dans l'attente d'être découverte, mais une idée que les paléontologues ont depuis longtemps abandonnée et qui ne peut pas être soumise à une étude véritablement scientifique. Par conséquent, pourquoi est-ce le sujet d'une propagande aussi insistante ? La réponse à cette question se trouve dans la vision du monde épousée par la théorie de l'évolution. Les matérialistes et les athées tentent de garder en vie la théorie de Darwin depuis sa mise en avant au milieu du 19ème siècle. Bien que la théorie soit basée sur un scénario totalement imaginaire, les matérialistes saisirent l'opportunité pour en faire une hypothèse censément scientifique.
Mary Midgley, penseuse évolutionniste, s'exprime ainsi :
[la théorie de l'évolution] est, et ne peut s'empêcher d'être, également un puissant conte populaire à propos des origines humaines. … Des suggestions sur notre mode de fabrication et notre provenance vont nécessairement impliquer notre imagination, former nos opinions sur ce que nous sommes maintenant et affecter nos vies.17
A la fin de son manuel de biologie Life on earth (La vie sur terre), le biologiste darwiniste Edward O. Wilson fait cet aveu sur l'évolution :
Chaque génération a besoin de ses propres mythes de création, et ceux-là sont les nôtres.18
La propagande du "chaînon manquant" est, par conséquent, une duperie visant à maintenir en vie le mythe évolutionniste à propos des origines ainsi que son influence. La propagande évolutionniste est le moyen principal par lequel les matérialistes propagent leurs opinions. Le concept de "chaînon manquant" est la clé de la traçabilité de toutes les espèces vers des ancêtres communs selon Darwin. Plus les évolutionnistes parviennent à garder leur concept sous les feux de la rampe, plus ils peuvent espérer de soutien pour leurs opinions matérialistes. Leurs efforts visent précisément à distraire l'attention publique de l'effondrement du darwinisme en recourrant à des gros titres portant sur "les chaînons manquants".
En dépit des meilleurs efforts des médias évolutionnistes, les fossiles qu'ils décrivent ne sont pas des chaînons manquants et ne confirment nullement la théorie de l'évolution. Ces nouvelles constituent uniquement des spéculations non-scientifiques portant sur la découverte de fossiles d'espèces éteintes. Pourtant, cette propagande n'ôte rien au fait que les scientifiques évolutionnistes eux-mêmes admettent que le concept de chaînon manquant est dépourvu de fondement scientifique et qu'il n'y a pas de traces de formes intermédiaires dans les archives fossiles. Ces dernières révèlent clairement que l'évolution n'a jamais eu lieu.
Comme dans les deux précédents volumes de L'atlas de la création, ce troisième volume montrera les fossiles appartenant aux formes de vie ayant existé il y a des dizaines voire des centaines de millions d'années juxtaposées avec leurs homologues d'aujourd'hui. Vous pourrez vous rendre compte par vous-même de l'existence de nombreux "fossiles vivants". Ces exemples sont cependant rarement repris dans les publications évolutionnistes, qui préfèrent présenter des articles à propos des "chaînons manquants", produits d'une propagande hautement biaisée. Vous serez capables de discerner les efforts matérialistes visant à faire passer pour des canulars et des déclarations spéculatives pour des développements scientifiques.
Par ailleurs, vous découvrirez les preuves indiscutables de la création et en l'occurrence que les formes de vie existent depuis des millions d'années dans leur état complexe et parfait et qu'elles ont survécu sans la moindre altération dans leur structure ou dans leur apparence.
LA FORMULE ILLOGIQUE ET NON-SCIENTIFIQUE DE DARWIN Quand il est question du sujet de l'évolution, beaucoup s'imaginent que ce problème relève de la science et que le darwinisme n'est pas accessible aux individus moins savants que les scientifiques. Ils supposent qu'il est inutile de discuter le concept, pour ou contre. Les darwinistes s'évertuent à employer des termes latins et scientifiques peu parlants pour le public profane afin justement d'encourager cette idée. Ils se lancent dans des descriptions complexes, recourent à la démagogie et aux slogans creux dans le but de donner l'impression qu'ils discutent de questions hautement scientifiques.
Alors qu'en réalité, l'idée de base du darwinisme est totalement non-scientifique et sa faiblesse logique est évidente même pour un élève de l'école primaire. Selon le darwinisme, la première cellule se serait formée mystérieusement sur la terre primitive, dans un bassin d'eaux boueuses. De cette unique cellule, une série interminable de coïncidences aurait donné naissance à des animaux, des plantes, des êtres humains et des civilisations. Toute l'humanité, ainsi que le règne végétal et le monde animal sont donc supposés être l'œuvre de l'équation idéale entre une certaine quantité de boue, une longue période de temps et une abondance de coïncidences.
D'après les darwinistes vraisemblablement dépourvus d'un sens logique, ces matériaux inconscients auraient donné naissance à des êtres humains doués de raison et de conscience, des êtres capables de penser, d'aimer, d'éprouver de la compassion, de faire preuve de jugement, de créer des toiles et des statues, de composer des symphonies, d'écrire des romans, de construire des gratte-ciels, des réacteurs nucléaires, de faire des découvertes médicales, de se lancer dans la politique… Ils prétendent qu'avec suffisamment de temps, les lions, les tigres, les lapins, les cerfs, les éléphants, les chats, les chiens, les papillons, les mouches, les crocodiles et les oiseaux sont nés accidentellement d'une eau boueuse. Toute une gamme de fruits et de légumes, aux saveurs et aux odeurs uniques - les oranges, les fraises, les bananes, les pommes, le raisin, les tomates, les poivrons - et les fleurs à l'aspect incomparable seraient nés de la même boue.
Depuis l'époque de Darwin, d'innombrables journaux, magazines, films et programmes télévisés répètent le scénario évolutionniste selon lequel la vie serait née par hasard de la boue. En d'autres termes, si vous demandiez à un darwiniste : "Comment est née notre civilisation ?" ou "D'où provient une telle variété de formes de vie ?" ou "Comment est née l'humanité ?", sa réponse sera : "Les coïncidences donnèrent naissance à toutes ces choses, dans la boue, sur une longue période de temps."
Il faudrait être évidemment dépourvu de raison ou manquer d'aptitude à comprendre pour croire à un tel conte. Pourtant, cette théorie irrationnelle et illogique a ses adhérents depuis des années et continue à se propager sous couvert scientifique.
Les mensonges du darwinisme ont été démasqués La théorie de l'évolution avancée dans les conditions rudimentaires du 19ème siècle a été réfutée par les progrès de la science et de la technologie. Il est désormais reconnu que les idées de Darwin sont totalement irréalistes. La sélection naturelle et les mutations, supposés être les mécanismes moteurs du processus de l'évolution, n'ont pas les effets envisagés par les darwinistes. En d'autres termes, il leur est impossible de donner lieu à de nouvelles espèces.
Le dernier coup porté au darwinisme provient des archives fossiles. Darwin s'imaginait que les millions de formes de vie différentes étaient la descendance d'un seul ancêtre commun. Des traces dans les archives fossiles - document irréfutable de l'histoire naturelle - de ce supposé ancêtre primitif et des formes de vie en découlant doivent permettre de vérifier cette affirmation. Si tous les mammifères descendent des reptiles, comme le prétendent les évolutionnistes, alors les vestiges d'êtres mi-mammifères/mi-reptiles devraient être disponibles dans les archives fossiles. A ce jour, des millions de fossiles appartenant à une grande variété d'espèces ont été mis au jour au cours de fouilles, sans qu'aucun ne témoigne de la transition entre les espèces. Chaque fossile découvert montre systématiquement que tous les êtres vivants sont nés soudainement, avec des caractéristiques complètes. Il témoigne en somme que toutes les espèces végétales et animales sont le produit de la création.
Confrontés à ce fait, les évolutionnistes réagissent au moyen de mensonges. Ils n'hésitent donc pas à créer des contrefaçons de fossiles artificiels faisant honte à la paléontologie. Ils tentent de tromper le public en manipulant d'authentiques fossiles de formes de vie éteintes et en inventant une série de scénarios imaginaires.
Le plus célèbre scénario est celui de "l'évolution du cheval". Des fossiles appartenant à des espèces totalement différentes ayant vécu en Inde, en Amérique du Nord et du Sud et en Europe furent arrangés par ordre croissant de taille au gré de l'imagination des évolutionnistes. A ce jour, les chercheurs ont plus de 20 versions différentes de l'évolution équine.
Ils ne parviennent pas à se mettre d'accord sur l'arbre généalogique du cheval, si ce n'est sur le tout premier ancêtre du cheval : une créature proche du chien, l'Eohippus (ou Hyracotherium) ayant vécu durant l'ère éocène. Cependant, l'Eohippus, éteint depuis des millions d'années, s'avère être pratiquement identique au daman, qui n'a rien d'un cheval et n'a aucune parenté avec cette espèce.19
De plus, il a été établi que des races de chevaux vivant aujourd'hui ont été découvertes dans les mêmes strates rocheuses que l'Eohippus.20 Ce qui signifie que le cheval et son supposé ancêtre co-existèrent à la même époque et que le cheval n'a jamais subi de processus dit d'évolution.
L'invalidité de la "série équine" proposée par les évolutionnistes s'applique aux oiseaux, aux poissons, reptiles et mammifères, bref à tous les êtres vivants et à leurs supposés ancêtres et arbres généalogiques. Il a été déterminé, en effet, que toutes les espèces fossilisées présentées comme l'ancêtre d'autres espèces sont soit une forme de vie indépendante éteinte soit le résultat d'une manipulation des fossiles en question par les évolutionnistes.
Le jeu de satan a été révélé Le darwinisme a été démasqué comme le mensonge le plus étonnant et le plus répandu de l'histoire mondiale. Miraculeusement des millions d'individus, comme hypnotisés se sont laissés emporter par cette duperie et influencer par les idées illogiques du darwinisme. Le soutien apporté à la théorie de l'évolution et l'acceptation dont elle a bénéficié sont le résultat de tours joués à l'humanité par satan.
Récemment encore, personne n'avait le courage de dévoiler la ruse de satan ni de rendre les faits réels publics. Mais au cours de ce siècle, la réponse à ce mensonge a enfin été exposée en détails, de sorte que le public est désormais pleinement conscient de la tournure des événements. Avec la volonté d'Allah, l'effondrement du darwinisme est entré dans une phase de non-retour. C'est la raison fondamentale de la panique dans les rangs de l'empire global darwinien.
SPECIMENS DE FOSSILES D'ANIMAUX TERRESTRES CRANE DE TIGRE Age : 80 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Région de Gui Zhou, Chine
Les efforts évolutionnistes cherchant à représenter l'ancêtre supposé du tigre sont inutiles. Les fossiles prouvent que les tigres ne descendent d'aucune autre espèce, mais qu'ils ont toujours existé en tant que tigres. Le fossile ici représenté indique que les tigres ayant vécu il y a 80 millions d'années sont identiques à ceux qui vivent aujourd'hui, et réduit efficacement au silence les théories évolutionnistes stipulant le contraire.
Les êtres vivants ne sont pas le fruit de mutations ou du hasard. Allah Tout-Puissant, Seigneur au pouvoir créateur sublime, a créé toutes les formes de vie.
CRANE D'HYENE Age : 85 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Ville de Tai Lang, Gan Su, He Zheng, Chine
Les archives fossiles ne démontrent aucune trace d'êtres vivants ayant graduellement acquis leurs caractéristiques, ce qui réfute l'idée d'évolution. Par exemple, n'a jamais existé un fossile d'hyène avec un globe oculaire et l'autre non, avec une mâchoire à demi-développée ou avec des déformations et des défauts au niveau du crâne. Tous les fossiles de hyènes découverts sont unanimes : les hyènes ayant existé il y a des millions d'années s'avèrent être identiques à celles qui existent aujourd'hui. Cela implique évidemment que les êtres vivants n'ont jamais évolué mais qu'ils ont été créés.
Ces membres de la famille des ursidés sont des mammifères carnivores. Aujourd'hui les ours à lunettes survivent uniquement en Amérique du Sud. Comme les pandas, ils sont en voie d'extinction.
Ce fossile d'ours des Andes ayant préservé tous les détails du crâne révèle que cette espèce est demeurée identique depuis toujours. La structure des dents, les orbites, les mâchoires, etc. de cet animal ayant vécu il y a 85 millions d'années dénotent que les ours à lunettes n'ont connu aucun changement depuis des dizaines de millions d'années, autrement dit qu'ils n'ont jamais évolué. Ce fossile ainsi que les autres expliquent l'origine des êtres vivants par la création, et non par des coïncidences aveugles.
CRANE D'ANTILOPE Age : 83 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : He Zeng, Gan Su, Chine
Si les idées évolutionnistes étaient justes, alors il aurait dû exister autrefois une très étrange créature présentant les traits de l'antilope et d'autres formes de vie. Ces animaux, dont il n'y a pas la moindre trace dans les archives fossiles, devraient être immédiatement identifiables, du fait de la coexistence de caractéristiques propres à deux espèces différentes. Ils illustreraient ainsi la relation descendant-prédécesseur défendue par les évolutionnistes. Or, aucune de ces formes intermédiaires n'a encore été présentée dans les publications évolutionnistes riches en mythes et fictions en tous genres.
De tels fossiles n'existent pas parce que de telles formes de vie n'ont jamais existé non plus.
Comme cette antilope datant de 83 millions d'années, tous les êtres vivants ont survécu jusqu'à nos jours sous la même forme qu'au moment de leur première création. L'histoire naturelle réfute la théorie de l'évolution.
CRANE DE LOUP Age : 80 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Comté de Du Lan, Qing Hai, Chine
Les découvertes de fossiles prouvent les unes après les autres que la création est une vérité manifeste. Ce crâne de loup illustré ici est une forme de vie n'ayant jamais changé au cours de millions d'années. C'est la preuve qu'il fut créé et que le processus d'évolution n'a jamais eu lieu.
En revanche, les évolutionnistes ne disposent pas de preuve en faveur de leurs théories. Il est normal de s'attendre à ce qu'ils exposent quelques fossiles de formes intermédiaires afin de vérifier leurs idées. Or ils ne le peuvent et ne le pourront jamais. C'est pourquoi, depuis des années, ils se justifient en faisant passer des illusions pour des réalités.
Le temps est enfin venu pour les darwinistes de mettre un terme à leurs rêveries et de voir la vérité en face : des millions de fossiles sont la preuve de la création.
CRANE DE COYOTE Age : 5 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Chine
Comme cela a déjà été clarifié, la théorie de l'évolution avance que des formes de vie imaginaires sont nées dans les mers et par voie de changements progressifs, sont devenues des reptiles. D'après ce même scénario, les reptiles seraient les ancêtres non seulement des oiseaux, mais aussi des mammifères. Or l'hypothèse selon laquelle les reptiles sont devenus des mammifères n'a aucune base scientifique, comme en témoignent les archives fossiles. En dépit de toutes les fouilles entreprises à ce jour, aucune forme intermédiaire reliant les reptiles aux mammifères n'a jamais été découverte. Les formes transitionnelles ne seront certainement pas découvertes dans le futur pour la simple raison qu'elles n'ont jamais existé.
C'est pourquoi l'évolutionniste Roger Lewin fut forcé d'écrire que "La transition vers le premier mammifère… reste une énigme." (Roger Lewin, Bones of mammals'ancestors fleshed out, Science, vol. 212, 26 juin 1981, p. 1492)
CRANE DE LAPIN Age : 33 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : Formation White River, Comté de Converse, Wyoming, Etats-Unis
Si les théories darwinistes voyaient juste, alors des fossiles de lapins étranges avec un crâne partiellement développé, des moitiés d'oreilles et de mâchoires auraient été découverts au cours des fouilles effectuées. Or pas le moindre fossile de lapin semi-développé n'a été trouvé. Tous les fossiles de lapins sont complètement formés et présentent des caractéristiques parfaites, à l'image de ce fossile de 33 millions d'années ici représenté. Ceci étant, les darwinistes n'ont plus besoin de persister dans leur erreur, car les fossiles ne jouent absolument pas en leur faveur.
La science vient défendre la création et non l'évolution.
CRANE DE RENARD Age : 5 à 1,8 millions d'années
Période : Pliocène
Localisation : Asie
Le renard est une espèce mammifère appartenant à la famille des canidés. Le crâne de renard ici représenté date d'environ 5 millions d'années et présente les mêmes traits que les renards de nos jours. Chaque découverte de fossile démolit les croyances évolutionnistes. L'incompatibilité entre les fossiles déterrés et leurs contes oblige les évolutionnistes à inventer de nouveaux scénarios, qui sont cependant immédiatement réfutées. Les évolutionnistes persistent dans leur lutte en vain.
CRANE DE RATON-LAVEUR Age : 12 à 7 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Chine
Avec ses dents, son crâne et sa structure maxillaire, le fossile de raton-laveur ici représenté est identique à ses homologues présents. Cela démontre une fois de plus que les êtres vivants sont restés dans le même état qu'au moment de leur première apparition dans les archives fossiles.
En d'autres termes, ils n'ont jamais évolué. Les fossiles vivants démontrent que les formes de vie n'ont pas évolué mais qu'elles furent créées.
Les espèces n'ont pas acquis leurs qualités physiques présentes après avoir subi un processus aléatoire de transformation, comme veulent nous le faire croire les évolutionnistes. Allah Tout-Puissant les créa dans la perfection. Leur existence sur terre se fit sous la même forme qu'au moment de leur création première.
CRANE DE CROCODILER Age : 100 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Guangdong, Chine
La structure maxillaire de ce bébé crocodile de 100 millions d'années découvert dans la région de Guangdong en Chine a été très bien préservée. Ce crâne fossilisé ne présente aucune différence avec celui des crocodiles vivant aujourd'hui.
Si une forme de vie n'a pas subi le moindre changement au cours des cent derniers millions d'années, alors il est impossible de défendre le mythe de l'évolution des êtres vivants.
CRANE DE HYENE Age : 23 à 5 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Gan Su, Chine
Ce fossile de crâne d'hyène datant de 23 à 5 millions d'années ici en photo est l'une des preuves que toutes les formes de vie sont nées sur terre de façon soudaine et indépendante. Ce fossile d'hyène bien préservé est identique aux spécimens d'hyènes vivant aujourd'hui qu'il s'agisse de la mâchoire, des orbites, des incisives ou des autres détails anatomiques. Les évolutionnistes désespèrent face à de tels fossiles et chaque nouvelle découverte contribue à leur désespoir.
CRANE DE ZEBRE Age : 70 à 40 millions d'années
Période : Crétacé - Eocène
Localisation : Quang Xi, Chine
Les fossiles de formes intermédiaires recherchés par les évolutionnistes n'ont jamais été mis au jour. Pourtant chaque jour apporte son lot de nouveaux fossiles révélant le fait de la création, comme par exemple ce crâne de zèbre fossilisé. Sa structure dentaire et maxillaire s'avère identique à celle des zèbres d'aujourd'hui, ce qui confirme une fois de plus que la théorie de l'évolution est un grave mensonge et qu'Allah est l'auteur de tous les êtres vivants.
CRANE D'ANTILOPE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Da Quing, Hei Longjiang, Chine
Le fossile datant de 50 millions d'années sur la photographie est la preuve que, comme tous les autres êtres vivants, les antilopes n'ont pas subi d'évolution. Si les évolutionnistes disaient vrai, alors les antilopes auraient dû présenter des traits très différents au cours des 50 derniers millions d'années et être très différentes des antilopes que nous pouvons voir aujourd'hui. Mais il s'avère que les antilopes aujourd'hui ont exactement les mêmes caractéristiques que celles qu'elles avaient au moment de leur première création - ce qui réfute l'idée d'évolution.
CRANE DE TIGRE Age : 90 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Si Chuan, Gan Su, Chine
Les darwinistes sont totalement confus quant à l'origine des mammifères. Les évolutionnistes ne sont pas capables d'en apporter la moindre preuve ni d'expliquer les liens généalogiques entre les animaux mammifères. Les déclarations de George Gaylord Simpson, l'un des principaux évolutionnistes du 20ème siècle, témoignent du problème rencontré par la théorie de l'évolution :
Cela est vrai pour les trente-deux ordres de mammifères… Les membres les plus anciens et les plus primitifs connus de chaque ordre présentent déjà les caractères ordinaux de base, et en aucun cas il n'existe une séquence relativement continue d'un ordre à un autre ordre connu. Dans la plupart des cas, la rupture est si nette et le fossé si large que l'origine de l'ordre est spéculative et très discutée… (George G. Simpson, Tempo and Mode in Evolution, New York : Columbia University Press, 1955, pp. 105, 107)
CRANE D'ANTILOPE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Da Qing, Hei Iong Jiang, Chine
Les antilopes, membres de la famille des bovidés, font partie des animaux les plus rapides sur terre. Il en existe 90 espèces. Selon les archives fossiles, les animaux de cette classe sont nés soudainement. Par ailleurs, les mammifères apparus de la sorte sont très différents les uns des autres : les chauves-souris, les chevaux, les rats, et les baleines ont tous fait leur apparition au cours de la même période géologique.
Aucune gymnastique imaginative ne peut établir de lien d'évolution entre ces animaux. Pourtant, à travers la théorie de l'évolution, "les experts" tentent cet exploit impossible. Ils cherchent ainsi à tromper le public en faisant passer des non-sens pour des faits scientifiques.
CRANE DE TIGRE Age : 89 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Yun Nan, Chine
Les darwinistes pointent vers des fossiles d'espèces de reptiles disparues pour défendre l'idée que les mammifères descendent des reptiles. Le fait que ces créatures aient disparu leur permet de spéculer autant qu'ils le souhaitent. Toutefois, les recherches scientifiques ont révélé l'invalidité de ces thèses. L'étude du cerveau de certains de ces reptiles a ainsi mené à la conclusion que ces formes de vie ne possédaient pas de caractéristiques mammifères et qu'elles étaient tout à fait semblable aux reptiles.
Les archives fossiles indiquent par ailleurs que les différentes espèces mammifères sont apparues avec les mêmes traits que ceux qu'elles possèdent encore aujourd'hui. Ce fossile de tigre datant de près de 90 millions d'années ici représenté est identique aux tigres d'aujourd'hui, ce qui est bien la preuve que l'évolution n'a jamais eu lieu.
CRANE DE TIGRE Age : 89 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Gan Su, Région de He Zheng, Chine
Les soi-disant "reptiles semblables aux mammifères" que les évolutionnistes présentent comme les prédécesseurs supposés des mammifères sont des formes de vie distinctes désormais disparues. Ils n'ont pas d'ancêtre commun avec les mammifères et ne se sont pas transformés en d'autres formes de vie.
L'évolutionniste George Gaylord Simpson reconnaît que les mammifères font une apparition subite dans les archives fossiles :
L'évènement le plus déconcertant de l'histoire de la vie sur terre est le changement du mésozoïque, l'ère des reptiles vers l'ère des mammifères.
C'est comme si un rideau était descendu sur une scène où les rôles principaux étaient tenus par les reptiles, en particulier les dinosaures, en grand nombre et d'une variété étonnante, et qu'il était immédiatement relevé pour révéler le même décor avec une distribution totalement nouvelle, une distribution où les dinosaures n'apparaissent pas du tout, où les autres reptiles sont surnuméraires et où tous les rôles principaux sont joués par des mammifères dont on trouve à peine les traces dans les actes précédents. (George Gaylord Simpson, Life before man, New York: Time-Life Books, 1972, p. 42)
CRANE DE TIGRE Age : 89 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Gan Su, He Zheng, Chine
Les mammifères apparaissent toujours en tant que mammifères dans les archives fossiles et les reptiles apparaissent toujours en tant que reptiles.
Aucune découverte concrète n'indique qu'une forme de vie s'est transformée en une autre forme de vie différente. Les évolutionnistes peuvent rêver comme ils veulent mais les fossiles ne concrétiseront jamais leurs rêves. Comme en témoigne ce fossile de tigre datant de 90 millions d'années, les êtres vivants n'ont pas évolué. Toutes les choses, animées ou non, sont l'œuvre de Allah, Seigneur de l'univers.
CRANE DE LOUP Age : 120 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Qing Hai, Chine
Les revendications des évolutionnistes concernant l'origine des mammifères s'assimilent à un grand nombre de scénarios irrationnels et illogiques, qui, dénués d'assise scientifique, sont matière à propagande. Ils peuvent bien évidemment inventer et utiliser ces hypothèses à loisir, mais il est faux de les présenter sous un angle scientifique. Selon les termes du biologiste Pierre Paul Grassé, "il n'y pas de loi contre les rêveries, mais la science ne doit pas s'y laisser aller". (Pierre Paul Grassé, Evolution of living organisms, New York: Academic Press, 1977, p. 103)
CRANE DE HYENE Age : 80 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Gui Zhou, Chine
Les évolutionnistes postérieurs à Darwin qui disaient "je ne peux pas concevoir qu'un quelconque reptile existant soit transformé en mammifère" (Francis Darwin, The life and letters of Charles Darwin, vol. II, New York: D. Appleton and Co., 1888) ont également été incapables de fournir une explication scientifique convaincante à propos de l'origine des mammifères, en dépit de tous les progrès scientifiques et technologiques.
Roger Lewin admet que "la transition vers le premier mammifère… reste une énigme". (Roger Lewin, Bones of mammals' ancestors fleshed out, Science, vol. 212, 26 juin 1981, p. 1492)
Les fossiles comme ce spécimen appartenant à une hyène datant de 80 millions d'années condamnent les darwinistes à leur position désespérée actuelle.
CRANE DE HYENE Age : 9,5 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Shan Dong, ville Zi Bo, Chine
La principale difficulté à laquelle sont confrontés les darwinistes dans leur explication de l'origine des mammifères est l'immense diversité de ce groupe. Aucune donnée ne vient étayer les liens généalogiques qu'ils ont imaginés entre les mammifères alors que les biologistes les divisent en différents sous-groupes.
Le zoologue évolutionniste Eric Lombard reconnaît par exemple que : "ceux qui recherchent des informations spécifiques utiles à la construction de phylogénies des taxons mammifères seront déçus." (R. Eric Lombard, Review of evolutionary principles of the mammalian middle ear, Gerald Fischer, Evolution, vol. 33, décembre 1979, p. 1230)
CRANE DE BELETTE Age : 60 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Shan Dong, Chine
Les publications évolutionnistes véhiculent nombre d'histoires agrémentées d'une abondante terminologie scientifique à propos de la transformation des reptiles en mammifères. Ces histoires ne proposent malheureusement pas d'explications scientifiques et rationnelles permettant de comprendre comment des reptiles à sang froid ont pu créer leur propre chaleur corporelle afin de devenir des mammifères à sang chaud ni comment ils ont pu échanger leurs écailles pour de la fourrure, ni comment ils ont réussi à produire du lait malgré l'absence des glandes nécessaires.
Les évolutionnistes ne disposent tout simplement pas de réponse à ces questions. Existe-t-il des fossiles démontrant de tels changements ? Cette question adressée à un darwiniste se soldera par un profond silence. Malgré tous leurs efforts, les évolutionnistes n'ont jamais découvert de fossile du genre.
CRANE DE GLOUTON Age : 60 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Gan Su, Chine
Les scénarios évolutionnistes sur l'origine des mammifères sont un produit de leur imagination. Il n'existe pas la moindre preuve de ce qu'ils avancent puisqu'il est scientifiquement impossible que des reptiles deviennent des mammifères. Comme ce fossile datant de 60 millions d'années l'indique, aucun mammifère doté de caractéristiques uniques n'est né d'un ancêtre commun. Toutes les espèces mammifères n'ont jamais subi de transformation au cours de leur temps de vie sur terre.
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CRANE DE TIGRE L'ATLAS DE LA CREATION Volume 3 CRANE DE TIGRE Age : 80 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Gan Su, Chine
Dans son livre Shattering the myths of darwinism, Richard Milton décrit le manque de preuve scientifique des darwinistes malgré leurs efforts : "Il est impossible pour un individu authentiquement objectif de dire : 'Voici la preuve scientifique concluante que j'ai cherchée'." (Richard Milton, Shattering the myths of Darwinism, p. 14)
Quiconque cherche une preuve solide de la théorie de l'évolution s'en reviendra les mains vides. La plus profonde déception naît des archives fossiles, car en dépit de 150 années de recherche, aucun spécimen allant dans le sens de la théorie de l'évolution n'a été découvert. Tous les fossiles témoignent unanimement non pas de l'évolution mais de la création.
CRANE DE BELETTE Age : 23 à 5 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Chine
Les belettes, animaux de la famille des mustélidés, sont une autre forme de vie qui par la nature immuable de leurs traits depuis des millions d'années réfutent le concept d'évolution.
Comme toutes les autres branches de la science, la recherche géologique pointe vers le fait de la création au détriment de la théorie de l'évolution. Edmund J. Ambrose, professeur de biologie cellulaire à l'Université de Londres, remarque cette situation :
Au stade présent des recherches géologiques, nous devons admettre que rien dans les données géologiques n'est contraire à la perspective des créationnistes conservateurs, qu'Allah créa chaque espèce séparément… (Edmund J.Ambrose, The nature and origin of the biological world, John Wiley&Sons, 1982, p. 164)
CRANE DE CERF AXIS Age : 78 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Xin Jiang, Chine
L'idée que la vie est le produit d'un processus aléatoire sans but nous vient d'une ineptie du 19ème siècle. Toutes les découvertes faites à date, notamment les archives fossiles s'accordent sur le fait que l'évolution est un non-sens. Le processus sorti de l'imagination des évolutionnistes n'a été confirmé par les fossiles.
Ce spécimen de cerf axis datant de 78 millions d'années témoigne de l'immuabilité des êtres vivants depuis des millions d'années. N'est-ce pas là la preuve concrète de l'inexistence de l'évolution ?
CRANE DE BINTURONG FEMELLE Age : 88 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Sud du Yunnan, Chine
Ces créatures appartiennent à la famille des viverridés et à l'ordre des carnivores. Les évolutionnistes sont incapables d'expliquer les origines du binturong et des autres êtres vivants d'ailleurs. Ces animaux ne disposent d'aucun prédécesseur connu dans les archives fossiles. En outre, rien dans les fossiles ne laisse imaginer qu'ils sont apparus graduellement.
Le fossile de 88 millions d'années ici représenté indique que ces animaux présentent les mêmes caractéristiques depuis leur apparition. Ils n'ont donc jamais évolué au cours de millions d'années parce qu'ils ont été créés.
CRANE DE SANGLIER Age : 87 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Yunnan, Chine
Il existe trois espèces différentes de sangliers, membres de la famille des suidés. Les sangliers ont toujours existé en tant que cochons sauvages et ne descendent nullement d'autres espèces. Et ils ne sont pas transformés en une autre espèce "ultérieure" non plus.
Les découvertes fossiles le prouvent. La démagogie et la propagande évolutionniste ne sont pas de poids face au fossile ici représenté appartenant à un sanglier de 88 millions d'années. Ce fossile s'avère totalement identique dans ses traits à ses homologues d'aujourd'hui. Les évolutionnistes se trompent eux-mêmes, mais ils ne peuvent plus continuer à égarer des individus logiques et rationnels.
CRANE DE GLOUTON Age : 23 à 5 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Chine
Depuis 150 ans, la quête d'un fossile de forme intermédiaire des darwinistes s'est avérée vaine. Les évolutionnistes ne disposent d'aucun élément pouvant faire office de preuve. L'anthropologue Jeffrey H.Schwartz affirme que les archives fossiles jouent en défaveur du darwinisme :
… Au lieu de combler les fossés dans les archives fossiles avec de prétendus chaînons manquants, la plupart des paléontologues se retrouvent face à une situation où il n'y a que des fossés dans les archives fossiles sans preuve d'intermédiaires transformationnels entre les espèces fossiles documentées. (Jeffrey H. Schwartz, Sudden origins, 1999, p. 89)
CRANE D'ANTILOPE Age : 83 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : He Zheng, Gan Su, Chine
Les archives fossiles portent un coup fatal au darwinisme, mais les évolutionnistes refusent de rectifier leur position. Au lieu de se concentrer sur leurs découvertes fossiles, ils préfèrent élaborer des scénarios imaginaires et faire de la démagogie dans un souci de propagande.
Même si les évolutionnistes fuient les faits, des millions de fossiles comme ce crâne d'antilope de 83 millions d'années proclament que l'évolution ne s'est jamais produite.
CRANE DE RENARD DU TIBET Age : 86 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Comté de Du Lan, Qing Hai, Chine
Le renard du Tibet, parfois appelé renard des sables du Tibet ou renard tibétain, est carnivore et se nourrit d'oiseaux coureurs, de lapins et d'autres rongeurs.
Les archives fossiles prouvent que les renards ont toujours existé tels qu'ils sont et qu'ils ne descendent pas d'une autre forme de vie. Le fossile de crâne de renard remontant à 86 millions d'années ici représenté, en plus d'être identique aux renards d'aujourd'hui, constitue une preuve mettant un terme aux fables évolutionnistes. Aucun processus dit d'évolution n'a jamais eu lieu et les hypothèses évolutionnistes ne sont pas étayées par des preuves scientifiques concordantes.
CRANE DE RENARD ROUX Age : 89 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Chine
Le fossile de renard roux datant de 89 millions d'années ici représenté démontre que ces animaux n'ont connu aucune altération en l'espace de dizaines de millions d'années. Si les idées darwinistes étaient justes, alors on devrait pouvoir trouver un grand nombre de fossiles d'animaux proches des renards, ne présentant pas tout à fait les mêmes caractéristiques.
Ces fossiles auraient dû montrer des différences au niveau des pattes, du squelette, des mâchoires ou des yeux par rapport aux renards contemporains. Or, les fossiles indiquent tout le contraire : il n'y a pas la moindre différence entre les renards ayant existé il y a des dizaines de millions d'années et ceux d'aujourd'hui. Dans ces circonstances, il n'est donc pas possible d'envisager une évolution chez les renards. Comme tous les autres êtres vivants, les renards sont la création d'Allah Tout-Puissant.
CRANE DE PANDA Age : 96 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Xi Zang, Chine
Les pandas de la famille des ailuridés ne se nourrissent que de pousses de bambous. Ils vivent dans les régions occidentales de la Chine.
Les pandas ayant existé il y a 96 millions d'années présentent les mêmes traits que les pandas d'aujourd'hui. Ce fait prouvé par les fossiles est à la portée de tous. Pourtant les darwinistes continuent à fermer les yeux. Les êtres vivants ne sont pas nés d'un processus d'évolution. Tout est l'œuvre d'Allah.
CRANE DE LOUP GRIS Age : 65 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nord Est de Ji Lin, Chine
Ce fossile de loup gris datant de 65 millions d'années contribue au désespoir des darwinistes. Ces derniers sont incapables de proposer la moindre preuve du processus d'évolution qui, selon eux, serait à l'origine des êtres vivants. Les fossiles prouvent en effet que les loups n'ont pas évolué mais qu'ils furent créés.
CRANE DE PEKAN (MARTRE PECHEUSE) Age : 78 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : He Zheng, Gan Su, Chine
Ces animaux de la famille des mustélidés (martres) ont un habitat qui s'étend de l'Europe jusqu'à la Chine. Ils attaquent la volaille et le gibier à plumes.
Il n'existe pas de différences entres les pékans ayant existé il y a 78 millions d'années et ceux qui vivent aujourd'hui. Si l'idéologie évolutionniste était juste, alors les pékans auraient dû subir des changements considérables au cours des dizaines de millions d'années écoulées et ils auraient dû se transformer en d'autres formes de vie. Or, rien de tel ne s'est produit. Le caractère immuable des êtres vivants depuis des millions d'années remet totalement en question la théorie de l'évolution.
CRANE D'HYENE Age : 90 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Si Chuan, Gan Su, Chine
La théorie de l'évolution qui a reposé pendant des années sur de fausses formes intermédiaires et des spéculations à propos des fossiles de formes de vie disparues connaît ses derniers jours. Les fossiles, preuve accablante de la création si soigneusement dissimulée par les darwinistes, sont désormais à la portée du regard du public. Les mensonges évolutionnistes à propos de l'histoire naturelle sont enfin dévoilés.
Ce crâne d'hyène fossilisé depuis 90 millions d'années est une autre découverte. Quiconque reconnaît la similitude exacte entre ce fossile et les spécimens d'aujourd'hui ne peut continuer à croire plus longtemps au mythe de l'évolution.
CRANE DE GLOUTON Age : 90 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Zhou Kou Dian, Pékin, Chine
Les darwinistes, pour la plupart, ont suivi des carrières académiques, lu des dizaines de livres, effectué de nombreuses recherches et publié plus d'un rapport scientifique. Cela est d'autant plus étonnant qu'ils restent aveugles à la plus évidente des vérités. Ils ne peuvent admettre par exemple que les fossiles vivants (les organismes qui n'ont jamais subi le moindre changement au cours de millions d'années) réfutent explicitement le darwinisme. Ils ne reconnaissent pas non plus l'inexistence des "fossiles de formes intermédiaires" dont ils ont tant besoin pour confirmer leurs théories.
En dépit des réticences darwinistes face à la vérité, d'innombrables fossiles tels que ce crâne datant de 90 millions d'années indiquent que l'évolution ne s'est jamais produite.
CROCODILE Age : 65 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Shang Dong, Chine
Les darwinistes prétendent que les formes de vie marines sont les ancêtres des reptiles. C'est ainsi que des poissons privés d'eau se seraient trouvés obligés de sauter sur la terre et de devenir des reptiles. Or, aucun fossile de créature mi-poisson/mi-reptile n'a été découvert pour défendre ce scénario. Parmi les centaines de milliers de fossiles disponibles à ce jour, les poissons apparaissent toujours distinctement en tant que poissons et les reptiles en tant que reptiles. Chaque fossile découvert est identique à son homologue vivant aujourd'hui ou alors il correspond à une espèce ayant existé autrefois mais qui s'est éteinte.
Le fossile de crocodile datant de 65 millions d'années ici représenté illustre bien que les crocodiles ont toujours existé en tant que crocodiles.
GRENOUILLE Age : 40 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Shang Dong, Chine
Le scénario évolutionniste veut que les poissons, les descendants des invertébrés, se soient transformés en amphibiens capables de vivre sur la terre ferme. Il n'existe cependant pas la preuve de ce conte évolutionniste. Pas un seul fossile ne présente à la fois les caractéristiques des poissons et des amphibiens. Au contraire, tous les fossiles actuellement disponibles suggèrent que les poissons ont toujours été des poissons et que les amphibiens sont depuis toujours des amphibiens.
Ce fossile de grenouille remontant à 40 millions d'années prouve que les grenouilles n'ont connu aucune transformation ni évolution.
LARVE DE SALAMANDRE Age : 290 millions d'années
Période : Permien
Localisation : Rheinpfalz, Allemagne
Malgré l'absence de preuves, les évolutionnistes affirment que les poissons sont les ancêtres des amphibiens dont la salamandre est spécimen.
Il existe trois sortes différentes de poissons que les darwinistes estiment être les prédécesseurs des amphibiens. Le cœlacanthe, célèbre fossile vivant, est l'un d'entre eux. Avec la capture d'un spécimen vivant dans l'Océan indien en 1938, on comprit enfin que les spéculations évolutionnistes à propos de cette créature étaient totalement erronées.
Le second groupe de poissons envisagé est celui de la classe des rhipidistiens qui, comme le cœlacanthe, présentent une peau épaisse et des os sur leurs nageoires. Se basant sur ces différences structurelles, les évolutionnistes estiment que ses appendices se sont développés en pattes. Or, ces structures ne présentent pas la moindre ressemblance avec les pattes avant et arrière des animaux terrestres.
Le troisième candidat des évolutionnistes pour le rôle de l'ancêtre amphibien est le dipneuste. Ce poisson a la capacité de respirer par ses branchies et de remonter à la surface pour respirer l'air. Il faut toutefois souligne que les poumons du dipneuste n'ont rien à voir avec ceux des formes de vie terrestres. En outre, le squelette du poisson n'avoisine absolument pas celui des amphibiens.
Quelle que soit l'espèce de poisson choisie par les évolutionnistes pour représenter les ancêtres des amphibiens, un nombre considérable de changements serait nécessaire pour que le poisson soit capable de se transformer en amphibien. Il devrait donc exister autant de formes intermédiaires. On devrait pouvoir trouver des créatures étranges avec des pattes semi-formées, des moitiés de nageoires, des bouts de branchies, des poumons ou des reins partiellement développés dont le nombre avoisinerait les millions.
On ne dispose cependant pas du moindre spécimen dans les archives fossiles. Ces dernières ne contiennent que des poissons pleinement formés et des amphibiens tout à fait formés, mais pas de formes intermédiaires. De temps à autres, les évolutionnistes reconnaissent cet état de faits, même s'il réfute entièrement leur théorie.
CROCODILE Age : 65 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Chine
D'après les darwinistes les reptiles sont les descendants des amphibiens alors qu'ils ne disposent pas d'éléments pour corroborer cette thèse.
De nombreux scientifiques en sont tout à fait conscients. Par exemple, Robert L. Carroll, l'auteur du livre Problems of the origins of reptiles écrit en effet :
Malheureusement aucun spécimen d'un ancêtre reptilien approprié est connu comme étant antérieur à l'apparition des véritables reptiles. L'absence de telles formes ancestrales laisse sans réponses de nombreux problèmes sur la transition de l'amphibien vers le reptile. (Biological reviews of Cambridge philosophical society, vol. 44, juillet 1969, p. 393)
Ce fossile de crocodile datant de 90 millions est la preuve que les crocodiles ne descendent pas d'une autre espèce, mais qu'ils ont toujours existé en tant que crocodiles, sans avoir subi le moindre changement depuis des dizaines de millions d'années.
DENT FRONTALE D'ELEPHANT Age : 60 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Yun Nan, Chine
Le fossile ici représenté est celui d'une dent d'éléphant datant de 60 millions d'années. Il indique que les éléphants ayant vécu il y a 60 millions d'années présentaient les mêmes structures dentaires que ceux qui existent aujourd'hui. Cette découverte remet totalement en question le concept de l'évolution.
SPECIMENS DE FOSSILES DE CREATURES MARINES MENE MACULATA Age : 54 à 37 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Monte Bolca, Italie
Cette espèce de poisson de la famille des Menidae est plus fréquente dans l'Océan Pacifique. De nombreux fossiles de ce vertébré sont disponibles remontant parfois jusqu'au cénozoïque (il y a 65 millions d'années). Les fossiles de l'espèce Mene maculata de la formation Monte Bolca illustrent particulièrement bien le caractère inchangé de ces poissons depuis des millions d'années.
Par ailleurs, aucun fossile ne démontre que les Mene maculata descendent d'autres formes de vie, comme le défendent les évolutionnistes.
J.R. Norman, un des administrateurs du Muséum britannique d'histoire naturelle, explique que les hypothèses darwinistes concernant l'émergence des poissons ne sont basées sur aucune preuve :
Les archives géologiques n'ont fourni à ce jour aucune preuve de l'origine des poissons… (J.R.Norman, "Classification and pedigrees : Fossils", dans A history of fishes, 3ème éd. Dr.P.H.Greenwood, Londres : Muséum britannique d'histoire naturelle, 1975, p. 343)
ETOILE DE MER Age : 490 à 443 millions d'années
Période : Ordovicien
Localisation : Formation Kataoua, Maroc
Les étoiles de mer vivent généralement dans les fonds marins et parfois même jusqu'à 7.000 mètres de profondeur. Les évolutionnistes sont démunis face à ces échinodermes dont les traits sont restés inchangés depuis près d'un demi-milliard d'années. Ces créatures sont les mêmes depuis, non pas 10 millions, ni 100 millions, ni même 200 millions mais bien 500 millions d'années.
Si les hypothèses évolutionnistes étaient justes, alors les étoiles de mer auraient dû depuis longtemps s'être transformées en d'autres formes de vie en 500 millions d'années. En outre, on aurait dû trouver des fossiles de nombreuses créatures insolites à mi chemin entre l'étoile de mer et d'autres invertébrés. Or rien de tel n'existe dans les archives fossiles.
Comme le prouve cette étoile de mer datant de 500 millions d'années, les étoiles de mer ont toujours existé en tant qu'étoiles de mer, elles ne descendent pas d'une autre forme de vie et ne se sont pas non plus transformées en une autre espèce.
Les spécimens les plus anciens de crinoïdes du groupe des échinodermes vivaient au paléozoïque (il y a 543 à 251 millions d'années). Ces animaux, dont quelques 80 genres ont survécu jusqu'à nos jours, réfutent les principes évolutionnistes. Les archives fossiles montrent en effet que ces organismes sont nés soudainement et pourvus de toutes leurs structures complexes.
Il n'existe pas un seul spécimen fossile laissant supposer que les crinoïdes sont le résultat d'une évolution graduée d'une autre forme de vie. Tous les fossiles disponibles indiquent que les crinoïdes ont toujours été des crinoïdes et que par conséquent, l'origine de la vie ne se situe pas dans l'évolution mais dans la création.
CALMAR Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Les calmars de la sous-classe des coléoïdes sont des mollusques à huit ou dix bras. Les évolutionnistes affirment que les mollusques descendent d'un ancêtre commun alors qu'ils ne disposent d'aucun élément scientifique pour étayer cette hypothèse.
Le biologiste évolutionniste turc Ali Demirsoy reconnaît cette faiblesse :
Au début de cette discussion, nous considérâmes un prédécesseur mollusque hypothétique et tentâmes de présenter les étapes de descendance de ces classes… Nous fûmes certainement incapables de trouver le moyen de combiner toutes ces classes à un ancêtre commun… En somme, il semble impossible à la lumière des connaissances actuelles de décrire l'ancêtre mollusque. (Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallar?, vol. II, partie I, pp. 623-624)
ESTURGEON Age : 206 à 144 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Lits de cendres volcaniques, Liaoning, Chine
L'esturgeon de la famille des acipenseriformes est fréquent dans les archives fossiles depuis très longtemps. Il vit habituellement dans les eaux douces ou dans les mers de l'hémisphère nord. De par ses traits restés inchangés depuis des centaines de millions d'années, l'esturgeon est l'un des êtres vivants qui réfute la thèse darwiniste selon laquelle les formes de vie ont évolué d'un état primitif vers un état plus complexe.
Les archives fossiles permettent de comprendre que même dans les temps géologiques les plus lointains, des organismes vivants présentaient des systèmes complexes d'yeux, de branchies et de systèmes circulatoires ainsi que des structures physiologiques avancées identiques à celles des spécimens actuels.
De nouvelles découvertes datant de 1999 indiquent, par exemple, qu'au cambrien (il y a 543 à 490 millions d'années), il existait deux espèces différentes de poissons : Haikouichthys ercaicunensis et Myllokunmingia fengjiaoa. Ces nouveaux éléments assènent un coup fatal à la théorie de l'évolution qui défend l'évolution des espèces d'un stade primitif vers un stade plus avancé.
POISSON AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Le poisson aiguille, membre de la famille des Belonidae, a un corps long et fin. Il peut sauter de la surface de l'eau et y replonger, queue la première, afin d'échapper aux prédateurs.
Les archives fossiles montrent que toutes les espèces de poissons ont leurs propres caractéristiques. Aucun lien dit évolutionniste ne relie les espèces entre elles. Le concept de l'ancêtre du poisson n'est rien moins qu'un mythe. Le biologiste évolutionniste Ali Demirsoy admet l'aspect hypothétique de ces thèses :
Nous ne disposons de rien de plus que des hypothèses à propos des poissons osseux se séparant des premiers vertébrés paléozoïques à mâchoires. (Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, vol. III, partie I, p. 248)
En réalité, ce sont toutes les idées darwinistes sur l'origine de la vie qui reposent sur des spéculations. Aucune n'est effectivement soutenue par des données scientifiques. Ces dernières concordent avec la notion de création et non avec celle d'évolution consécutive à des transformations aléatoires.
ETOILE DE MER Age : 490 à 443 millions d'années
Période : Ordovicien
Localisation : Formation Kataoua, Maroc
D'après les évolutionnistes, les mollusques, les échinodermes, les arthropodes, les oiseaux, les insectes, les poissons et tous les autres êtres vivants seraient nés d'une seule cellule, grâce au hasard, en subissant d'infimes changements au cours de millions d'années. Ils ne peuvent cependant pas justifier par des faits scientifiques les étapes par lesquelles ces organismes (dont les organes, l'anatomie et le mode d'alimentation sont très différents) sont passés. Ils n'ont pas de fossiles entre les mains leur permettant de confirmer ce processus imaginaire.
Les innombrables fossiles disponibles à ce jour démontrent que les êtres vivants sont nés avec leurs caractéristiques propres et que ces dernières ont été préservées aussi longtemps que la forme de vie a existé (des dizaines voire des centaines de millions d'années).
Le fossile d'étoile de mer ici représenté date d'environ 500 millions d'années. Il est la preuve que les étoiles de mer n'ont connu aucune altération malgré le passage de 500 millions d'années, faisant ainsi perdre toute crédibilité au concept de l'évolution.
POISSON-SOLDAT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Le fait que ce poisson-soldat de 95 millions d'années soit identique au poisson soldat d'aujourd'hui démontre que ces poissons n'ont jamais changé depuis des millions d'années. Cet état de faits met les évolutionnistes dans une situation impossible. Les données scientifiques concrètes prouvent que l'évolution n'a jamais eu lieu.
POISSON AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : En-Nammoura, Liban
S'il était vérifié que les êtres vivants descendent les uns des autres, alors nous devrions disposer d'un grand nombre de fossiles présentant les caractéristiques de deux formes de vie différentes (comme une créature mi-poisson aiguille/mi-hareng, ou une créature mi-baleine/mi-requin ou mi-truite/mi-crocodile). Or aucun spécimen n'est disponible. Darwin voyait dans cette absence de preuve un dilemme majeur, même après avoir avancé sa théorie. C'est pourquoi il écrivit dans le chapitre "Des difficultés sur la théorie" dans son livre L'origine des espèces :
Si les espèces dérivent d'autres espèces par des degrés insensibles, pourquoi ne rencontrons-nous pas d'innombrables formes de transition ? Pourquoi tout n'est-il pas dans la nature a l'état de confusion ? Pourquoi les espèces sont-elles si bien définies ?... Mais pourquoi ne trouvons-nous pas fréquemment dans la croûte terrestre les restes de ces innombrables formes de transition qui, d'après cette hypothèse, ont dû exister ? (Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, pp. 223, 225)
Quelques 150 années après Darwin, le problème reste le même pour les évolutionnistes. Bien que des millions de fossiles aient été mis au jour, pourquoi ne parvient-on pas à mettre la main sur un fossile de forme intermédiaire ? Tout simplement parce que les formes intermédiaires n'ont jamais existé ! Les formes de vie ne descendent pas les unes des autres. Allah Tout-Puissant créa tous les êtres vivants avec les caractéristiques magnifiques que nous leur connaissons.
COELACANTHE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Hjoula, Liban
Jusqu'en 1938, on croyait que les fossiles de cœlacanthes étaient la réponse au problème des évolutionnistes en quête de preuves documentant le passage progressif des êtres vivants de la mer vers la terre. Ils décidèrent donc de mettre les fossiles de cœlacanthe au centre de leur propagande. Ils interprétèrent les nageoires de l'animal comme les pattes et un autre organe non-identifié comme un poumon primitif.
Rapidement des éléments vinrent démolir la validité de ces spéculations. En effet, en 1938, quelle ne fut pas la déception des évolutionnistes lorsqu'un spécimen vivant de cœlacanthe fut capturé ! James Leonard Brierley Smith, professeur à la faculté de chimie de l'Université de Rhodes, exprima son étonnement suite à cette découverte :
Bien que j'y aie été préparé, la première vision me frappa comme une explosion incandescente. J'étais tout bizarre et mon corps chancelant frissonnait. C'était comme si une pierre m'avait frappé. Oui, il n'y avait pas l'ombre d'un doute, écaille par écaille, os après os, nageoire après nageoire, c'était un véritable cœlacanthe. (Samantha Weinberg, A fish caught in time: the search for the coelacanth, New York : Perennial Publishing, 2001, p. 20)
Des examens détaillés furent menés sur la structure et les organes internes du cœlacanthe. Il ne présentait aucun des traits primitifs imaginés ni ne pouvait être qualifié de forme intermédiaire d'un ancêtre primitif imaginaire. Ce que les évolutionnistes assimilèrent à un poumon primitif était en réalité une vessie natatoire remplie de graisse. Par ailleurs, cette créature dépeinte sous les traits d'un reptile prospectif se préparant à émerger sur la terre ferme était en fait un poisson vivant dans les fonds profonds et ne s'aventurant jamais au dessus de 180 mètres de profondeurs.
Selon le Dr. Millot, le scientifique ayant mené l'examen, cette forme de vie, jusqu'alors considérée comme un chaînon manquant, manquait de traits primitifs par rapport à l'être vivant supposé être son descendant. (S. Weinberg, Op cit., p. 102) Tout simplement, le cœlacanthe n'est pas une forme intermédiaire puisqu'il existe avec les mêmes caractéristiques complexes dans les eaux profondes depuis 400 millions d'années.
POISSON VIPERE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Hjoula, Liban
Quels que soient les efforts des darwinistes voués à dissimuler ou à nier ce fait, depuis l'époque de Darwin il est connu que les archives fossiles ne soutiennent pas la théorie de l'évolution. C'est pourquoi Charles Darwin tenta de sortir de ce dilemme en incluant des fausses interprétations délibérées dans son livre. Il consacra une attention particulière à cette question dans le chapitre "Difficulté sur la théorie" de son livre.
Les fossiles qui dérangeaient tant Darwin à son époque constituent encore l'une des principales difficultés auxquelles sont confrontés les évolutionnistes parce que les données fossiles réfutent l'évolution et confirment le fait de la création.
Le fossile de poisson vipère datant de 95 millions d'années ici représenté est une preuve de la création dans la mesure où il est totalement identique aux spécimens vivant aujourd'hui.
Ce fossile a laissé des empreintes visibles sur les deux surfaces de la roche stratifiée.
POISSON-GUITARE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Peu importe leur époque, les fossiles de poisson-guitare sont tous identiques. Ces fossiles similaires au poisson-guitare d'aujourd'hui sous tous les angles réfutent l'idée d'évolution graduée. Allah créa tous les êtres vivants à partir du néant, sans recourir à des modèles antérieures et en les dotant de traits parfaits.
Les fossiles représentent les traces physiques de la création sublime d'Allah. Chaque découverte de fossile souligne les mensonges évolutionnistes.
Est ici représenté un fossile sur deux plans, positif et négatif, laissant ses empreintes des deux côtés de la roche sédimentaire.
POISSON AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
La théorie de l'évolution avance que les espèces doivent être en constant changement pour pouvoir évoluer en une autre espèce. Si un organisme invertébré veut devenir un poisson, un poisson aiguille par exemple, il doit subir une succession de petits changements sur une très longue période de temps. Des processus similaires doivent ensuite se répéter pour l'émergence d'une nouvelle espèce à partir du poisson aiguille.
Cependant, dans les archives fossiles, rien n'indique le passage d'un tel processus. Ce fossile de poisson aiguille de 95 millions d'années indique que les formes de vie conservent les mêmes traits depuis leur première apparition et aussi longtemps qu'elles survivront.
ANGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Les archives fossiles démontrent que non pas quelques-unes mais toutes les espèces fossiles ayant été découvertes sont restées inchangées au cours de leur existence. Le numéro d'avril 2003 du magazine Focus, bien qu'étant une publication à tendance pro-évolutionniste, reconnaît cet état de faits :
… Le nombre d'organismes présentant les plus proches similarités avec les spécimens fossiles datant de millions d'années est en réalité assez important. Par exemple, le crustacé dénommé Neopilina n'a pas changé depuis 500 millions d'années, le scorpion depuis 430 millions d'années, la limule, une créature marine pourvue d'une armure et d'une queue en forme d'épée, depuis 225 millions d'années, et le tuatara, un reptile ne vivant qu'en Nouvelle-Zélande, depuis 230 millions d'années. De nombreux arthropodes, crocodiles, tortues et de nombreuses autres espèces végétales peuvent également être ajoutés à la liste.
L'anguille ici en photo fait partie de ces créatures immuables depuis des millions d'années. Datant de 95 millions d'années, elle est la preuve que les êtres vivants n'évoluent pas.
CALMAR (POSITIF ET NEGATIF) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Ce fossile remontant à 95 millions d'années est la preuve que les calmars ont toujours existé sous les mêmes traits à travers l'histoire géologique, défiant ainsi les théories évolutionnistes. Incapables de prouver que les calmars sont la forme évoluée d'une forme de vie antérieure ou qu'ils se sont développés en une autre espèce, les évolutionnistes sont complètement minés par les archives fossiles.
REQUIN-CHAT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Selon les darwinistes, les plantes, les animaux, les champignons et les bactéries partagent tous un ancêtre commun. Les quelques centaines de phyla (catégories taxonomiques de base telles que les mollusques, les arthropodes, les vers et les éponges par exemple) auraient une origine commune.
D'après cette théorie, les organismes invertébrés se seraient transformés de façon progressive (et aléatoire) en poissons grâce à l'acquisition d'une arête vertébrale ; les poissons se seraient ensuite transformés en amphibiens, les amphibiens en reptiles, certains reptiles en oiseaux et d'autres en mammifères. Selon cette même théorie, la transition se serait effectuée sur une très longue période (des centaines de millions d'années) et par étapes. D'innombrables espèces intermédiaires auraient dû émerger au cours de ces longues transitions. Pourtant, aucun signe de formes intermédiaires n'est à signaler dans les archives fossiles.
Ce fossile de requin-chat remontant à 95 millions d'années indique clairement que les êtres vivants sont nés pleinement formés, avec toutes leurs caractéristiques et qu'ils n'ont pas subi de changement depuis des millions d'années.
Les vestiges de ces créatures ont laissé des traces sur les deux faces de ce fossile.
HOMARD, POISSON VOLANT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Ce fossile contient les vestiges de deux créatures : un homard et un poisson volant.
Ce homard de la famille des Nephropsidae n'a pas changé depuis sa première apparition. Il en est de même pour le poisson volant. La stagnation dans les archives fossiles représente un embarras majeur pour les darwinistes.
La propagande darwiniste ne peut plus entretenir d'effet durable étant donné les découvertes concrètes issues des archives fossiles. Les darwinistes doivent reconnaître qu'il n'est plus possible de cacher le fait de la création et cesser d'insister sur leurs dogmes.
POISSON-GUITARE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Immuable depuis 95 millions d'années, le poisson-guitare illustre la stagnation des structures chez les êtres vivants et réfute ainsi le concept d'évolution. La théorie de l'évolution se définit par un scénario dénué d'assise scientifique. Les fossiles soulignent abondamment la nature irréaliste de ce scénario et déclarent que la création ne peut plus être niée.
POISSON-AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les yeux, les nageoires, les branchies, les systèmes digestif et reproducteur - en somme tout ce qui caractérise tous les poissons-aiguilles ayant jamais vécu au cours de l'histoire - ont été pleinement formés et idéalement structurés. En outre, les formes actuelles de ces êtres vivants s'avèrent tout à fait identiques à ce qu'ils étaient il y a des dizaines de millions d'années.
Si on appliquait les idées darwinistes, alors ces fossiles devraient présenter une image diamétralement opposée. Les archives fossiles devraient ainsi contenir de nombreux spécimens de "mi-poissons-aiguilles". Dans la mesure où les fossiles ne collent pas avec la thèse darwiniste, voire argumentent le contraire, la théorie de l'évolution, décrédibilisée, se voit remise en question.
CALMAR (POSITIF ET NEGATIF) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Darwin savait que sa théorie ne pouvait se vérifier qu'avec les archives fossiles, c'est pourquoi il plaça de grands espoirs dans la recherche paléontologique. Dans une partie de son livre, il dit :
Il a dû certainement exister, si ma théorie est fondée, d'innombrables variétés intermédiaires reliant intimement les unes aux autres les espèces d'un même groupe… On ne pourrait trouver la preuve de leur existence passée que dans les restes fossiles… (Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, p. 231)
Pourtant aucune forme de fossiles intermédiaires n'a été découverte au cours des 150 dernières années. Ses allégations n'ont donc jamais pu être vérifiées ni confirmées. Les fossiles comme celui-ci appartenant à un calmar datant de 95 millions ont enterré la théorie de l'évolution de Darwin, dont l'invalidité est désormais reconnue.
La crevette ici représentée date d'environ 200 millions d'années. Sa nature inchangée depuis aussi longtemps témoigne de l'inexistence de processus évolutionniste.
Les archives fossiles représentent la remise en question la plus sévère pour la théorie de l'évolution parce que :
1. Les évolutionnistes prétendent que les êtres vivants progressent d'un état primitif vers un état plus complexe en subissant une succession constante de petits changements. Les archives fossiles montrent, cependant, que les êtres vivants n'ont pas subi la moindre transformation au cours de centaines de millions d'années.
2. Les évolutionnistes défendent que tous les êtres vivants descendent d'un ancêtre commun. Or, aucun fossile découvert à ce jour ne peut être considéré comme l'ancêtre d'un autre être vivant.
3. Les évolutionnistes affirment que les formes intermédiaires sont les transitions dans l'évolution d'une espèce vers une autre. Pourtant, malgré 150 années de recherches et des millions de fossiles mis au jour, pas le moindre fossile de forme intermédiaire n'a été découvert.
REQUIN-CHAT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Les archives fossiles témoignent de l'absence de changements chez les êtres vivants. Le requin-chat datant de 95 millions d'années ici représenté fait partie de ces formes de vie n'ayant pas été altérée au cours de millions d'années. L'évolution stipule pourtant que les êtres vivants sont dans un état de changement constant afin de pouvoir progresser d'un état primitif vers un état plus développé. Les découvertes de fossiles, les unes après les autres, sont la preuve du contraire et donc de l'invalidité de cette théorie. Les principes évolutionnistes à propos de l'origine de la vie ne reflètent donc pas les faits, comme semblent le souligner trois biologistes évolutionnistes auteurs du livre Integrated principles of zoology :
De nombreuses espèces restent virtuellement inchangées pendant des millions d'années, ensuite elles disparaissent soudainement pour être remplacées par une autre… forme assez différente. De plus, la plupart des grands groupes d'animaux apparaissent abruptement dans les archives fossiles, tout à fait formés et sans fossile découvert formant une transition avec leur groupe parent. (C.P. Hickman [professeur émérite de biologie à l'Université Tech du Texas], L.S. Roberts [professeur émérite de biologie à l'Université Tech du Texas] et F.M. Hickman, Integrated principles of zoology, St Louis: Times Mirror/Moseby College Publishing, 1988, p. 866)
POISSON-GUITARE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Le poisson-guitare du sous-ordre des Rhinobatoidei se caractérise par sa forme de guitare. Il vit généralement au fond des mers tropicales à proximité des côtes.
Le fossile ici représenté montre que le poisson-guitare est resté inchangé depuis 95 millions d'années, condamnant ainsi les évolutionnistes au silence profond. Ces créatures identiques depuis des dizaines de millions d'années démontrent que l'évolution n'a jamais eu lieu et qu'elles furent créées par Allah Tout-Puissant.
CREVETTE Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Solnhofen, Bavière, Allemagne
Les évolutionnistes ont tendance à déformer ou à soigneusement dissimuler les fossiles qui constituent une preuve indiscutable de la création. Bien que les archives fossiles indiquent que l'évolution n'a jamais eu lieu, ils sont déterminés à ignorer ce point.
Le paléontologue américain S.M. Stanley reconnaît que les faits issus des archives fossiles sont ignorés par le dogme darwiniste dominant une grande partie du monde scientifique :
Les fossiles connus ne sont pas, et n'ont jamais été, en accord avec le gradualisme. Ce qui est remarquable est que, à travers une variété de circonstances historiques, même l'histoire de l'opposition a été obscurcie… comme l'a récemment écrit l'historien de la biologie William Coleman :
"La majorité des paléontologues sentirent que leurs preuves contredisaient simplement l'accent de Darwin sur les changements infimes, lents et cumulatifs menant à la transformation des espèces"… mais leur histoire a été supprimée. (S.M. Stanley, The New Evolutionary Timetable: Fossils, Genes and the Origin of Species, N.Y.: Basic Books Inc., 1981, p. 71)
Ces efforts darwinistes à vouloir réduire la vérité au silence sont désormais inutiles. Il n'est effectivement plus possible de dissimuler plus longtemps le fait de la création révélé par les fossiles et notamment par cette crevette fossilisée depuis quelques 200 millions d'années.
COELACANTHE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Le cœlacanthe est un gros poisson mesurant environ 150 centimètres dont le corps couvert d'épaisses écailles rappelle une armure. Il fait partie de la classe des poissons osseux (ostéichtyens) dont les fossiles les plus anciens furent découverts dans les strates remontant au dévonien (il y a 417 à 354 millions d'années). Pendant des années, les évolutionnistes firent passer les fossiles de ce vertébré pour une forme intermédiaire jusqu'à la capture d'un cœlacanthe réfutant ces hypothèses. La recherche portant sur l'anatomie du poisson infligea une sévère défaite aux darwinistes.
Dans un article du magazine Nature, un paléontologue évolutionniste du nom de Peter Forey dit :
La découverte de Latimeria [cœlacanthe] souleva l'espoir de rassembler des informations directes sur la transition des poissons en amphibiens, car il existait cette vieille croyance selon laquelle les cœlacanthes étaient de proches ancêtres des tétrapodes… Mais l'étude de l'anatomie et de la physiologie de Latimeria a montré que cette théorie de parenté et la réputation du cœlacanthe de chaînon manquant semblaient injustifiées. (P.L. Forey, Nature, vol. 336, p. 727)
Les informations récentes concernant la structure complexe du cœlacanthe continuent à poser des difficultés aux évolutionnistes. Ce problème fut exprimé dans le magazine Focus :
D'après les fossiles, les poissons sont nés il y a environ 470 millions d'années. Le cœlacanthe est né 60 millions d'années après. Il est étonnant que cette créature, chez qui on s'attend à voir des caractéristiques très primitives, présente en fait une structure des plus complexes. (Focus, avril 2003)
L'apparition du cœlacanthe avec sa structure complexe fut une surprise pour les évolutionnistes étant donné qu'ils insistent sur un processus graduel d'évolution. Il n'y a pourtant rien de surprenant. Quiconque de rationnel est capable de comprendre qu'Allah crée tous les êtres vivants en les dotant de structures complexes, sous la forme et au moment de Son choix et en un seul instant. Les entités parfaites créées par Allah sont des moyens d'apprécier Son pouvoir et Sa puissance.
Voici un fossile imprimé sur le côté positif et négatif
PASTENAGUE Age : 100 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Hjoula, Byblos, Liban
Les évolutionnistes ne peuvent pas recourir aux fossiles de pastenagues pour étayer leur thèse. Aucune pastenague primitive et aux traits semi-développés appartenant à deux formes de vie différentes n'a été mise au jour. Chaque spécimen découvert était celui d'une créature identique aux pastenagues vivant aujourd'hui dans le sens où leurs caractéristiques sont totalement identiques. Cela démontre l'invalidité de l'idée des espèces descendant les unes des autres et de développement minimes et graduels des formes de vie.
Le fossile de pastenague remontant à 100 millions d'années ici représenté indique une fois de plus que les êtres vivants n'ont pas évolué mais qu'ils furent créés.
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ECREVISSE L'ATLAS DE LA CREATION Volume 3 ECREVISSE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
L'écrevisse ici représentée date de 95 millions d'années. Pourtant elle ne présente aucune différence avec l'écrevisse d'aujourd'hui. Ces invertébrés inchangés depuis 95 millions d'années démontrent que les idées évolutionnistes sont des fantaisies issues de l'imagination et non-étayées par des données scientifiques.
En raison de leur point de vue matérialiste, les darwinistes ont pour habitude d'élaborer toutes sortes d'hypothèses qu'ils ornent de termes latins et scientifiques difficiles d'accès pour le public afin de donner à leurs thèses une tournure scientifique. Or, les preuves invalidant le concept d'évolution sont parfaitement claires. Même un enfant de huit ans peut s'en rendre compte. Les archives fossiles sont l'élément causant le plus de tort à la théorie de l'évolution. L'absence de différences entres les êtres ayant existé il y a des centaines de millions d'années et les spécimens actuels est un sérieux revers pour le concept de l'évolution.
OURSIN Age : 354 à 290 millions d'années
Période : Carbonifère
Localisation : Formation St Louis, St Louis, Missouri, Etats-Unis
Les oursins sont des invertébrés dont le corps entier est couvert d'épines. Cet oursin d'environ 300 millions d'années défie toutes les hypothèses évolutionnistes à propos des origines de la vie.
Mais les oursins ne sont certainement pas les seuls êtres vivants infirmant la théorie de l'évolution. Les archives fossiles regorgent d'exemples de végétaux et d'animaux n'ayant subi aucune modification. Il n'y a pas la moindre preuve de l'existence de formes semi-développées ou déficientes malgré le passage de périodes géologiques considérables. Les évolutionnistes n'avancent aucune réponse rationnelle et scientifique pouvant expliquer pourquoi et comment les êtres vivants sont restés inchangés depuis si longtemps. Pour les individus qui ne se sont pas laissés duper par les préjugés darwinistes, la réponse est pourtant claire : les êtres vivants n'ont jamais évolué, ils furent créés par notre Seigneur, Allah.
PASTENAGUE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
En dépit des découvertes parlantes, les darwinistes refusent d'admettre que le darwinisme a été vaincu par les données scientifiques. Ils persistent à défendre les idées mises en avant au 19ème siècle alors que la science en était à ses balbutiements. Ils tournent le dos aux éléments scientifiques par souci idéologique et à cause des préjugés. Ils recourent à des manipulations, des fabrications et des explications irrationnelles et illogiques.
Toujours est-il que les millions de fossiles mis au jour au cours des 150 dernières années rendent la théorie de l'évolution totalement indéfendable. Tous les fossiles, notamment celui d'une pastenague datant de 95 millions d'années ici représenté, indiquent que les êtres vivants sont restés inchangés depuis des millions d'années. Autrement dit leur origine ne s'explique pas par l'évolution mais par la création.
BAR Age : 37 à 23 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : Montagnes des Carpates, Rowne, Pologne
Ces poissons appartenant à l'ordre des perciformes (proches des perches) sont classés dans la famille des serranidés. Ce bar fossilisé d'environ 30 millions d'années identique dans son apparence et dans ses caractéristiques structurelles aux bars actuels, constitue une preuve infirmant la théorie de l'évolution.
Comme toutes leurs autres thèses, les idées darwinistes concernant l'évolution des poissons se limitent à des contes de fées, sans fondements scientifiques. L'examen de la littérature évolutionniste révèle qu'aucune forme intermédiaire potentielle n'est mise en avant. Les évolutionnistes ne détiennent aucune preuve fossile leur permettant de prouver que les organismes invertébrés se sont transformés en poissons.
POISSON VOLANT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
D'après les archives fossiles, les formes de vie sont nées indépendamment les unes des autres, chacune à un moment donné et sans qu'aucun lien de parenté ne les lie entre elles. Les poissons ne sont donc pas issus des formes de vie invertébrées et ne sont pas devenus des reptiles, contrairement à ce que défendent les évolutionnistes.
Dans son livre datant de 1991 Beyond natural selection, la paléontologue américain R. Wesson s'intéresse au sens des archives fossiles :
Les fossés dans les archives fossiles sont réels cependant. L'absence de trace d'un embranchement évolutionniste important est assez phénoménale.
Les espèces sont habituellement statiques, ou presque, pendant de longues périodes… (R. Wesson, Beyond natural selection, Cambridge, MA : MIT Press, 1991, p.45)
POISSON DES SABLES Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Bien qu'elle ait été scientifiquement discréditée, la théorie de l'évolution reste à l'ordre du jour dans certains cercles. Des articles intitulés "Chaînon manquant découvert" et agrémentés de croquis imaginaires de créatures mi-humaine/mi-singe sans valeur scientifique font les couvertures à chaque découverte de fossile. "Nos ancêtres étaient des microbes", "Nous ne sommes pas différents des singes", "Venons-nous de l'espace ?", "L'évolution dans les tubes à essai" sont quelques gros titres d'articles où l'on fait croire que la théorie de l'évolution dispose de solides preuves pour expliquer les divers aspects de la vie humaine.
Or les fossiles laissent plutôt entendre que ces hypothèses n'ont pas de sens. Ce fossile de poisson des sables datant de 95 millions d'années ainsi que les autres fossiles indiquent que les espèces vivantes n'ont pas changé depuis des millions d'années et donc qu'elles n'ont pas évolué. Face à cette réalité, la propagande évolutionniste s'assimile à une prise de position.
Le fossile ici illustré est visible sur deux plans, positif et négatif, sur les deux côtés de la roche fendue.
ANGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Ces poissons de l'ordre des anguilliformes sont classés sous la famille des congridés. Le fossile en photographie prouve que les anguilles n'ont pas subi la moindre altération en 95 millions d'années. Il ne représente que l'un des millions de spécimens fossiles réfutant le darwinisme. Les fouilles des 150 dernières années n'ont pas permis de mettre la main sur une preuve pour étayer les théories des évolutionnistes. En revanche, d'innombrables fossiles prouvent que les êtres vivants sont apparus soudainement, complets dans leurs caractéristiques et qu'ils n'ont pas changé malgré les millions d'années passées. Ils sont tout simplement la preuve de la création et non de l'évolution.
ELOPIDAE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
L'expert en fossile évolutionniste David Pilbeam admet que les découvertes fossiles sont contraires à la théorie de l'évolution :
Si vous ameniez un scientifique intelligent d'une autre discipline pour lui montrer les maigres preuves dont nous disposons, il dirait très certainement : "Laissez tomber, cela ne suffit pas pour continuer." (Richard E. Leakey, The making of mankind, Barcelone: Sphere Books Limited, 1982, p. 43)
Pourquoi les darwinistes refusent-ils de voir que leur théorie ne repose sur rien ? Les découvertes de fossiles ont depuis longtemps démoli la théorie de l'évolution. Le fossile d'Elopidae datant de 95 millions d'années ici représenté contribue à la défaite des évolutionnistes.
POISSON-PIPE (SYNGNATHIDAE) Age : 5,3 à 1,8 millions d'années
Le poisson-pipe se caractérise par la forme allongée et tubulaire de sa bouche. Cette caractéristique existe et n'a pas changé depuis des millions d'années chez ces poissons marins de la famille des syngnathidés, ce qui cause la remise en question de la théorie de l'évolution. Même si les darwinistes continuent à tout faire pour déformer les faits, ils ne peuvent plus dissimuler ce que les archives fossiles clament haut et fort : les êtres vivants n'ont pas évolué mais ils furent créés.
LIMULE Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Formation Solnhofen, Allemagne
En raison de leur immuabilité depuis des millions d'années, les limules de la famille des chélicérés sont assimilés à des "fossiles vivants", même par les évolutionnistes. Les limules datant du jurassique, soit environ de 150 millions d'années sont identiques aux limules habitant les côtes aujourd'hui. Cette inaltérabilité démolit les thèses évolutionnistes et prouve une fois de plus que le principe d'évolution des êtres vivants est un mythe ridicule.
La science révèle de façon irréfutable que les êtres vivants sont l'œuvre d'Allah Tout-Puissant.
POISSON DE SABLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
En prétendant que toutes les espèces se multiplièrent en évoluant les unes à partir des autres sur de très longues périodes de temps, les darwinistes n'ont jamais considéré l'idée que pratiquement toutes les catégories principales d'espèces connues à ce jour ont émergé soudainement et à la même époque, c'est-à-dire au cambrien, il y a 530 à 520 millions d'années. Ils sont incapables d'ouvrir les yeux sur le message transmis par ces vestiges préservés dans les fossiles sans avoir subi le moindre changement.
Même si les évolutionnistes refusent de réfléchir et de comprendre, les découvertes fossiles telles que ce poisson de sable datant de 95 millions d'années sont là pour témoigner de l'invalidité de l'évolution aux yeux de tous.
Le fossile ici représenté a deux faces : l'une positive, l'autre négative.
ELOPIDAE (POSITIF ET NEGATIF) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Michael Ruse résume les difficultés des évolutionnistes sur le plan des fossiles ainsi :
Il [Darwin] devait montrer non seulement pourquoi il pensait qu'il y aurait, si c'était le cas, peu de formes transitionnelles mais aussi pourquoi les archives fossiles commencent si soudainement. Les archives ne vont pas graduellement du plus primitif ver le plus complexe mais elle commence avec un boum de formes réellement complexes et sophistiquées. (Michael Ruse, The evolution wars: a guide to the debates, Rutgers University Press, 2001, p. 49)
Les darwinistes persistent à ne rien vouloir voir de la défaite de leur théorie infligée par les découvertes fossiles. L'Elopidae de 95 millions d'années ici en photographie est l'un des éléments témoignant de l'invalidité de l'évolution.
POISSON-AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Tous les fossiles de poissons-aiguilles en date sont tout à fait développés. Il n'existe pas de preuve suggérant que les poissons-aiguilles sont les descendants d'une autre espèce ou qu'ils aboutirent à leur forme présente suite à une série de changements gradués. Ce vide remet totalement en question le concept d'évolution pour la simple raison que l'origine de la vie se définit par la création.
OPHIURE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les évolutionnistes font constamment référence à des hypothèses et autres conjectures à propos de l'origine de la vie. Ils sont cependant moins performants lorsqu'il s'agit d'apporter des preuves de ce qu'ils avancent. Les différentes branches de la science réfutent unanimement l'idée de l'évolution.
Les fossiles d'ophiure remettent en question la théorie de l'évolution car elles n'ont absolument pas changé malgré les millions d'années passées depuis leur apparition. Ce fossile bien qu'il date de 95 millions d'années est tout à fait identique aux ophiures d'aujourd'hui.
ANGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Il est impossible de mettre la main sur le moindre spécimen d'ancêtre d'une quelconque espèce animale dans les archives fossiles.
Les fossiles montrant que les anguilles ont toujours existé en tant qu'anguilles sont légion ; en revanche, aucun ne peut faire office d'ancêtre de l'anguille. Cette situation délicate pour les évolutionnistes est reconnue par de nombreux scientifiques.
Le professeur Rudolf A. Raff, président de l'Institut de biologie moléculaire de l'Indiana et Thomas Kaufman de l'Université de l'Indiana répondent à ce sujet :
Le manque de formes ancestrales ou intermédiaires entre les espèces fossiles n'est pas une singularité bizarre propre au début de l'histoire début des métazoaires. Les fossés sont généraux et prévalent à travers les archives fossiles. (R.A. Raff et T.C. Kaufman, Embryos, genes and evolution:
the developmental-genetic basis of evolutionary change, Indiana University Press, 1991, p. 34)
POISSON DE SABLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
N'a jamais été découvert un fossile de poisson de sable étrange avec des nageoires et des branchies partielles, un système respiratoire incomplet et des yeux en voie de développement. Tous les fossiles de poissons de sable mis au jour se présentent sous les mêmes traits que les poissons de sable actuels. Ce qui remet totalement en question la thèse darwiniste selon laquelle les êtres vivants se seraient développés graduellement à travers une série de changements infimes, passant d'un stade primitif vers un stade avancé.
CRABE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Monte Baldo, Italie
Les fouilles des 150 dernières années ont permis de faire systématiquement des découvertes dérangeantes pour l'évolutionnisme, notamment ce fossile de crabe datant de 50 millions d'années qui démontre que les crabes ont toujours existé sous la forme de crabes.
Le cauchemar des évolutionnistes provient de leur incapacité à fournir un seul spécimen fossile soutenant le mythe de l'évolution. D'ailleurs ce cauchemar n'est pas prêt de se terminer puisque tous les fossiles témoignent non pas de l'existence de l'évolution mais de la création divine.
Dans un article dans le magazine Nature, Edmund Leach, auteur du livre Rethinking anthropology souligne :
Les chaînons manquants dans la séquence de preuves fossiles étaient source d'inquiétude chez Darwin. Il était certain qu'ils finiraient par se montrer, mais ils sont toujours absents et le resteront très probablement. (E.R. Leach, Men, bishops and apes, Nature, vol. 293, 3 septembre 1981, p. 20)
CREVETTE Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Formation Solnhofen, Allemagne
La structure oculaire chez le homard et la crevette suscite des interrogations quant à l'évolution des crustacés. Un grand nombre de formes de vie appartenant à la classe des crustacés ont une structure de lentille du type réfractif. Seuls le homard et la crevette ont un œil à miroir réflecteur. Selon l'hypothèse des évolutionnistes, tous les crustacés ont dû évoluer d'un ancêtre commun. Si cela était le cas, il faudrait prouver que la structure de l'œil à miroir réflecteur a également évolué de la structure de lentille du type réfractif.
Une telle transition est pourtant impossible parce que ces deux types de systèmes fonctionnent de manière complètement différente. Il est donc inutile de chercher une quelconque forme "intermédiaire".
Pour qu'un crustacé perde progressivement le cristallin dans son œil laissant place à des surfaces miroitantes, l'invertébré devrait être privé de la vue pendant cette transformation, ce qui ne lui permettrait pas de survivre.
Par ailleurs, aucun fossile découvert n'a jamais présenté un œil semi-réflecteur et semi-réfracteur. Tous les fossiles disponibles à ce jour sont effectivement pourvus d'yeux parfaits comme chez cette crevette datant de 150 millions d'années ici en photo.
POISSON DE SABLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
La situation délicate dans laquelle se trouvent les darwinistes provient de leur incapacité à trouver la moindre preuve d'une transition des invertébrés vers les poissons ou des poissons vers les reptiles, des reptiles vers les mammifères et les oiseaux. Le paléontologue évolutionniste feu Stephen Jay Gould considérait que le manque de preuves des transitions était un problème dérangeant :
L'absence de preuves fossiles des étapes intermédiaires entre les transitions majeures dans la conception organique, en fait notre incapacité, même dans notre imagination, à construire des intermédiaires fonctionnels dans de nombreux cas, est un problème persistent et embêtant pour les explications gradualistes de l'évolution. (Stephen Jay Gould, Is a new and general theory of evolution emerging?, Paleobiology 6, 1980, pp. 119-130, réimprimé dans la collection Evolution now: a century after Darwin, ed. Maynard Smith, Freeman, 1982, p. 140)
Les paléontologues n'ont pas réussi à mettre la main sur les prétendus ancêtres de l'étoile de mer. Rien, par ailleurs, ne témoigne d'une quelconque transformation des étoiles de mer en une autre forme de vie. Or, si les thèses darwinistes étaient justes, alors les étoiles de mer dont l'existence remonte à des centaines de millions d'années auraient dû se transformer depuis longtemps en une autre créature marine ou même terrestre.
Cependant aucune transition de ce type ne s'est jamais produite. Les étoiles de mer dont l'existence en tant qu'étoiles de mer est avérée depuis les derniers 430 millions d'années réfutent toutes idées associant l'origine de la vie à l'évolution.
ANGE DE MER (CICHLIDAE) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
La plupart des fossiles présentés par les évolutionnistes comme preuves de l'évolution sont désormais reconnus en tant que contrefaçons. On s'est en outre rendu compte que les évolutionnistes proposaient des interprétations fortement biaisées et incompatibles avec la méthodologie scientifique. Par exemple, la découverte de l'oiseau à plumes Longisquama antérieur de 70 millions d'années à l'oiseau fossile archéoptéryx qualifié de principale forme intermédiaire clarifia le fait que ce dernier n'était ni un oiseau primitif ni une forme intermédiaire.
En résumé, les évolutionnistes ne disposent d'aucun spécimen fossile pouvant justifier l'évolution. Ce fossile d'un ange de mer datant de 95 millions d'années, comme tous les autres, témoignent de la création.
POISSON RASOIR (CENTRISCUS) Age : 23 à 5 millions d'années
Période : Miocène
Localisation : Formation Green River, Colorado, Etats-Unis
Les fossiles prouvent que les poissons ont toujours existé en tant que poissons et qu'ils ne descendent pas d'une autre forme de vie. Aucun fossile étrange doté de branchies semi-développées, d'un système digestif non-formé ou de nageoires rudimentaires n'a encore été trouvé. Chaque fossile de poisson mis au jour montre que les poissons sont apparus en possession complète de toutes les caractéristiques de leur famille. Ce fossile de poisson rasoir de 23 à 5 millions d'années ici représenté révèle que ces espèces sont restées toujours les mêmes et qu'elles n'ont jamais été altérées depuis des millions d'années.
Face à ces éléments probants, les darwinistes doivent cesser de défendre aveuglément le dogme du mythe de l'évolution et accepter la vérité soulignée par la science. Car la science reconnaît en effet qu'aucun processus évolutionniste n'a eu lieu et qu'Allah est le Créateur des êtres vivants.
CONCOMBRE DE MER (POSITIF ET NEGATIF) Age : 300 millions d'années
Péride : Carbonifère
Localisation : Shale Francis Creek, Braidwood, Illinois, Etats-Unis
Les concombres de mer, les holothuries, vivent généralement au fond des mers à proximité des côtes. Les spécimens de fossile les plus anciens remontent au dévonien (417 à 354 millions d'années). La comparaison entre les concombres de mer datant de 400 ou 300 millions d'années et ceux d'aujourd'hui démontre qu'il n'existe pas de différence entre eux.
Cet aspect immuable remet en question la théorie de l'évolution des êtres vivants, à travers des changements gradués sur de très longues périodes. Contrairement à ce qu'affirment les darwinistes, les êtres vivants ne sont pas le fruit d'un processus évolutionniste mais de la création de notre Seigneur, Allah, Seigneur de l'univers.
ETOILE DE MER Age : 450 millions d'années
Période : Ordovicien
Localisation : Formation Bromide, Criner Hills, Comté de Carter, Oklahoma, Etats-Unis
Les données fossiles ont permis de déterminer qu'aucune forme de vie ne pouvait être l'ancêtre présumé des étoiles de mer. Elles ne permettent pas non plus de conclure que les étoiles de mer se transformèrent en une autre forme de vie avec le temps.
La même dynamique s'applique à tous les êtres vivants. Les darwinistes ne disposent donc pas de preuves fossiles probantes. L'évolutionniste feu Stephen Jay Gould admit que les récits de l'évolution présumée des invertébrés marins n'étaient rien de plus que des mythes et qu'ils ne reposaient sur aucune preuve scientifique :
… Un élément se démarque par son aspect troublant - le manque d'un ordre clair et d'une progression à travers le temps chez la faune marine invertébrée. Nous pouvons raconter des fables d'améliorations pour certains groupes, mais dans nos moments honnêtes, nous devons reconnaître que l'histoire de la vie complexe est plus qu'une histoire de variations diverses à propos d'un ensemble de conceptions basiques plutôt qu'une saga d'excellence accumulée." (Stephen Jay Gould, The ediacaran experiment, Natural History 2/84, p. 22)
Les coraux (anthozoaires) sont des organismes invertébrés dont l'existence remonte au cambrien (543 à 490 millions d'années) et dont de nombreux fossiles datent de l'ordovicien (490 à 443 millions d'années).
Il existe plusieurs types de coraux : mou, épineux, corné et vrai. Les lits de corail sont le résultat de l'accumulation de squelettes de coraux à un certain sur des milliers d'années. Les coraux vivent seuls ou en colonies. Ils ont tendance à vivra dans les mers chaudes, attachés à de gros roches bien quel les coraux libres fraîchement éclos sont rares.
Les coraux sont problématiques pour le darwinisme étant donné l'absence de changement dans leur structure sophistiquée depuis des centaines de millions d'années. Comme tous les autres êtres vivants, les coraux sont la sublime œuvre de notre Seigneur.
PERCOPSIDAE Age : 54 à 37 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Kemmerer, Wyoming, Etats-Unis
Ces poissons de la classe des percopsiformes vivent généralement dans les eaux douces d'Amérique du Nord. Certains évolutionnistes prétendent que les poissons de cette classe présentent des caractéristiques primitives. Les examens ont cependant révélé que les vertébrés en question sont dotés de structures très complexes. Certaines familles étonnent les évolutionnistes notamment par leur extraordinaire capacité à construire des nids et à prendre soin de leur progéniture.
Le fossile en photo date d'environ 50 millions d'années. Il témoigne de l'immuabilité des poissons de cette espèce depuis les 50 derniers millions d'années.
COQUILLE SAINT-JACQUES Age : 300 millions d'années
Période : Carbonifère
Localisation : Shale Francis Creek, Braidwood, Illinois, Etats-Unis
On estime à 15.000 le nombre d'espèces disparues d'huîtres, ayant néanmoins laissé des traces visibles dans les archives. Le nombre d'espèces vivantes aujourd'hui serait de l'ordre de 11.000. Le fossile ici représenté est un membre de la famille des pectinidés. Il illustre que les mollusques en question sont restés inchangés depuis des centaines de millions d'années.
Face à de tels exemples, les évolutionnistes incapables de fournir une explication, préfèrent recourir à la démagogie, faire semblant de ne pas comprendre la question ou de créer la confusion chez le public en lui contant des fables. S'ils se décidaient à évaluer honnêtement les faits scientifiques, ils verraient alors que la théorie de l'évolution s'est effondrée sous le poids des preuves issues des archives fossiles.
POISSON VOLANT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
La logique darwiniste conduit à des déclarations ridicules et non-scientifiques. Par exemple, si la vie était dans un état de changement constant et de transition, alors les poissons volants auraient depuis longtemps des ailes et seraient ainsi devenus une étrange créature à branchies volante. Pourtant, contrairement à ce qu'avancent les évolutionnistes, ces poissons ont survécu depuis des dizaines de millions d'années sans avoir subi le moindre changement.
En outre, le fait que ce poisson volant datant de 95 millions d'années est identique à ses congénères actuels remet totalement en question la logique évolutionniste.
Darwin espérait que les fouilles entreprises après lui allaient produire des fossiles en faveur de sa théorie de l'évolution. Malgré les fouilles menées aux quatre coins du monde depuis des décennies, aucune des preuves escomptées ne fit son apparition. En effet, tous les fossiles mis au jour prouvent que les êtres vivants n'ont pas subi de processus d'évolution.
Les photographies sur la gauche sont celles des fouilles à Haqel et à Nammoura au Liban, des sites célèbres pour leur richesse en fossiles.
Le corail représenté ici date d'environ 3 millions d'années. La ressemblance sur le plan de l'apparence et de la structure concerne aussi bien les coraux datant de 300 millions d'années, 3 millions d'années ou ceux d'aujourd'hui. Cette uniformité infirme directement le concept d'évolution et démontre que la création est irréfutable.
Avec le temps, les squelettes de corail s'accumulent et s'érigent vers la surface de l'océan pour former ce qu'on appelle des lits de corail ou des rifs de corail.
ESTURGEON Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Peipiao, Liaoning, Chine
L'esturgeon de l'ordre des acipenseriformes n'a pas d'ancêtres issus de l'évolution dans les archives fossiles. Au cours de l'histoire géologique, il a toujours existé en tant qu'esturgeon, ce qui contribue au dilemme darwiniste des formes intermédiaires.
Le paléontologue Colin Patterson révéla l'absence des formes intermédiaires présentées par les darwinistes en ne faisant aucune référence à ces formes dans son ouvrage Evolution. Il fit l'aveu suivant dans une lettre adressée à ceux qui s'interrogent sur ce vide :
Je suis totalement d'accord avec vos commentaires sur le manque d'illustration directe sur les transitions évolutionnaires dans mon livre. Si je disposais d'éléments fossiles ou vivants, je les aurais certainement inclus. En tant que paléontologue, je suis très occupé par les problèmes philosophiques de l'identification des formes ancestrales dans les archives fossiles. Vous dites que je devrais au moins "montrer une photo de fossile dont chaque type d'organisme est dérivé". Je le dis ici : il n'y a pas un seul fossile dont on pourrait faire un argument incontestable.
(D'une lettre datée du 10 avril 1979 tirée de Darwin's enigma: fossils and other problems, de L.D. Sunderland, 4ème édition, Master Books, 1988)
Le paléontologue évolutionniste feu Stephen Jay Gould reconnaissait que les fossiles n'ont jamais défendu la théorie de l'évolution :
La rareté extrême des formes transitionnelles dans les archives fossiles demeure le secret d'état de la paléontologie… Nous nous imaginons comme les seuls véritables étudiants de l'histoire de la vie, pourtant afin de préserver notre explication favorite de l'évolution par voie de sélection naturelle, nous estimons nos données si mauvaises que nous ne voyons jamais le processus même que nous étudions. (Stephen Jay Gould, Evolution's erratic pace, Natural History, vol. 86 (5), mai 1977, p. 14)
Les évolutionnistes considèrent qu'il s'agit d'une énigme. Alors qu'en réalité, il n'est pas du tout question d'énigme mais d'une vérité manifeste : les fossiles démontrent le fait de la création.
CALMAR Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Si les darwinistes osent prétendre que les êtres vivants descendent les uns des autres, ils doivent donc être à même de prouver leurs affirmations en présentant des fossiles de formes intermédiaires passées. Ces dernières doivent faire le lien entre deux espèces fossiles et être dépourvues de certains organes ou disposer d'organes semi-développés.
Si les invertébrés comme par exemple les calmars évoluèrent en poisson, il a dû exister autrefois un grand nombre de créatures mi-calmar/mi-poisson. Par conséquent, on devrait pouvoir en trouver les vestiges dans les lits de fossiles.
En dépit des fouilles menées aux quatre coins du monde depuis l'époque de Darwin, certes d'innombrables fossiles ont été mis au jour, mais pas la moindre forme intermédiaire. Comme ce fossile de 95 millions d'années le montre, les calmars ont toujours existé en tant que calmars.
POISSON-GUITARE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Comme tous les autres poissons, les poissons-guitare ont toujours existé sous la forme que nous leur connaissons aujourd'hui. Les thèses darwinistes n'ont aucune valeur scientifique puisque toutes les données scientifiques, y compris les fossiles, réfutent leur contenu. Quelles que soient les contrefaçons, les distorsions et la propagande utilisées, les efforts darwinistes visant à entretenir leurs théories sont vains.
Le poisson-guitare datant de 95 millions d'années ici représenté indique que les êtres vivants n'ont pas évolué, mais qu'ils ont été créés de façon indéniable.
CALMAR Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
La théorie de l'évolution qui réussit à survivre depuis l'époque de Darwin grâce à des contrefaçons et des distorsions, est vaincue par la science du 21ème siècle. Les centaines de millions de fossiles de quelques 250 000 espèces ont contribué de façon significative à la démolition de l'évolution. Chacun de ces fossiles révèle que les êtres vivants sont apparus soudainement, pourvus de toutes les qualités que nous leur connaissons aujourd'hui et qu'ils n'ont pas subi le moindre changement depuis des millions d'années.
Ce fossile de calmar remontant à 95 millions d'années ici représenté en est un bon exemple. Les calmars sont restés inchangés depuis 95 millions d'années. C'est là le signe d'une vérité unique : les formes de vie n'ont pas évolué, elles ont été créées.
HOMARD Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Le homard fossilisé ici représenté, membre de la famille des Palinuridae, révèle que ces crustacés ont toujours représenté les mêmes traits depuis les 95 derniers millions d'années. Cette immuabilité au cours de millions d'années appelée "la stase" représente un problème majeur pour les évolutionnistes. Stephen Jay Gould, l'un des évolutionnistes ayant souvent reconnu que les archives fossiles ne jouaient pas en faveur de la théorie de l'évolution, disait à ce sujet dans un article dans le magazine Natural History en 1993 :
"La stase ou l'absence de changement chez la plupart des espèces fossiles au cours de leur durée de vie géologique étendue était tacitement reconnue par tous les paléontologues, mais jamais étudiée explicitement… La prévalence écrasante de la stase est devenue une caractéristique embarrassante des archives fossiles, qu'il valait mieux ignorer dans la mesure où elle était la manifestation de rien (c'est-à-dire la non-évolution)." (Stephen Jay Gould, Cordelia's dilemma, Natural History, Février 1993, pp.10-18)
La stase dans les archives fossiles constitue un embarras pour les évolutionnistes pour une seule raison. Cette absence de changement chez les êtres vivants démontre, en effet, l'invalidité de la théorie de l'évolution et vient confirmer le fait de la création.
CREVETTE MANTE OU SQUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Les crevettes-mantes inchangées depuis le carbonifère (354 à 290 millions d'années) sont une des formes de vie remettant en question le darwinisme, puisque aucune explication évolutionniste ne permet de clarifier qu'une créature reste identique depuis 300 millions d'années.
La crevette-mante ici représentée date de 95 millions d'années. Pourtant elle s'avère tout à fait similaire aux spécimens existant aujourd'hui.
POISSON-GLOBE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Tous les fossiles de poissons-globes mis au jour au cours des 150 dernières années sont identiques à leurs homologues vivant aujourd'hui. Si la théorie des évolutionnistes était vérifiée, alors un grand nombre de fossiles de poissons semi-développés auraient dû être découverts. Or, on n'a pas encore pu mettre la main sur un spécimen du genre, parce que ces formes intermédiaires n'ont jamais existé. Le fossile de poisson-globe ici en photo remonte à 95 millions d'années et témoigne du fait que les poissons-globes ont toujours existé en tant que poissons-globes.
HOMARD Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Il n'est plus possible de dissimuler les preuves concrètes (en l'occurrence les fossiles) réfutant le darwinisme. Les évolutionnistes aptes à évaluer les découvertes scientifiques modernes de façon impartiale reconnaissent eux-mêmes à quel point les archives fossiles s'opposent à la théorie de l'évolution.
Dans son livre In search of deep time, Henry Gee affirme qu'aucune accumulation de preuve en faveur de la théorie de l'évolution n'existe dans les archives fossiles et qu'au contraire, les preuves disponibles sont interprétées par les évolutionnistes à la lumière de leurs propres idées préconçues :
"Nombre des hypothèses que nous faisons à propos de l'évolution, en particulier à propos de l'histoire de la vie telle qu'indiquée par les archives fossiles, n'ont cependant aucune base." (Henry Gee, In search of deep time, Ithaca: Cornell University Press, 1999, pp.1-2)
HIPPOCAMPE Age : 5 à 1,8 millions d'années
Période : Pliocène
Localisation : Formation Marecchia River, Italie
Les hippocampes ont toujours existé sous la forme que nous leur connaissons. Ils ne descendent pas d'une autre forme de vie et ne se sont pas non plus transformés en une autre espèce. Ce fossile, preuve de l'immuabilité de ces créatures depuis des millions d'années, indique clairement que l'évolution est un mensonge. L'origine de la vie n'a rien à voir avec l'évolution. Allah, le Tout-Puissant et l'Omniscient, créa l'univers et tout ce qu'il contient.
CREVETTE-MANTE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Aucune fouille entreprise à ce jour n'a permis de mettre la main sur le moindre spécimen d'ancêtre présumé de la crevette-mante. Aucune découverte n'indique, par ailleurs, que la crevette-mante a subi un processus d'évolution. Chaque fossile mis au jour démontre plutôt que la crevette-mante a toujours existé sous la forme de crevette-mante, sans avoir subi le moindre changement en l'espace de millions d'années.
Le spécimen de crevette-mante ici en photo date de 95 millions d'années.
POISSON-GLOBE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
La publication régulière d'articles pro-évolution dans la presse ainsi que la diffusion de programmes et documentaires évolutionnistes à la télévision indiquent non pas que le darwinisme est un point de vue scientifique mais l'intensité des efforts infatigables employés à défendre cette théorie sur le plan idéologique. Le darwinisme est le fondement dit scientifique du matérialisme et de l'athéisme.
Quiconque reconnaît l'invalidité de darwinisme ne peut soutenir le matérialisme et l'athéisme. Or, malgré les données scientifiques jouant contre la théorie de l'évolution, ces preuves sont ignorées et le darwinisme continue à être défendu par des mensonges et des contrefaçons.
Des fossiles par millions sont l'une de preuves que les évolutionnistes refusent de reconnaître. Chacun d'entre eux, comme par exemple ce fossile de poisson-globe datant de 95 millions d'années, est un signe clair de la création. Tous les fossiles montrent systématiquement que les êtres vivants n'ont jamais évolué et qu'Allah en est le créateur.
Il s'agit d'un fossile dont les traces sont visibles sur les deux surfaces de la roche.
PASTENAGUE (positif et négatif) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
La science prouve que les idées évolutionnistes à propos de l'origine de la vie ne sont que des balivernes et a donc contribué à l'effondrement de la théorie de l'évolution en général.
La réfutation de la théorie de l'évolution est particulièrement liée à l'absence de formes intermédiaires dans les archives fossiles. En effet, chaque fossile mis au jour témoigne du fait que les espèces vivantes sont apparues pourvues de leurs traits caractéristiques propres et qu'elles n'ont jamais subi de transformation. La pastenague datant de 95 millions d'années ici représentée indique qu'il n'y a aucune différence entre ce fossile et ses homologues d'aujourd'hui : les raies sont restées les mêmes depuis leur première apparition dans les archives fossiles.
CRINOIDE Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Formation Solnhofen, Allemagne
La richesse des archives fossiles renvoie les évolutionnistes à un sérieux dilemme. Ces fossiles présentent une image riche et détaillée à ces individus peu disposés à comprendre l'origine de la vie. Les êtres vivants sont apparus dotés de structures différentes, séparément, à un moment donné, sans trace d'une forme évolutionniste intermédiaire imaginaire les précédant.
La crinoïde de 150 millions d'années en photo est l'une des preuves en question.
CREVETTE-MANTE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les hypothèses de Darwin concernant l'origine de la vie ne reposaient pas sur des découvertes scientifiques ni sur des expériences. Malgré cela, et avec le soutien et les encouragements des biologistes matérialistes de l'époque, il élabora une théorie. Selon son point de vue, tous les êtres vivants descendent d'un ancêtre primitif unique, après avoir subi une série de changements légers sur une très longue période.
Cette hypothèse n'a trouvé d'appui dans aucune donnée scientifique concrète, que ce soit du temps de Darwin ou aujourd'hui. Au contraire, tous les fossiles déterrés à ce jour révèlent que les êtres vivants sont restés inchangés depuis des dizaines voire des centaines de millions d'années. Sa théorie s'est désagrégée face aux preuves scientifiques comme ce fossile de crevette-mante datant de 95 millions d'années.
POISSON-GLOBE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Dans les archives fossiles, il est possible de rencontrer parfois les restes d'êtres vivants présentant les caractéristiques d'une autre espèce. Les darwinistes, interprétant ces éléments à la lumière de leurs préjuges, prétendent que ces fossiles confirment leurs théories. Or c'est une erreur dans la mesure où la présence d'un trait similaire à une autre espèce ne permet pas de conclure l'existence de formes intermédiaires.
L'ornithorynque vit par exemple en Australie et bien qu'il s'agisse d'un mammifère, il pond des œufs comme les reptiles. Par ailleurs, son bec fait penser à celui des oiseaux. Les scientifiques qualifie l'ornithorynque de "forme mosaïque". Même les évolutionnistes majeurs reconnaissent qu'il ne peut être considéré comme une forme intermédiaire.
Au lieu de s'engager dans des interprétations douteuses sur les formes mosaïques, les darwinistes ont plutôt besoin de preuves concrètes expliquant que les espèces descendent les unes des autres par voie de changements légers incrémentés. Cette quête risque de durer à jamais puisque un tel processus n'a jamais eu lieu.
POISSON-CASTOR Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Carrière de Messel, Allemagne
La théorie de l'évolution ne s'appuie pas sur des faits scientifiques mais sur des scénarii inventés et de la propagande. Il est impossible de trouver des fossiles défendant cette théorie. Les darwinistes ont imaginé une histoire naturelle fantaisiste et ont ensuite tenté de trouver des fossiles la corroborant. Or tous les fossiles découverts remettent en question toujours plus la théorie de l'évolution.
Le fossile de poisson-castor ici représenté date de 50 millions d'années. Ses dents acérées ont parfaitement été préservée tandis que son squelette se révèle identique aux spécimens vivant aujourd'hui.
Les hippocampes se fixent généralement aux plantes avec leur queue. Dépourvus de nageoires caudales, ils nagent à la verticale grâce à leur nageoire dorsale en remplissant d'air leurs poches de flottaisons de façon très rapide.
Ici est représenté un hippocampe fossilisé découvert dans les gisements rocheux au nord de l'Italie. Cet hippocampe datant du miocène présente exactement les mêmes organes et structures - squelette, poches de flottaison et branchies - que les hippocampes actuels. Ils sont, en somme, restés identiques depuis leurs premières apparitions dans les archives fossiles et réfutent fondamentalement le principe évolutionniste.
COELACANTHE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
En1938, les darwinistes subirent un terrible revers avec la capture d'un cœlacanthe vivant, un poisson supposé prouver depuis longtemps la transition des vertébrés de la mer vers la terre. Dans les années qui suivirent, quelques 200 cœlacanthes furent péchés. En 1987, le professeur Hans Fricke de l'Institut Max Planck observa ces créatures dans leur habitat naturel à une profondeur de 200 mètres au large des Comores, grâce au sous-marin Geo. Il remarqua que les nageoires osseuses n'avaient aucun lien fonctionnel avec les membres permettant aux tétrapodes de marcher.
Le numéro d'avril 2003 du magazine Focus proposait un compte-rendu de ces recherches :
"Les nageoires flexibles n'avaient pas de fonctions similaires à celles des vertébrés terrestres à quatre pattes. Elles permettaient à la créature de nager la tête en bas et dans toutes les directions, même en arrière." (Focus, avril 2003)
En raison de ses structures inchangées depuis 400 millions d'années, le cœlacanthe met les évolutionnistes dans une situation très difficile.
N'oublions pas qu'en dépit des mouvements continentaux s'étant produits au cours de ces 400 millions d'années, le cœlacanthe n'a jamais changé.
Les cœlacanthes indiquent, en outre, un profond fossé entre les formes de vie marines et terrestres, où la théorie de l'évolution suppose un lien transitionnel.
3
PASTENAGUE (positif et négatif) L'ATLAS DE LA CREATION Volume 3 PASTENAGUE (positif et négatif) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Ce fossile de pastenague datant de 95 millions d'années révèle que ces poissons n'ont subi aucun changement depuis leur apparition sur terre. Il contribue à remettre en question l'appui que représenteraient les fossiles pour la théorie de l'évolution.
De nombreux livres et articles scientifiques ont révélé l'invalidité des idées évolutionnistes. L'impossibilité de mettre la main sur la forme intermédiaire dont avait rêvé Darwin et l'apparition soudaine sur terre des différents groupes vivants avec chacun leurs caractéristiques uniques dans les archives fossiles font le consensus chez les scientifiques, même chez les paléontologues évolutionnistes.
Niles Eldredge, par exemple, admet que les paléontologues évolutionnistes sont tout à fait conscients du manque de formes intermédiaires et de la stase (le fait que les espèces vivantes sont restées inchangées) dans les archives fossiles et ces preuves sont ignorées :
"Chaque nouvelle génération, semble-t-il, produit quelques jeunes paléontologues avides de documenter des exemples de changement évolutionniste chez leurs fossiles. Les changements qu'ils cherchent toujours sont, bien-sûr, du type progressif graduel. Le plus souvent leurs efforts sont vains, leurs fossiles au lieu de présenter le schéma attendu semblent rester virtuellement inchangés… Ce conservatisme extraordinaire semble, au paléontologue en quête du changement évolutionniste, traduire qu'aucune évolution n'a eu lieu. Ainsi les études documentant la persistance conservatrice plutôt que le changement évolutionniste graduel étaient considérées comme des échecs et la plupart du temps n'étaient même pas publiées. La plupart des paléontologues étaient conscients de la stabilité, de l'absence de changement que nous appelons la stase." (Extrait de Niles Eldredge, Evolutionary tempos and modes : a paleontological perspective, dans l'anthologie What Darwin began : modern darwinian and non-darwinian perspectives on evolution [éd. Godfrey, 1985], cité dans le livre Darwin on trial de Phillip E. Johnson, Regnery Gateway, 1991, pp. 58-60)
Ce fossile a laissé des traces sur les deux côtés de la surface rocheuse.
POISSON-GUITARE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les nombreuses preuves accumulées par la paléontologue depuis des années confirment que les êtres vivants n'ont jamais évolué. Le fossile ici représenté fait partie de ces preuves que les évolutionnistes choisissent d'ignorer. Il s'agit d'un fossile de poisson-guitare datant de 95 millions d'années dont le squelette a largement été préservé. La tête et les branchies se devinent parfaitement.
Confrontés à ce fossile identique aux poissons-guitares actuels, les évolutions n'ont pas la moindre explication valide à proposer. Ils se contentent donc de tromper le public à travers leur démagogie.
POISSON PIPE Age : 40 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Wyoming, USA
Les poissons pipe, de la famille syngnathidés, n'ont pas de dents et leur museau est de forme allongée. Ceux qui vécurent il y a des centaines de millions d'années présentaient exactement les même caractéristiques que ceux vivant aujourd'hui. Néanmoins, les évolutionnistes continuent à attribuer au hasard et au processus de l'évolution l'apparition du poisson pipe (et de toutes les autres formes de vie), malgré l'absence de preuves dans ce sens. Il existe en revanche des millions de preuves, comme celle ici représentée en photo, qui indiquent que l'hypothèse de l'évolution est fausse.
POISSON-GLOBE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les publications darwinistes ne contiennent aucune explication reposant sur des preuves scientifiques. Les dilemmes fondamentaux contredisant la théorie de l'évolution sont balayés en quelques phrase, alors que de nombreux scénarii fantastiques sont imaginés et présentés comme factuels.
Les évolutionnistes prétendent constamment que les êtres vivants se sont développés de façon progressive d'une espèce à une autre mais gardent le silence quand des preuves solides sont exigées. Ainsi les évolutionnistes sont très prolifiques dans leur explication de l'évolution des poissons.
Selon eux, les poissons auraient été forcés de passer sur terre en raison de la disparition des mers pour devenir des reptiles. En revanche, quand il s'agit d'apporter des de preuves fossiles de ce qu'ils avancent, les évolutionnistes gardent un profil bas.
Malgré toutes les recherches entreprises au cours des 150 dernières années, les darwinistes n'ont pas réussi à mettre la main sur un seul spécimen de forme intermédiaire. Tous les fossiles découverts à ce jour démontrent que la vie est apparue soudainement, et donc que les espèces furent créées, qu'elles n'ont jamais changé et qu'elles n'ont subi aucune évolution.
POISSON-AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Les évolutionnistes qui persistent à défendre l'idée selon laquelle "les espèces descendent les unes des autres" se retrouvent démunis face aux archives fossiles parce qu'ils ne disposent pas de la moindre preuve. Le fossile de cette orphie ici représenté prouve que cette créature est restée inchangée depuis 95 millions d'années. Ce poisson de la famille des Belonidae ne diffère pas des spécimens existant aujourd'hui.
CREVETTE-MANTE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
La théorie de l'évolution est une hypothèse. Afin de rendre scientifique cette hypothèse, elle doit être testable ou alors confirmée par des découvertes. Or, les fantaisies évolutionnistes ne répondent pas à ces critères. Les fables que racontent depuis si longtemps les darwinistes n'ont aucune valeur scientifique : qu'il s'agisse de la transformation des invertébrés en vertébrés, du passage forcé des poissons vers la terre à cause de l'assèchement des océans ou de l'apparition des ailes chez les dinosaures parce qu'ils chassaient les mouches. Aucune de ces histoires n'aura de sens tant que des fossiles de créatures mi-invertébrées/mi-vertébrées, mi-poissons/mi-reptiles ou mi-dinosaures/mi-oiseaux ne seront pas découverts.
Les évolutionnistes sont incapables de dévoiler le moindre fossile du genre, alors que le nombre toujours croissant de fossiles, notamment cette crevette-mante de 95 millions d'années démontre que l'évolution n'a jamais eu lieu.
POISSON-GLOBE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Ce poisson-globe fossilisé fait partie des données démontrant que les êtres vivants n'ont jamais évolué. Le squelette de ce poisson datant de 95 millions d'années préservé presque entièrement ne présente aucune différence avec le squelette de poissons-globes d'aujourd'hui. Pourtant les évolutionnistes ignorent ce fait et défendent l'hypothèse que les poissons descendent d'organismes marins invertébrés, une idée sans assise scientifique.
Les archives fossiles montrent que l'évolution est une théorie sans fondements et n'ont de cesse de le rappeler aux darwinistes. Les fossiles pointent en effet vers la création et non l'évolution des êtres vivants.
CALMAR Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Le calmar est un mollusque marin de la classe des céphalopodes. Cette photographie montre un fossile de calmar de 95 millions d'années ne présentant aucune différence avec les spécimens actuels. La poche de pigment en dessous de la peau est même visible chez ce fossile.
Si les concepts évolutionnistes étaient justes, alors le calmar aurait dû avoir subi de nombreuses transformations au cours des millions d'années et nous disposerions de spécimens fossiles documentant les étapes de son évolution. Or chaque fossile mis au jour indique que le calmar n'a pas changé depuis des millions d'années.
SARDINE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nammoura, Liban
Cette sardine fossilisée de 95 millions d'années apporte une réponse claire aux concepts fictifs des évolutionnistes. Sa nature caractère identique aux spécimens de sardines actuels au niveau du squelette et des nageoires remet en question la théorie de l'évolution du poisson. Elle prouve, par ailleurs, qu'Allah créa les formes de vie et que ces dernières n'ont subi aucune transformation depuis leur création.
CREVETTE-MANTE ET ANGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les données et découvertes scientifiques montrent que les anguilles ont toujours existé en tant qu'anguilles et que les crevettes-mantes aussi.
Elles n'ont pas d'ancêtres dits primitifs puisqu'elles ne sont passées par aucune étape intermédiaire d'évolution depuis leur création.
POISSON-GLOBE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Liban
Le poisson-globe a traversé des millions d'années sans changements. Les évolutionnistes ne pourront jamais expliquer pourquoi ce poisson-globe ayant vécu il y a 95 millions d'années est identique à ses homologues actuels. En cela, les fossiles témoignent de la création d'Allah.
Bien qu'étant un partisan de la théorie de l'évolution, le paléontologue britannique Derek W. Ager avoue :
"Le point émerge que, si nous examinons les archives fossiles en détails, que ce soit sur le plan des ordres ou des espèces, nous trouvons encore et toujours non pas l'évolution graduée, mais l'explosion soudaine d'une groupe aux dépens d'un autre." (Derek W. Ager, The nature of the fossil record, Proceedings of the British Geological Association, vol. 87, 1976, p. 133)
POISSON-AIGUILLE (positif et négatif) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nammoura, Liban
Avec son corps fin, sa mâchoire allongée similaire à celle de l'espadon et ses dents acérées, le poisson-aiguille n'a connu aucun changement en l'espace de 95 millions d'années. Cette nature inchangée, récurrente chez toutes les espèces vivantes des archives fossiles relève de la stase, problème majeur des darwinistes.
Peter Williamson de l'Université d'Harvard résume cette situation inattendue parmi les darwinistes :
"Le problème principal est la stase morphologique. Une théorie est seulement aussi bonne que ses prédictions et le néo-darwinisme conventionnel qui prétend être une explication globale du processus évolutionniste ne réussit pas à prédire la stase morphologique répandue sur le long terme désormais reconnu comme l'un des aspects les plus frappants des archives fossiles." (Peter G. Williamson, "Morphological stasis and developmental constraint: real problems for neo-darwinism", Nature, vol. 294, 19 novembre 1981, p. 214)
Ce fossile se compose d'une planche positive et négative.
CREVETTE-MANTE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les données scientifiques révèlent que l'évolution n'a jamais eu lieu. Le fossile de crevette-mante ici représenté illustre ce fait que les évolutionnistes tentent de dissimuler. Il n'y a en effet aucune différence entre ce fossile et les crevettes-mantes existant aujourd'hui. La crevette-mante utilise ses appendices similaires à des bras repliés sur son thorax afin de se nourrir. Chacun est pourvu de crochets. Le second particulièrement grand sert à frapper et à maintenir sa proie. On appelle ces créatures les crevettes-mantes en raison de la ressemblance étroite entre le second appendice et les pinces de la mante-religieuse. Selon les espèces, ces appendices sont soit en harpon ou en marteau. Une grosse crevette-mante peut avoir la puissance de frappe d'un balle de calibre 22. ("Seeing the world in many colors", site web de l'Université de Maryland http://www.umbc.edu/gradschool/research/profile_11.html)
POISSON-GUITARE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
S.M. Stanley de l'Université Johns Hopkins affirme : "Il est douteux qu'en l'absence de fossiles, l'idée d'une évolution représenterait plus d'une outrageante hypothèse." (S.M. Stanley, Les fossiles, les gènes et les origines des espèces du nouveau calendrier évolutionniste (The new evolutionary timetable fossils, genes and the origins of species), New York : Basic Books, Inc. 1981, p.72) En ses termes, il souligne l'importance des archives fossiles pour la théorie de l'évolution.
Comme vous pouvez le voir, les évolutionnistes majeurs reconnaissent que la nature déficiente des archives fossiles pose un sérieux problème à leur théorie. Le poisson-guitare remontant à 95 millions d'années ici représenté illustre les propos du professeur Stanley.
MAQUEREAU (positif et négatif) Age : 110 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les maquereau du sous-ordre Scombroidei sont des nageurs rapides et vivent en bancs. Ce fossile de 110 millions d'années s'avère identique aux maquereaux actuels. Il en va de même pour fossiles de poissons, de plantes, de mammifères et d'oiseaux qui présentent exactement les mêmes traits que leurs homologues actuels.
POISSON-AIGUILLE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nammoura, Liban
Un grand nombre de poissons-aiguilles sont disponibles dans les archives fossiles. Des spécimens de la même espèce vivant aujourd'hui sont la preuve que les êtres vivants n'ont jamais évolué.
Ces photos montrent les fouilles de fossiles menées dans la formation Hage au Liban. Après 150 années de recherches de ce type, des millions de fossiles appartenant à des centaines de milliers d'espèces ont pu être déterrées. Pas un seul ne laisse sous-entendre un processus d'évolution. Les espèces apparaissent dans les archives fossiles avec leurs caractéristiques propres pleinement formées et développées. Cela indique que le scénario darwiniste du développement gradué d'un état primitif vers un état plus avancé n'a jamais eu lieu.
ELOPIDAE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les évolutionnistes considèrent que "les espèces sont le résultat d'une évolution progressive", mais une fois de plus leur théorie est réfutée par les fossiles, notamment celui d'Elopidae datant de 95 millions d'années ici représenté. Ce poisson présentait déjà le même squelette il y a des millions d'années que ses homologues actuels. Qu'est-ce que cela signifie ? Simplement que les êtres vivants n'ont jamais évolué, mais qu'ils furent créés.
POISSON-BANANE (positif et négatif) Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nammoura, Liban
Le poisson-banane datant de 95 millions d'années ici représenté fait partie de la famille des Albulidae, du sous-ordre des Elipoidei. Il s'avère être identique aux poissons-bananes d'aujourd'hui.
Depuis quelques 150 années, des fouilles en quête de fossiles sont entreprises aux quatre coins du monde. C'est pourquoi nous disposons aujourd'hui de millions de fossiles. Pourtant, aucun spécimen de créature mi-invertébré/mi-poisson ou mi-poisson/mi-crocodile n'a été découvert. Ce vide ne permet pas de confirmer les théories évolutionnistes à propos des fossiles de formes intermédiaires. En effet, chaque fossile mis au jour témoigne de la nature inchangée des êtres vivants tout au long de leur durée de vie sur terre. Cela prouve clairement qu'Allah créa les êtres vivants.
Ce fossile a laissé des empreintes sur les deux faces de la roche fendue.
POISSON-SCIE Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Rien ne distingue les spécimens actuels de ce poisson-scie remontant à 95 millions d'années, ce qui place les évolutionnistes dans une situation relativement inconfortable. Notre Seigneur Tout-Puissant créa des espèces distinctes, qui ont survécu jusqu'à nos jours.
OURSIN DE MER Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nammoura, Liban
L'oursin de mer est l'un des quelques centaines de millions de fossiles réfutant la théorie de l'évolution. Cet oursin de mer remontant à 95 millions d'années suffit à remettre en question les idées des évolutionnistes, qui ne peuvent plus désormais tromper le public avec leur démagogie, leurs contrefaçons et leurs spéculations de toutes sortes car les données scientifiques et en particulier les archives fossiles sont accessibles désormais.
Quelles valeurs ont les spéculations évolutionnistes en présence de cet oursin inchangé depuis 95 millions d'années.
REQUIN-CHAT Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Les requins-chats ayant existé il y a des millions d'années présentaient les mêmes traits que leurs homologues actuels, comme le confirme le fossile de requin-chat datant de 95 millions d'années.
Allah créa le requin-chat et les autres êtres vivants sous la forme que nous leur connaissons. Aucun d'entre eux n'a subi de processus évolutif.
SPECIMENS DE FOSSILES DE VEGETAUX GRAINES DE MICOCOULIER Age : 54 à 37 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Montagnes Hart, Wyoming Centre Nord, Etats-Unis
Cet arbre du genre Celtus pousse sous des climats tempérés.
Les graines de micocoulier ici en photo datent d'environ 50 millions d'années. Elles incarnent la preuve que l'évolution n'a jamais eu lieu. Cet arbre a toujours existé en tant que micocoulier et comme toutes les autres espèces végétales, il n'a pas connu d'étapes intermédiaires de développement. Il ne descend d'aucune autre espèce et ne s'est pas non plus transformé en une autre espèce.
Les évolutionnistes sont, en réalité, bien conscients de l'absence de fossiles de formes intermédiaires passibles de prouver l'évolution chez les végétaux. George Gaylord Simpson, l'un des fondateurs du néo-darwinisme, reconnaît cet état de fait :
"Cette absence régulière de formes transitionnelles ne se limite pas aux mammifères, mais constitue un phénomène pratiquement universel, comme l'ont remarqué depuis longtemps les paléontologues. C'est vrai pour presque toutes les classes d'animaux, qu'ils soient vertébrés ou invertébrés… C'est vrai pour les classes, et pour les phyla principaux d'animaux et c'est apparemment vrai pour les catégories analogues de plantes." (George G.
Simpson, Tempo and mode in evolution, New York: Columbia University Press, 1994, pp. 105, 107) (soulignement ajouté)
Les séquoias qui poussent actuellement en Amérique du Nord peuvent atteindre plus de 100 mètres de hauteur. Un nombre incroyable de fossiles montre que le feuillage de ces arbres est resté identique depuis de dizaines de millions d'années. Le fossile en photo date de 140 millions d'années. Ce genre d'exemples condamne à un profond silence les évolutionnistes incapables d'expliquer de façon scientifique l'origine et la variété des végétaux.
D'une part, chaque espèce végétale apparaît de façon soudaine dans les archives fossiles et pourvue de toutes ses caractéristiques propres. D'autre part, ces traits sont immuables depuis des millions d'années. Ces deux éléments mènent directement à la création d'Allah Tout-Puissant.
FEUILLE DE FOUGERE GRIMPANTE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Wyoming, Etats-Unis
Les contrefaçons, les déformations et les fossiles mis en avant comme preuve de l'évolution par les darwinistes jouent, en fait, contre la théorie. David Berlinski, mathématicien de l'université de Princeton et un opposant de la théorie, explique comment les découvertes fossiles réfutent l'évolution :
"…Il existe des fossés dans le cimetière fossile, là où il devrait y avoir des formes intermédiaires, mais il n'y a rien de tel. Aucun paléontologue… ne nie qu'il en est ainsi. Il s'agit simplement d'un fait. La théorie de Darwin et les archives fossiles se contredisent." (David Berlinsky, Controversy : denying Darwin, Commentary, Septembre 1996, p. 28)
La feuille de fougère grimpante est l'un de ces fossiles. Elle démontre, en effet, que les fougères grimpantes ayant existé il y a 50 millions d'années sont identiques aux spécimens de fougère grimpante d'aujourd'hui, réfutant ainsi les concepts évolutionnistes.
FEUILLE D'ALLOPHYLUS Age : 54 à 37 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Douglas Pass, Colorado, Etats-Unis
Ces plantes de la famille des polémoniales font partie de ces êtres vivants qui remettent en question la théorie de l'évolution par la nature inchangée de leur structure depuis des millions d'années. Les darwinistes persistent à défendre leur théorie car ils ne tiennent pas compte de l'importance des découvertes fossiles, dont la totalité témoigne de l'inexistence de l'évolution.
Les évolutionnistes n'ont jamais pu intégrer le fait qu'aucun fossile de forme intermédiaire n'a été mis au jour et s'accrochent à leurs mêmes théories dépassées. Cependant, ils ne peuvent plus continuer à raconter des mensonges au public désormais bien informé sur le sujet.
FEUILLE DE PEUPLIER Age : 54 à 37 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Ce fossile prouve que les peupliers ne sont pas les descendants d'une autre espèce végétale et qu'ils ont toujours existé sous l'aspect que nous leur connaissons aujourd'hui. L'exactitude de la ressemblance entre les peupliers ayant existé il y a 50 millions d'années et leurs homologues actuels est une solide preuve de la création. Le concept d'évolution s'avère n'être qu'une invention de l'imagination.
FEUILLE DE CEDRE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Cache Creek, Kamloops, Colombie Britannique, Canada
Ce fossile-ci indique que les cèdres, une variété de conifère à feuilles persistantes, n'ont pas changé au cours des 50 derniers millions d'années et souligne l'inexactitude des idées évolutionnistes. Charles Darwin prétendait qu'un processus d'évolution avait permis à toutes les formes de vie de se développer progressivement à partir d'un ancêtre commun unique et ce sans exception. Pourtant, les archives fossiles traduisent tout à fait le contraire. Les restes de formes de vie disparues ou toujours existantes ne présentent aucun lien généalogique entre les espèces comme le stipulait la théorie de Darwin. Chaque fossile connu se caractérise par des traits uniques.
Le milieu naturel est divisé en groupes très différents dont les variations structurelles sont immenses.
Parc national de Colombie Britannique
FEUILLE SUMAC Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Les découvertes fossiles réfutant le plus clairement l'idée de l'évolution des plantes sont celles des plantes florissantes. Ces angiospermes sont divisés en 43 familles distinctes, dont chacune émerge de façon soudaine dans les archives fossiles sans trace antécédente de "forme intermédiaire".
Depuis le 19ème siècle, cette vérité est connue. D'ailleurs Darwin qualifiait l'origine des angiospermes de "mystère abominable". Dans son livre Paléobiologie des origines angiospermes (Palaeobiology of angiosperm origins), le paléobotaniste évolutionniste Norman F. Huges fait l'aveu suivant :
"L'échec à trouver une explication satisfaisante a persisté et de nombreux botanistes ont conclu que le problème ne disposait pas de solution, en termes de preuve fossiles." (N.F. Huges, Palaeobiology of angiosperm origins: problems of mesozoic seed-plant evolution, Cambridge: Cambridge University Press, 1976, pp. 1-2)
Cet aveu considère qu'aucun fossile susceptible de servir de preuve de l'évolution n'a été découvert et ne sera jamais découvert. Comme en témoigne ce fossile de sumac datant de 50 millions d'années, les plantes n'ont pas évolué mais elles furent créées.
FEUILLE D'EUPHORBE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Dans son article L'évolution des plantes florissantes (The evolution of flowering plants), le paléobotaniste Daniel Axelrod commente de la sorte l'origine des plantes florissantes :
"Le groupe ancestral qui donne naissance aux angiospermes na pas encore été identifié dans les archives fossiles, et aucun angiosperme vivant ne pointe ver une telle alliance ancestrale." (D.I. Axelrod, "The evolution of flowering plants", dans Evolution after Darwin: vol.1: The evolution of life), éd. S.Tax, Chicago, IL: University of Chicago Press, 1960, pp. 264-274)
Les recherches de fossiles des 150 dernières années n'ont pas permis de mettre la main sur un seul fossile pouvant passer pour l'ancêtre des plantes fleurissantes, ce qui réfute la théorie darwiniste selon laquelle les végétaux descendent les uns des autres à travers d'infimes changements sur de très longues périodes de temps.
Cette feuille d'euphorbe fossilisée depuis 50 millions d'années indique justement que les plantes n'ont jamais subi de transformations malgré les dizaines de millions d'années passées. En somme, elle témoigne de l'inexistence du processus d'évolution.
CARDIOSPERME Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Il y a 150 ans, Darwin décrivait un problème crucial auquel la théorie de l'évolution devait faire face :
"Rien n'est plus extraordinaire dans l'histoire du règne végétal, me semble-t-il, que le développement apparemment très soudain ou abrupt des plantes [de taxonomies] supérieures" (Francis Darwin, The life and letters of Charles Darwin, de Charles Darwin à J.D. Hooker, 6 août 1881, p. 248)
La référence de Darwin au développement soudain des plantes reconnaît que les espèces végétales ne sont pas nées progressivement, suite à une incrémentation de changements. Cela signifie autrement dit qu'il n'y a pas de preuve de leur évolution. Dans la mesure où Darwin lui-même était conscient de l'inadéquation entre les fossiles végétaux et la théorie de l'évolution, pourquoi les évolutionnistes contemporains continuent-ils à insister sur le mythe de "l'évolution des plantes" ?
FEUILLE DE PEUPLIER Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
La question de l'évolution de la première cellule végétale mène invariablement les partisans du scénario évolutionniste vers une impasse. Comment le premier élément végétal est-il né d'une cellule unique ? Comment des milliers d'espèces de plantes ont-elles pu naître de ce premier être végétal ? Aucun fossile de forme intermédiaire ne vient documenter un tel processus. Nulle part il n'y a la trace de plantes primitives pourvues d'organes et de systèmes semi-développés. Nulle part il n'y a une preuve laissant croire qu'une espèce végétale ait pu être l'ancêtre d'une autre. Au contraire, les fossiles témoignent de l'apparition soudaine et individuelle des espèces végétales, dans toute leur complexité. Les fossiles sont en cela la preuve que les êtres du règne végétal sont restés inchangés aussi longtemps qu'ils ont survécu.
Ce fossile de feuille de peuplier datant de 50 millions d'années illustre bien nos propos puisqu'il s'avère identique aux feuilles de peuplier d'aujourd'hui.
Formation Green River, Utah, Etats-Unis
FEUILLE DE CHENE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Comme en témoignent les fossiles, les espèces végétales ont été créées dans leurs formes spécifiques et originales, totalement différentes les unes des autres et sans aucun lien évolutionniste entre elles. Le paléontologue évolutionniste E.C. Olson reconnaît d'ailleurs : "De nombreux groupes nouveaux de plantes et d'animaux apparaissent soudainement, et apparemment sans ancêtres proches." (E.C. Olson, The evolution of life, New York: The New American Library, 1965, p. 94)
La feuille de chêne ici représentée remonte à 50 millions d'années. Ce fossile prouve qu'effectivement les feuilles de chênes ont toujours existé sous la même forme depuis les 50 derniers millions d'années et réfute donc le concept d'évolution.
Formation Green River, Utah, Etats-Unis
FEUILLE DE SAULE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Formation Green River, Utah, Etats-Unis
Les saules ont toujours existé sous la forme que nous leur connaissons tout au long de l'histoire géologique. Ils ne descendent pas d'une autre créature végétale ni ne se sont transformés en une autre espèce à travers leur longue existence. En outre, les archives fossiles ne présentent pas de trace d'espèce "mi-saule/mi-chêne" ou "mi-saule/mi-érable" parce que de telles formes intermédiaires n'ont jamais existé.
La feuille de saule datant de 50 millions d'années ici en photo montre clairement que le principe d'évolution chez les plantes est purement fantaisiste. Les fossiles témoignent du fait que des processus évolutifs n'ont jamais eu lieu et que l'origine de la vie est à attribuer à la création.
FOUGERE (positif et négatif) Age : 300 millions d'années
Période : Carbonifère
Localisation : Mazon Creek, Illinois, Etats-Unis
Les découvertes paléontologiques démontrent que les fougères, comme le reste des êtres vivants, ne sont pas issues de l'évolution, mais qu'au contraire elles furent créées. Nombre de scientifiques contemporains reconnaissent que les archives fossiles contribuent à valider la création plutôt que l'évolution et que l'existence des formes de vie intermédiaires se cantonne à l'imagination des évolutionnistes. L'évolutionniste Hoimar von Ditfurth, auteur d'Im Anfang war der Wasserstoff dit :
"Lorsque nous regardons en arrière, nous voyons qu'il est inutile d'être surpris par notre échec à trouver une quelconque forme intermédiaire recherchée de façon quasi-douloureuse. Parce que selon toutes les probabilités, une telle étape intermédiaire n'a jamais existé."
Ce fossile de fougère datant de 300 millions d'années vient corroborer le commentaire de von Ditfurth.
En dépit des fouilles entreprises et des moyens considérables engagés au cours des 150 dernières années, rien de ce qui a été mis au jour ne vient défendre la théorie de l'évolution. Si un processus dit d'évolution avait eu lieu, de nombreuses traces auraient dû être découvertes. Depuis l'époque de Darwin, les scientifiques reconnaissent qu'il devrait y avoir un grand nombre de preuves, mais à ce jour rien de tel n'a été découvert.
Par ailleurs, les fossiles témoignent de la vérité manifeste de la création. Le spécimen ici représenté est celui d'un hêtre. Il nous rappelle que les hêtres n'ont subi aucun changement en l'espace de 50 millions d'années.
FOUGERE Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
Il existe près de 250 espèces de fougères, comme celle-ci ici représentée appartenant au genre Dryopteris. En comparant ce fossile datant d'environ 58 millions d'années à une fougère d'aujourd'hui, on ne remarque aucune distinction.
Ce fossile de 58 millions d'années réfute le mythe de l'évolution des plantes. A l'image des autres êtres vivants, les plantes sont apparues de façon soudaine et n'ont subi aucune transformation au cours des millions d'années qui suivirent. N'est-ce pas là la preuve qu'ils n'ont pas évolué ?
FEUILLE DE CHEVREFEUILLE Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
L'absence de différences entre cette feuille de chèvrefeuille datant de 58 millions d'années et ses homologues actuels suffit à répondre aux théories évolutionnistes.
L'inexistence de fossiles de formes intermédiaires met, en effet, dans l'embarras, les scientifiques épousant le scénario de l'évolution des plantes. Les fossiles de plantes dits "primitifs" avec des systèmes semi-développés n'existent pas. A ce jour, aucune preuve n'a été produite laissant entendre qu'une plante est l'ancêtre d'une autre. Par conséquent, les arbres généalogiques spéculant sur l'évolution des plantes sont purement imaginaires, sans aucun fondement scientifique.
FOUGERE Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
Les fossiles de fougère démontrent qu'aucun processus évolutionniste n'a jamais eu lieu dans la mesure où les fougères sont restées inchangées depuis leur première apparition sur terre. Le fossile de fougère ici représenté n'a, en l'occurrence, pas évolué en l'espace de 58 millions d'années.
Les espèces végétales émergèrent de façon soudaine et indépendamment les unes des autres. Autrement dit, il n'existe aucun lien soi-disant évolutionniste entre elles. Il est effectivement impossible qu'une variété infinie de plantes soit issue d'un seul être végétal. Toutes les plantes sont dotées de caractéristiques propres et uniques, qu'il s'agisse de leurs couleurs, leurs goûts, leurs formes et leurs modes de reproduction. La complexité de leurs mécanismes exclut l'éventualité d'une naissance fortuite, comme le prétendent les évolutionnistes.
FEUILLE DE BOULEAU Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
Bouleau est le nom commun donné aux membres de la famille des Bétulacées. Ces arbres préfèrent les climats tempérés. Leur écorce lisse est généralement de couleur blanche ou gris argenté. Les descendants du bouleau ayant laissé cette feuille fossilisée n'ont ni changé en l'espace de millions d'années, ni évolué. Ils ont préservé leur forme originelle sous laquelle ils furent créés par Allah Tout-Puissant.
FOUGERE Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
Le fossile de fougère sur la photo fait partie des preuves indiquant que les plantes n'ont pas subi d'évolution. Nombre de scientifiques affirment que les plantes ne partagent pas d'ancêtres communs et que toutes les espèces végétales sont apparues sur terre soudainement sans l'intervention d'un processus évolutionniste. Si des espèces antérieures avaient existé, leurs traces devraient être disponibles depuis. En outre, elles devraient permettre d'expliciter à quelle étape les plantes auraient divergé de leur ancêtre supposé. A ce jour, cependant, aucun évolutionniste n'a pu avancer la moindre explication avec des éléments scientifiques à l'appui. Et personne ne le pourra parce que, contrairement à ce que défendent les darwinistes, les plantes n'ont jamais subi de processus d'évolution. Allah Tout-Puissant, l'Omniscient créa toutes les espèces végétales.
Formation Sentinel Butte
FEUILLE DE CHEVREFEUILLE Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
La théorie de l'évolution dépourvue de base scientifique s'aventure, selon certains scientifiques, au delà du domaine de l'imaginaire. Dans un article publié dans le journal Developmental Biology en 1996, les biologistes évolutionnistes Gilbert, Opitz et Raff soulignaient que la théorie de l'évolution de Darwin était insoluble :
"Comme le rappelle Goodwin (1995), "l'origine des espèces - le problème de Darwin - demeure irrésolu." (Scott F. Gibert, John M. Opitz et Rudolf A. Raff, Resynthesizing evolutionary and developmental biology, Developmental Biology, vol. 173, article no. 0032, p. 361)
Ces termes équivalent à l'aveu d'une défaite subie par la théorie de l'évolution en présence de faits scientifiques. La feuille de chèvrefeuille de 58 millions d'années ici représentée témoigne une fois de plus du revers subi par la théorie.
BOULEAU Age : 58 millions d'années
Période : Paléocène
Localisation : Formation Sentinel Butte, Dakota du Nord, Etats-Unis
Il existe actuellement sur terre plus de 500 000 espèces connues de plantes. Les fossiles de ces mêmes espèces sont régulièrement déterrés, prouvant ainsi que les plantes n'ont connu aucun processus d'évolution. Depuis leur première apparition et jusqu'à nos jours, elles sont restées identiques.
Le discrédit de la théorie de l'évolution est désormais reconnu par un nombre significatif de scientifiques, notamment Paul Lemoine, ancien président de la Société de Géologie Française. Il admet, en effet, que les récits évolutionnistes sont insuffisants selon les zoologues et les botanistes ou autrement dit, ces branches de la science rejettent l'évolution :
"Nos jeunes gens engagés dans la recherche liée à la théorie de l'évolution ont été trompés. Un dogme fut établi et il continue à être enseigné dans le monde entier. Les zoologues ou les botanistes ont déterminé qu'aucune explication proposée n'est satisfaisante…. La conclusion de ce résumé est qu'il est impossible que l'évolution a pu avoir lieu. " (Introduction : De l'évolution, Encyclopédie Française, vol. 5, 1937, p. 6)
FEUILLE DE SAPINDUS Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Cette feuille de sapindus fossilisée depuis 95 millions d'années, une nouvelle preuve de la création est inexplicable selon les évolutionnistes. Chaque nouveau fossile mis au jour confirme la réalité de la création et approfondit le dilemme des évolutionnistes.
Ce fossile présente deux faces dont les traces sont imprimées sur les deux côtés de la roche fendue.
FEUILLE DE SAPINDUS Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Haqel, Liban
Aucun fossile découvert à ce jour ne laisse entendre que les feuilles de sapindus ont subi une quelconque évolution. Tous les fossiles de sapindus présentent, effectivement, les mêmes caractéristiques que les sapindus d'aujourd'hui. Les évolutionnistes ne disposent d'aucun élément documentant leur processus dit évolutionniste ou l'existence d'ancêtres communs pour les êtres vivants.
Les archives fossiles indiquent qu'à l'origine, toutes les espèces vivants firent leur apparition sur terre de façon soudaine, événement envisageable qu'à travers la création. L'évolutionniste Douglas Futuyma partage ce point de vue :
"La majorité des groupes principaux apparaissent soudainement dans les roches, sans pratiquement aucune preuve de transition de leurs ancêtres… Les archives fossiles s'avèrent donc inadéquats précisément là où nous en avons le plus besoin : à l'origine des principaux nouveaux groupes d'organismes." (D. Futuyma, Science on trial : the case of evolution, New York : Pantheon Books, 1983, pp. 82-83)
Nammoura, Liban
FEUILLE DE SAPINDUS Age : 95 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Nammoura, Liban
Comme pour le reste des plantes du règne animal, les sapindus ont toujours existé en tant que sapindus. En témoignent d'ailleurs les résultats des fouilles archéologiques. Les nombreux fossiles découverts indiquent que les sapindus remontant à 95 millions d'années ne sont nullement différents des sapindus existant aujourd'hui. Cette immuabilité balaie totalement le concept d'évolution des plantes.
La fréquence des fossiles de fougères renvoie systématiquement à une conclusion unique : les fougères n'ont pas évolué. Aucune plante fossilisée passible d'être l'ancêtre des fougères n'a pu être mis au jour. Les archives fossiles révèlent également que les fougères sont apparues de façon abrupte ; autrement dit elles furent créées.
En dépit des 300 millions d'années écoulées, les fougères n'ont subi aucun changement et ne se sont pas non plus transformées en une autre espèce. Elles ont toujours existé telles que nous le connaissons depuis au moins 300 millions d'années. Cela suffit à démontrer que le concept d'évolution est imaginaire.
SPECIMENS DE FOSSILES D'INSECTES FOURMI Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Les évolutionnistes défendent que les fourmis évoluèrent d'abeilles sauvages il y a quelques 80 millions d'années. Elles auraient subitement commencé à socialiser, "de leur propre volonté" il y a entre 65 et 40 millions d'années. Et elles représenteraient en cela l'échelon le plus élevé de l'évolution des insectes.
Si ces thèses étaient justes, alors la fourmi datant de 50 millions d'années sur la photo devrait être considérablement différente des fourmis actuelles et nous devrions plutôt voir une créature étrange intermédiaire entre les fourmis que nous connaissons et un autre insecte. Ou elle devrait avoir des organes manquants ou semi-développés. Or, aucune différence ne distingue cette fourmi figée dans l'ambre des fourmis actuelles ; ce qui remet totalement en question les dires des évolutionnistes.
ARAIGNEE SAUTEUSE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Les araignées sauteuses se distinguent par leur méthode de chasse : au lieu de tisser une toile et d'attendre leurs proies, elles sautent pour les capturer. Leur capacité est si prodigieuse qu'elles peuvent sauter pour attraper un insecte volant dans les airs à une distance d'un demi mètre. Ce sont ses huit pattes fonctionnant sur les principes hydrauliques qui permettent à l'araignée d'effectuer de tels bonds.
Toutes les araignées sauteuses ont ce don depuis leur première apparition sur terre. D'aucune manière, elles n'ont pu l'acquérir progressivement.
Elles furent créées avec, comme en témoigne ce fossile d'araignée sauteuse datant de 50 millions identique aux spécimens actuels.
LARVE DE PAPILLON Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Lorsque les larves de papillon, ou chenilles, éclosent de leur œuf, elles se nourrissent en premier lieu de l'enveloppe de leur oeuf. L'étape larvaire varie d'espèce en espèce. Tous les papillons ainsi que leurs larves présentent néanmoins les mêmes caractéristiques au cours de l'histoire.
La larve de papillon ici en photo date de 50 millions d'années. Elle est identique aux larves d'aujourd'hui.
ARCHEOGNATHA Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces insectes du sous-ordre des archéognathes de l'ordre des thysanoures habitent généralement les régions rocheuses. Depuis des millions d'années, ils ont survécu sans changer.
Chaque nouveau fossile découvert rend la situation des darwinistes de plus en plus délicate dans la mesure où il vient étayer la réalité de la création. D'innombrables formes de vie et en l'occurrence les archéognathes remettent en question la théorie de l'évolution et témoignent de leur création.
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ARAIGNEE SAUTEUSE L'ATLAS DE LA CREATION Volume 3 ARAIGNEE SAUTEUSE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Certaines espèces d'araignées sauteuses sont maîtres dans l'art du camouflage. L'araignée sauteuse myrmécomorphe imite par exemple les fourmis non seulement dans leur apparence mais aussi dans leur comportement. L'araignée pourvue de deux pattes supplémentaires par rapport à la fourmi soulève ses deux pattes avant de sorte à les faire passer pour des antennes et ressembler de plus près aux fourmis.
Comment cette araignée est-elle capable de comparer son apparence à celle des fourmis ? Par quelle intelligence a-t-elle su comment minimiser les différences entre les deux espèces ?
Les araignées qui existaient il y a des millions d'années possédaient déjà ce don, chose inexplicable par les darwinistes en terme de mécanisme évolutionniste. Il ne fait aucun doute que les araignées, comme tous les autres êtres vivants, agissent sous l'inspiration d'Allah, utilisant les caractéristiques et habiletés qu'Il leur a accordés.
Les deux insectes, à gauche et à droite, sont des fourmis, l'insecte du milieu étant une araignée sauteuse avec deux paires de pattes supplémentaires.
GRANDE ARAIGNEE SAUTEUSE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
De par leur apparence, leur structure, leurs capacités et leurs organes, toutes les espèces d'araignées sauteuses s'avèrent être restées identiques depuis le premier jour de leur existence sur terre. Aucun spécimen de fossile ne semble, en effet, indiquer que les araignées sauteuses sont le résultat d'un long processus de transformation. Au contraire, les fossiles traduisent leur nature immuable depuis des millions d'années. Cette araignée sauteuse remontant à 50 millions d'années préservée dans l'ambre en est l'illustration parfaite.
ARANEIDAE ET MOUCHE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces araignées de la famille des aranéides sont ornées de petits points sur leur dos. Elles ont, en outre, la particularité de tisser des toiles circulaires. L'araignée et la mouche ont été préservées dans l'ambre depuis 50 millions d'années. Leur anatomie et leur structure inchangées depuis des dizaines de millions d'années défient la théorie de l'évolution.
GNAPHOSIDAE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ce fossile d'araignée de la famille des Gnaphosidae date de 50 millions d'années. Aucune différence ne le distingue des spécimens vivant actuellement. Cette stabilité ne concorde pas avec la logique darwiniste. Si la thèse darwiniste était valide, alors les arachnides en question auraient dû passer par plusieurs étapes d'évolution au cours des 50 derniers millions d'années. Cette transformation n'a cependant pas eu lieu. Aucun processus évolutionniste n'a jamais eu lieu.
PSOQUE Age : 100 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Myanmar
Les psoques appartiennent à l'ordre des psocoptères. Les fossiles connus les plus anciens remontent au permien (il y a 290 à 248 millions d'années).
Les psoques ici représentés vécurent il y a 100 millions d'années, au crétacé (il y a 144 à 65 millions d'années). Que ce soit au niveau de leurs ailes, de leurs yeux ou de leurs autres organes, les psoques sont restés inchangés depuis des centaines de millions d'années, ce qui réfute les scénarii dérivés de l'imagination évolutionniste.
GUEPE Age : 100 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Myanmar
En dépit de tous leurs efforts, les darwinistes n'ont pas pu mettre la main sur les preuves souhaitées issues des archives fossiles. Chaque spécimen découvert témoigne de l'immuabilité des êtres vivants sur terre et de l'absence de transition évolutionniste chez les espèces.
David M. Raup, ancien président du département de géologie du musée d'histoire naturelle de Chicago, exprime son point de vue :
"[Darwin] était embarrassé par les archives fossiles… Nous voilà maintenant 120 ans après Darwin et la connaissance des archives fossiles s'est considérablement développée. Nous disposons maintenant de près d'un quart de million d'espèces fossiles mais la situation n'a pas véritablement changé. Les traces de l'évolution manquent encore étonnamment de sens…" (David M. Raup, "Conflicts between Darwin and Paleontology", Field Museum of Natural History Bulletin, vol. 50, no. 1, janvier 1979, p. 25)
CECIDOMYIE Age : 100 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Myanmar
Par la complexité technique de vol et de la structure de l'œil, les mouches renvoient les évolutionnistes à un véritable dilemme. Il leur est, en effet, impossible d'expliquer la perfection des yeux et des ailes de ces créatures en termes de formation graduelle. Aucun fossile de moucheron présentant des ailes partiellement développées n'a été découvert à ce jour. Tous les fossiles disponibles indiquent que les ailes, les systèmes visuels et les autres éléments anatomiques étaient pleinement formés.
Ces données condamnent les évolutionnistes au mutisme, car elles sous-entendent que les êtres vivant n'ont pas évolué, mais qu'ils furent créés.
REDUVIIDAE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République Dominicaine
L'ordre des hémiptères comprend des espèces d'insectes tels que les punaises des lits, les gendarmes et Reduviidae (voir photo). Lorsqu'on les compare, ce fossile de 25 millions d'années s'avère identique à ses homologues actuels.
Cette conclusion remet totalement en question le mythe de l'évolution des insectes. Les insectes n'ont jamais évolué, contrairement à ce que défendent les darwinistes. Notre Seigneur Tout-Puissant créa les êtres vivants sous différentes formes, dont celui des insectes. Comme en témoigne ce spécimen, ils sont restés inchangés depuis des millions d'années.
DASCILLIDAE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Ce coléoptère fait partie de la famille des Dascillidae. On estime que cette famille contient 15 genres et quelques 80 espèces. Le spécimen ici représenté possède les mêmes caractéristiques que ses homologues actuels, bien qu'il date de 25 millions d'années. Cet exemple balaie le concept insensé de l'évolution des insectes défendu par les évolutionnistes.
BLATTE ET MOUCHERON Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Ces deux insectes fossilisés ensemble dans l'ambre ont été préservés depuis 25 millions d'années. Leur examen démontre qu'ils sont identiques à leurs congénères actuels. Les archives fossiles indique que les blattes ont émergé soudainement et ne sont pas passées par des stades évolutifs. La complexité de leurs caractéristiques indépendante de l'évolution est la preuve de la création d'Allah.
Bien qu'étant un magazine pro-évolution, Focus cita les blattes pour illustrer l'opposition entre les fossiles et la théorie de l'évolution :
"…En théorie, divers éléments de pression tels que les conditions environnementales changeantes, les espèces hostiles et la concurrence entre les espèces auraient dû conduire à la sélection naturelle, la sélection des espèces avantagées par la mutation et à l'accentuation des changements chez ces espèces sur une aussi longue période. POURTANT LES FAITS SONT AUTRES. Considérons par exemple les blattes. Elles se reproduisent très rapidement et ont une durée de vie courte. Pourtant elles sont restées les mêmes depuis environ 250 millions d'années.
Les Archaeobacteria constituent un exemple encore plus frappant. Elles sont apparues il y a 3,5 milliards d'années, lorsque la terre était très chaude et existe encore dans les eaux bouillantes du parc national de Yellowstone." (Focus Magazine, avril 2000)
LONGICORNE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Ces insectes de la famille des cérambycidés se caractérisent par leurs longues antennes rappelant les bois des cerfs. Les antennes de certaines espèces vivant en Asie peuvent atteindre une longueur de 22 centimètres.
Ces créatures fossilisées dans l'ambre depuis des millions d'années réfutent la théorie de l'évolution. Aujourd'hui, les archives fossiles sont pratiquement complètes, à la grande déception des paléontologues évolutionnistes. En dépit de leur nombre incroyable, aucun fossile ne vient étayer le concept évolutionniste.
En outre, les fossiles éliminent les fausses preuves mises en avant par les darwinistes. Les fouilles ont ainsi permis de dévoiler une vérité bien au-delà des attentes de Darwin et des évolutionnistes qui lui succédèrent : la réalité de la création.
DEUX LARVES DE VER DE FARINE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Cet insecte de la famille des Ténébrionidés est en réalité une sorte de larve. Les larves de ces coléoptères sont des nuisibles agricoles. Nous pouvons ici un fossile de ver de farine.
La larve figée dans l'ambre depuis 25 millions d'années ne présente aucune différence avec les vers de farine actuels. Cette découverte sous-entend que les êtres vivants n'ont jamais évolué et donc que la théorie de l'évolution est sans fondement. Tous les organismes vivants furent créés et préservés sous des formes et des espèces distinctes.
CHENILLE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Darwin entretenait de grands espoirs à propos des recherches de fossiles. Or, après 150 années de fouilles, aucune des formes intermédiaires sur lesquelles il comptait n'a été découverte. Tous les fossiles indiquent non pas un processus chaotique et aléatoire mais un ordre parfait, preuve de la création d'Allah.
Les fossiles assénèrent un coup fatal à la théorie de l'évolution. Cette chenille figée dans l'ambre depuis 25 millions d'années est en tout point identique aux chenilles d'aujourd'hui, ce qui bouleverse les idées darwinistes.
HETEROPTERE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Les évolutionnistes prétendent que toutes les formes de vie descendent les unes des autres et supposent donc que ces êtres vivants changent constamment. Cela impliquerait donc l'existence en nombre considérable de formes intermédiaires. Par conséquent, ce développement évolutif supputé devrait être manifeste dans les archives fossiles.
Or, aucune de ces formes intermédiaires n'a été mise au jour et aucun signe d'évolution ne semble avoir marqué les archives fossiles. L'insecte en photo appartenant à l'ordre des Hétéroptères est identique aux spécimens existant aujourd'hui. Ces punaises ont survécu inchangées depuis 25 millions d'années. Il est par conséquent impossible de les associer à un quelconque processus évolutif.
PUCE DE SABLE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Les amphipodes morphologiquement proches des cloportes sont représentés par deux sous-ordres. Ils vivent aussi bien dans les mers que dans les eaux douces profondes, tandis que d'autres espèces vivent sur les terrains des régions chaudes et humides.
Les insectes optant pour un habitat en bordure de mer se distinguent par leur incroyable sens de la direction.
Ils sont la création d'Allah. A Allah revient le contrôle de l'univers entier, des galaxies et de leurs délicats équilibres, de la vie sur terre, de toutes les variétés connues ou non des êtres vivants, de leurs modes de vie, des êtres humains, de la moindre enzyme dans l'ADN chez chaque être vivant, de la moindre feuille qui tombe de l'un des milliards d'arbres sur terre, du moindre micro-organisme à la surface de la feuille, des organelles de ce micro-organisme responsable de la photosynthèse.
Il est certes aisé pour Allah Tout-Puissant de créer cette infinité d'êtres vivants, tous aussi différents les uns des autres, au moment de Son choix et en un seul instant. En témoigne par exemple cette puce de sable remontant à 25 millions d'années.
MANTE RELIGIEUSE, PEDILIDAE ET MOUCHE DE FRUITS Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Ce morceau d'ambre contient trois insectes différents fossilisés en même temps, il y a quelques 25 millions d'années. Comme tous les êtres vivants, ces insectes ont conservé les mêmes caractéristiques et s'avèrent donc identiques à leurs congénères actuels, ce qui prouve que l'évolution n'a jamais eu lieu.
La structure des êtres vivants est indéniablement une merveille de la création et l'œuvre d'un sens artistique incomparable. Ces chefs d'œuvre appartiennent à Allah Tout-Puissant, le Créateur de tous les êtres et le Seigneur de l'univers. Il Lui suffit de dire : "Sois !" pour que Sa volonté se réalise.
PSOCOPTERE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
Ces insectes font partie de la famille des Psocoptera. Le fossile de 25 millions d'années illustré prouve que les psoques ont toujours existé tels que nous les connaissons : ils n'ont pas évolué et ne descendent pas d'un ancêtre primitif. Tant que les évolutionnistes ignoreront ce point, ils continueront à chercher des formes intermédiaires inexistantes, à tromper le public avec des contrefaçons et à consacrer leur vie à poursuivre une illusion.
Leurs efforts n'altéreront rien au fait que les êtres vivants sont l'œuvre de Allah Tout-Puissant et que jour après jour de moins en moins d'individus se montrent crédules vis à vis des mythes darwinistes.
NITIDULE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
De tous les insectes de la famille des nitidulidés, seuls ceux qui vivent sur les fleurs sont considérés comme des nuisibles. La grande majorité de l'espèce se nourrit de pollen et de sève.
Les coléoptères présentent les mêmes caractéristiques que ceux qui vécurent il y a des millions d'années. Cette réalité confirmée par les découvertes fossiles signifie que les insectes en question ne se sont pas formés par étapes, ou autrement dit qu'ils n'ont pas évolué.
SAUTERELLE Age : 25 millions d'années
Période : Oligocène
Localisation : République dominicaine
De son vivant, Darwin était conscient du fait que les fossiles ne confirmaient pas sa théorie. Il estimait néanmoins que le nombre de fossiles allait augmenter et que tôt ou tard de nouveaux éléments viendraient étayer sa théorie. Les darwinistes partageaient inconditionnellement ce point de vue. Or, chaque nouveau fossile mis au jour non seulement réfutait les prédictions de Darwin mais anéantissait tous les espoirs de Darwin.
Aucun fossile témoignant de l'évolution n'a été découvert à ce jour. Au contraire, l'ensemble des fossiles disponibles érigent la création au rang de vérité indiscutable. Le fossile de sauterelle ici représenté datant de 25 millions d'années en est un exemple.
PHORIDAE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
La Phoridae en photo ayant vécu il y a 45 millions d'années est pourvue des mêmes caractéristiques que les autres membres de son espèce vivant aujourd'hui dans diverses régions du globe. La nature inchangée de cet insecte prouve qu'aucun processus d'évolution n'a eu lieu.
Créer ou détruire tous les êtres vivants sur terre, l'univers et les galaxies, au moment de Son choix est assurément aisé pour Allah. Cette vérité essentielle échappe aux évolutionnistes.
MOUCHE DANSANTE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Les mouches dansantes sont un autre membre de l'ordre des diptères, de la famille Empididae. Cet insecte fossilisé dans l'ambre a été préservé avec toutes ses caractéristiques, et n'expose aucune différence avec ses homologues actuels vivant de nos jours. Les découvertes comme celle-ci ont révélé que l'évolution est le produit d'imagination et invalidé cette théorie.
FOURMI OUVRIERE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
La fourmi ouvrière sur la photo appartient à l'ordre des hyménoptères, de la famille des formicidés. Comme on peut le voir, elle n'est pas différente des fourmis ouvrières de nos jours.
Il est évident pour toute personne objective et logique qu'il n'y a pas de place pour l'évolution dans le point ultime atteint par la science. Les darwinistes poursuivent un rêve vain et refusent de l'abandonner, malgré les preuves scientifiques de toutes sortes.
MOUCHE DANSANTE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Cette photographie montre une mouche dansante fossilisée dans l'ambre depuis 45 millions d'années et découvert en Russie. Comme toutes les autres espèces vivantes, cet insecte a survécu jusqu'à nos jours en préservant toutes ses caractéristiques. Il incarne par conséquent la défaite subie par les évolutionnistes face à la création impeccable d'Allah.
ELATERIDAE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Russie
L'évolution n'a eu lieu à aucun moment de l'histoire. C'est ce que traduisent clairement les fossiles. Des spécimens d'êtres vivants ont pu être préservés depuis des millions d'années et démontrer ainsi qu'ils sont des merveilles de la création apparues en un seul instant, sous la forme parfaite voulue par Allah.
Les évolutionnistes comptaient sur la paléontologie pour étayer leur théorie. Or, cette science défend plutôt la réalité de la création et remet en question la théorie de l'évolution. Ce fossile de taupin remontant à 45 millions d'années est, en l'occurrence, l'un de ses arguments.
PSYCHODIDAE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Malgré tous leurs efforts et leur dur labeur, les évolutionnistes n'ont pas réussi à mettre la main sur le moindre fossile qui pourrait prouver que les espèces sont apparues suite à l'évolution. Ce Psychodidae figé dans l'ambre depuis 45 millions d'années renvoie les évolutionnistes vers une impasse, car il prouve l'inutilité de leurs efforts. Comme tous les autres êtres vivants, les Psychodidae ont toujours existé tels que nous les connaissons aujourd'hui. Ils ne descendent pas d'une autre espèce et n'ont connu aucun processus évolutif depuis le début de leur existence sur terre.
GUEPE BRACONIDE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Les exemples de formes intermédiaires attendues et espérées par Darwin n'ont toujours pas été découverts, malgré 150 années de fouilles. La science a depuis prouvé que les formes de vie sont apparues sans l'intervention d'un processus évolutionniste.
Continuer à défendre une théorie en dépit de la clarté des preuves contraires est le signe de préjugés profonds. Cette guêpe de la famille des Braconidae ayant existé il y a 50 millions d'années fait partie de ces preuves soumises aux évolutionnistes. Sa structure inchangée depuis des dizaines de millions d'années témoigne de l'erreur de la théorie darwiniste.
DOLICHOPODIDAE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Comme cette mouche de la famille des Dolichopodidae, les centaines de fossiles de ce livre (et les milliards disponibles sur terre) sont des preuves claires du fait que l'évolution n'a jamais eu lieu et que les êtres vivants ont fait leur apparition sur terre parfaitement formés et en à un moment donné. Autrement dit, ils ont été créés. Allah Tout-Puisssant, Seigneur de la terre et des cieux et tout ce qu'ils contiennent créa l'univers entier ainsi que l'infinité d'entités vivantes et non-vivantes le peuplant.
Egarés par leurs idées préconçues, les évolutionnistes défendent leur théorie avec une profonde ignorance. La meilleure réponse à une telle attitude nous provint des fossiles, car ils réfutent de façon indiscutable le mythe de l'évolution.
ARAIGNEE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Les archives fossiles permettent de déterminer de la façon la plus claire et la plus crue si l'évolution est un concept valide ou non. A ce jour, une grande partie des strates sédimentaires sur terre a été examiné et a contribué par millions à la découverte de fossiles. Or, aucun spécimen ne démontre que l'évolution a véritablement eu lieu.
Les archives fossiles pointent, sous tous les angles, vers l'existence d'Allah Tout-Puissant et de sa sublime capacité créatrice. Cette araignée de 45 millions d'années préservée dans l'ambre est, en effet, un exemple de la création.
MITE Age : 45 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Kaliningrad, Russie
Aucune branche de la science ne soutient la théorie de l'évolution. Elles fournissent, au contraire, des preuves la remettant en question.
Les êtres vivants n'ont pas évolué. Cette mite fossilisée dans l'ambre depuis les 45 derniers millions d'années en est la preuve. Lorsqu'on l'examine de plus près, on remarque qu'elle ne présente aucune différence avec les mites d'aujourd'hui, c'est-à-dire qu'elle n'a subi aucun processus d'évolution. Allah créa dans la perfection aussi bien les mites ayant vécu il y a 45 millions d'années que celles qui vivent aujourd'hui, sous la même forme.
CHRYSALIDE DE PAPILLON Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
"Le processus d'évolution" que les darwinistes nous présentent depuis les 150 dernières années n'est que pure fantaisie. L'évolution n'a jamais eu lieu. Les êtres vivants ne sont pas l'aboutissement d'une évolution et n'ont pas non plus donné naissance à de nouvelles espèces en divergeant des leurs.
Aucune hypothèse de la théorie de l'évolution n'a été confirmée scientifiquement. Pas la moindre preuve n'a été découverte dans les archives fossiles, qui devraient représenter le soutien le plus important du darwinisme. Au contraire, à l'image de cette chrysalide de papillon datant de 50 millions d'années, tous les fossiles réfutent le principe de l'évolution.
LARVE DE RAPHIDIOPTERA Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Les Raphidioptera dont on recense environ 100 espèces vivent dans les parties ombragées des zones forestières. Les larves de Raphidioptera sont carnivores : elles se nourrissent de petits invertébrés et en particulier des acariens nuisibles. Le développement des larves dure environ deux ans, durant lesquels elles passeront par une série d'étapes.
Il est flagrant à quel point cette larve de Raphidioptera datant de 50 millions est identique aux larves de Raphidioptera actuelles. Cette ressemblance traduit un fait que les darwinistes ne peuvent plus dissimuler par des fabrications et des mensonges : les êtres vivants n'ont jamais évolué.
MIMETIDE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces araignées font partie de la famille des mimétidés. L'une de leurs caractéristiques majeures est leur mode de neutralisation des prédateurs et de capture de leurs proies en les aspergeant de sécrétions. On recense quelques 200 espèces connues. Qu'il s'agisse de leurs traits anatomiques, de leur méthode de tissage des toiles ou des techniques de chasse, chacune des espèces ayant existé il y a des millions d'années présentent exactement les mêmes caractéristiques que les araignées actuelles. N'est-ce pas là la preuve la plus parlante de l'inexistence de l'évolution des êtres vivants ?
ARCHEOGNATHA Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Différentes familles de ces insectes du sous-ordre des Archaeognathes vivent dans les hémisphères nord et sud. Si une patte, une antenne ou un organe similaire est sectionné, cet organe repousse. Ce fossile démontre que les Archaeognathes ayant vécu il y a 50 millions d'années sont identiques aux spécimens de la même espèce vivant actuellement, sur le plan de la structure et de l'anatomie. Ce fossile prouve par conséquent que l'évolution n'a jamais eu lieu. Comme tous les autres êtres vivants, les Archaeognathes furent créés par Allah Tout-Puissant.
GUEPE ICHNEUMON Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces insectes de la famille des ichneumonidés sont des parasites. Plusieurs espèces existent à travers le monde, bien qu'elles vivent généralement dans l'hémisphère nord.
Leur structure et leur anatomie n'ayant guère changé depuis des dizaines de millions d'années, ces guêpes témoignent de l'invalidité de la théorie de l'évolution. Par ailleurs, les évolutionnistes n'ont trouvé aucune forme de vie pouvant être qualifiée d'ancêtre commun de ces guêpes. Ils sont également incapables d'expliquer par quelles phases ces insectes ont acquis leurs caractéristiques présentes. Les archives fossiles ne contiennent, en effet, aucune trace d'un tel ancêtre, ni d'étapes évolutives. La stase est l'élément commun qui ressort des fossiles de guêpes ichneumon et de tous les autres êtres vivants.
PHASME Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces créatures de la famille des Phasmatidae sont capables de changer de couleurs selon la lumière, la température, l'humidité et même l'abondance alimentaire. Ce changement s'effectue par l'altération de la densité et la localisation des pigments ou par la formation de nouveaux pigments.* Ce phasme fossilisé depuis 50 millions d'années était déjà capable de ces prouesses, tout comme ses congénères actuels.
Quelles que soient les caractéristiques des Phasmatidae aujourd'hui, ceux qui existèrent il y a 50 millions d'années les possédaient déjà. En d'autres termes, cela revient à reconnaître l'invalidité de la théorie évolutionniste.
*Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kuramlari (Les théories fondamentales de la vie), vol. II, partie II, p. 406
LARVE DE PAPILLON Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
La phase larvaire est l'une des quatre étapes de développement du papillon. La larve se métamorphose donc, devient ensuite une chrysalide et enfin un beau papillon. Cette métamorphose suit le même schéma depuis des millions d'années, sans que le processus n'en soit altéré. Cette larve de papillon vieille de 50 millions d'années ici en photo n'a jamais évolué et est en tous points identiques aux larves de papillons que nous pouvons voir aujourd'hui.
La dimension évolutionniste de l'origine de la vie renvoie est teintée d'une perspective athée et matérialiste. Dans la mesure où il ne repose sur aucun élément scientifique, le darwinisme se limite à des conjectures, à l'élaboration de scénarii fantaisistes, à la fabrication de preuves et à la diffusion de mythes trompeurs. La création, et non l'évolution, est à l'origine de la vie.
THERIDIIDAE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces araignées de la famille des Theridiidae sont des arachnides à longues pattes tissant des toiles dans des espaces vastes de façon irrégulière. La toile d'araignée est une œuvre d'art inexplicable pour les évolutionnistes. Toutes les araignées qui ont existé depuis des millions d'années sont nées avec ce don extraordinaire accordé par Allah. Cette immuabilité à travers le temps démontre que les araignées n'ont jamais subi de processus d'évolution. En témoigne notamment ce fossile d'araignée datant de 50 millions d'années.
ELATERIDAE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Ces insectes de la famille des elatéridés sont capables de se projeter à 20 voire 30 centimètres de hauteur tout en émettant un son sec. On les trouve généralement dans les prés et les prairies. En cas de dangers, ils font le mort en rétractant leurs pattes et antennes et attendent que la menace se dissipe. Les archives fossiles ont révélé que ces formes de vie sont inchangées depuis des dizaines de millions d'années.
Les évolutionnistes tentent en vain de tromper le public depuis des années en avançant des preuves fausses. La recherche scientifique a, en effet, prouvé que les êtres vivants n'ont jamais subi de processus évolutif.
NYMPHE DE CIGALE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Chaque nouvelle découverte montre que les êtres vivants ne descendent pas les uns des autres, qu'ils n'ont pas évolué de façon graduée et qu'ils furent créés dans la perfection par Allah.
Cette larve de cigale de 50 millions d'années est identique à celles qui existent aujourd'hui. Elle ne présente aucune altération sur le plan anatomique bien que son existence remonte à des dizaines de millions d'années. Ce genre de fossiles nous rappelle l'invalidité des mythes darwinistes au sujet de l'évolution des insectes et l'évidence de la création.
CIGALE Age : 50 millions d'années
Période : Eocène
Localisation : Pologne
Les cigales sont pourvues une paire de membranes localisées au dessus des poches à air situées dans leur abdomen, qui leur permettent de produire leur chant si familier. En contractant et en relâchant le muscle auquel elles sont reliées, les membranes émettent un son de caquet. Ce processus de contraction et d'expansion se répètent en moyenne 500 fois par seconde. Le son augmente ou baisse selon l'ouverture ou la fermeture de l'extension sur le côté abdominal du thorax.
Dans la mesure où l'oreille humaine n'est pas capable de détecter les sons individuels émis à une vitesse supérieure à dix fois par seconde, elle n'est pas non plus capable de déterminer les segments individuels de l'appel de la cigale. C'est pourquoi nous le percevons comme un grésillement constant.
D'après les archives fossiles, il apparaît que toutes les cigales ayant jamais existé présentaient cette même spécificité.
En étudiant de près cette cigale sur la phot, on remarque à quel point elle est identique à ses congénères actuelles. Malgré le passage de 50 millions d'années, ni sa tête, ni son squelette, ni ses ailes, ni les plaques qui lui permettent d'émettre des sons, ne portent les traces d'une quelconque évolution.
LIBELLULE ET LARVE D'EPHEMERE Age : 128 millions d'années
Les libellules se distinguent par leur incroyable capacité à manœuvre. Quelle que soit leur vitesse ou leur direction, elles peuvent s'arrêter brusquement et repartir dans la direction opposée. Il leur est également possible de faire de surplace, dans l'attente d'une position favorable pour attaquer leur proie. Elles peuvent faire un revirement total et se jeter sur leur proie.
En très peu de temps, la libellule est capable d'atteindre une vitesse de 40km/heure, une vitesse étonnante pour un insecte. (Les sprinters olympiques du 100 mètres atteignent 39km/h.) Quel modèle d'évolution graduée parvient à expliquer l'incroyable agilité de la libellule ? Ses ailes restent un mystère total pour les évolutionnistes.
Les fossiles les plus anciens de libellules ne présentent aucune différence avec les spécimens existant aujourd'hui. Nulle part la trace d'une semi-libellule ou d'une libellule dont les ailes sont en voie de développement n'existe. Comme tous les autres êtres vivants, ces insectes sont apparus de façon soudaine et ont survécu tels quels jusqu'à nos jours, sans avoir connu d'évolution. Ils furent, de toute évidence, créées par Allah.
Ce fossile montre qu'il n'y a aucune différence entre les grillons actuels et ceux qui vécurent il y a 125 millions d'années, c'est là la preuve qu'aucun processus évolutionniste n'a jamais eu lieu. Les innombrables fossiles découverts à ce jour prouvent tous l'inexistence de l'évolution.
Les darwinistes sont bel et bien conscients du fait que les archives fossiles ne soutiennent pas leur théorie de l'évolution. C'est pourquoi des centaines de milliers de fossiles sont soigneusement dissimulés aux yeux du public. Or, il est inutile pour eux de continuer cette mascarade. Il n'est plus possible, en effet, de cacher la défaite infligée à la théorie de l'évolution par les archives fossiles et les recherches scientifiques.
Certains fossiles de sauterelle remontent au carbonifère (il y a 354 à 290 millions d'années). Or, malgré les centaines de millions d'années écoulées, les sauterelles sont restées des sauterelles et ne se sont pas transformées en une autre forme de vie. Si les théories darwinistes étaient justes, alors les sauterelles auraient du se développer et devenir plus fortes en raison de tous les sauts qu'elles effectuent, voire même devenir une forme d'oiseau. Mais bien sûr, cela n'a jamais eu lieu. Or, l'état de délabrement logique des darwinistes est tel qu'ils sont prêts à croire à de telles sornettes.
La raison, le bon sens et la science ont fini par comprendre que les êtres vivants n'ont pas évolué mais qu'ils furent créés. Chaque nouveau fossile contribue à la révélation de cette vérité.
Les blattes font partie de ces être vivants qui remettent en question les principes évolutionnistes. La blatte en photo est fossilisée depuis 125 millions d'années et montre que les insectes de cette espèce n'ont pas subi le moindre changement durant ce laps de temps.
Toutes fouilles entreprises à ce jour n'ont pas permis de mettre la main sur les ancêtres supposés de la blatte. En outre, rien dans les archives fossiles ne permet de déduire les étapes de développement de la blatte avant qu'elle n'aboutisse à la forme que nous lui connaissons aujourd'hui.
Quel que soit son âge, chaque fossile déterré est identique à la fois tous les spécimens de son espèce. C'est là la preuve claire que l'évolution n'a jamais eu lieu.
Dans la classification des êtres vivants, les arthropodes représentent un sous-phylum au sein du phylum des insectes. Les fossiles d'insectes les plus lointains connus remontent au dévonien (il y a 417 à 354 millions d'années). L'exactitude de la ressemblance entre les espèces ayant existé il y a 400 millions d'années et leurs homologues actuels met les évolutionnistes dans un profond embarras.
Les sauterelles sont, elles aussi, restées inchangées par rapport à leur première apparition dans les archives fossiles. La sauterelle ici représentée confirme la nature immuable de la sauterelle depuis 100 millions d'années et réfute donc l'évolution.
Les ailes, les yeux, les pattes, les organes internes, tout ce qui définit le fulgore est inchangé depuis des dizaines de millions d'années. Le fossile datant de 125 millions d'années confirme qu'il n'a jamais existé de fulgore avec des ailes ou des pattes semi-développées, ni avec un seul ou d'autres organes distinctifs non encore formés. En somme, il n'y a aucune trace dans les archives fossiles des étapes intermédiaires revendiquées par les évolutionnistes.
"…Les blattes, l'un des plus vénérables groupes d'insectes vivants, sont restées plus ou moins inchangées depuis le permien, pourtant elles ont subi tout autant de mutations que le Drosophile, un insecte du tertiaire." (Pierre-Paul Grassé, Evolution of living organisms, New York: Academic Press, 1977, p. 87)
Le permien va de -290 à -248 millions d'années. Dans le passage ci-dessus, Paul Grassé affirme d'une part que les mutations, l'un des mécanismes imaginaires d'évolution, n'ont pas les effets voulus par les évolutionnistes. D'autre part, il remarque que les blattes n'ont pas subi la moindre altération au cours de centaines de millions d'années. Elles existaient il y a 290 millions d'années, il y a 100 millions d'années (comme sur la photo) et aujourd'hui encore sous la même forme identique. Face à cette réalité, les évolutionnistes n'ont d'autre choix que de battre en retraite.
MOUCHE DE LA SAINT-MARC (BIBIONIDAE) Age : 45 millions d'années
Période : Milieu de l'éocène
Localisation : Formation Cache Creek, Canada
Personne n'a encore mis la main sur un fossile de mouche de la Saint-Marc avec des ailes partiellement développées ou des organes manquants, avec un œil ou un appendice nasal sous-développé. Toutes les mouches fossilisées se sont avérées parfaitement formées et identiques à celles que nous connaissons aujourd'hui. Si un insecte actuel présente les mêmes caractéristiques que ses homologues d'il y a 45 millions d'années, et s'il est resté inaltéré pendant tout ce temps, alors il est impossible d'envisager un quelconque processus évolutif. Tout en révélant l'invalidité du darwinisme, la stase confirme en outre l'évidence de la création.
MLIBELLULE Age : 100 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Chine
Au cours de fouilles, aucun fossile de libellule partiellement développée, avec une moitié d'aile ou des yeux rudimentaires n'a été découverte, afin de confirmer la réalité d'un processus évolutionnaire. Tous les fossiles de libellules, sans exception, mis au jour témoignent de la perfection de l'insecte et de son immuabilité depuis sa première apparition.
Le fossile de libellule datant de 100 millions d'années ici représenté le confirme. Les libellules ayant existé il y a des dizaines de millions d'années présentaient les mêmes caractéristiques que leurs congénères actuelles.
Des preuves scientifiques, et en particulier les fossiles, ont permis de réfuter la théorie de l'évolution. Cela signifie, par ailleurs, que les êtres vivants furent créés par une Intelligence infiniment puissante : Allah, le Créateur de toutes choses.
LIBELLULE (positif et négatif) Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Formation Solnhofen, Allemagne
Les libellules ont inspiré les nouveaux modèles d'hélicoptères Sikorski. La recherche a montré que cet insecte est pourvu d'un système de vol idéal.
Cette libellule, dont l'existence remonte à 150 millions d'années, est identique aux libellules parfaites qui vivent aujourd'hui. Aucun fossile disponible à ce jour ne présente de libellule à moitié formée, ni de libellule avec des ailes naissantes. Comme toutes autres espèces du règne animal et végétal, ces insectes sont apparus de façon subite et sont restés tels quels jusqu'à aujourd'hui.
Ce fossile a laissé des marques en positif et en négatif sur les deux côtés de la roche.
GRILLON Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Depuis l'époque de Darwin et jusqu'à aujourd'hui, les géologues et paléontologues évolutionnistes sont à la recherche de fossiles soutenant la théorie de l'évolution. Ils sont à l'affût de la moindre découverte qui montrerait que les êtres vivants changent constamment et qu'ils se transforment en d'autres espèces. Leurs efforts sont vains, car de tous les fossiles déterrés à ce jour, aucun ne laisse entendre que les êtres vivants changent. Au contraire, les archives fossiles indiquent que les espèces sont inchangées depuis des centaines de millions d'années, c'est-à-dire que l'évolution n'a jamais existé.
Le paléontologue David Raup fait référence à l'opposition entre les archives fossiles et les thèses darwinistes :
"Au lieur de trouver le développement graduel de la vie, les géologues de l'époque de Darwin et ceux d'aujourd'hui trouvent, en réalité, des archives très inégales ou saccadées ; c'est-à-dire que les espèces apparaissent dans la série de façon très brusque, présentent peu voire pas de changement au cours de leur existence, puis disparaissent soudainement des archives…" (David M.Raup, "Conflicts between Darwin and paleontology", Field Museum of Natural History Bulletin, Chicago, vol. 50, janvier 1979, p. 23)
BLATTE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
L'absence de preuves entre ce fossile de blatte datant de 125 millions d'années et les spécimens vivant aujourd'hui souligne très distinctement l'inexactitude de l'hypothèse selon laquelle les espèces descendent progressivement les unes des autres.
Les archives fossiles réfutent le principe d'"évolution graduée". Un grand nombre de scientifiques, notamment l'historien scientifique Peter Bowler, reconnaissent cette situation :
"Les archives n'ont certainement pas révélé de transformations graduelles de la structure avec le temps. Au contraire, elles montrent que les espèces sont restées généralement constantes à travers leur histoire et ont été remplacées de façon assez brusque par des formes considérablement différentes. De nouveaux types ou de nouvelles classes semblaient apparaître pleinement formées, sans le signe d'aucune tendance évolutionniste à travers laquelle ils auraient pu émerger d'un type antérieur." (Peter J. Bowler, Evolution: The history of an idea, 1984, p. 187)
GRILLON Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Ces grillons de la classe des Saltatoria n'ont pas changé depuis des dizaines de millions d'années. Les grillons ayant existé il y a 125 millions d'années sont identiques à leurs congénères actuels.
Cette nature identique révélée par les archives fossiles a provoqué une profonde déception chez les évolutionnistes. Stephen Jay Gould, l'un des plus éminents évolutionnistes du 20ème siècle, exprimait son sentiment en ces termes :
"En effet, notre principale frustration à propos des archives fossiles provient du fait que nous ne disposons pas de preuves empiriques des tendances soutenues dans l'évolution des adaptations morphologiques des plus complexes." (Stephen Jay Gould et Niles Eldredge, "Species selection : its range and power", correspondance scientifique dans Nature, vol. 334, 7 juillet 1988, p. 19)
5
NYMPHE DE LIBELLULE L'ATLAS DE LA CREATION Volume 3 NYMPHE DE LIBELLULE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
L'existence des libellules semble remonter à 300 millions d'années. La structure extraordinaire de leurs ailes et la perfection de leur système de vol infligent au darwinisme un sérieux revers. Il y a 300 millions d'années, alors que seules des formes de vie primitive et un environnement primitif étaient censés exister, les libellules possédaient déjà un système de vol parfait encore désormais copié par les hélicoptères les plus sophistiqués. En outre, ces systèmes n'ont pas subi le moindre changement depuis. Les larves de libellules présentent la même anatomie et utilisent les mêmes mécanismes structurels pour attraper leurs proies depuis des centaines de millions d'années. Ces caractéristiques durables ne peuvent en aucun cas s'expliquer en termes d'évolution.
EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les éphémères sont restés identiques depuis environ 100 millions d'années et en cela, ils remettent en question le concept de l'évolution. Tous les fossiles d'éphémères indiquent que ces insectes ne se sont pas développés par étapes, mais qu'ils sont apparus soudainement avec tous les éléments qui les caractérisent. Par ailleurs, ils ne témoignent d'aucune transformation au cours de leur passage dans les archives fossiles. Cela démontre que, comme tous les êtres vivants, les mouches de mai ne sont pas le fruit de l'évolution mais de la création.
EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Si tous les êtres vivants avaient acquis les caractéristiques dont ils sont pourvus aujourd'hui de façon graduée, comme l'avancent les évolutionnistes, de nombreux fossiles présentant ces phases devraient exister. On aurait dû ainsi découvrir un grand nombre de fossiles prouvant que les éphémères ont vu leurs ailes apparaître par étapes. Or, ce fossile d'éphémère datant de 125 millions (et tous les autres d'ailleurs) ici représenté témoigne du fait que ces insectes existaient alors tels que nous les connaissons aujourd'hui.
Cette découverte bouleverse les principes de l'évolution, leur faisant perdre tout crédit. De nouvelles données scientifiques révèlent concrètement que l'évolution n'a jamais eu lieu et qu'Allah est le Créateur de tous les êtres.
ARAIGNEE D'EAU (GERRIDAE) Age : 150 millions d'années
Période : Jurassique
Localisation : Solnhofen Formation, Allemagne
Qu'ils soient fossilisés ou encore vivants, les insectes de la famille des gerridés détiennent les preuves réfutant le darwinisme. Ce fossile d'araignée d'eau remontant au jurassique (il y a 150 millions d'années) témoigne de l'invalidité du concept de l'évolution et érige en vérité irréfutable la création par Allah. Ces créatures ont survécu jusqu'à aujourd'hui sans avoir subi ni changement, ni évolution.
PENTATOMIDAE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes prétendent que les atomes de phosphores et de carbone, entre autres, se seraient combinés de façon aléatoire et organisée, suite à des phénomènes naturels tels que les éclairs, les éruptions volcaniques, les rayons ultraviolets et les radiations. Il en aurait résulté la naissance de protéines, de cellules, d'insectes, de poissons, de chats, de lapins, de lions, d'oiseaux, d'êtres humains et toutes les autres formes de vie. Or, ils ne semblent pas prendre en compte le fait que les atomes se limitent à des unités de matière inconsciente et inanimée, dépourvue d'intelligence et de capacités.
Par ailleurs, ils ne disposent pas de la moindre preuve venant soutenir l'occurrence de ce processus imaginaire.
A mesure que les évolutionnistes s'embourbent, de plus en plus de preuves apparaissent démontrant que les êtres vivants n'ont pas évolué mais qu'ils furent créés par Allah Tout-Puissant, comme en témoigne ce fossile datant de 125 millions d'années.
TETTIGONIIDAE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes avancent toutes sortes de théories fantaisistes à propos de l'origine de la vie soulevant des centaines de questions, notamment celle-ci :
- Existe-t-il des formes intermédiaires susceptibles de prouver la théorie de l'évolution ?
Non est la réponse évidente à cette question constamment évitée par les darwinistes fuyant les faits ! Aucun fossile de forme intermédiaire n'a été mis au jour au cours des fouilles conduites depuis les 150 dernières années.
Les archives fossiles regorgent d'exemples d'animaux ou de végétaux qui ont traversé les âges tout en conservant leurs structures, sans subir la moindre altération depuis des centaines de millions d'années. Le Tettigoniidae datant de 125 millions d'années ici présenté est l'un de ces spécimens. En présence de tels spécimens, les darwinistes sont condamnés au silence.
GRILLON Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes rattachent l'origine des insectes à une série d'hypothèses dépourvues de sens logique. Quand on leur demande d'apporter des preuves concrètes et scientifiques, ils sombrent dans le silence parce que toutes les études en date et les découvertes de fossiles réfutent catégoriquement ces idées.
Ce fossile de grillon date de 125 millions d'années. Cet insecte fossilisé identique sous tous les angles aux grillons vivant aujourd'hui remet en question l'idée selon laquelle les êtres vivants changent constamment. Les fossiles démontrent que les êtres vivants n'ont ni changé, ni évolue. Ils furent créés.
GUEPE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les darwinistes sont persuadés que des mécanismes imaginaires transforment constamment les êtres vivants en de nouvelles espèces. Le rêve évolutionniste du perpétuel changement des choses vivantes est démoli par les archives fossiles. Ce spécimen de guêpe fossilisée remontant à 125 millions d'années laisse entendre que les êtres vivants n'ont pas changé, ni évolué.
Le paléontologue David Raup souligne que les éléments géologiques contredisent le darwinisme :
"Il [Darwin] était embarrassé par les archives fossiles car elles ne ressemblaient pas à ce qu'il avait prédit. Aussi consacra-t-il un long chapitre des Origines des espèces à une tentative d'explication et de rationalisation des différences. Il y avait plusieurs problèmes, le principal étant que les données géologiques ne présentaient pas alors et ne présentent toujours de chaîne finement graduée d'une évolution lente et progressive." (David M. Raupe, "Conflicts between Darwin and paleontology", Field Museum of Natural History Bulletin, Chicago, vol. 50, janvier 1979, pp. 22-23)
FULGORE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Il existe environ un million d'espèces d'insectes connus vivant encore sur terre et quelques 15.000 espèces fossiles. Chaque année, plusieurs milliers de nouvelles espèces d'insectes sont découverts. Chacune d'entre elles se caractérise par des systèmes, des métabolismes et des habitats totalement différents.
Les évolutionnistes considèrent que toutes ces espèces sont issues graduellement les unes des autres, suite à une série d'infimes changements. En revanche, ils sont incapables de désigner quel est le premier ancêtre présumé des insectes, ni présenter une preuve de ces liens entre les espèces.
Ils recherchent désespérément les fossiles qui viendraient appuyer leurs propos. Or, chaque nouveau fossile déterré révèle que les espèces d'insectes sont nées du néant, pourvues de toutes leurs particularités. En d'autres termes, les fossiles sont la manifestation de la création dans la mesure où ils sont identiques depuis des dizaines, voire des centaines de millions d'années et où ils n'ont donc pas connu de processus évolutif.
Ce fulgore fossilisé depuis 125 millions d'années illustre à quel point les fulgores d'aujourd'hui et d'hier sont identiques et réfute ainsi le concept de l'évolution.
EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Si tous les êtres vivants étaient issus de l'évolution, alors des signes en seraient visibles dans les archives fossiles. On devrait, en effet, pouvoir trouver dans les strates géologiques des traces d'entités en progression constante, pourvues de systèmes et d'organes incomplets, faisant lentement le lien d'une espèce à une autre.
Alors où sont les fossiles de créatures mi-grillons , mi-mouches, ou mi-mouches, mi-papillons, ou de créatures avec un bout d'aile seulement, ou avec un seul œil sur les abdomens, les pattes situées au niveau de la tête et les antennes encore absentes ?
Or, les archives fossiles ne proposent aucun exemple de ce genre de créatures étranges et primitives. Au contraire, les fossiles indiquent plutôt que les êtres vivants sont apparus dotés de tous les membres et de systèmes complets. Il semblerait également qu'aucune espèce n'ait connu de changement durant son existence géologique. D.S. Woodroof de l'Université de Californie dit à ce propos :
"Mais les espèces fossiles restent inchangées au cours de la plus grande partie de leur histoire et les archives ne montrent pas le moindre exemple d'une transition significative." (D.S. Woodroof, Science, vol. 208, 1980, p. 176)
GRILLON Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les "lignées de descendance" des êtres vivants qui apparaissent régulièrement dans les publications évolutionnistes relèvent du domaine imaginaire. Aucun lien évolutionniste concret entre les espèces vivantes n'a été découvert à ce jour.
Les scientifiques considèrent d'ailleurs que les archives fossiles et d'autres éléments n'indiquent en rien cette relation :
"Il est cependant très difficile d'établir des lignées de descendance précises ou phylogénies, pour la plupart des organismes." (F.J. Ayala et J.W. Valentine, Evolving: the theory and process of organic evolution, 1978, p. 230)
Ce grillon datant de 125 millions d'années n'est pas le fruit de l'évolution d'un présumé ancêtre. Il s'avère totalement inchangé depuis sa première apparition jusqu'à nos jours.
EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les éphémères passent la plus grande partie de leur vie sous forme de larves ou nymphes. En effet, ils ne restent adultes que quelques heures ou quelques jours. C'est pourquoi on les appelle "éphémères". Le fossile d'éphémère ici représenté date de 125 millions d'années, mais est identique aux éphémères vivant de nos jours.
Le darwinisme est remis en question par les éphémères, tels que celui-ci, parce que son immuabilité depuis 125 millions d'années ne témoigne pas en faveur du concept évolutif.
ARAIGNEE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
La théorie de l'évolution totalement basée sur des conjectures manque cruellement de fondements scientifiques et de preuves valables. En outre, elle s'élabore sur une thèse illogique et irréaliste qui voudrait que tous les êtes vivants soient le résultat d'une série d'innombrables petites coïncidences, événement totalement impossible ;
La recherche scientifique confirme qu'aucun processus du genre n'a eu lieu. Dans les archives fossiles, on peut voir notamment que les êtres vivants n'ont pas évolué à travers une succession de changements, mais qu'ils firent une apparition soudaine sous la forme que nous leur connaissons encore aujourd'hui. La conclusion déduite est claire : les êtres vivants n'ont pas évolué, ils furent créés.
EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les fossiles sont la preuve la plus parlante de l'inexistence de l'évolution. L'examen des archives fossiles démontre que toutes les espèces vivantes sont restées identiques depuis des millions d'années, sans avoir subi le moindre changement, en dehors de leur extinction. Joel Cracraft du Museum américain d'histoire naturelle explique qu'il n'y a aucune transition entre les espèces, d'après les fossiles :
"Il ne devrait y avoir rien de surprenant dans le fait qu'il soit extrêmement difficile de trouver des espèces fossiles spécifiques qui soient à la fois intermédiaires sur le plan morphologique entre deux autres taxons et positionnés dans la strate appropriée." (Joel Cracraft, "Systematics, comparative biology, and the case against creationism", dans Scientists confront creationism, ed. L.R. Godfrey, New York: W.W. Norton&Co., 1983, p. 180)
Cracraft se limite à reconnaître que la découverte de fossiles de formes intermédiaires est extraordinairement difficile pour ne pas admettre simplement que de tels fossiles n'existent pas. En dépit de sa réticence, les fossiles en question n'ont toujours pas été mis au jour et il semble en outre impossible qu'ils le soient à l'avenir.
TETTIGONIIDAE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Ce fossile de Tettigoniidae de 125 millions d'années fait flancher le darwinisme. La perspective évolutionniste des origines de la vie est remise en question depuis qu'il a été révélé que la théorie de l'évolution fut érigée sur des fossés qui ne peuvent pas être comblés par des éléments scientifiques réalistes.
C. McGowan, expert en paléontologie des vertébrés, fait référence à ces fossés considérables en ces termes :
"… Nous avons tellement de lacunes dans l'histoire évolutionniste de la vie, des lacunes dans des domaines aussi capitaux que l'origine des organismes multicellulaires, l'origine des vertébrés, sans parler des origines de la plupart des groupes invertébrés." (Christopher McGowan, In the beginning : A scientist shows why the creationists are wrong, New York: Prometheus Books, 1984, p. 95)
GRILLON Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Si, comme le prétendent les évolutionnistes, les grillons descendaient d'autres insectes, alors on aurait dû trouver un grand nombre de fossiles de "semi-grillons" en phase finale de développement. Or, à ce jour, tous les fossiles de grillons découverts présentent les mêmes structures complètes et parfaites que celles des grillons que nous connaissons aujourd'hui. La thèse de l'ancêtre commun à tous les êtres vivants relève du domaine imaginaire.
Steven Stanley, professeur de paléontologie, comment cette situation :
"Les espèces qui étaient supposées avoir évolué d'autres espèces se sont retrouvées coexister avec leurs prétendus ascendants. En réalité, les archives fossiles ne documentent pas de façon convaincante la moindre transition d'une espèce à une autre."(S.M. Stanley, The New evolutionary timetable : fossils, genes and the origin of species, New York : Basic Books, 1981, p. 95)
NYMPE D'EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les larves comme celles de l'éphémère sont restées identiques tout au long de leur apparition dans les couches géologiques. Cette nymphe d'éphémère datant de 125 millions d'années en est la preuve. Aussi bien les éphémères que leurs larves n'ont jamais évolué malgré le passage de dizaines de millions d'années. Cette vérité ne suscite que le silence chez les évolutionnistes.
TETTIGONIIDAE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Bien que de nombreuses questions restent sans réponses chez les darwinistes, ils continuent à défendre leur théorie bec et ongles. Quel est l'ancêtre présumé du Tettigoniidae ? Quelles sont les étapes de développement des Tettigoniidae depuis leur ancêtre ? Si ces créatures sont nées d'un processus gradué, comment expliquer le fait que les Tettigoniidae d'il y a 125 millions d'années sont identiques à leurs congénères d'aujourd'hui ?
Ce ne sont là que trois de la longue liste d'interrogations face auxquelles les évolutionnistes restent muets. Leur silence donne une idée de l'échelle de l'embarras dans lequel se trouve le darwinisme aujourd'hui.
ARAIGNEE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Il est étonnant de voir l'entêtement de ceux qui parlent au nom de la science à vouloir défendre une théorie aussi démodée que l'évolution, en dépit de toutes les preuves contraires accumulées provenant de la sphère scientifique. D'innombrables fossiles ont, en effet, réfuté le principe de l'évolution. Quel sens y a-t-il à tenter de cacher les faits en les déformant ? Cette araignée fossilisée depuis 125 millions d'années, à l'image des fossiles d'autres spécimens vivants, témoignent ostensiblement en défaveur de l'évolution.
Les scientifiques doivent enfin ouvrir les yeux sur ce que démontrent les preuves scientifiques, c'est-à-dire sur la réalité de la création.
LIBELLULE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
La nature supérieure du système d'ailes chez la libellule et de son mécanisme de vol sophistiqué n'est pas encore parfaitement dupliquée par les technologies modernes. Or les libellules disposent de ces mêmes systèmes depuis plus de 125 millions d'années. Depuis leur première apparition sur terre, elles jouissent de cette parfaite manœuvrabilité.
Le fossile ici représenté remet en question le darwinisme tout en révélant que les êtres vivants sont l'œuvre d'Allah.
GUEPE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
A. Brouwer, auteur du livre General paleontology résume la défaite essuyée par le darwinisme :
"L'un des résultats négatifs les plus surprenants de la recherche paléontologique au cours du siècle dernier est la rareté inhabituelle des formes transitionnelles. A l'époque de Darwin, cela a pu être imputé à la nature incomplète des archives paléontologiques et au manque de connaissance, mais avec le nombre immense d'espèces fossiles qui ont été découverts depuis, d'autres causes doivent être trouvées à cette quasi-absence de formes transitionnelles." (A. Brouwer, General paleontology, Edinburgh&London: Oliver&Boyd, 1967, pp. 162-163)
Les évolutionnistes n'ont nul besoin de rechercher de nouvelles excuses, comme l'annonce Brouwer. Il leur suffit d'ouvrir les yeux sur les faits. Un nombre infini de fossiles, tels que ce fossile de guêpe remontant à 125 millions d'années, démontre que l'évolution n'a jamais eu lieu et que tous les êtres vivants furent bel et bien créés.
NYMPHE D'EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les quelques 2.500 espèces connues d'éphémères appartiennent à la classe des Ephemeroptera. Que ce soit sur le plan de l'apparence, des structures et des systèmes, tous les fossiles d'éphémères sont exactement identiques. En outre, l'absence de différences structurelles entre les éphémères ayant existé au cours de plusieurs ères géologiques (étalées sur des millions d'années) réduit à néant les hypothèses mises en avant par les évolutionnistes. Il est clair désormais que les êtres vivants ne sont pas le résultat de coïncidences successives et qu'ils ne sont pas non plus dans un état de changement perpétuel. C'est à Allah Tout-Puissant que nous devons la création de tous les êtres.
NYMPHE D'EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les plus anciens fossiles d'éphémères remontent à 200 millions d'années. Qu'ils aient vécu il y a 200 millions, 125 millions d'années ou aujourd'hui, tous les éphémères sont identiques. Cela suffit à prouver que les éphémères en particulier, et les êtres vivants en général, n'ont jamais évolué.
EPHEMERE Age : 125 millions d'années
Période : Crétacé
Localisation : Formation Santana, Brésil
Les évolutionnistes ne peuvent pas expliquer pourquoi les éphémères sont restés inchangées depuis une centaine de millions d'années. Pour conforter leur théorie de l'évolution des êtres vivants, ils doivent présenter des espèces en changement perpétuel ou alors étayer leur hypothèse par des preuves fossiles. Or, à ce jour ils ne disposent ni de l'un ni de l'autre. Il leur est donc impossible d'expliquer quoi que ce soit en terme évolutionniste. Les structures et les caractéristiques des êtres vivants ainsi que les archives fossiles témoignent de l'inexistence de l'évolution.
NOTES 1. C. Darwin, The Origin Of Species, Chapter X, On the Imperfection of the Geological Record
2. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, p. 334
3. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, p. 231
4. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, pp. 223, 225, 334
5. N. Eldredge et I. Tattersall, The Myths of Human Evolution, Columbia University Press, 1982, pp. 45-46
6. R. A. Raff and T. C. Kaufman, Embryos, Genes and Evolution: The Developmental Genetic Basis of Evolutionary Change, Indiana University Press, 1991, p. 34
7. T. N. George, "Fossils in Evolutionary Perspective", Science Progress, vol. 48, Janvier 1960, p. 1
8. N. Eldredge et I. Tattersall, The Myths of Human Evolution, p. 59
9. Science, 17 juillet 1981, p. 289
10. S. M. Stanley, The New Evolutionary Timetable: Fossils, Genes, and the Origin of Species, Basic Books Inc. Publishers, N.Y., 1981, p. 71
11. R. Dawkins, The Blind Watchmaker, 1986, p. 229
12. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, p. 356
13. M. Czarnecki, McLean's, 19 janvier 1981, p. 56
14. H. Gee, In Search of Deep Time, Beyond the Fossil Record to a New History of Life, The Free Press, A Division of Simon & Schuster, Inc., 1999, p. 5
15. A. S. Romer, Chapter in Genetics, Paleontology and Evolution,1963, p. 114
16. N. Eldredge and I. Tattersall, The Myths of Human Evolution, p. 127
17. M. Midgley, Evolution as a Religion, London: Routledge Classics, 2002, p. 1
18. E. O. Wilson, et al., Life on Earth, 1973, Sinauer Associates: Sunderland MA, 1975, réimpression, p. 624
19. F. Hitching, The Neck of the Giraffe: Where Darwin Went Wrong, New York: Ticknor and Fields, 1982, pp. 30-31
20. F. Hitching, The Neck of the Giraffe, pp. 30-31