La compagnie d’Ali (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avec le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui et sa famille) lors de deux migrations temporaires

Lorsque Abou Talib, le noble père d’Ali (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), mourut à La Mecque dans la dixième année de la prophétie, la persécution des croyants fut attribuée à la au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) parce qu’Abou Talib n’était plus là pour les en empêcher. Afin de sauver sa vie, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a émigré deux fois de La Mecque, une fois à Ta’if.  Il y est resté dix jours, et selon certains, quarante jours, il a invité les gens à l’Islam, mais personne n’a accepté l’invitation de l’Imam.

Il ne l’accepta pas, mais à l’instigation des Zarandozans polythéistes et arrogants, un certain nombre de mercenaires lapidèrent l’imam et il fut lapidé à mort.

Dans ce voyage dangereux, l’imam Ali (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) et Zayd bin Haritha, le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui). Oui, l’Imam Ali (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a accompagné le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) dans de telles circonstances. Il a émigré pour être son compagnon et son aide, et pour ne pas le laisser seul.

Il est également rapporté qu’après la mort d’Abu Talib, il a fait une autre migration et qu’il a été révélé : « De la Mecque sortez parce que votre aide est décédée.

La tribu des Banu 'Amir ibn Sa’a est allée se présenter à eux et leur a demandé de l’aide et a récité les versets du Coran pour ils ont prié, mais ils n’ont pas accepté l’invitation de l’Imam, et il a continué cette migration pendant dix jours, qui était la première migration de l’Imam.

Dans cette migration, Ali (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) n’a pas laissé le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) seul, et il a été un compagnon et un compagnon inébranlable.

Il était sincère et gentil avec lui c’est sur cette base qu’Ibn Abi al-Hadid, le célèbre savant sunnite, dit aussi dans ses poèmes :

«َوَ لَوَلا ابَوُطالبٍِ وَابنِِهِ لَمَا مُثِّ َلَّ الّدّین شَخصاَشخصاً َفَقاما ً»

« Et sans Abou Talib et son fils, je n’aurais pas été comme al-Din personnellement. »

Sans Abou Talib et son fils Ali (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), le pilier de la religion de l’Islam n’aurait pas été établi, tous deux pour la stabilité de la religion ils se sont révoltés.