Ayatollâh Sayed Hassan bin Ali Tabatabaï Al-Bouroujerdi
Ayatollâh Sayed Hassan bin Ali Tabatabaï Al-Bouroujerdi
Au nom d’Allah Le Clément, Le Miséricordieux
O Allah ! Prie sur Mohammed et sur les gens de sa Famille
L'ayatollah Seyed Hassan Tabatabaï Al Boroudjerdi (1299-1380 de l'hégire lunaire), l'un des grands savants et hautes autorités religieuses (marja'a), naquit au 14ème siècle de l'hégire à Boroudjerd en Iran et est originaire d'une des nobles familles chiites de cette ville.
L'ayatollah Al Boroudjerdi grandit dans un milieu plein de science et de vertu. Dès l'âge de 7 ans, il fut envoyé à l'école, et apprit rapidement la lecture et la récitation du noble Coran, s'initia à la littérature et à la logique.
En 1310 de l'hégire lunaire, à l'âge de 18 ans, il partit pour Ispahan, l'un des grands centres scientifiques de l'époque. Il profita des cours des grands maîtres de cette région, et durant les 10 ans de son séjour, il réussit à monter les grandes échelles scientifiques, et finalement, trois de ses professeurs l'autorisèrent à exercer l'Idjtihad (Interprétation personnelle de la Loi islamique à partir des textes du Coran et de la Sunna). Parallèlement à ses études, il enseignait la jurisprudence (fiqh) et les cinq principes de l'Islam (ossoul), et certains savants ont assisté à ses cours.
En 1320 de l'hégire, il partit pour la ville sainte de Najaf, et se présenta aux cours des grands maîtres comme le mollah Mohammad Kadhem Al Khorassani, Cheikh-o-Shariah Esfahani et Sayed Mohammad Kathim Yazdi, et vite devint célèbre, attirant l'attention particulière des maîtres et des élèves en théologie de cette ville.
Son rôle dans l’Unité
L'ayatollah Al Boroudjerdi portait en lui un vaste horizon intellectuel sur les questions et difficultés du monde musulman, notamment celles d'ordre social. Il exhortait les jeunes étudiants en théologie à écrire et traduire des ouvrages utiles, à apprendre les langues étrangères pour faire de la propagande dans les Etats non-Musulmans, envoyant même de nombreux représentants dans les quatre coins du monde.
L'un de ses actes importants à ce sujet fut d'envoyer le cheikh Mohammad Taghi Qomi en Egypte, l'un des bastions scientifiques du sunnisme; et la fondation en Egypte de Darol-Taqrib (Le Centre du rapprochement), destiné à présenter le chiisme aux autres, et exposer les pensées de nos savants aux étudiants en théologie des autres pays.Ce qui a fait que le cheikh Mahmoud Shaltout, recteur de l'université Al Azhar décrète une fatwa sur la véracité de l'obéissance au chiisme.
Désormais, des ouvrages chiites furent publiés en Egypte, et certains grands auteurs impartiaux sunnites adoptèrent des points de vue plus modérés à l'égard du chiisme.
Source : al-shia.org
Pour les problèmes qui se posent, référez vous aux
Spécialistes (Mujtahid) de nos Hadiths, parce qu'ils sont mes
Preuves sur vous et je suis la preuve d'Allah (à lui la grandeur) sur eux.
L'Imam Al MAhdi
Au nom d’Allah Le Clément, Le Miséricordieux
O Allah ! Prie sur Mohammed et sur les gens de sa Famille
L'ayatollah Seyed Hassan Tabatabaï Al Boroudjerdi (1299-1380 de l'hégire lunaire), l'un des grands savants et hautes autorités religieuses (marja'a), naquit au 14ème siècle de l'hégire à Boroudjerd en Iran et est originaire d'une des nobles familles chiites de cette ville.
L'ayatollah Al Boroudjerdi grandit dans un milieu plein de science et de vertu. Dès l'âge de 7 ans, il fut envoyé à l'école, et apprit rapidement la lecture et la récitation du noble Coran, s'initia à la littérature et à la logique.
En 1310 de l'hégire lunaire, à l'âge de 18 ans, il partit pour Ispahan, l'un des grands centres scientifiques de l'époque. Il profita des cours des grands maîtres de cette région, et durant les 10 ans de son séjour, il réussit à monter les grandes échelles scientifiques, et finalement, trois de ses professeurs l'autorisèrent à exercer l'Idjtihad (Interprétation personnelle de la Loi islamique à partir des textes du Coran et de la Sunna). Parallèlement à ses études, il enseignait la jurisprudence (fiqh) et les cinq principes de l'Islam (ossoul), et certains savants ont assisté à ses cours.
En 1320 de l'hégire, il partit pour la ville sainte de Najaf, et se présenta aux cours des grands maîtres comme le mollah Mohammad Kadhem Al Khorassani, Cheikh-o-Shariah Esfahani et Sayed Mohammad Kathim Yazdi, et vite devint célèbre, attirant l'attention particulière des maîtres et des élèves en théologie de cette ville.
Son rôle dans l’Unité
L'ayatollah Al Boroudjerdi portait en lui un vaste horizon intellectuel sur les questions et difficultés du monde musulman, notamment celles d'ordre social. Il exhortait les jeunes étudiants en théologie à écrire et traduire des ouvrages utiles, à apprendre les langues étrangères pour faire de la propagande dans les Etats non-Musulmans, envoyant même de nombreux représentants dans les quatre coins du monde.
L'un de ses actes importants à ce sujet fut d'envoyer le cheikh Mohammad Taghi Qomi en Egypte, l'un des bastions scientifiques du sunnisme; et la fondation en Egypte de Darol-Taqrib (Le Centre du rapprochement), destiné à présenter le chiisme aux autres, et exposer les pensées de nos savants aux étudiants en théologie des autres pays.Ce qui a fait que le cheikh Mahmoud Shaltout, recteur de l'université Al Azhar décrète une fatwa sur la véracité de l'obéissance au chiisme.
Désormais, des ouvrages chiites furent publiés en Egypte, et certains grands auteurs impartiaux sunnites adoptèrent des points de vue plus modérés à l'égard du chiisme.
Source : al-shia.org
Pour les problèmes qui se posent, référez vous aux
Spécialistes (Mujtahid) de nos Hadiths, parce qu'ils sont mes
Preuves sur vous et je suis la preuve d'Allah (à lui la grandeur) sur eux.
L'Imam Al MAhdi